Alors, encore une fois, du tressaillement de la solitude palpite la plainte de l’aimante Compassion : la crainte, la sacrée sueur d’angoisse du Mont-des-Oliviers, la divine souffrance douloureuse du Golgotha, — le corps pâlit, le sang coule et s’échappe et brille avec un céleste brillement de bénédiction, répandant sur tout ce qui vit et souffre la joie de grâce de la Rédemption par l’Amour.
Son tombeau même exhale une odeur de safran ; ses os sont encore imprégnés d’essence et de parfums ; de ses cheveux s’échappe un air embaumé.
Je ne saurais, mon cher ami, laisser échapper l’occasion de vous donner de mes nouvelles.