J’aime mieux vous la traduire en récit, en images et en sentiments, afin que le récit, l’image et le sentiment la fassent pénétrer en vous par les trois pores de votre âme : l’intérêt, l’imagination et le cœur ; et afin aussi qu’en voyant comment j’ai conçu moi-même, en moi, l’impression de ce qu’on appelle littérature, comment cette impression y est devenue passion dans un âge et consolation dans un autre âge, vous contractiez vous-même le sentiment littéraire, ce résumé de tous les beaux sentiments dans l’homme parvenu à la perfection de sa nature. […] Cependant, malgré la dureté de l’apprentissage, je commençais à trouver de temps en temps un plaisir sévère à ces récits pathétiques, à ces belles pensées qu’on nous faisait exhumer mot à mot de ces langues mortes ; un souffle harmonieux et frais en sortait de temps en temps, comme celui qui sort d’un caveau souterrain muré depuis longtemps et dont on enfonce la porte. […] Ces trois hommes, attentifs au récit du juste résigné, essuyant leurs yeux des larmes de l’admiration et de l’enthousiasme, me faisaient penser à trois sages d’Athènes, conversant sur la nature et sur Dieu, assis sous les oliviers de l’Hymète. […] La littérature n’est pas moins indispensable au récit qu’à l’action des grandes choses ; le peuple lui-même le plus illettré, quand il est rassemblé et élevé au-dessus de son niveau habituel, comme l’Océan dans la tempête par une de ces grandes marées ou par une de ces fortes commotions qui soulèvent ses vagues, prend tout à coup quelque chose de subitement littéraire dans ses instincts ; il veut qu’on lui parle, non dans l’ignoble langage de la taverne ou de la borne, mais dans la langue la plus épurée, la plus imagée et la plus magnanime que les hommes des grands jours puissent trouver sur leurs lèvres.
Louis Denise Léon Riotor publie sous ce titre : Le Pêcheur d’anguilles, une fort belle légende hollandaise, qu’il a traitée en une suite de tableaux parfaitement adaptés à l’agencement du sujet primitif, En dehors du récit et seulement par l’allure générale de l’œuvre, cela fait penser à L’Albertus, de Théophile Gautier.
Nous devons à cet Auteur un Essai sur le récit ou sur la maniere de raconter, qu’on peut regarder comme un Traité complet de la Narration, & où l’on trouve d’excellens préceptes sur l’Apologue, le Conte, le Poëme épique, la Poésie dramatique, & le Roman.
On a aussi de lui des Mémoires, qui seront estimés de quiconque est capable de connoître le prix d’une narration claire, méthodique, naïve, qualités préférables au ton embarrassé ou à la fausse chaleur que plusieurs Ecrivains n’ont pas su éviter dans leurs récits.
J’eus la clef du mystère le jour où j’appris comment il faisait le récit du début de notre accointance. […] Plus tard, Voltaire mit la mort de Mariamne en récit, telle que nous la lisons à présent dans sa pièce. À vrai dire, c’est un récit peu classique, car il est coupé fréquemment par celui qui l’écoute. L’auteur avoue que c’est contre son goût qu’il a mis la mort de Mariamne en récit au lieu de la mettre en action. […] Je soutiendrai néanmoins qu’à valeur égale un récit doit toucher plus profondément qu’un spectacle.
Les quelques lignes de la conclusion ne sont pas moins attendrissantes et terminent bien le récit. […] Ainsi Richardson, le plus sec des puritains, a composé un livre immortel du récit des affectations et des pruderies d’une miss anglaise, le tout à force d’observations fines, mais sans mélange d’un seul grain de poésie. […] Les trépieds, les boîtes d’or, les surtouts de Laconie, et même quelquefois des mots grecs, peu nécessaires à la clarté du récit, papillotent devant les yeux d’une manière qui pourrait devenir fatigante. […] C’est le point culminant du récit. […] À peine d’abord avons-nous su exposer le fonds de l’ouvrage, mais la forme, la forme si parfaitement adaptée au ton du récit, il eût été superflu et téméraire d’aspirer à la rendre.
