D’un autre côté il se trouve toujours parmi eux des raisonneurs assez vains pour croire qu’ils ont découvert ces veritez physiques, et d’autres assez faux pour assurer qu’ils en ont une connoissance distincte par principes, quoiqu’ils sçachent eux-mêmes que leurs lumieres ne sont que des tenebres.
Croit-il qu’il me serait difficile de découvrir chez lui un mot douteux, une expression hâtive ?
Ainsi elles n’ont ni l’invention qui crée ou découvre, ni la généralisation qui synthétise, ni la force sans convulsion, car la force convulsive, passionnée, elles peuvent l’avoir en leur qualité de femmes (preuve, Mlle de l’Espinasse).
C’était une grande scrutatrice humaine, un esprit trempé et aiguisé pour découvrir.
Ils s’étonneront avec la candeur (aussi) qu’ils tiennent de leurs mères, de tout ce que Paul de Saint-Victor a découvert dans leur Goethe.
Révolutionnaire, quoiqu’il dise pour s’en défendre, l’auteur de la Nature des Sociétés humaines a écrit « que les révolutions sont les suprêmes efforts du genre humain pour découvrir les vraies conditions de sa vie, pour les définir exactement et s’y soumettre » ; ce qui revient positivement à dire que toutes les ivrogneries de la colère doivent servir à clarifier la vue ; singulier collyre, il faut en convenir !
C’est sa psychologie qui a découvert dans Madame Louise une amazone.
malgré des travaux si variés et auxquels personne plus que nous n’est disposé à rendre justice, peut-être Monselet n’en est-il encore qu’à la période des esprits qui ont assez de sève pour fermenter longtemps et qui cherchent la voie définitive, que la Critique, si elle est sagace, doit les aider à découvrir.
En passant des Grecs aux Romains, nous éprouvons à peu près le même sentiment qu’un voyageur, qui, après avoir parcouru les îles de l’Archipel et le climat voluptueux de l’ancienne Ionie, serait tout à coup transporté au milieu des Alpes ou des Apennins, d’où il découvrirait un horizon vaste et une nature peut-être plus majestueuse et plus grande, mais sous un ciel moins pur, et qui ne porterait point à ses sens cette impression vive et légère qu’il éprouvait sous le ciel et dans la douce température de la Grèce.
Ton œil perçant sait découvrir et rendre inutiles les profondeurs de cet art funeste et caché… Non, désormais je ne craindrai pas les ennemis domestiques plus que les barbares même.
Aujourd’hui, tout à coup, au lieu de constater encore paisiblement la marche lente des saisons, elle venait de découvrir et de comprendre la fuite formidable des instants. […] Quand je me suis à peu près attaché à l’une d’elles, je m’amuse à découvrir et à examiner tout ce qui m’en détache avec une curiosité de chimiste qui s’empoisonne pour expérimenter des venins. […] Comme il est écrit que les amoureux n’inventeront jamais rien, André croit avoir découvert dans la fuite un moyen victorieux. […] je lui tirai sa perruque par derrière et découvris sa tête polie avec une rare prestesse. […] Ce n’est pas seulement le côté physique de la Russie qui nous est découvert, c’est aussi sa signification morale.
Et d’un voile tissu de vapeur et d’orage Couvrant ses cheveux d’or, découvre, en son visage Tout ce qu’une âme sent de cruelles douleurs. […] Il voulait découvrir, par un grand exemple, tout ce que peut l’hérésie, combien elle est naturellement indocile et indépendante, combien fatale à la royauté et à toute autorité légitime. […] Il passe alors au grand Alexandre, et découvre dans son histoire, non sans quelque plaisir secret, des crimes plus qu’ordinaires mêlés à une superstition sans mesure. […] Après avoir découvert des chemins tout nouveaux, il s’était empressé de les barrer. […] C’est en effet une chose assez curieuse, mais assez fréquente aussi, que, dans l’histoire des idées, comme ailleurs, comme un peu partout, ce soient les Colomb qui découvrent les Amériques, et les Vespuce dont elles prennent le nom.
