Sous cette rubrique, qui est une déchirure, l’auréole d’emprunt, il montre ce que fut la tête auréolée.
C’est l’histoire la plus simple et la plus unie d’une jeunesse qui ne montre jamais cette prétention de littérature, si exclusive et si tourmentante dans un jeune esprit, quand on l’a.
par aucun libraire, avait-il donc fait quelque découverte qui montre, dans le Milton que l’on connaît, un Milton qu’on ne connaissait pas, comme lorsque Thomas Carlyle découvrit les fameuses lettres inédites de Cromwell, qui éclairèrent d’un jour si profond l’individualité complexe de l’homme (… un homme s’est rencontré…) que n’avait pas compris Bossuet, ce Maître en Histoire ?
Les phalanstériens mirèrent leurs songes dans ses œuvres, Il reçut comme hommage des montres d’argent de messieurs les horlogers de Genève.
Sur ces entrefaites, une mission faite par un capucin mystique auquel Julio, qui hait les ordres religieux et généralement toute espèce de moine, montre une blessante froideur, achève le mal commencé par la calomnie.
dit l’homme avec injure ; « Quel montre est plus hideux que toi dans la nature ? […] L’un ne rend un personnage risible qu’en l’affublant de toutes les bizarreries ensemble ; l’autre ne lui donne qu’une seule manie dont l’extravagance éclate d’autant mieux qu’il le montre raisonnable en tous les autres points. […] En aucun lieu, en aucun temps, un fat ne s’exprime comme celui du Joueur ; quelque adresse que montre un acteur à rendre plaisant cet hémistiche, allons, saute marquis ! […] Vous resterez dans l’irrésolution du choix entre les deux inconvénients à fuir, si l’auteur ne vous montre en parallèle, comme le poète latin, que des imperfections égales. […] « Bien qu’on soit deux moitiés de la société, « Ces deux moitiés pourtant n’ont point d’égalité : « L’une est moitié suprême, et l’autre subalterne ; « L’une en tout est soumise à l’autre qui gouverne ; « Et ce que le soldat dans son devoir instruit, « Montre d’obéissance au chef qui le conduit, « Le valet à son maître, un enfant à son père, « À son supérieur le moindre petit frère, « N’approche point encor de la docilité, « Et de l’obéissance, et de l’humilité, « Et du profond respect où la femme doit être « Pour son mari, son chef, son seigneur et son maître.
Stendhal démêle cette raison-là chez les Anglais, et s’y montre très hostile. […] Ce n’est pas la première fois qu’à expliquer comment on est ceci ou cela, on montre d’une éclatante façon qu’on ne l’est point. […] Cela signifie qu’il a aimé la vérité, ce qui vaut toujours qu’on se montre respectueux et reconnaissant envers un homme. — Et à ceux qui aiment la vérité, la Providence réserve toujours une récompense. […] Elle montre que les droits à priori ne sont qu’une illusion qu’on ne peut appuyer que d’une hypothèse. Elle montre mieux que toute argumentation qu’il n’y a droit que là où il y a contrat, et que le droit entre non contractants n’est rien.
… XXXVIII L’autorité de Lamartine auprès des esprits réfléchis n’a pas gagné dans ces dernières années, il n’a pas même acquis grand crédit au sein de la Chambre malgré toute son éloquence ; mais, au-dehors et sur le grand public vague, son renom s’étend et règne de plus en plus ; il le sait bien, il y vise, et bien souvent quand il fait ses harangues à la Chambre qui se montre distraite ou mécontente, ce n’est pas à elle qu’il s’adresse, c’est à la galerie, c’est aux gens qui demain le liront. « Je parle par la fenêtre », dit-il expressivement. (1846) XXXIX Tocqueville m’a tout l’air de s’attacher à la démocratie comme Pascal à la croix : en enrageant. […] Que ce soit au Christ, que ce soit à Voltaire, que cela s’accorde ou jure, peu lui importe, pourvu qu’il montre le poing à quelqu’un et qu’il lui crache à la face l’enthousiasme ou l’invective, et quelquefois les deux ensemble ! […] CLIII Décembre 1847. — Ce qui vient de se passer en Suisse contre les jésuites montre bien à nu, dans un exemple brut, comment procède la justice sociale. […] On ne commence à regarder à sa montre que du moment où l’on prend la file. […] L’amour de la vérité est un, et celui qui ment sans vergogne pour mieux faire ses gorges chaudes aux dépens d’un honnête homme, son contemporain, nous montre qu’il ne doit pas être bien scrupuleux, ni difficile en preuves, quand il s’agit de ses saints et oracles dans le passé.