On a parlé des Souvenirs sur l’Empire de M. de Meneval, ancien secrétaire particulier de l’empereur : il n’y a pas d’habitude de composer un livre, et ceux qui ne lisent que pour avoir un récit agréable et continu peuvent y trouver du mécompte ; mais il y a beaucoup d’anecdotes précieuses, originales, que garantissent la position et la probité de l’auteur.
Ducoté sont des petits récits ingénieux, contés avec grâce et mesure, en vers souvent heureux et toujours habiles.
Nouveaux Récits galiciens. — 1876. […] À ce point de son récit, M. d’Eblis se détourna, et j’entendis une sorte de sanglot. […] Récits et élégies. — 1878. […] Je passe sur des pages charmantes du récit, et j’arrive à la conclusion, qui est l’union des enfants de l’ex-jardinier et du seigneur de Saligneux. […] Son récit de la révolution de 1848 resterait comme un grand enseignement si on pouvait enseigner quelque chose aux gens affolés par la politique.
Elle a une couleur et une allure qui rappellent les récits de Quevedo et réjouiraient Mérimée. […] C’est un récit qui a un commencement, un milieu, presque une fin. […] Retournons au premier et au plus achevé de ces récits très modernes. […] Mais lisez ce récit au second volume d’Outre-Mer. […] Elles se plaisent aux récits d’amour courtois.
Toute cette partie du récit de M. […] Son livre est un récit de bivouac, une sorte de fanfare, claironnée avec enthousiasme, tout d’une haleine, par un officier d’Afrique, à qui l’on a ôté trop tôt son sabre et ses galons. […] Et ce récit finit mal, comme la plupart des nobles vies. […] Voici le héros et l’héroïne de son récit. […] De même que j’ai appris l’histoire de France dans les romans mirifiques du père Dumas, j’ai connu le Berri par les récits succulents de la mère Sand, la bonne Berrichonne.
Cette tragédie finit à la mort de César, que l’auteur a mise en récit. […] On verra quel intérêt dramatique le poëte a ajouté à ce récit déjà intéressant. […] Ce récit fit naître à Nicuola l’idée de s’habiller en homme, et d’entrer chez Lattanzio en qualité de page. […] Mais l’exactitude avec laquelle Shakspeare s’est conformé au récit italien, jusque dans les moindres détails, me porte à croire qu’il a fait usage de quelque traduction anglaise plus littérale. […] Il a ainsi donné à sa pièce, sauf la liberté de quelques expressions, une couleur beaucoup plus morale que celle des récits où il a pu puiser, et où le mari finit toujours par être dupe, et l’amant heureux.
Par derrière les événements qui font la matière de ces récits, il aperçoit une vaste histoire qui les domine et qui amplifie leur portée. […] Notre adhésion à la réalité d’un récit dépend bien moins de la vraisemblance de ce récit que des sentiments éprouvés par le conteur. […] « Il faut en convenir », dit-il à un moment de son récit (chap. […] Et c’est partout, dans ces récits, ce mariage heureux de l’âme et des horizons. […] Neuf fois sur dix, son récit diffère par quelque détail du souvenir que vous gardez.
Pour moi, j’avoue que je ne vois rien d’absolument essentiel au poëme épique, que le récit d’une action. […] Je ne sçais pourquoi j’ai restreint le poëme au récit d’une action. […] Le poëte refroidiroit toujours les sentimens de ses personnages par le simple récit. […] On court le même risque d’ennuyer par la trop grande abondance des comparaisons ; au lieu qu’elles délassent du récit, quand le poëte en use sobrement, c’est le récit qui délasse des comparaisons quand elles sont trop fréquentes ; le sujet se perd dans les ornemens, et l’esprit se révolte naturellement contre ce desordre. […] Les différens genres d’éloquence n’y paroissent qu’ébauchés ; descriptions, récits, comparaisons, discours, tout présente pêle mêle les défauts et les beautés ; il n’y a presque pas un morceau qui soit de cette justesse et de ce choix dont la succession des préceptes et des exemples nous a fait découvrir le prix.