Prenez même Armand Silvestre : vous découvrirez, dans ses grands vers mélodieux, monotones et tout blancs, un panthéisme bouddhique et le désir et la terreur du par-delà. […] Il arrive pourtant qu’en sachant regarder, on découvre la personnalité de l’auteur, quelque chose qui est à lui et vient de lui. […] Cherbuliez et bien d’autres ne peuvent se consoler de la mort des beaux dieux de Grèce ; Heine découvre l’île où ils sont relégués ; M. […] On en doit découvrir la raison dans quelque essentielle différence de tempérament entre les deux sexes ; mais laquelle ? […] Mais je n’en découvre point, justement parce que M. de Maupassant emprunte ses sujets et les détails de ses récits à la réalité proche et vivante.
L’Orestie est un plus riche trésor que le fameux « trésor des Atrides. » Il n’est besoin d’aucune complaisance pour y découvrir tout ce qu’on veut. […] Il faut que le champi et la meunière aient l’air de découvrir, graduellement, une chose très ancienne déjà et où ils n’ont été pour rien. […] Si l’on osait s’interroger, quels abîmes on découvrirait entre ce qu’on fait et ce qu’on professe, entre ce qu’on professe et ce qu’on croit ! […] Cette espèce de roman qu’ils croyaient découvrir aux origines du christianisme les ravissait, les rendait pleins d’indulgence pour la religion de leurs mères. […] On découvre de temps en temps qu’elle a produit d’ineffables sottises, l’ancienne poétique, celle de la pièce « bien faite » et de l’optimisme !
Médor le découvre et se charge courageusement de ce fardeau : un escadron s’approche : la frayeur sépare les deux amis. […] » Et alors il découvre noblement la véritable cause des maux qu’on lui fit subir, cause perpétuelle de ceux qu’endureront toujours les poètes qui sauront garder le courageux caractère qu’il signale, en ajoutant ces octaves qu’il adresse aux déités du Tage. […] C’est là qu’il est nécessaire de chercher ses variétés, et non dans les innovations de l’arrangement des vers ; c’est là le mystère profond de la poésie auquel peu de versificateurs sont initiés, et que les plus doctes ne découvrent que très tard, après de fréquentes épreuves et de longues méditations. […] Ceux qui l’écoutent ne peuvent apercevoir ces objets de l’enceinte où se tient le conseil, ainsi qu’il les découvrit du lieu où il était en sentinelle. […] Les produits même de ces découvertes se perdent dans le cours des irruptions de la barbarie ; et le génie des générations suivantes, en renouvelant les mêmes recherches, ne fait souvent que retrouver ce qu’il semble découvrir.
La force des armes soutint l’arrivée de ces nautiques explorateurs des contrées qu’ils découvrirent : mais leurs seules découvertes, source de richesses entre les nations, furent l’objet principal de l’épopée et non les guerres qui en devinrent la triste suite. […] Nous verrons dans la suite en quoi consiste la condition du sublime ; continuons d’approfondir l’essence du merveilleux, auquel nous avons découvert trois sources originelles. […] La poésie les leur a fait saisir en rassemblant les principes des choses qu’elle a transformées en divinités apparentes sous autant de traits et d’attributs qu’elle leur a découvert de propriétés. […] Les inconséquences que les modernes ont cru découvrir dans les fables mythologiques, disparaîtraient sans doute à leurs yeux, s’ils en pouvaient pénétrer les mystères altérés par les traditions, et cachés dans la profondeur des temps. […] Que le désert perdit son aspect formidable devant les Hébreux, sitôt qu’ils ne craignirent plus d’y être consumés par la soif, et qu’ils se furent abreuvés des eaux de la source que leur guide sut leur découvrir.
