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207. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article »

L’indulgence qu’on doit à son sexe a soutenu quelque temps le succès de ses Ouvrages dramatiques.

208. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article »

Ce n’est cependant que par la vraisemblance & une noble simplicité, que ces Productions peuvent plaire & se soutenir.

209. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article »

On fait peu de cas de son Histoire de Louis XIII, à cause de l’inexactitude des faits, que l’envie de plaire au Cardinal de Richelieu lui fit dénaturer ; mais on estime son Histoire des Guerres, que ce même Monarque eut à soutenir contre ses Sujets Protestans, à cause des recherches & des anecdotes curieuses qu’elle renferme.

210. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 149

Ses Sermons, ses Panégyriques & ses Oraisons funebres, imprimés en 6 vol. n’ont pas eu le pouvoir de soutenir la réputation qu’il s’étoit acquise, lorsqu’il les débitoit.

211. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article »

Il possédoit assez bien les Langues Orientales ; mais sa Traduction de l'Alcoran est écrite d'un style si diffus, qu'on n'en peut soutenir la lecture.

212. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article »

Le succès prodigieux & toujours soutenu de son Dictionnaire raisonné d'Histoire Naturelle, a l'avantage d'être appuyé sur l'utilité.

213. (1858) Du vrai, du beau et du bien (7e éd.) pp. -492

Mais un tel amour ne se peut soutenir que par des efforts surhumains qui aboutissent à la folie. […] Il vient après eux, il est vrai, mais il est de leur compagnie : il les comprend, il les aime, il les soutient. […] Il est représenté couché, la tête inclinée et soutenue par un ange ; un autre ange est à ses pieds. […] Le redoutable ministre y est représenté à ses derniers moments, soutenu par la Religion et pleuré par la Patrie. […] Toutes les grandes choses se mêlaient ainsi, s’inspiraient et se soutenaient réciproquement.

214. (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIIIe entretien. Littérature cosmopolite. Les voyageurs »

En entrant par ce beau portail, on détourne tant soit peu vers l’occident, et ayant fait quinze pas, on trouve au milieu un beau bassin de jaspe, à godrons, de six pieds de diamètre, soutenu sur un piédestal de même matière, de huit pieds de haut, avec des marches. […] Dans le même enclos où est ce superbe salon, il y en a deux autres: l’un composé de cinq étages octogones, ouverts l’un sur l’autre en perspective ou en étrécissant, chacun soutenu sur quatre piliers tournés et dorés, et orné d’un bassin au milieu. […] Ce beau pavillon est soutenu sur trois rangs de hautes colonnes, et est orné au milieu d’un bassin de jaspe à trois jets d’eau. […] Au contraire, tout le monde s’élèvera contre vous pour soutenir le parti de l’héritier légitime ; et quand il ne le ferait pas, vous serez chargés de malédictions et toujours regardés comme les auteurs d’un attentat exécrable ; vous en rougirez de honte toute votre vie et en aurez un regret perpétuel dans l’âme. […] Tàlâr désigne bien un grand salon à jour, soutenu sur des piliers, des poutres, ou des colonnes.

215. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 206

Quoiqu’on puisse soutenir quelques momens la lecture de plusieurs de ses Ouvrages, ils ne sont pas capables de lui faire une réputation, parce qu’ils sont foibles, & que la destinée des productions foibles est de se perdre dans la foule.

216. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 458

A ce titre ; il est en droit d’être admis dans le petit nombre des Littérateurs qui soutiennent parmi nous le goût de l’érudition.

217. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article »

Ainsi se soutiennent, pendant quelque temps, ces réputations factices que la cabale enfante, & qui disparoissent avec la cabale.

218. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — A — Auriac, Jules-Berlioz d’ (1820-1913) »

L’auteur y procède par tableaux grandement espacés au point de vue chronologique, mais ces tableaux sont si bien choisis, que leur enchaînement s’éclaire de lui-même à travers les siècles… Le vers, bien construit, aux rythmes variés, juste de ton, accommodé aux effets voulus, se soutient sans défaillance pendant tout le cours de l’œuvre.

219. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 400

Ces Ouvrages offrent de temps en temps quelques traits heureux, peu propres toutefois à soutenir une réputation dans le monde littéraire.

220. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Préface. de. la premiere édition. » pp. 1-22

Peu d’accord entre eux, jaloux les uns des autres, ennemis acharnés des Adversaires de leurs sentimens, ardens à former des intrigues pour accroître & soutenir leur cabale, & aujourd’hui, pour en retarder la ruine entiere ; décisifs & tranchans dans les Sociétés, adulateurs de la puissance & du crédit, calomniateurs artificieux du mérite qui leur résistoit, oppresseurs impitoyables des victimes de leur animosité ; on s’est écrié encore : Sont-ce là les guides qu’il faut suivre ? […] Quand bien même nous ne serions pas assurés du suffrage des honnêtes gens, dont le nombre est plus grand qu’ils ne pensent ; quand nous ne serions pas dans le cas de compter sur la protection du Gouvernement indigné des désordres qu’ils ont introduits ; quand nous n’aurions pas des amis vertueux & zélés, capables de prendre notre défense & de nous soutenir contre l’oppression, nous aurions assez de courage pour leur dire : « Philosophes, nous vous redoutons peu ; sans ambition, sans désirs, sans prétention, qu’aurions-nous à craindre ?

221. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 151-168

Si la Henriade l’emporte par l’intérêt des objets ; celui-ci, de l’aveu de tous les Connoisseurs, lui est préférable par la singularité & les richesses de la fiction, la justesse & l’entente du plan, l’unité d’action, les ressorts de l’intrigue, la fécondité des détails, la variété des tableaux, & la magie d’un style soutenu & toujours adopté aux differens caracteres du sujet. […] Il pourroit donc marcher à côté d’eux, si trop de monotonie dans la coupe de ses Pieces & dans les contrastes, un dialogue quelquefois diffus, un ton trop froid & trop réservé, ne devoient le céder aux saillies vives & piquantes de l’Auteur du Légataire, & au sel soutenu de celui des Femmes Savantes, du Misanthrope, & des premiers chef-d’œuvres de notre Théatre comique.

222. (1909) Les œuvres et les hommes. Philosophes et écrivains religieux et politiques. XXV « Vte Maurice De Bonald »

Je lui préparai sa route et son succès dans ce Mexique si catholique… J’invitai les évêques à le seconder et à le soutenir de toutes leurs forces, et, certes ! […] … Après tout, l’Église de Dieu est plus haute que toutes les monarchies, qui ne se soutenaient que par elle et contre laquelle elles se sont révoltées avec une si effroyable ingratitude.

223. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Duranty » pp. 228-238

Il a soutenu des thèses, fait la poétique de cette anti-poésie et proclamé maintes fois que M.  […] J’ai pensé enfin qu’Henriette serait tout le roman, mais il a fallu en rabattre quand j’ai vu ce caractère, soutenu jusque-là, s’affaisser tout à coup au dénoûment du livre et finir par la platitude ordinaire de l’inconséquence, de la faiblesse et de la consolation !

224. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 301

Sa Tragédie d’Aben-Saïd, très-accueillie à sa premiere apparition, ne se soutint pas à la reprise de 1743, & cette Piece n’a plus reparu depuis.

225. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 393

Le succès soutenu de cette Production prouve que le Public, prévenu par des artifices, reconnoît ses méprises, & revient chaque jour du fol enthousiasme qui les a occasionnées.

226. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 118

T. où, sous le voile d’une ironie piquante & bien soutenue, il fait la critique du luxe impertinent des Laïs de la Capitale.

227. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 94

Rien n’étoit plus naturel que les motifs de son zele ; c’étoit soutenir les avantages de son métier.

