Avant d’aborder ces questions, précisons encore mieux le terrain sur lequel nous voudrions les débattre. […] La question est nette, et cinquante volumes sont là pour la résoudre. […] On voit où conduit cette méthode, et nous n’en sommes pourtant encore qu’à la question de goût. […] n’a fait tort qu’à moi seul, et la question capitale (ce n’est pas la question littéraire) est aujourd’hui énergiquement tranchée en faveur du poétique et magnanime naufragé. […] Indiquer ces questions, c’est énumérer d’avance les mérites du livre de M.
Le cas n’est d’ailleurs pas probant (se hâtait-il d’ajouter) car il est à peine question de conflits inconscients. […] Est-il question d’instinct sexuel ? […] Ils expliquaient comment d’imbéciles questions de préséance, des problèmes sans queue ni tête vous mangent, justement, et la queue et la tête. […] Mais il ne saurait être question de bains pour ces amateurs de mauvaises odeurs, d’odeurs personnelles. […] Alors, j’y vais de ma petite question : comment le Dr Allendy conçoit-il l’exercice de sa psychanalyse, après l’édification du socialisme ?
Telles sont les questions, posées par les mille voix de la foule. […] Sollier note cette particularité chez les faibles d’esprit : « Ils interposent des mots qui n’ont aucun rapport avec la question ». […] Ces petites gazettes et les livres publiés par les symbolistes restèrent d’abord inaperçus en dehors du café en question. […] Elle a même bon air, car elle laisse supposer la soif de la vérité et la noble préoccupation des grandes questions. […] Il y a été question du « Moyen-Age énorme et délicat » et de « la brûlure., qui tonne ».
Vinet se l’est demandé en effet, et il a répondu dans ces deux morceaux à la question qu’il s’était posée. […] Nous discuterons, à mesure que l’occasion les amènera, les grandes questions de la morale. […] C’est précisément ici le nœud de la question. […] Les questions politiques n’intéressent plus ; nul maintenant ne cherche à les résoudre. […] C’est une question qui n’est pas encore entièrement résolue.
Là-dessus le nom de Rouher est prononcé par Hébrard, et Spuller de soutenir, avec une certaine animation, que Rouher n’a jamais été qu’un habile causeur d’affaires, tandis que le véritable orateur de l’Empire a été Billault, que lui a supporté le poids des affaires les plus importantes, comme la question romaine. […] Oui, c’est aujourd’hui la question soulevée à dîner par Pouchet et Robin. […] » De là, on passe à la question du Tonkin, et quelqu’un dit ceci : « Du moment qu’on laisse pénétrer près du Gouvernement un membre de la Société de géographie, on a la guerre. […] Je dis au ménage, ce que je crois, c’est qu’il n’y a pas au fond vraiment de question politique, mais que ça va être seulement une question de chic pour les clubs, de venir chuter la pièce, et qu’on doit s’attendre à cinq ou six représentations cahotées, après quoi, la pièce marchera.
Aussi toutes les questions que se pose d’ordinaire l’éthique se rapportent-elles, non à des choses, mais à des idées ; ce qu’il s’agit de savoir, c’est en quoi consiste l’idée du droit, l’idée de la morale, non quelle est la nature de la morale et du droit pris en eux-mêmes. […] Et ce n’est pas seulement dans les problèmes les plus généraux de la science que cette méthode est suivie ; elle reste la même dans les questions spéciales. […] De même, ce qui tient le plus de place dans les recherches des économistes, c’est la question de savoir, par exemple, si la société doit être organisée d’après les conceptions des individualistes ou d’après celles des socialistes ; s’il est meilleur que l’État intervienne dans les rapports industriels et commerciaux ou les abandonne entièrement à l’initiative privée ; si le système monétaire doit être le monométallisme ou le bimétallisme, etc., etc. […] La première démarche du sociologue doit donc être de définir les choses dont il traite, afin que l’on sache et qu’il sache bien de quoi il est question. […] Il est sans cesse question d’idées, de l’idée d’utile, de l’idée d’épargne, de placement, de dépense.
