/ 2476
475. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LXVII » pp. 264-265

— On vient de recevoir, à la Comédie française, une comédie intitulée La femme de quarante ans, d’un M. d’Onquaire ; on en attend beaucoup, et on se demande si ce n’est pas un auteur comique qui nous vient : Dî omen… advertant !

476. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Borrelli, Raymond de (1837-1906) »

Philippe Gille De chaudes poésies patriotiques, de charmants sonnets, d’autres pièces en vers, voilà ce que contient le volume qu’un vrai poète, le vicomte de Borrelli, vient de publier sous ce titre : Les Dactyles.

477. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — J — Jasmin, Jacques (1798-1864) »

C’est ainsi que ces poèmes mûrissent pendant des années avant de se produire au grand jour, selon le précepte d’Horace, que Jasmin a retrouvé à son usage, et c’est ainsi que ce poète du peuple, écrivant dans un patois populaire et pour des solennités publiques rappelant celles du moyen âge et de la Grèce, se trouve être, en définitive, plus qu’aucun de nos contemporains, de l’école d’Horace que je viens de nommer, de l’école de Théocrite, de celle de Gray et de tous ces charmants génies studieux qui visent dans chaque œuvre à la perfection.

478. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Pottier, Eugène (1816-1887) »

Lucien Descaves Je viens de relire les deux recueils de chansons : Quel est le fou ?

479. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 363-365

Ses Mélanges littéraires, & son Histoire de François I, l’emportent sur ses autres Productions, parce qu’il y a pris plus de soin d’éviter les fautes que nous venons de lui reprocher.

480. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 463-464

Mais ses invectives n’ont pu nuire au succès de ces Lettres, dont on vient de donner une cinquieme Edition, qui n’a pas été moins bien accueillie du Public que les précédentes.

481. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 357-358

Sa plus grande réputation vient de sa Tragédie d'Iphigénie en Tauride, Piece qui eut un grand succès, & restée au Théatre, malgré ses endroits foibles & même vicieux.

482. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) «  Poésies inédites de Mme Desbordes-Valmore  » pp. 405-416

Nicole, c’est-à-dire expliqué et commenté par lui ; le Pater de Mme Valmore, qu’on vient de lire, ne saurait tout à fait lui ressembler ; mais du moins c’est de la touchante poésie. […] Quand la belle et brillante Delphine, Mme Émile de Girardin, fut enlevée avant l’heure, Mme Desbordes-Valmore, qui l’avait vue commencer et qui s’attendait si peu à la voir finir, eut un hymne de deuil digne de son noble objet, et dans lequel cependant elle prête un peu, je le crois, de sa mélancolie à l’éblouissante muse disparue ; mais le mouvement est heureux, le ton général est juste et d’une belle largeur : La mort vient de frapper les plus beaux yeux du monde : Nous ne les verrons plus qu’en saluant les cieux.

483. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre XXIV. Conférence sur la conférence » pp. 291-305

Pour les besoins d’un travail étranger, il se trouve que je viens de relire les grands romans de Tolstoï, et Tolstoï, comme Balzac, comme Stendhal vous décourage de tout nouvel essai touchant les mœurs. C’est Voltaire qui, lisant Athalie, s’exclamait : « On a honte de faire des vers quand on en lit de pareils. » Pareillement, et malgré l’autorité de notre aimable Marcel Prévost, qui, tout en continuant avec un dévouement dont on lui sait gré ce qu’il appelle la tradition des gentils conteurs, adresse à sa clientèle spéciale des consultations pour les maladies morales secrètes, et enseigne aux nobles lectrices du Temps, pour moitié protestantes et pour moitié israélites, les principes de la galanterie nationale et honnête, en un style troublant qui fleure le pot-au-feu au patchouli, malgré l’exemple du jeune et courageux écrivain, n’osons-nous plus tenter ces petits divertissements psychologiques pour peu que nous venions de relire ou Stendhal ou Balzac ou Tolstoï.

484. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 45, de la musique proprement dite » pp. 444-463

Un homme qui parle long-temps sur le même ton, endort les autres, et la preuve que leur assoupissement vient de la continuation d’un bruit qui se soûtenoit toûjours à peu près le même, c’est que l’auditeur se réveille en sursaut, si l’orateur cesse tout-à-coup de parler, ou s’il lui arrive de faire quelque exclamation sur un ton beaucoup plus haut que le ton sur lequel il déclamoit auparavant. […] La symphonie de l’opera d’Issé dont je viens de parler sembleroit ridicule, si l’on la mettoit à la place de celle du tombeau d’Amadis.

485. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Hoffmann »

Il nous est impossible d’aller plus loin… À notre sens, Champfleury tire de son travail en l’honneur d’Hoffmann des conclusions entièrement contraires à la vérité de cet homme, qui a été exagéré comme tout ce qui nous est venu de l’Allemagne depuis de longues années, et qui passera, quoiqu’il soit un conteur et un fantastique, tout autant que s’il était un philosophe. […] La Révolution de la fin du siècle, qui précéda la venue de l’auteur des Contes fantastiques, avait, par ses malheurs et ses péripéties, excité jusqu’à la douleur le système nerveux de l’Europe.

486. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « MM. Delondre et Caro. Feuchtersleben et ses critiques. — L’Hygiène de l’âme » pp. 329-343

Mais en France, où nous sommes juges d’idées, si nous ne sommes pas juges d’expression, nous avons véritablement le droit de nous demander, après avoir lu le livre qu’on vient de traduire, quel motif peuvent avoir des critiques français pour se mettre en dépense d’articles et faire une renommée à cette chosette ? […] Ce médecin, de par le spiritualisme, ne tue pas le corps au profit de l’âme, ce que font très bien les ascètes et les grands mortifiés religieux, mais il guérit le corps par la vertu médicinale de l’âme et l’empêche de mourir, — quoiqu’il soit très bien mort, lui, à la fleur de son âge, ou en plein fruit, si vous aimez mieux, et très inconséquemment aux préceptes du catéchisme de santé dont il vient de doter l’Allemagne !

487. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « L’abbé Maynard »

L’abbé Maynard vient de publier sur saint Vincent de Paul un immense travail, qui n’est pas seulement de l’hagiographie, mais de l’histoire, de l’histoire comme il en faut aux esprits de cette génération, qui ne comprend plus rien aux œuvres naïves, et dont on doit plier l’orgueil incrédule et chicanier sous la science, la critique et les faits. […] Je puis bien le dire maintenant à l’abbé Maynard, puisque la supériorité lui est venue : je ne le croyais pas capable du beau livre qu’il vient de nous donner.

488. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « José-Maria de Heredia »

Mais la traduction qu’il s’est infligée est si bien obtenue, elle est si bien réussie, qu’on ne dirait jamais qu’elle nous vient de ce Somptueux ! […] et c’est encore ce souffle de simplicité qui vient de l’Evangile et qu’on trouve aussi dans sa Chronique, — brise de Dieu qui passe, à chaque instant, sur ses récits !

489. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Soulary. Sonnets humouristiques. »

Joséphin Soulary, qui a le riant des teintes, comme on vient de le voir, est bien plus profondément lui-même, quand il est grave, fort et poignant dans sa couleur âprement foncée, ainsi qu’on peut le voir dans ses Métaux, par exemple, ou dans son Hydre aux sept têtes, lesquelles ne sont rien moins que les sept péchés capitaux. […] En vérité, quand on lit quelques-uns des sonnets du recueil qu’il publie aujourd’hui, on se dit que l’Inspiré doit être bien près du Volontaire dans le nouveau poète qui vient de nous naître, et que le souffle sacré, — qu’on a ou qu’on n’a pas, mais qu’aucun travail ne donne quand il manque, — doit reposer en puissance, dans l’homme qui a écrit des vers comme ceux-ci, en attendant l’heure des œuvres vastes : Toi, Moi.

490. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « M. Théodore de Banville »

La sienne vient de l’imagination pure. […] III Je viens, en effet, de les retrouver ici même, ces gambades, appelées un jour : Odes funambulesques ; je viens de les retrouver dans cette édition définitive, et malgré la préface très spirituelle dans laquelle l’auteur traduit à sa manière et à son profit les critiques qu’on en a faites autrefois, j’en pense, pour ma part, identiquement ce que j’en pensais à, l’époque où Malassis, séduit — comme dit M. de Banville — par le paroxisme de la chose, les publia dans une édition bigarrée comme la jaquette d’un saltimbanque et digne de ces arabesques de Rythme et de Rime d’un lyrisme si enivré qu’il en semblait fou6.

491. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Laurent Pichat »

Il l’a roulée dans ce haillon… Fanatique de démocratie, fanatique d’orgueil de lui-même, sous prétexte de respect et d’admiration pour la grandeur des facultés humaines que tous les philosophes prennent pour la grandeur de leur personne, Laurent Pichat n’a pas craint de mettre la poésie de son âme dans ce qui aurait dû la tuer, et il a osé dire à l’Imagination que le temps est venu de se taire devant la raison triomphante ! […] Dans ce livre-là, car ses autres livres me sont inconnus, il est bien, nonobstant, de la race des derniers venus de ce temps ; il doit être compté parmi ceux-là qui ont succédé à ce religieux et incomparable Lamartine, que, dans leur impiété, ils n’ont jamais égalé en génie.

492. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Alfred de Vigny »

Eh bien, je dis que voilà un Alfred de Vigny nouveau, un Alfred de Vigny qui vient de naître, au bout de vingt ans de solitude et de silence, lequel, génie tendre, s’est élaboré douloureusement en génie stoïque contre l’incompréhensible et exécrable fatalité ! […] — je les retrouve à toute place dans ce recueil de poésies, et avec un accent plus mâle et plus grandiose encore que celui des vers que je viens de citer : Ce Sisyphe éternel est beau, seul, tout meurtri, Brûlé, précipité, sans jeter un seul cri, Et n’avouant jamais qu’il saigne et qu’il succombe À toujours ramasser son rocher qui retombe.

493. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Jules Sandeau » pp. 77-90

Jules Sandeau est un esprit doux, et il vient de prouver une fois de plus que c’est aux doux qu’appartient l’empire de la terre. […] Sèche d’ailleurs, creuse comme une écorce de sureau vidée par le couteau d’un enfant, cette femme, qui devrait, pour être grande, avoir un cœur qu’elle tiendrait sous elle et qu’elle sacrifierait à la gloire et à la pensée des aïeux, n’est que la dernière venue de tous les livres modernes, qui nous ont donné mieux que ce carton-pâte, depuis Flora Mac Ivor, cousant le suaire de son frère, dans Walter Scott, jusqu’à la Mathilde de la Môle, du roman de Beyle, et la Laurence de Cinq-Cygne, de Balzac.

494. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 mars 1886. »

II — Novembre-décembre Le 4 novembre, le Journal des débats, le premier, publia la note suivante :   Il paraît qu’il vient de se fonder un comité dont le but est de protester publiquement contre la représentation du Lohengrin à Paris lors des représentations de cette œuvre à l’Opéra-Comique ; ledit comité aurait, dit-on, recueilli actuellement près ce 10 000 francs pour soutenir cette lutte anti-artistique. […] Alors, mon cher Carvalho, vous avez jugé que le moment était venu de représenter Lohengrin, œuvre dramatique, sur un théâtre, et, pour ne froisser aucun intérêt français, vous avez décidé de le jouer en matinée ; mes confrères de la presse vous ont soutenu vaillamment dans ce projet artistique et bien digne d’un artiste comme vous. […] Paul Déroulèdei car il sursit derrière lui les cent vingt mille électeurs qui viennent de lui donner leurs voix ce dernier dimanche. […] — Une indiscrétion venue de l’imprimerie où a été faite la brochure, nous a renseignés : l’auteur serait Mme Adam. […] Joncières vient de faire représenter son dernier opéra à Cologne ; c’est la première fois qu’un de ses ouvrages passe le Rhin, si j’ai bonne mémoire.

495. (1896) Les origines du romantisme : étude critique sur la période révolutionnaire pp. 577-607