Il le fit épiquement, c’est-à-dire en récits successifs et dramatiques tels que ceux dont nous allons vous donner l’exemple dans les deux citations suivantes. […] Il ne s’inquiétait pas de l’effet qu’avait pu faire sur moi son récit. […] C’est le récit de la mort d’un brave et modeste officier de la garde royale, tué de sang-froid sur un pont par un de ces étourdis d’enfants de Paris, sans savoir pourquoi il tue. […] Le récit est touchant, nous vous conseillons de le lire et de le faire lire à ce peuple plus inconsidéré que cruel. […] L’aimant magique de cette pierre attire et attache les cœurs d’acier, les cœurs des forts. — Dites si cela n’est pas, vous, vous mes braves compagnons, vous à qui j’ai fait ces récits, ô nouvelle légion Thébaine, vous dont la tête se fit écraser sur cette pierre du Serment, dites-le, vous tous, Saints et Martyrs de la religion de l’Honneur. » Écrit à Paris, 20 août 1835.
Toute la poésie de l’hospitalité éclate dans ce récit en inexprimable simplicité de style. […] » Elle continua à lire le récit du voyage des deux jeunes gens jusqu’à leur arrivée à Lacédémone chez le roi Ménélas, le mari d’Hélène, rendue enfin à son époux. « Écoutez, dit-elle, l’arrivée du char chez le roi. » « L’écuyer de Ménélas, Étéomnée, appelle les autres serviteurs et leur commande de le suivre. […] » XIX Ici le poète revient par son récit à Ithaque. […] non, dîmes-nous tous en chœur, et même elle nous touche davantage. — Vous voyez donc bien, reprit-elle, que votre père avait raison de vous le dire : la beauté du récit n’était pas dans la condition des personnages, mais dans la vérité et dans l’émotion de la peinture : un haillon ici est aussi beau qu’un diadème. […] Depuis je l’ai relu cent fois à voix basse, en mettant au récit, dans ma pensée, les inflexions de voix de cette femme antique plus naïve que Nausicaa, plus laborieuse qu’Euryclée, plus reine, plus femme, plus mère que Pénélope !
et pour arriver à la simplicité du plan, au rythme aisé du récit, à la concision savante, à la mesure, à l’ordre lucide, à ce fini dans l’art que Platon appelait, avec une justesse si exquise, une rondeur, Féval montre souvent de la passion vraie, de l’observation acérée, de l’invention de bon aloi. […] Ce n’en est pas une, puisqu’on n’a pas marché, que le récit, qui commence le roman à venir et finit le volume actuel, de cette mort d’un père pénétrant des premières impressions chrétiennes l’âme d’un enfant qui les retrouvera un jour dans son âme et qui redeviendra chrétien. Les sentiments que ce pathétique récit remue dans les âmes, on les saura, en le lisant, mais il n’y a que les connaisseurs littéraires qui apprécieront le tour de force dans le chef-d’œuvre de ce récit. […] Sept cents ans d’histoire passent au pied ou pivotent autour de ce monastère et de cette forteresse tout ensemble, et ces sept cents ans sont racontés avec un détail d’érudition qui étonne encore plus que l’éloquence du récit. […] Les chapitres du livre, qui ressemblent à des fermoirs d’or s’ouvrant et se refermant sur le récit, donnent une idée de ce qu’il y a ici d’intéressant et de grandiose.