Ce qui fait que, en général, on ne lit point ce poème et qu’on a raison de ne point le lire, c’est que La Fontaine avait été invité, évidemment, par un de ses grands protecteurs ou une de ses aimables protectrices, à faire l’éloge du Quinquina, parce que c’était une question du jour, parce que c’était un accusé à défendre, ou parce que c’était un arriviste, légitimement arriviste, et qu’il s’agissait de faire parler de lui, le Quinquina étant très discuté, très contesté. […] Il a tenu à faire un poème technique, non pas seulement didactique, mais véritablement technique, un poème où il fût question longuement de l’origine du quinquina, de la plante qui produit l’écorce dont il est tiré, et puis de tous ses effets, de tout le mécanisme très compliqué, surtout à le comprendre comme La Fontaine l’a compris, de tout le mécanisme de l’action du quinquina sur nos pauvres machines humaines. […] Voilà une belle question, une belle question d’histoire universelle. […] La question — encore que je remercie M. de Couynart des deux pistes qu’il a éventées — reste donc à peu près entière.
Voilà la question que nous proposons, nous, au milieu des éloges de toute sorte que la Critique a donnés sans marchander à M. […] L’auteur de Fanny n’a pas pensé à la question sociale qui palpitait sous la question individuelle. […] Ces questions, dont la solution importe, M. […] Pour lui, développer son talent dans le sens même de son talent n’est pas la question, mais prouver qu’il a du talent et de plusieurs sortes, et voilà pourquoi, après nous avoir plaqué du Flaubert dans Fanny, il nous plaque du Byron dans Daniel ; car M.
Mais ces questions, qui se rapportent à ce que les artistes appellent voir et comprendre, sont des questions intimes pour tout peintre, et qu’il ne lui est pas donné de résoudre. […] Cette question devient tout le réalisme pratique. […] Je vous crois très prosaïque, mais là n’est pas la question. […] Buchon qui résume la question du réalisme. […] Très préoccupé des questions de santé, j’avais toujours fortement douté de cette étroite parenté de Balzac avec le réalisme.
Il a reçu de Nebraska une lettre dans laquelle on lui demande où les hirondelles passent l’hiver. — “Cette question n’est-elle pas encore pendante ? […] La première question que M. de Humboldt se fût adressée eût été : D’où vient le monde ? […] Ainsi les questions les plus importantes que soulève l’histoire de la civilisation de l’espèce humaine, se rattachent aux notions capitales de l’origine des peuples, de la parenté des langues, de l’immutabilité d’une direction primordiale tant de l’âme que de l’esprit. […] En vain la pensée se plongerait dans la méditation du problème de cette première origine ; l’homme est si étroitement lié à son espèce et au temps, que l’on ne saurait concevoir un être humain venant au monde sans une famille déjà existante…… Cette question donc ne pouvant être résolue ni par la voie du raisonnement ni par celle de l’expérience, faut-il penser que l’état primitif, tel que nous le décrit une prétendue tradition, est réellement historique, ou bien que l’espèce humaine, dès son principe, couvrit la terre en forme de peuplades ? […] Plusieurs questions aussi sont posées, que la physique moderne peut ramener sans doute à des formules plus scientifiques, mais pour lesquelles elle n’a pas trouvé encore de solution satisfaisante.
Mersenne écrivait à Descartes, le 12 novembre 1639, il est question d’un jeune homme de seize ans qui venait de composer un traité des Coniques, et qui promettait d’effacer tous les mathématiciens du temps. […] Toute la polémique de Bossuet est dirigée contre les protestants : il n’y est question que de dissidences sur des points secondaires, qui ne touchent ni à la révélation, ni à la divinité de Jésus-Christ. […] Le plus grand nombre de ses questions et de ses réflexions a ce caractère de double entente, si plaisant au théâtre, par lequel on blâme ce qu’on paraît approuver, et on loue ce qu’on paraît blâmer. […] Par exemple, vers 1658, pour faire l’historique de la question de la roulette. […] Il y est question des remontrances que firent les curés de Paris sur la morale des jésuites.