Maeterlinck est bien d’un quiétiste, qui nous montre Dieu souriant « à nos fautes les plus graves comme on sourit au jeu des petits chiens sur un tapis ». […] Il s’y montre le bourreau hautain des hypocrisies et des avarices, des fausses gloires et des vraies turpitudes, de l’argent et du succès, du parvenu de la Bourse et du parvenu du feuilleton. […] Or, Benoist qui s’émèche et tourne au calotin, Montre quelque plaisir d’avoir vu, ce matin, L’hymen du Fils unique et de sa demoiselle. […] c’est tiré des singulières Poésies : « Les perturbations, les anxiétés, les dépravations, la mort, les exceptions dans l’ordre physique ou moral, l’esprit de négation, les abrutissements, les hallucinations servies par la volonté, les tourments, la destruction, les renversements, les larmes, les insatiabilités, les asservissements, les imaginations creusantes, les romans, ce qui est inattendu, ce qu’il ne faut pas faire, les singularités chimiques du vautour mystérieux qui guette la charogne de quelque illusion morte, les expériences précoces et avortées, les obscurités à carapace de punaise, la monomanie terrible de l’orgueil, l’inoculation des stupeurs profondes, les oraisons funèbres, les envies, les trahisons, les tyrannies, les impiétés, les irritations, les acrimonies, les incartades agressives, la démence, le spleen, les épouvantements raisonnés, les inquiétudes étranges, que le lecteur préférerait ne pas éprouver, les grimaces, les névroses, les filières sanglantes par lesquelles on fait passer la logique aux abois, les exagérations, l’absence de sincérité, les scies, les platitudes, le sombre, le lugubre, les enfantements pires que les meurtres, les passions, le clan des romanciers de cour d’assises, les tragédies, les odes, les mélodrames, les extrêmes présentés à perpétuité, la raison impunément sifflée, les odeurs de poule mouillée, les affadissements, les grenouilles, les poulpes, les requins, le simoun des déserts, ce qui est somnambule, louche, nocturne, somnifère, noctambule, visqueux, phoque parlant, équivoque, poitrinaire, spasmodique, aphrodisiaque, anémique, borgne, hermaphrodite, bâtard, albinos, pédéraste, phénomène d’aquarium et femme à barbe, les heures soûles du découragement taciturne, les fantaisies, les âcretés, les monstres, les syllogismes démoralisateurs, les ordures, ce qui ne réfléchit pas comme l’enfant, la désolation, ce mancenillier intellectuel, les chancres parfumés, les cuisses des camélias, la culpabilité d’un écrivain qui roule sur la pente du néant et se méprise lui-même avec des cris joyeux, les remords, les hypocrisies, les perspectives vagues qui vous broient dans leurs engrenages imperceptibles, les crachats sérieux sur les axiomes sacrés, la vermine et ses chatouillements insinuants, les préfaces insensées comme celles de Cromwell, de Mademoiselle de Maupin et de Dumas fils, les caducités, les impuissances, les blasphèmes, les asphyxies, les étouffements, les rages, — devant ces charniers immondes, que je rougis de nommer, il est temps de réagir enfin contre ce qui nous choque et nous courbe souverainement. » Maldoror (ou Lautréamont) semble s’être jugé lui-même en se faisant apostropher ainsi par son énigmatique Crapaud : « Ton esprit est tellement malade qu’il ne s’en aperçoit pas, et que tu crois être dans ton naturel chaque fois qu’il sort de ta bouche des paroles insensées, quoique pleines d’une infernale grandeur. » Tristan Corbière Laforgue, au courant d’une lecture, crayonna sur Corbière des notes qui, non rédigées, sont tout de même