Elle est sortie d’une débauche de rêverie amoureuse et romanesque, à laquelle Jean-Jacques s’est abandonné pendant plusieurs mois à l’âge de quarante-quatre ans, comme pour échapper à la fois au regret immense que lui cause le vide de sa vie sentimentale passée et à la certitude désespérante que les années qui lui restent ne lui apporteront point ce que sa jeunesse n’a pu avoir.
Ne sens-tu point parfois ton Dieu t’échapper, malgré toutes tes prières et tes macérations ?
Et ainsi, le tsar ne saurait échapper à notre reconnaissance.