La présence de Petrus Borel produisait une impression indéfinissable dont nous finîmes par découvrir la cause. […] Mais il n’y avait pas alors le moindre nuage noir dans ce ciel d’aurore, il était impossible d’y découvrir les germes des désastres futurs. […] Il semblait qu’on eût découvert la poésie, et c’était, en effet, la vérité. […] Delacroix qui, pittoresquement, découvrit l’Afrique. […] Cabat avait découvert la nature sans aller bien loin.
Vous commencez à découvrir l’étendue de la critique naturelle ou physiologique. […] Je pariai pour elle, elle pour moi, et cela devint une affaire entre nous de découvrir à qui appartenait cette conquête. […] Je découvris pourtant, sur de légers indices, quelque diminution de ses sentiments. […] Souvent, dans l’œuvre de l’écrivain, de l’artiste ou du philosophe, on découvre la profession, non de lui-même, mais de son père ou de sa mère, — quelquefois de l’un et de l’autre en même temps. […] Peu à peu « le sein de Marie se découvre, et, d’impératrice céleste, elle devient la jeune mère allaitant son nouveau-né.
J’entends, par là que la solution en existe alors aussitôt, bien qu’elle puisse rester cachée et, pour ainsi dire, couverte : il ne reste plus qu’à la découvrir. Mais poser le problème n’est pas simplement découvrir, c’est inventer. […] Nous découvrons alors l’illusion de celui qui croit faire plus en les posant qu’en ne les posant pas. […] L’art nous fait sans doute découvrir dans les choses plus de qualités et plus de nuances que nous n’en apercevons naturellement. […] Il arrive que des hommes supérieurs se découvrent de mieux en mieux eux-mêmes à mesure qu’ils pénètrent plus avant dans l’intimité d’un maître préféré.
Si Raimond Martin, l’auteur du Pugio fidei, n’eût pas découvert, sans doute, la « théorie du péché originel », le savant éditeur veut-il dire que Pascal n’en eût pas ouï parler ? […] « Il y avait à Smyrne une très belle fille qu’on appelait Émire, et qui était moins connue dans toute la ville par sa beauté que par la sévérité de ses mœurs… » Mais je crois y découvrir quelque chose de plus. […] L’un et l’autre critique d’ailleurs, animé à la recherche par son succès même, nous a rendu le service d’augmenter cette première liste de tout ce qu’il a pu découvrir dans la littérature espagnole dont Le Sage aurait fait son profit. […] Au lieu de croire que tout ait été dit, découvrir tous les jours la banalité même, qui sait si ce n’est pas, à défaut de génie, le plus sûr moyen de la renouveler ? […] Richardson, lui, sentit d’abord ce que cette même forme procurait de facilités particulières à la prédication morale, et l’artiste qui était en lui, survenant à son tour, en découvrit à l’épreuve la merveilleuse richesse.
J’ai fait, pour m’en assurer, l’expérience suivante : On plonge dans de l’eau tiède une patte de grenouille engourdie, dont le cœur a été mis à découvert. […] Berthelot l’y a découvert. […] Brown découvre le noyau de la cellule. […] Le Protogenes primorclialis, découvert en 1864 par Hæckel, le Bathybius Hæckelii découvert en 1868 par Huxley, sont des gymnocytodes. […] Il y a à peu près trente ans que je fus conduit à découvrir la fonction glycogénique dans les animaux.
Mais il n’y en a pas, ils changent tous, changeront de plus en plus… — Mais, proteste Maeterlinck : l’amour, la jalousie, la colère… — Pardon, répondit Duc-Quercy, on a découvert, il n’y a pas si longtemps, une peuplade de Touaregs où la femme était chef de famille, où elle choisissait elle-même ses époux, en nombre illimité… Eh bien ! […] Les néophodes Cantaloups de la Sorbonne déclarent, à l’exemple d’Aristote, le ciel inaltérable, heureusement surviennent des Galilée pour, de temps en temps, découvrir des constellations nouvelles : chandeliers de Renaissances. […] On s’embarque, mais on ne sait pas trop pour où… Va-t-on découvrir l’Amérique ou Port-Tarascon ? […] j’ai une crainte : comment le lecteur, vous, moi, n’importe qui, s’y prendra-t-il pour découvrir le rythme de cette strophe, « plutôt psychique que syllabique », et comment en sera-t-il touché ? […] et qu’il est impossible de trouver dans les modernes une liberté poétique dont on ne puisse découvrir l’équivalent chez les classiques !