définitives ; parmi : « Bohème de l’Océan — picaresque et falot — cassant, concis, cinglant le vers à la cravache — strident comme le cri des mouettes et comme elles jamais las — sans esthétisme — pas de la poésie et pas du vers, à peine de la littérature — sensuel, il ne montre jamais la chair — voyou et byronien — toujours le mot net — il n’est un autre artiste en vers plus dégagé que lui du langage poétique — il a un métier sans intérêt plastique — l’intérêt, l’effet est dans le cinglé, la pointe-sèche, le calembour, la fringance, le haché romantique — il veut être indéfinissable, incatalogable, pas être aimé, pas être haï ; bref, déclassé detoutes les latitudes, de toutes les mœurs, en deçà et au-delà des Pyrénées. » Ceci est sans doute la vérité : Corbière fut toute sa vie dominé et mené par le démon de la contradiction. […] L’attitude du public est moins bénigne lorsqu’on l’entretient du désaccord qui s’observe entre lui, public, maître obscur des gloires, et l’opinion du petit nombre oligarchique : habitué à accoupler ces deux idées, renommée et talent, il montre de la répugnance à les disjoindre ; il n’admet pas, car il a un sens secret de la justice ou de la logique, qu’un auteur illustre ne le soit que par hasard, ou qu’un auteur obscur mérite la lumière.
C’est une lettre aussi qui conduit au dénouement tragique de Bajazet ; mais elle n’est point équivoque, et Roxane la montre à son amant pour le convaincre de sa perfidie. […] montre-la donc. […] Il est trop évident que si Orosmane montrait la lettre à Zaïre, comme il le peut et doit le faire, comme Roxane la montre à Bajazet, comme Othello la montre à Hédelmone, comme tout jaloux, dans la même position, la montrera toujours à l’infidèle qu’il voudra confondre, à moins que ce jaloux ne soit un vieux renard, un espion plutôt qu’un amant, il n’y aurait plus ni dénouement ni cinquième acte. […] Tous les deux prirent la défense de L’Orphelin ; et Lanoue, dans le rôle de Zamti, contribua aussi à soutenir la pièce : Voltaire parle honnêtement des deux premiers, mais il se montre fort ingrat envers Lanoue. […] Il faut donner aux crimes tragiques un air de grandeur ; dès qu’on en montre toute la bassesse et la turpitude, ils sont indignes de la scène.
Sa montre ne marque pas l’heure du berger. […] Il les représente comme « en voulant beaucoup à cette pauvre cour », et il montre la cour méprisant de toute sa hauteur ces petits « gredins ». […] La justice de Molière se montre en cela. […] Il démêle, à travers leurs excellentes parties, le défaut dont ils souffrent, le défaut par où ils prêtent le flanc aux coquins, et il le leur montre. […] Oui, mais par je ne sais quel effort, où se montre la verve, la vigueur, la maestria de l’auteur, plus que toute autre chose.
Dans le sens philosophique, l’observation montre et l’expérience instruit. […] L’observation est donc ce qui montre les faits ; l’expérience est ce qui instruit sur les faits et ce qui donne de l’expérience relativement à une chose. […] L’anatomie cadavérique peut bien rendre compte des dispositions mécaniques de l’organisme animal ; l’inspection du squelette montre bien un ensemble de leviers dont on comprend l’action uniquement par leur arrangement. […] L’anatomie comparée nous montre encore que les dispositions des instruments de la vie sont entre eux dans des rapports nécessaires et harmoniques avec l’ensemble de l’organisme. […] L’expérimentation, ainsi que nous l’avons déjà dit, se montre nécessairement d’autant plus difficile, que l’organisation est plus complexe.