XXV) : « Alors le royaume des cieux sera semblable à dix vierges qui, ayant pris leurs lampes, allèrent au-devant de l’époux. » Le récit y est achevé en treize versets de deux ou trois lignes. […] Ce que je reproche à D’Annunzio, ce ne sont pas ces emprunts comme tels (ils répondent fort bien à son tempérament lyrique), mais c’est la façon dont il en a encombré un récit de caractère tout différent. C’est une faute de goût, une rupture de l’unité artistique ; et de fait la parabole somptueuse de D’Annunzio, dont l’idée centrale me serait d’ailleurs fort sympathique, demeure très inférieure au sobre récit de Matthieu. […] Les récits et les situations, souvent empruntés, sont sans rapport avec les caractères et n’ont forcément que des solutions factices. […] Issue en bonne partie de fêtes religieuses, puis nourrie de récits légendaires, la tragédie grecque a gardé toujours (plus ou moins, selon les temps et les poètes) des traces sensibles de ses origines lyriques et épiques.
Chateaubriand, une heure après, entendant le récit de cette scène, n’aurait-il pas eu le droit de dire : « C’est à dégoûter de l’honneur » ; et un misanthrope : « C’est à dégoûter de la vertu ? […] À peine eut-il fermé les yeux (et j’emprunte à cet endroit le récit du témoin cité par sir Henry Bulwer) que la scène changea brusquement : « On aurait pu croire qu’une volée de corneilles venait subitement de prendre son essor, si grande fut la précipitation avec laquelle chacun quitta l’hôtel, dans l’espoir d’être le premier à répandre la nouvelle au sein de la coterie ou du cercle particulier dont il ou elle était l’oracle. […] La visite de Louis-Philippe avait plusieurs témoins, et sir Henry Bulwer donne le récit d’un de ces témoins mêmes. […] On a pour guide très sûr et sans parti pris, dans le récit de cette mort de Talleyrand, un Anglais, Thomas Raikes, dont le Journal a été publié à Londres (4 volumes, 1857).
Le style étant ce qu’on appelle le talent, et le talent étant la partie d’un livre où se réfugie l’amour-propre de l’auteur, il serait malséant et immodeste à moi d’en parler ; j’aurais voulu en avoir davantage pour populariser et immortaliser les récits, les leçons et les moralités de ces mémorables événements. […] Peut-être ce goût pour les portraits tient-il en moi à mon imagination plastique et pittoresque, qui a besoin de se représenter fortement la physionomie des choses et des hommes pendant qu’elle lit le récit des événements où ces hommes sont en scène dans le livre. […] En sorte que le simple récit de ces deux années est le plus lumineux commentaire de toute une grande révolution, et que le sang répandu à flots n’y crie pas seulement terreur et pitié, mais leçon et exemple aux hommes. […] Le récit vivifié par l’imagination, réfléchi et jugé par la sagesse, voilà l’histoire telle que les anciens l’entendaient, et telle que je voudrais moi-même, si Dieu daignait guider ma plume, en laisser un fragment à mon pays. » VII « Mirabeau venait de mourir.
Le dénouement n’est pas là : il est dans le récit de Théramène que le petit Lucien vient faire, la larme à l’oeil, du duel de d’Estrigaud, dont il était le témoin. […] On se souvient que, dans la première version de ce cinquième acte, le jeune Lucien venait faire à son père, en larmoyant, le récit du duel de d’Estrigaud et de son mariage in extremis avec Navarette. […] Lucien reprend son récit du duel ; le médecin pour rire secoue la tête d’un air consterné ; Navarette fait son entrée et se jette sur son amant, avec un désespoir mélodramatique. […] Certes, cette farce macabre paraissait déjà bien invraisemblable, à travers le voile du récit : étalée sur la scène, elle semble impossible.
