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370. (1759) Réflexions sur l’élocution oratoire, et sur le style en général

En effet, combien de traits vraiment éloquents qui n’ont pour but que d’émouvoir, et nullement de convaincre ? […] Les règles ne sont destinées qu’à être le frein du génie qui s’égare, et non le flambeau du génie qui prend l’essor ; leur unique usage est d’empêcher que les traits vraiment éloquents ne soient défigurés par d’autres, ouvrages de la négligence ou du mauvais goût. […] Aussi les traits vraiment éloquents sont ceux qui se traduisent avec le moins de peine, parce que la grandeur de l’idée subsiste : toujours sous quelque forme qu’on la présente, et qu’il n’est point de langue qui se refuse à l’expression naturelle et simple d’un sentiment sublime.

371. (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Première partie — Chapitre II. Réalité des idées égalitaires »

Si la comparaison des philosophies, qu’elles ont vu naître nous laisse encore incertains, comparons donc leurs institutions mêmes, et les réformes qu’elles leur font subir, — leurs tendances vraiment dominantes ne sauraient de cette façon nous échapper. […] Et enfin, dans des sociétés comme les nôtres, où les règles essentielles de l’activité, générale, ne manquent plus d’être dûment formulées, où la puissance de l’État se met immédiatement au service des habitudes collectives vraiment indispensables au bien de l’ensemble, la portion de la vie sociale que les lois abandonnent en quelque sorte aux mœurs proprement dites perd chaque jour de son importance. […] Et là elle s’est montrée à deux reprises, séparées d’ailleurs par une longue éclipse : nous l’apercevons une première fois, comme s’éveillant à peine, dans le monde gréco-romain, — une seconde fois, plus vivante et vraiment agissante, dans le monde moderne occidental.

372. (1890) Le massacre des amazones pp. 2-265

Les odes de Madeleine Lépine sont de pénibles et vraiment trop longues nouvelles à la main. […] Me Jean Rolland est fécond en ces petits mots de snob imbécile ou d’avocat qui nous croit vraiment trop bêtes. […] Et il y a des jours, vraiment, où elle parvient à être aussi bête que lui. […] C’est estimable et insupportable de sens commun, vraiment trop commun. […] Il en est ainsi presque toutes les fois qu’elle n’a vraiment rien à dire.

373. (1904) Le collier des jours. Souvenirs de ma vie

Vraiment, le petit monstre, du jour initial, tenait bien ses promesses ! […] On ne pouvait vraiment pas nous condamner à mourir toutes les deux ; il fallut bien céder. […] Non, ça ne marchait pas ; mais la cascade était si luisante, qu’elle avait vraiment l’air de couler. […] Après des intervalles de silence, les cris reprenaient, vraiment terribles. […] On eût dit vraiment les hurlements d’un malheureux brûlé vif.

374. (1925) Promenades philosophiques. Troisième série

Bastian, que la nature vraiment manque d’imagination. […] La religion n’est-elle vraiment qu’un ensemble de scrupules, c’est-à-dire de tabous ? […] Je n’exposerai pas son utopie, elle est vraiment trop chimérique et très incoordonnée. […] Qui sait voir et qui sait vraiment jouir de sa vue ? […] Il faut à l’immense majorité des croyants un au-delà vraiment mystérieux, inaccessible et insondable.

375. (1913) Les livres du Temps. Première série pp. -406

Nous n’avons aucune chance d’en approcher vraiment : mais le moindre rayon de cette lumière céleste éclaire les esprits et réchauffe les cœurs. […] Il a vraiment le génie de l’outrage. […] Quelle fureur contre telle maîtrise vraiment infâme ! […] Mais comme ceci est un sujet désagréable, je couperai court et n’en dirai pas plus. » François de Gonzague avait vraiment de la chance. […] Un homme vraiment supérieur et bien organisé sait concilier la vie intellectuelle et la vie affective, en donnant à chacune sa place normale.

376. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Première partie. Préparation générale — Chapitre premier. De la stérilité d’esprit et de ses causes »

C’est là vraiment l’état de paralysie volontaire où l’on se met par le désir de laisser parler en soi la nature, et, loin de s’inquiéter de produire si peu, il faudrait plutôt s’émerveiller de produire encore quelque chose.

377. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Guérin, Maurice de (1810-1839) »

Il se livre vraiment aux dieux qu’il ne connaît pas et qui sont les dieux de son cœur ; le Dieu qu’il connaît n’est que le dieu de sa raison.

378. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Rebell, Hugues (1867-1905) »

Les Chants de la Pluie et du Soleil, visiblement inspirés de Whitman quant à leur sentiment de modernité lyrique, renferment des proses vraiment belles, d’une élévation et d’une énergie saine, d’un éclat d’images qui intéresseront les artistes.

379. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 241-244

Jusqu’à ce qu’il s’éleve parmi nous un Génie vraiment comique, qui guérisse Thalie de ses vapeurs, & lui rende sa premiere gaieté.

380. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 465-468

Il soumettra de même à l’examen de sa critique vraiment profonde & lumineuse, les premiers temps historiques de l’Empire Romain, qu’il regarde avec raison comme altérés par quantité de Fables que les Historiens ont copiées les uns après les autres.

381. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 58-61

Nous ne nous permettrons aucune reflexion sur ce dernier passage vraiment philosophique.

382. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Réponse à une lettre de M. Grimm » pp. 205-206

J’en dis autant du maréchal, du cabaret, de la botte rajustée, ce sont tous morceaux vraiment précieux, l’effet en est si piquant, la couleur si vraie, la touche si vigoureuse, si spirituelle, l’harmonie totale si séduisante, qu’ils peuvent aller de pair avec les Wouwermans, dont on voit avec plaisir que le goût n’est pas perdu.

383. (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Contes — IX. Chassez le naturel… »

« Il est extraordinaire vraiment, fit observer le lièvre au singe, que tu ne puisses laisser passer une minute sans te gratter ! 

384. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « M. Deschanel et le romantisme de Racine »

Deschanel ne retînt de son cours que la partie neuve et vraiment personnelle. […] On dirait vraiment que quelques-uns en veulent encore à Racine d’avoir fait Esther et Athalie et d’avoir été dévot dans ses dernières années au point d’aller tous les jours à la messe. […] Le problème posé devant Racine était donc celui-ci : d’une part, chercher à faire les pièces les plus agréables au public contemporain ; d’autre part, ne traiter que des sujets anciens ou étrangers… Puisque la voie n’était vraiment ouverte et libre que du côté de l’antiquité, la difficulté était de rendre cette antiquité intelligible et acceptable à la société du temps de Louis XIV et à la cour, qui donnait le ton. […] On connaît la mystique invocation d’Hippolyte à Artémis, ce chant vraiment pieux et dont le ton rappelle celui des cantiques à la sainte Vierge : « … Ô ma souveraine, je t’offre cette couronne cueillie et tressée de mes mains dans une fraîche prairie, que jamais le pâtre et ses troupeaux ni le tranchant de fer n’ont osé toucher, où l’abeille seule au printemps voltige, et que la Pudeur arrose de ses eaux limpides, etc. » Cette image (la Pudeur et ses eaux limpides), M. 

385. (1896) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Sixième série « De l’influence récente des littératures du nord »

Oui, on le dirait, ces âmes polaires parlent vraiment à nos âmes ; elles y entrent très avant, elles les remuent, par moments, jusqu’au tréfonds. […] — Les Idées de Madame Aubray et Denise, ces deux pièces d’esprit vraiment évangélique, nous veulent persuader que, dans de certaines conditions, un honnête homme peut et doit, en dépit de prétendues convenances, épouser une fille séduite, et séduite par un autre que lui  Dans la Femme de Claude, un homme, après avoir prié Dieu, se met avec sérénité au-dessus des codes humains, et substitue son tonnerre à celui de Dieu même, dans la lutte engagée par la conscience contre les deux grandes puissances mauvaises qui perdent le monde moderne : la luxure et l’argent, ou, plus expressément, la spéculation financière  L’Ami des femmes, la Princesse Georges, l’Étrangère, Francillon reposent sur la même conception du mariage que la Dame de la mer ou Maison de poupée  Et si vous voulez des orgueilleuses, des insurgées démoniaques, Mme de Terremonde, et mistress Clarkson, et Césarine ne le cèdent point, ce me semble, à Hedda Gabler  Bref, le théâtre de Dumas, comme celui d’Ibsen, est plein de consciences ou qui cherchent une règle, ou qui, ayant trouvé la règle intérieure, l’opposent à la règle écrite, ou enfin qui secouent toutes les règles, écrites ou non. […] D’autre part, quand ils sont excellents et quand ils m’émeuvent, ils m’émeuvent vraiment tout entier, car alors je suis bien sûr que c’est uniquement par la force de leur pensée, la justesse de leurs peintures et la sincérité de leur émotion qu’ils agissent sur moi. […] Les détails superflus et vraiment insignifiants pullulent.