228. (1860) Cours familier de littérature. IX « LIIIe entretien. Littérature politique. Machiavel (2e partie) » pp. 321-414

VI Plus tard, la lutte que les papes avaient soutenue contre les barbares pour l’Italie, ils la soutinrent contre l’empire germanique, antagoniste permanent de leur puissance temporelle : ils la poursuivirent contre la prépotence des différentes tyrannies féodales qui s’élevèrent çà et là dans le domaine italien ; ils furent l’obstacle à toute domination exclusive de quelques parties de l’Italie sur la patrie italienne ; ils furent le centre de la confédération, car l’Italie est essentiellement fédérale ; ils furent la présidence de la république nationale d’Italie. […] Attaqué par les Français, qui soutenaient le parti opposé au sien, Paul Frégose remporte sur eux une des victoires les plus meurtrières pour la chevalerie française. […] Il prêta devant la junte révolutionnaire, comme régent, le serment de soutenir la constitution espagnole ; puis, pressé d’échapper à la responsabilité de son double rôle, il se mit à la tête de deux régiments de cavalerie et d’artillerie, et se rendit à Novare dans une intention équivoque et non expliquée. […] La France, qui voulait à tout prix, même au risque d’un mauvais règne, soutenir le dogme de la légitimité, s’opposa à la déposition du prince de Carignan. […] Tous les jours, et plusieurs fois par jour, ses ambassadeurs ou ses affidés viennent solliciter de moi un mot, une insinuation, un consentement, un signe, un geste qui soit un engagement officiel ou confidentiel de le soutenir dans son impatience d’invasion piémontaise en Lombardie.

229. (1865) Cours familier de littérature. XX « CXVIIIe entretien. Littérature américaine. Une page unique d’histoire naturelle, par Audubon (2e partie) » pp. 161-239

Il est vraiment musical, souple, cadencé, énergique, plein de mélodie ; et l’on s’étonne qu’un son si bien soutenu puisse sortir d’un aussi faible organe. […] Il n’est pas non plus soutenu, d’ordinaire l’oiseau se contentant de voltiger d’un buisson ou d’une pierre à l’autre. […] Le vol de ce gobe-mouche est une succession de courtes saccades interrompues cependant par quelques mouvements plus soutenus. […] Le vol de cette hirondelle rappelle celui du martinet d’Europe ; mais il est plus vif, quoique bien soutenu. […] Le mouvement précipité de ses deux ailes suffit à peine à soutenir la masse de son corps ; et ses pattes, qui se reploient sous sa queue, disparaissent à l’œil.

230. (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxve entretien. Histoire d’un conscrit de 1813. Par Erckmann Chatrian »

Moi je chantais tous bas, seulement pour la soutenir. […] En entendant cela, j’aurais eu bien sûr une faiblesse, si le vinaigre ne m’avait pas soutenu malgré moi. […] Tout le monde le savait, je ne pouvais donc pas soutenir le contraire. […] Au lieu de tous ces cris et de tous ces reproches qui ne servent à rien, vous feriez mieux de consoler et de soutenir Joseph. […] Elle avait un bonnet à rubans noirs, les bras nus jusqu’aux coudes, une grosse jupe de laine bleue soutenue par des bretelles, et semblait triste.

231. (1909) De la poésie scientifique

Le sens de la nature et de la Vie dès lors considérée sous son aspect légendaire, l’émotivité de son premier livre, en 1886, s’en montre soutenue  en même temps qu’un court avant-propos revendique la complète liberté du vers pour concourir à des phrases harmoniques. […] Et ils pourront, si la pensée le leur demande, soutenir monotonement lente ou rapide, une phrase, en se répétant en même son à mêmes hauteur et intensité. […] C’est-à-dire qu’en le Vers, les diverses divisions rythmiques propulsées par l’idée, en même temps qu’elles se marquent et se soutiennent sur des sons de telle ou telle quantité vibratoire, viennent aussi se mesurer Syllabiquement. […] René Ghil, d’où découle le principe de Philosophie qui soutient de sa charpente toute l’œuvre, s’échafaude avec la splendeur et le charme délicat d’idéalité d’une théogonie indoue. » — Gaston et Jules Couturat : René Ghil (Revue Indépendante, Août 1891) La philosophie et l’éthique  morale sociale Donc, l’univers phénoménal contient et éternellement développe sa Finalité. […] D’ailleurs, en 1887 même, quand paraît ma revue, Ecrits pour l’Art (janvier 1887), qui pendant six mois  l’idée de Symbole, de Mallarmé, n’étant point encore représentative d’Ecole  soutiennent également l’art de Mallarmé : de Régnier et Viélé-Griffin, « Symbolistes » de demain au Mercure de France, ne connaissent que cet art Mallarméen, et la théorie instrumentale, « cette association harmonique du vers que réalise M. 

