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555. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 348

Ses Ouvrages peuvent être regardés comme une école de bon goût : ils offrent par-tout un Auteur nourri de la bonne Littérature des siecles de Périclès, d’ Auguste & de Léon X ; un Ecrivain exact, poli, correct, mais quelquefois trop scrupuleux.

556. (1896) Les Jeunes, études et portraits

Ce n’est pas en vain qu’on a passé par l’école naturaliste. […] Il s’est mis de bonne heure à son école. […] Ils forment une école. […] C’est celle des gens d’école et des critiques à férule. […] Les écrivains de l’école de Gautier et ceux de l’école parnassienne s’efforçaient de rapprocher la prose et les vers de la peinture.

557. (1923) Nouvelles études et autres figures

L’École Romantique était visée. […] Il n’a fait partie d’aucune école, d’aucune chapelle. […] Au risque de heurter son terrible grand-père, il émigra à l’École Bossuet, dont les élèves suivaient les classes du Lycée Saint-Louis et que dirigeait alors l’admirable abbé Thenon, ancien élève de l’École Normale et de l’École d’Athènes. […] On a dit encore plus de mal de l’École Polytechnique que de l’École Normale. […] Ce fut à cette École que Curie fit sa première conférence sur le radium.

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