Voilà ce que j’appelle les vrais contes de La Fontaine, c’est-à-dire les récits où il a peint des hommes et des femmes avec leurs défauts, avec leurs ridicules qu’il a joliment et très spirituellement raillés, et aussi avec des qualités qu’il s’est attaché à peindre avec complaisance et avec un certain attendrissement. […] Je dirai simplement qu’avec une liberté suprême et même, en vérité, avec peu de vénération pour le texte, La Fontaine a pris uniquement le sujet et le dernier mot — il faut rendre justice à Anacréon — le sujet et le dernier mot, et tout le reste est absolument de lui, comme si le récit était de son invention. […] Il pourra même arriver, si vous goûtez ce récit, que vous en goûterez après de plus sérieux. […] Lui qui sait si bien dérouler un récit, eût pu dérouler celui-ci un peu davantage.
Quelqu’un disait en sortant : « Nodier avait mêlé la fée à tous ses récits, à tous ses souvenirs ; Mérimée a supprimé exactement cette fée, et il a su plaire. » — On peut remarquer aussi ce qu’il y a eu de piquant, de hardi et d’habile, de la part de M.
Champfleury Ce Pétrus Borel, forçant l’étrangeté pour dissimuler son peu d’imagination, se présentant en « loup » dans la civilisation, goguenard très travaillé, sans cesse en quête de sujets étonnants, voulant attirer l’attention du public par son orthographe, n’écrivant toutefois qu’avec peine de bizarres récits en prose, poète jadis, dont les vers étaient hirsutes et martelés, à la tête autrefois d’un groupe d’artistes à tous crins qui avaient laissé leurs cheveux dans les mains de l’occasion.
Quiconque saura apprécier un style noble sans emphase, correct sans sécheresse, précis sans obscurité ; les richesses du savoir & l’art de les mettre en œuvre sans affectation ; le talent de l’analyse & celui du récit ; la profondeur & la justesse des idées, réunies à la vivacité de l'expression qui les anime & à la netteté qui les rend sensibles, admettra sans peine Madame de Saint-Chamond parmi les la Fayette, les Dacier, les Chatelet, & les autres femmes qui ont honoré leur sexe & notre Littérature par leur imagination ou par leur savoir.
ÉCLAIRCISSEMENTS Ce récit fait songer quelque peu à la fable « Les membres et l’estomac ».
Nous y verrons un à un tous les fils dont se compose la trame la plus solide de l’histoire, le dessous et l’envers de la tapisserie ; nous apprendrons à y connaître au naturel quelques figures de diplomates guerriers, d’hommes d’État, gens d’esprit ou même écrivains originaux, que les récits du dehors et le spectacle de l’avant-scène laissaient à peine soupçonner43. […] Feuillet de Conches les a encadrées dans un récit animé qui les explique et leur rend toute leur signification. […] Le récit de l’entrée du connétable à Bordeaux est la préface indispensable à lire au Traité de La Boëtie.
» Un des endroits les plus intéressants du récit de Malouet est le chapitre de ses relations avec Mirabeau. […] Necker, chez M. de Montmorin ; il les trouve froids à son récit. […] Il est mieux de passer sans transition d’un récit à l’autre ; ce sont des changements à vue, et le lecteur y reçoit presque la même impression au vif qu’un témoin et un contemporain : « Il m’écrivit de Berlin, nous dit Malouet, qu’il avait grande envie de passer du nord de l’Allemagne au midi de la France, et que probablement il viendrait à Toulon, où il arriva un mois après.
La figure principale autour de laquelle se déroule le récit de Mme de Motteville, est celle de la reine Anne d’Autriche, sa maîtresse. […] Cependant elle ne néglige pas, à la rencontre, les narrations plus considérables, telles que l’épisode sur la révolution d’Angleterre qu’elle a recueilli de la bouche de la reine d’Angleterre elle-même, et dont elle fait un récit à part ; elle s’étend aussi sur la révolution de Naples, qui eut lieu vers ce même temps. […] Les premières scènes de la Fronde sont racontées par elle de manière à ne point pâlir, même à côté des récits du cardinal de Retz.