Lady Castlewood, si bonne et si tendre, se trouve éprise, comme Amélia, d’un rustre buveur et imbécile, et sa jalousie sauvage, exaspérée au moindre soupçon, implacable contre son mari, épanchée violemment en paroles cruelles, montre que son amour vient non de la vertu, mais du tempérament. […] Le voici qui nous montre Pendennis orgueilleux, dépensier, écervelé, paresseux, refusé aux examens avec honte, pendant que ses camarades, moins spirituels, mais studieux, sont reçus avec honneur. […] Au bout d’une scène violente, il s’arrête sur un moment vide, et la montre, paresseuse, étendue sur des divans, comme une chatte qui bâille et se détire au soleil. […] Il finit par la traîner dans les tavernes et dans les coulisses, et de loin la montre du doigt, joueuse, ivrogne, sans plus vouloir la toucher.
Puis, il nous joue des pavanes, des passecailles, des menuets, où, avec des notes de musique, il se montre comme un historien de la gravité du grand siècle louisquatorzien. […] Cet ami, il nous le montre assis en face de lui, en plein jour, devant une bouteille de champagne, chez Ledoyen. […] Je descends jusqu’au boulevard, avec Dumény, qui me montre des lithographies de Gavarni, ad usum Jupillon, qu’il tire de sa poche, et me parle de la manière de se faire une bouche méchante, en la dessinant, dans le maquillage, de la minceur d’une bouche de Voltaire, et la relevant d’un rictus, dans un seul coin. […] Pour tuer l’avant-dîner, je vais chez Bing, où je ne peux m’empêcher de quitter de l’œil les images, que Lévy me montre, et de me promener d’un bout de la pièce à l’autre, en parlant de ce soir.
L’idéal rend « les esprits fermes », parce qu’il leur montre un but et leur donne une loi ; il rend « les cœurs grands » parce qu’il leur communique la force de l’espérance. […] De ce monde où l’on souffre le poète relève nos yeux vers le ciel, et il nous y montre la Foi, ceinte d’un cercle d’étoiles. […] Dans les Orientales, il se montre généreux, — la poésie ne va pas sans la générosité du cœur ; — mais c’est une générosité batailleuse et un peu farouche ; la violence reste le caractère dominant du poète, puisqu’il aura assez de colère pour remplir l’interminable livre des Châtiments. […] Les œuvres inédites de Victor Hugo contiennent des pages dignes de Montesquieu sur les effets sociaux du luxe et sur le peuple : « Le luxe est un besoin des grands Etats et des grandes civilisations ; cependant il y a des heures où il ne faut pas que le peuple le voie… Quand on montre le luxe au peuple dans des jours de disette et de détresse, son esprit, qui est un esprit d’enfant, franchit tout de suite une foule de degrés ; il ne se dit pas que ce luxe le fait vivre, que ce luxe lui est utile, que ce luxe lui est nécessaire ; il se dit qu’il souffre et que voilà des gens qui jouissent ; il se demande pourquoi tout cela n’est pas à lui, il examine toutes ces choses, non avec sa pauvreté qui a besoin de travail et par conséquent besoin des riches, mais avec son envie.
Le Dialogue des orateurs a mis en présence et nous montre aux prises les champions des deux doctrines, les classiques et les novateurs de l’Antiquité.
Il fit donc cette admirable pièce qui commence avec grandeur, et où il montre le vaisseau de haut bord qui, dans l’orgueil du départ, se rit des flots et se joue même de la tempête ; puis, en regard, la pauvre barque comme il en avait tant vu dans le golfe de Naples, une barque de pêcheur dans laquelle habite toute une famille, et qui, jour et nuit, lui sert d’unique asile et de foyer : le père et le fils à la manœuvre, la mère et les filles aux plus humbles soins.
Un cri de souffrance, une plainte sans développement, sans souvenir, sans prévoyance, exprime les impressions du moment, montre quel était l’état de l’âme avant que la réflexion eût placé au dedans de nous-mêmes un témoin de nos mouvements intérieurs.