386. (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « Mme Desbordes-Valmore » pp. 01-46

Non, vraiment, rien ne s’oppose, que je sache, à ce que ce gentilhomme lettré ait été le Marcellus de Marceline. […] C’est vraiment ici, et seulement ici, qu’une pauvre madone, surmontant un rocher, arrête trente mille lions qui ont faim, froid, et haine dans le cœur… et ils chantent comme des enfants soumis. […] Il y apparaît vraiment bon, d’une bonté active et effective. […] Nous devenons de véritables Angevins : molles, comme dit César (ou un autre). » Cela est vraiment joli ; et j’y reconnais la trace des leçons latines de Sainte-Beuve.

387. (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre V : Règles relatives à l’explication des faits sociaux »

Chapitre V : Règles relatives à l’explication des faits sociaux Mais la constitution des espèces est avant tout un moyen de grouper les faits pour en faciliter l’interprétation ; la morphologie sociale est un acheminement à la partie vraiment explicative de la science. […] Car, à moins de postuler une harmonie préétablie vraiment providentielle, on ne saurait admettre que, dès l’origine, l’homme portât en lui à l’état virtuel, mais toutes prêtes à s’éveiller à l’appel des circonstances, toutes les tendances dont l’opportunité devait se faire sentir dans la suite de l’évolution. […] D’autre part, comme toutes les sociétés sont nées d’autres sociétés sans solution de continuité, on peut être assuré que, dans tout le cours de l’évolution sociale, il n’y a pas eu un moment où les individus aient eu vraiment à délibérer pour savoir s’ils entreraient ou non dans la vie collective, et dans celle-ci plutôt que dans celle-là. […] Enfin, si vraiment l’évolution sociale avait son origine dans la constitution psychologique de l’homme, on ne voit pas comment elle aurait pu se produire.

388. (1913) La Fontaine « VIII. Ses fables — conclusions. »

C’est… mais vraiment c’est un sermon sur la providence. […] Tout cela, je n’ai pas besoin vraiment d’insister, c’est une merveille d’exposition dialectique, et avec cette souplesse, cette aisance absolument admirables que vous avez suffisamment appréciées pendant cette lecture. […] » Je vous dirai que je n’en sais rien ; que, peut-être, la fable avant La Fontaine, c’est-à-dire telle que Boileau en pouvait parler, puisqu’il ne parlait pas d’actualité, n’était rien du tout ou si peu de chose qu’en réalité elle ne valait guère la peine d’être nommée, pas plus, à la vérité, que le triolet, le rondeau, et il n’a sans doute pas considéré la fable comme vraiment un genre poétique, ni par son importance puisque, jusqu’à La Fontaine exclusivement, elle n’en avait pas, ni par sa forme ; et s’il a parlé du rondeau et du triolet, et du sonnet, c’est que ce sont des formes de versification, des formes, au point de vue de la versification, tout à fait intéressantes, tout à fait curieuses qu’il ne faut pas, au moins, avoir l’air d’ignorer. […] On dirait, vraiment, que tout, dans la littérature poétique, doit être écrit dans le style de la Henriade.

389. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Leconte de Lisle, Charles-Marie (1818-1894) »

Leconte de Lisle a le malheur de n’être pas chrétien, il aurait pu, du moins, s’abstenir d’un titre (Dies iræ) qui rappelle à toutes les mémoires la plus sublime, la plus terrible de nos prières funèbres ; il aurait pu se souvenir que la poésie a mieux à faire qu’à enlever à la vie la croyance et l’espérance de la mort : ceci soit dit sans rien ôter au mérite de cette pièce où se traduit, d’une façon vraiment saisissante, non plus le désabusement humain dont parlait M.  […] Ses premiers poèmes, publiés à Rennes (où il étudiait le droit) aux environs de l’année 1840, dans une revue littéraire aujourd’hui introuvable, s’intitulaient, exotiquement, Issa ben Marianna, et étaient dédiés à Lamennais… Le recueil publié par lui en 1853 et intitulé : Poèmes et poésies, contient un chant très beau et vraiment chrétien : La Passion.

390. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre VII. Maurice Barrès et Paul Adam » pp. 72-89

Oui, il y a de notre faute, car j’y regarde de près, et vraiment, c’est plus « fort » que jamais comme construction et comme style. […] Le baron abusa vraiment de ses avantages.

391. (1899) L’esthétique considérée comme science sacrée (La Revue naturiste) pp. 1-15

Est-il possible de dire vraiment que les panégyriques d’Orphée, les stances dialogiques de Virgile, les sonores sonnets de Pétrarque, les drames éloquents de Shakespeare, les lyriques discours de Hugo, ou les élégies séraphiques de Lamartine ne révèlent pas les mêmes vertus, la même vie secrète et sacrée, la même mélancolie intime, la même foi profonde et sévère que les cris de l’âcre Ézéchiel ou que la soumission de Job, que les contes du bon Saint Mathieu ou que les sentences de David, que toutes les pages des Évangiles ou de la Bible ? […] Ce que les physiciens observent sous le nom de polarité et d’attraction, les esthéticiens ont à l’étudier sous le nom de destin et de fatalité ; il est impossible de nier la morale, comme il est impossible de nier les sciences pratiques : « Il peut arriver, a écrit quelqu’un, que nous oubliions les lois de la terre, mais celles-ci ne nous perdent jamais vraiment de vue.

392. (1904) La foi nouvelle du poète et sa doctrine. L’intégralisme (manifeste de la Revue bleue) pp. 83-87

Nous conviendrons donc que le poète, s’il est vraiment poète, a le droit de se faire sa règle à soi-même. […] S’il n’est vraiment l’initiateur et le voyant, tel qu’il le fut aux temps passés, le poète n’a plus rien à dire aux temps modernes.

393. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Beaufort » pp. 308-316

Celui-ci a je ne sais quoi qui vous rappelle la manière simple, non recherchée, isolée et tranquille de composer des anciens, manière où les figures restent comme le moment les a placées, et ne sont vraiment liées que par la circonstance, le fait et la sensation commune. […] Quand on a le courage de faire le sacrifice de ces épisodes intéressans, on est vraiment un grand maître, un homme d’un jugement profond ; on s’attache à la scène générale qui en devient tout autrement énergique, naturelle, grande, imposante et forte.

394. (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre IV : Règles relatives à la constitution des types sociaux »

Dans l’idée d’espèce, en effet, se trouvent réunies et l’unité qu’exige toute recherche vraiment scientifique et la diversité qui est donnée dans les faits, puisque l’espèce se retrouve la même chez tous les individus qui en font partie et que, d’autre part, les espèces diffèrent entre elles. […] Elle ne sera vraiment utile que si elle nous permet de classer d’autres caractères que ceux qui lui servent de base, que si elle nous procure des cadres pour les faits à venir.

395. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « IX »

Son génie consiste à avoir compris l’importance du fait… C’est en ce sens qu’il a été vraiment chef d’école… initiateur d’une analyse qui a renouvelé le roman français… Il a influencé tous les grands écrivains de son époque, Taine, Mérimée, Balzac, Flaubert, Bourget, Chuquet, Erekmann-Chatrian… Il a créé Tolstoï… Taine a appelé Stendhal le plus grand psychologue du siècle. […] C’est pour cela qu’il est vraiment écrivain. » (NdA)

396. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Vie de la Révérende Mère Térèse de St-Augustin, Madame Louise de France »

Quant à Jules Soury, qui a vraiment un nom providentiel pour un rat de bibliothèque, — et l’on m’a dit qu’il en était un, — je ne l’aurais pas encore aperçu dans la poussière des endroits où il gîte, si la Revue des Deux Mondes ne lui avait pas jeté sa vieille serpillière saumon sur le dos. […] Quand Marie-Antoinette a dit cela, on ne peut vraiment pas se fâcher beaucoup des propos de Soury, Buloz et Bonhomme !

397. (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Le Comte de Gobineau »

Vraiment, il faut avoir beaucoup d’esprit pour écrire ces choses-là, surtout quand on est diplomate et qu’on ne les écrit pas en caractères cunéiformes ! […] — se compose de six ou sept étoiles, et vraiment nous n’ayons guères davantage dans le livre qui porte ce nom.

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