232. (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre IX : Insuffisance des documents géologiques »

Cette opinion a été chaudement soutenue par beaucoup de géologues et de paléontologistes, qui, comme F. […] Pictet, soutiennent que les espèces tertiaires sont spécifiquement distinctes, tout en admettant que leurs différences sont très légères. […] Les auteurs qui soutiennent l’immutabilité des formes spécifiques ont répété à satiété que la géologie n’avait fourni aucune forme de transition. […] Encore tout récemment ces mêmes savants auraient pu soutenir que la classe entière des oiseaux avait été soudainement appelée à l’existence au commencement de la période tertiaire ; et plusieurs d’entre eux l’ont soutenu ; aujourd’hui nous savons, au contraire, sur l’autorité du professeur Owen, qu’un oiseau incontestable a certainement vécu pendant l’accumulation du grès vert supérieur. […] Lyell, Murchison, Sedgwick, etc., ont unanimement, et parfois avec force, soutenu le principe de l’immutabilité des espèces.

233. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Sylvain Bailly. — II. (Fin.) » pp. 361-379

Le lendemain même de cette fête rurale, craignant d’après un avis reçu de Versailles d’avoir à soutenir une lutte au sujet de la présidence de l’Assemblée avec les présidents ou doyens particuliers des deux autres ordres, et résolu de ne rien céder des droits du tiers état, c’est-à-dire de la nation qui, en définitive, les absorbait tous, il cherche quelqu’un à consulter pour se fortifier dans ses résolutions : et tous les députés étant dispersés, il ne voit rien de mieux que d’aller faire part de ses honnêtes pensées au duc d’Orléans, qui était alors au Roule : J’avoue ici avec simplicité mon ignorance. Bien neuf à toute intrigue, bien peu instruit des manœuvres qui devaient incessamment éclater, je l’étais encore moins de la part qu’on lui en a attribuée : j’avais admiré, quand il passa avec la minorité de son ordre, et sa popularité qui trouvait la nation dans les Communes, et son zèle pour la chose publique qui le portait à la réunion ; je voyais alors en lui le premier de la noblesse des États, et je le jugeai le plus propre à m’éclairer et à me dire jusqu’à quel point je pouvais soutenir les droits contre les prétentions. […] Il y a, dans ces vastes drames qu’on appelle révolutions, des rôles séparés et soutenus jusqu’au bout pour tous les caractères.

234. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Sénecé ou un poète agréable. » pp. 280-297

Émile Chasles, qui, fort jeune, soutient par des travaux solides et avec une application suivie un nom brillant dans les lettres, se trouvant il y a peu d’années professeur à Mâcon, eut l’idée de rassembler tout ce qu’il pourrait recueillir sur le poète de cette province le plus célèbre avant M. de Lamartine. […] Sa mère, de fureurs par vengeance agitée, Sentit Junon jalouse et Lucine irritée ; La terre la refuse en son vaste contour, Le dieu de la lumière a peine à voir le jour… Cette fermeté de ton ne se soutiendra pas ; la pièce est trop longue. […] On peut relire cette épigramme trois et quatre fois, sinon vingt ; elle soutient l’épreuve indiquée par Le Brun ; elle paraît aussi bonne et meilleure que la première.

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