— Le sublime chante que l’homme est le roi de la création ; mais le comique le montre tremblant de peur entre les bras d’un grand singe qui le flatte doucement avec sa patte148. — Le sublime est le troubadour qui récite, tôle nue et à distance, des vers épiques à la table des rois ; le comique est le petit chien impertinent qui saule sur la table du festin, salit les plats d’argent et d’or, met les rois en colère, le menu peuple en liesse, et mord en se sauvant le pied du troubadour. — L’architecte héroïque se cache derrière son œuvre, qui semble s’élever toute seule aux sons de sa musique, comme Thèbes aux doux accords de la lyre d’Amphion.
Par exemple, près de Liancourt, le duc de la Rochefoucauld avait un terrain inculte ; « dès le commencement de la Révolution800, les pauvres de la ville déclarent que, puisqu’ils font partie de la nation, les terrains incultes, propriété de la nation, leur appartiennent », et tout de suite, « sans autre formalité », ils entrent en possession, se partagent le sol, plantent des haies et défrichent. « Ceci, dit Arthur Young, montre l’esprit général… Poussées un peu loin, les conséquences ne seraient pas petites pour la propriété dans ce royaume. » Déjà, l’année précédente, auprès de Rouen, les maraudeurs, qui abattaient et vendaient les forêts, disaient que « le peuple a le droit de prendre tout ce qui est nécessaire à ses besoins » On leur a prêché qu’ils sont souverains, et ils agissent en souverains.
Quand plusieurs actions se développent pendant une certaine durée en des lieux différents, on combine l’un et l’autre ordre : on choisit une unité de temps, d’après laquelle on coupe chaque action en fragments égaux, et l’on montre successivement de petites séries partielles et simultanées, jusqu’à ce qu’on ait épuisé sa matière.
Disons tout d’abord que la conclusion de l’œuvre est qu’il y a, dans chaque individu, des milliers de « moi » et qu’il est fou d’espérer pouvoir les réduire à un seul, absolu, unique ; il ne faut, par conséquent, pas chercher un paradis, mais des paradis sans nombre ; le poète nous les montre dans les Îles d’or, qui ne sont autre chose que les bonheurs épars qu’il est permis à chacun de conquérir ou de rêver… On retrouve, dans ce volume, écrit avec une prodigieuse facilité, toutes les brillantes qualités du grand producteur qu’est M.
On montre, à divers endroits de la côte l’emplacement de cette cité fabuleuse, et les pécheurs vous en font d’étranges récits.
on nous montre le poing. « Non, affirme-t-on en propres termes, quoi qu’en pense notre critique, les œuvres banales n’ont pas de succès. » Il faut ignorer bien des choses ou être plus distrait que Ménalque, pour mettre en doute une vérité si authentique, qui est tout simplement un fait d’histoire.
L’Histoire gagne en beauté humaine et en moralité sensible lorsqu’elle montre à travers la chaste amitié de Mathilde, qui l’adoucit, mais ne la change pas, cette tête moïsiaque d’Hildebrand, toujours plus haute que les calomnies qui veulent monter jusqu’à elle, et qui les domine de son impassible majesté.
XI Le christianisme voit la faute et en suit la trace dans l’instinct, dans l’âme, dans tout, dans le génie, mais jamais il ne vous la montre que pour vous dire de l’effacer.
De toutes les éruditions dont Édouard Fournier a fait montre dans ces trois volumes, j’avoue que c’est la seule qu’il m’est impossible de lui pardonner.
Rien ne montre mieux ce qui mène la barque de saint Pierre sur les flots des tempêtes humaines que le récit fait par Segretain de cette vie inébranlable et inaltérable, la seule qui fut calme quand tout était agité autour d’elle, au temps effroyable où elle fut.
À côté de ces figures d’une gloire officielle, l’historien des Femmes de la Révolution nous en montre d’autres entourées d’un nimbe moins éclatant et moins large.