Peut-être l’imagination seule opére-t-elle ce prestige, l’imagination qui sait tout embellir, la douleur qu’elle adoucit, comme le plaisir qu’elle relève…. » Doué de la sorte et sentant comme il sentait, il était impossible qu’il contînt sa chanson aux simples sujets d’amour ou de table et à la camaraderie de collége ; les intérêts de gloire, de patrie, les événements publics, devaient y retentir aussi, et, en un mot, lui qui chantait depuis 1812, devait naturellement, inévitablement, entrevoir et pressentir dans ses refrains les mêmes horizons que découvrait vers le même temps Béranger. […] De quelque nouveau monde qu’il s’agisse, petit ou grand, quand le Christophe Colomb le découvre, bien d’autres étaient déjà en voie de le chercher. […] On se remet à l’écouter, à lui découvrir des grâces nouvelles, quand on est las du convenu ou du trop connu.
Il a simplement voulu dire que la connaissance des contraires est une, ou, pour employer les termes mêmes dont il se sert ailleurs et les comparaisons qui lui sont familières, qu’on ne peut connaître les choses opposées que l’une par l’autre, et qu’en conséquence, il est impossible d’approfondir la nature de la santé sans savoir ce que c’est que la maladie, du contentement sans savoir ce que c’est que la tristesse, du sérieux sans savoir ce que c’est que la gaieté ; de même il est impossible de pénétrer un peu profondément dans l’essence de la tragédie, sans découvrir du même coup l’idée de la comédie, qui est son contraire. […] Il se tranquillise ensuite pendant quatre actes, on n’entend plus parler de ses inquiétudes, et le spectateur tombe des nues quand le valet apporte tout à coup la cassette volée, parce qu’on ne lui a jamais expliqué comment un trésor aussi soigneusement caché a pu être découvert. […] Toutefois, bien d’autres en avaient fait autant avant lui, et je ne vois pas ce qui, dans ce genre, devrait l’ériger en créateur unique et entièrement original… Nous allons examiner brièvement si Molière a vraiment réussi à perfectionner les pièces qu’il a imitées, en tout ou en partie, de Plaute et de Térence… Plusieurs des sujets de Molière ont tout l’air d’être empruntés d’ailleurs, et je suis convaincu qu’il serait possible d’en découvrir la source si l’on parcourait les antiquités littéraires de la farce ; c’est ce qu’atteste formellement le savant Tiraboschi : Molière, dit-il, a tellement tiré parti des comiques italiens, que si on lui reprenait tout ce qu’il en a emprunté, les volumes de ses Œuvres ne seraient pas en si grand nombre… Notre Hans Sachs avait mis en œuvre avec assez de gaieté l’idée de la scène du Malade Imaginaire, où l’on met l’amour de la femme à l’épreuve en supposant la mort du mari… Dans les farces mêmes que Molière a véritablement inventées, il ne laisse pas de s’approprier des formes comiques imaginées chez les étrangers, etc.
« Autant qu’un homme assis sur un roc élevé découvre d’espace dans l’horizon quand il regarde la mer azurée, autant les coursiers divins en franchissent d’un bond ! […] « Ainsi, lorsque, dans le firmament, à la lueur de la lune argentée, les radieuses étoiles scintillent, lorsque les vents se taisent dans les airs et que la transparence de la nuit laisse découvrir au loin les collines, les vallées, les hautes cimes des montagnes, le vaste espace des cieux qui s’étend devant nous laisse apercevoir tous les astres, et le cœur du berger est plein de joie… Ainsi brillent çà et là les feux que les Troyens ont allumés devant Ilion et le Xanthe aux flots rapides. […] Une peinture trouvée tout récemment à Vulci, sur les parois de l’un des tombeaux découverts lors des fouilles entreprises par MM.
