Son talent d’écrivain le servait mal, et il était le premier à en souffrir. […] Je parle de ces écrivains qui emploient volontiers des moyens extra-littéraires, c’est-à-dire empruntés à la peinture. […] Il est écrivain et fastueux en art. […] Ce peintre se double d’un écrivain. […] Victor Barrucand, fort estimé à Paris comme écrivain, n’a point dit adieu à la capitale.
Charles Asselineau Sans réclamer pour lui le premier rang qu’il convient sans doute de réserver à des talents plus amples et plus robustes, je ne crains pas de dire que parmi les écrivains du second, en ce temps-là, il est peut-être celui dont le nom est le plus assuré de vivre, par cette seule raison qu’il s’est plus exclusivement qu’aucun autre attaché à l’art.
. — Morceaux choisis des écrivains havrais (1894). — Passé l’Amour (1895). — Gens de mer (1897). — Morgane (1898). — La Payse (1898). — Le Bois dormant (1889-1899-1900).