Il a laissé des études sur les Pygmées, les Polynésiens, le transformisme et les « précurseurs » de Darwin, « l’histoire générale des races humaines », ou encore la question de « l’unité de l’espèce humaine ». […] Abordant la question de l’hérédité psychologique, il s’intéresse en particulier aux familles de savants et d’artistes. […] Hennequin est un des premiers à poser précisément la question du devenir de l’œuvre et de l’appréciation changeante de sa valeur. […] Rappelons que Binet et Féré venaient tout juste de publier leur livre sur le « magnétisme animal » (Alcan, 1887), relançant le débat sur cette vieille question qui a traversé tout le xixe siècle. […] Sur cette question, voir aussi la conférence parisienne d’un des acteurs de cette époque, lié un temps au groupe littéraire de Mallarmé, le penseur scandinave Georg Brandès, cité plus haut, auteur de Le Grand Homme.
Il avait soulevé quantité de questions et de disputes ; on était en train de se combattre en son nom. […] Depuis que Madame Bovary avait paru, la question du réalisme revenait perpétuellement sur le tapis ; on se demandait entre critiques si la vérité était tout, s’il ne fallait pas choisir, et puisqu’on ne pouvait tout montrer indistinctement, où donc il convenait de s’arrêter. De pareilles questions théoriques sont insolubles, interminables : il n’y a rien de tel que des œuvres, — et non pas les anciennes, les froides ou refroidies, mais des œuvres présentes et palpitantes, — pour apporter dans le débat leur exemple sensible à tous, un succès décisif et triomphant.
Il y a, pour moi, une mesure qui ne trompe guère pour apprécier ces divers mondes du passé, et quand je dis moi, je parle pour tout esprit curieux qui s’intéresse aux choses anciennes et qui, sans y apporter de parti pris ni de prévention systématique, est en quête de tout ce qui a eu son coin d’originalité et de distinction, son agrément particulier digne de souvenir ; il est une question bien simple à se faire : Voudrions-nous y avoir vécu ? […] La réponse à une semblable question est déjà faite : il n’est pas un de ceux qui nous ont lu jusqu’ici qui ne sache à quoi s’en tenir. […] Le comte de Clermont s’avisa alors de dresser toute une liste de questions sur les ruses du braconnage et les secrets du métier qui font partie de l’art du chasseur ; il donna ordre à Louvigny de ménager au prisonnier toutes les facilités pour y répondre à son aise, lui promettant sa liberté et mieux encore s’il consentait à tout dire.
Elles sont d’ordre matériel et d’ordre moral, influant les unes sur les autres, et il sera simple d’aller directement à la question en commençant par examiner les causes matérielles. […] Il n’y aura bientôt plus qu’elles pour figurer la presse française en France, et garder dignement une place aux questions de pensée, même dans le quotidien déversement des informations. […] Mais il est vrai, en principe, que si la critique dramatique demeure puissante, parce qu’elle est financièrement indispensable aux directeurs de théâtres, et contente une foule d’intérêts matériels, dans le même sens que la publicité de bourse ou de négoce, — la critique littéraire se meurt parce qu’elle s’occupe de questions de pensée qui n’intéressent qu’une minorité, ou alors de livres à succès facile que la réclame payée lance sans avoir besoin de critique sérieuse.
Cause et loi essentielles des variations du gout littéraire Pour peu qu’on ait tracé le tableau de plusieurs époques successives d’une littérature, deux graves questions se présentent auxquelles on ne saurait se soustraire : Pourquoi le goût littéraire varie-t-il d’une époque à une autre ? […] Mieux vaut donc aborder directement la question et remonter à la cause primordiale et commune de toutes les variations dont l’histoire de l’humanité nous offre le spectacle. […] De 1715 à 1750, le monde, la société polie, la vie de salon imposent aux écrivains l’allure sémillante et le ton léger, même quand ils traitent les plus graves questions.