Après avoir récité l’offertoire, le prêtre découvrit le calice. […] Art. 22 Si le prêtre passe devant le grand autel, il fait une inclination profonde, la tête couverte ; s’il passe devant le lieu où repose le très Saint Sacrement, il fait une génuflexion, toujours sans se découvrir… Art. 32 Si le Saint Sacrement est dans le tabernacle, il fait la génuflexion sur le pavé. […] 58 L’ayant achevé (l’offertoire), il découvre le calice des deux mains, plie le voile et le place du côté de l’épître, près du corporal…, puis, mettant la main gauche sur l’autel, hors du corporal, il prend dans la droite le calice et la place du côté de l’épître ; alors il enlève la pale de la main droite.
Je ne sais dans quel livre, illustré de Tony Johannot, un être fantastique, juché derrière un monsieur tranquillement assis, et sans qu’il s’en doute, le moins du monde, lui retire du haut du crâne mis à découvert, des cuillerées de cervelle. […] Et il affirme que le sujet de le Horla lui a été donné par Porto-Riche, qui est tout à fait inquiet, quand on découvre en sa présence, dans cette nouvelle, le commencement de la folie du romancier, et ne peut s’empêcher de s’écrier : « Si cette nouvelle est d’un fou, c’est moi qui suis le fou ! […] Aujourd’hui, il me reste comme un souvenir de rêve de cette visite : le Flammarion avec sa tête de saint Jean-Baptiste, qu’offre dans un plat d’argent, la peinture italienne à Hérodiade, le monsieur qui a découvert la dernière planète, à la chevelure qui pourrait servir d’enseigne à la pommade du Lion, un jeune homme bancroche, qui nous est présenté par Flammarion, comme l’humain de toute la terre ayant la vue la plus longue.
De pareils moyens de transport, et tant d’autres qu’il nous reste sans doute à découvrir, ayant agi continuellement et d’année en année, pendant des dizaines et des centaines de mille ans, il serait miraculeux que beaucoup de plantes ne se fussent pas trouvées ainsi transportées et répandues. […] Et à mesure que la neige disparaîtra du pied des montagnes, les formes arctiques se saisiront du sol découvert et dégelé, toujours s’élevant de plus en plus haut, tandis que leurs semblables continueront leur voyage vers le pôle. […] Millier a découvert des espèces européennes ; d’autres espèces, qui n’ont point non plus été introduites par l’homme, se rencontrent dans les basses terres ; et, d’après ce que j’ai appris du docteur Hooker, on pourrait dresser une longue liste de genres européens trouvés en Australie, mais qui ne se rencontrent nulle part dans les régions torrides intermédiaires.
D’ordinaire, pour remonter le cours de notre passé et découvrir l’image-souvenir connue, localisée, personnelle, qui se rapporterait au présent, un effort est nécessaire, par lequel nous nous dégageons de l’action où notre perception nous incline : celle-ci nous pousserait vers l’avenir ; il faut que nous reculions dans le passé. […] À supposer, en effet, que les mouvements concomitants de l’attention volontaire fussent surtout des mouvements d’arrêt, il resterait à expliquer le travail de l’esprit qui y correspond, c’est-à-dire la mystérieuse opération par laquelle le même organe, percevant dans le même entourage le même objet, y découvre un nombre croissant de choses. […] On a dit que l’attention était une faculté d’analyse, et l’on a eu raison ; mais on n’a pas assez expliqué comment une analyse de ce genre est possible, ni par quel processus nous arrivons à découvrir dans une perception ce qui ne s’y manifestait pas d’abord.