Le théâtre de la Cité Variété avait donné en floréal an III : L’Intérieur des comités révolutionnaires, ou les Aristides modernes, on y traînait dans la boue les Jacobins vaincus ; en frimaire an VI, le Pont de Lodi, qui reproduisait les péripéties de la bataille qu’Augereau venait de remporter ; en germinal de la même année les Français à Cythère, qui apprenait aux Parisiens que le traité de Campo-Formio venait d’annexer à la République cette île mythologique. […] Un membre de la tribu de Lévi, poursuivi par un monstre personnifiant Carrier, que l’on venait de guillotiner, lui livre sa femme, il la fait violer par une troupe de brigands ; le mari la tue, la dépèce en douze quartiers qu’il distribue aux douze tribus pour les exciter à la vengeance. […] Mais la révolution avait renouvelé la langue parlée à la tribune et écrite dans le journal et les romans ; des mots, des tournures, des formes de phrases, des images, des comparaisons, venus de toutes les provinces et de toutes les couches sociales, avaient envahi la langue châtiée, polie, légère et élégante des salons aristocratiques, la langue de Montesquieu et de Voltaire, et l’avaient révolutionnée. […] L’actualité est une des caractéristiques de Chateaubriand et une des causes de son immense succès : — trois exemples pris entre mille : — Le Père Aubry, du roman d’Atala, possède un chien qui, comme ceux des Alpes « savait découvrir les voyageurs égarés » ; il devait lui être de peu d’utilité dans les forêts vierges de l’Amérique ; mais Bonaparte, à la tête de 30 000 hommes, venait de franchir les Alpes, et l’on s’entretenait des religieux du mont Saint-Bernard et de la sagacité merveilleuse de leurs chiens qui, assurait-on, avaient sauvé bien des soldats perdus dans les neiges. — René dithyrambise sur les cloches : « Oh ! […] Miss Atala est toute imprégnée de la morgue britannique, elle méprise les Indiens avec qui le sort la condamne à vivre et, jusqu’à la venue de Chactas, elle n’éprouve aucune difficulté à ne pas laisser entamer ce que M. 

496. (1870) La science et la conscience « Chapitre I : La physiologie »

Or nos passions et nos désirs viennent de nos instincts, mus par nos organes. […] III Si l’on veut soumettre à la critique la doctrine dont nous venons de parler, il y faut distinguer deux choses bien différentes, les expériences et les conclusions. […] Si de toutes ses observations et de toutes ses expériences l’école des physiologistes dont on vient de parler concluait rigoureusement, soit à la correspondance, soit même à la corrélation des deux ordres de forces psychiques et organiques, il n’y aurait pas lieu à contestation. […] Cette thèse est déjà bien assez hardie pour qu’on n’aille point en prêter une autre tout à fait impossible à l’école physiologique dont nous venons de résumer la doctrine. […] Cela vient de ce qu’on ne regarde qu’au résultat de l’activité volontaire sans atteindre l’acte lui-même.

497. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Réja, Marcel (1873-1957) »

Les Ballets et variations qu’il vient de publier, confirmeront et accentueront encore cette opinion.

498. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 362-363

Cette Traduction, à laquelle il a, dit-on, la principale part, lui a attiré les anathêmes du Patriarche que les Lettres & la Philosophie viennent de perdre : M. de Voltaire, offensé de ce qu’on n’a pas parlé de ses Tragédies dans le Discours qui précede celles du Poëte Anglois, ne put retenir son ressentiment, comme il est aisé d’en juger par plusieurs de ses Lettres, & entre autres, par celle qui est imprimée dans la seconde édition du Bureau d’Esprit, où il traite M.

499. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Gérardy, Paul (1870-1933) »

C’est charmant, en vérité, de voir venir de temps à autre de là-bas ces minces volumes de vers ingénus, pleins de musique, nimbant des sentiments simples d’une langue naïve, d’une authentique naïveté, avec le petit goût vif d’un don réel des ressources du vers.

500. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » pp. 419-420

A l’excellent Livre dont nous venons de parler, M. l’Abbé Nonote en a fait succéder un autre également estimable & dans son motif & dans la maniere dont il est traité ; tel est le Dictionnaire anti-philosophique.

501. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Amand » p. 279

L’ attelier de doreur, autre passable vignette pour le recueil des arts que nous fesons au milieu de tous les obstacles possibles, que l’académie a commencé il y a soixante ans ; qu’elle n’a pas fait avec tous les secours imaginables du gouvernement, qu’elle vient de reprendre par honte et par jalousie, et qu’elle abandonnera par dégoût et par paresse.

502. (1922) Nouvelles pages de critique et de doctrine. Tome I

Je viens de mentionner Colomba. […] Louis Bertrand, vient de publier en librairie un nouveau roman : l’Infante. […] Un immense besoin de dévouer nos dernières forces, de servir, nous tourmente, qui nous vient de là-bas. […] Et Ségur ajoute : « Ma vocation venait de se décider. […] Il venait de se fiancer.

/ 2476