Tout au plus s’appliquerait-il à quelques fous que leur ignorance de la question doit rendre à peu près excusables. […] L’auteur montre que Richard Wagner avait une connaissance profonde et détaillée du moyen âge ; il ne fait pas étalage de son érudition dans Lohengrin, mais chaque détail est exact, et en beaucoup d’endroits une parole qui paraît sans importance au vulgaire, est pleine d’intérêt pour le savant. — En un seul point Wagner ne s’est point conformé à l’exactitude historique, — c’est en faisant célébrer le mariage de Lohengrin et d’Elsa à l’église ; l’action de Lohengrin se passe au commencement du dixième siècle, or ce n’est guère que vers les onzième et douzième siècles que l’église parvint à imposer le mariage religieux, et dans les descriptions de mariages avant cette époque il n’est jamais question de cérémonies religieuses. […] Initié déjà aux grandes conceptions de Richard Wagner, le public a pu pénétrer dans le détail de certaines œuvres et de certaines théories ; les questions historiques nous ont aussi préoccupés, et nous avons fait au « document » la part la plus large possible.
Ces répétitions, peu justifiables dans une œuvre littéraire, me paraissent utiles ici ; elles permettent de mieux voir les aspects divers des questions. […] En voici la loi : « Au moyen de l’association, l’esprit a le pouvoir de former des combinaisons ou agrégats, différents de tout ce qui lui a été présenté dans le cours de l’expérience. » L’étude sur l’association constructive ou théorie de l’imagination, est au niveau des meilleures analyses de l’ouvrage par son ordre, sa netteté, l’ampleur et l’exactitude de ses détails, l’intérêt des questions qu’elle soulève. […] Voir pour l’histoire de la question, Mervoyer, Étude sur l’assoc. des idées, et Hamilton dans son édition de Reid.
Commençons par la question de la certitude. […] Quant aux recherches utiles qui pourraient agrandir cette question de logique, nous nous en dispenserons. […] Quant aux mille questions que suggèrent la physiologie et l’étude des langues, nous ne nous en embarrasserons pas.
Voilà la question. […] Le premier il a agité dans les assemblées la question sociale ». […] Les questions d’art l’intéressaient peu et là Grèce des livres lui suffisait. […] Je me suis toujours beaucoup intéressé aux questions d’exégèse religieuse. […] Il avait vu surtout, dans cette question du style, un thème de développement facile et contradictoire
Mon impression maintenant est plus nette, et j’espère, cet hiver, jeter quelque lumière sur une question qui est, à mes yeux, l’une des plus importantes et l’une des plus délicates que présente l’histoire des lettres. » Il me semble que la lumière qu’il désirait est toute faite ; l’observation est bien simple et ne paraît pas comporter tant de mystères. […] Dante, Shakespeare, Molière même et La Fontaine ne sont plus que des occasions de tout voir et de tout dire, de remuer toutes les questions d’art et d’histoire, de faire son tour du monde littéraire ; et pour Shakespeare en particulier, l’ensemble du cours que lui consacra Gandar est parfaitement défini dans le passage suivant d’une de ses lettres (à M. […] Jugez quelles difficultés on rencontre en un tel sujet lorsqu’on ne peut le traiter ni du point de vue très précis de la tradition, ni avec un entier dégagement, et qu’on éprouve sur tant de questions délicates où la conscience est engagée, une égale horreur pour l’hypocrisie et pour la légèreté. […] Cuvier : « Bossuet après tout était un conseiller d’État. » Mais cette question, quand on aborde uniquement Bossuet par le côté de sa parole et par les productions de son éloquence, n’est que secondaire ; l’idée ne vient même pas de se la poser. […] Il sera encore question plus loin de M.
