Ici surtout se constate la tendance des très anciens dieux, primitivement chargés de besognes toutes matérielles, à s’enrichir d’attributs moraux quand ils avancent en âge.
La Geneviève Tellier, de Lucien Muhlfeld, est encore d’un âge et d’un visage à trouver des compensations, mais elle est d’âme sensible et forte, et ce sont ces âmes-là qui se résignent le mieux, parce que ce sont elles qui risqueraient le plus aux révoltes périlleuses.
J’en arrivai à voir des romanciers futurs dans tous les enfants au berceau et contrairement à ceux qui ne peuvent comprendre comment Alexandre Dumas a pu en produire autant dans un âge si tendre, je fus persuadé qu’il en avait fait trois fois plus qu’il n’en a signé.