Si je devais, par exemple, périr sous la dent de quelque bête sauvage, ou de toute autre manière, il serait, j’en conviens, raisonnable d’agir comme vous le faites ; mais, puisqu’il n’est point question de combat entre hommes, laissez-moi aller. […] Mais à peine fut-il présenté à la question, qu’il se décida à dire les choses telles qu’elles étaient, et fit un récit véridique de tout ce qui s’était passé : en le terminant, il supplia le roi de lui accorder son pardon. […] Dès qu’il parut, Astyage lui adressa cette question : « Harpagus, de quelle manière avez-vous fait périr l’enfant qui vous a été livré par mon ordre ? […] » À cette nouvelle question, les mages répondirent : « Ô roi, il est tout à fait dans notre intérêt que votre empire s’affermisse ; s’il tombe dans une nation étrangère en passant à cet enfant, Perse d’origine, nous, qui sommes Mèdes, descendus au rang de sujets, nous ne sommes plus rien en comparaison des Perses, nous devenons nous-mêmes étrangers. […] « Peu de temps après, la nouvelle femme qu’il avait prise accoucha de ce Cléomène dont il est ici question.
Toutes questions qui ne diffèrent que dans les termes. Ajoutez que la plupart de ces questions sont oiseuses, et qu’on néglige de faire entrer dans leur solution les véritables élémens, comme la force de l’habitude, les prestiges de l’espérance etc.
Elle aurait gardé, sans le donner à risée ou à mépris sérieux, le souvenir touchant de ce fou à elle et fait par elle ; mais pour cette Prudence et ses pareilles, la question n’est ni l’honneur de Chateaubriand, ni leur propre honneur de cœur. La question est l’exploitation d’un nom illustre, dans l’intérêt d’un dernier scandale, avant de mourir tout à fait.
Henri Martin a mis une préface fort bienveillante à la tête de l’ouvrage en question. […] Si l’on en considère les phases et si l’on se place en dehors de la question mère du Moyen Âge qui embrasse tout en Europe, depuis les Mamertines jusqu’à la Renaissance, pour ne voir seulement, comme Labutte, que rétablissement du grand Rollon et de ses fils sur nos rivages, cette histoire, par la nature des choses, relève bien plus de l’artiste que du penseur.
Il mérita le prix, et Napoléon Bonaparte, autre concurrent, et grand philanthrope, comme on sait, aurait eu vraisemblablement l’accessit ; mais les événements de 93 empêchèrent cette distribution publique et se chargèrent en même temps de répondre à la question de l’honnête académie en signes manifestes et foudroyants. […] Cette question, selon Daunou, se pose déjà dans ce premier vote solennel. […] Une question inévitable se pose ici : à voir ce grand rôle extérieur de Daunou depuis Thermidor, cette mise en dehors perpétuelle de ses talents et de sa personne, on se demande : Était-ce donc bien là, en vérité, le même que ce savant renfermé et ce politique circonspect que nous avons connu ? […] Les résumés patients, les discussions épineuses auxquelles l’auteur n’a pas craint de se livrer, surtout dans les questions de chronologie, sont plus souvent éclairées, ou même égayées, qu’on ne pourrait croire, par les agréables ressources de son esprit et les occasions littéraires qu’il a comme saisiés au passage. […] Sans épiloguer sur le jour précis où la scène en question eut lieu, ce qui n’importe guère, je puis certifier que j’ai entendu le récit de la bouche de M.
La même question revient après une audition de la Symphonie pastorale : « Est-ce que vraiment ce que vous, voyez est aussi beau que cela ? […] Pour un critique, la question ne se pose même pas. […] Sur la question bibliophilique, je ne suis de l’avis d’André Gide qu’avec une réserve. […] Pour nous, cela n’épuise pas la question, et nous souhaiterions aussi quelques détails sur les autres visages qui l’intéressent moins. […] Mais on peut n’être d’un parti qu’avec libéralisme, ou même n’être d’aucun parti, et savoir prendre parti sur les questions d’importance : c’est alors une obligation intellectuelle et morale, bien que M.
Ici, une question ; ici, une discussion possible. […] C’est l’éternelle question. […] C’est la question qui domine tout. […] Ce n’est pas du tout la même chose ; ce n’est pas du tout la question. […] En le faisant j’estime que je sors absolument de la question.