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639. (1881) Le naturalisme au théatre

Je n’ai jamais vu mourir personne ainsi au théâtre. […] On coudoie cela sur les trottoirs, et personne ne songe même à tourner la tête. […] Elle doit être la liberté en personne, j’imagine. […] Des personnes, je crois, ont été trouvées sous les bancs, évanouies de bonheur. […] Personne ne parle dans ce drame, tout le monde y crie.

640. (1845) Simples lettres sur l’art dramatique pp. 3-132

Je ne désire rien, je ne demande rien, je n’accuse personne ; je fais le procès-verbal de l’art en l’an de grâce 1844, voilà tout. […] Je ne tiens de personne l’anecdote que je vais raconter ; elle m’est personnelle. […] En vérité, il y a des choses que ni vous ni personne ne payerez jamais ! […] Buloz ce qu’il ne faisait pour personne. […] Buloz ou de toute autre personne qui voudrait s’assurer que ces 36 volumes sont, depuis la première jusqu’à la dernière ligne, écrits de ma main.

641. (1889) La bataille littéraire. Première série (1875-1878) pp. -312

Personne ne parle mieux des arbres, des animaux, de la terre que M.  […] Personne, dans les marchandages, ne montrait plus d’entêtement. […] Des bœufs étendus au milieu du gazon regardaient tranquillement ces quatre personnes passer. […] Personne ne le savait, excepté lui. […] Personne ne sera déçu, le roman de M. 

642. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Appendice. — Un cas de pédanterie. (Se rapporte à l’article Vaugelas, page 394). »

Il y gagna le cœur d’une jeune personne, fille d’un des principaux fonctionnaires de la ville, d’une condition et d’une naissance supérieure à la sienne, et qui, malgré sa famille, lui donna sa main. […] Le docteur Joulin ne veut pas de cette parole jetée en avant tout d’abord : « sans lui adresser un dernier adieu. » Mais si l’on est plein de son objet, si tous les assistants n’ont qu’une seule et unique pensée, personne ne se trompe quand on dit lui de prime abord ; on en aie droit, on en a le besoin. […] Cela s’entend de soi ; cela ne rappelle à personne la création du monde, mais bien la création de l’institution particulière dont il s’agit.

643. (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section II. Des sentiments qui sont l’intermédiaire entre les passions, et les ressources qu’on trouve en soi. — Chapitre II. De l’amitié. »

Les passions causent tant de malheurs par elles-mêmes, qu’il n’est pas nécessaire, pour en détourner, de peindre leurs effets dans les âmes naturellement vicieuses ; nul homme, à l’avance, ne se croyant capable de commettre une mauvaise action, ce genre de danger n’effraye personne, et lorsqu’on le suppose, on se donne seulement pour adversaire l’orgueil de son lecteur. […] Et d’ailleurs, celle qui croirait posséder l’ami le plus parfait et le plus sensible, l’amie la plus distinguée, sachant mieux que personne tout ce qu’il faut pour obtenir du bonheur dans de telles relations, serait d’autant plus éloignée de conseiller comme la destinée de tous, la plus rare des chances morales. […] Dès qu’un homme et une femme ne sont point attachés ailleurs par l’amour, ils cherchent dans leur amitié tout le dévouement de ce sentiment, et il y a une sorte d’exigence naturelle, entre deux personnes d’un sexe différent, qui fait demander par degrés, et sans s’en apercevoir, ce que la passion seule peut donner, quelque éloigné que l’un et l’autre soit de la ressentir ; on se soumet d’avance et sans peine à la préférence que son ami accorde à sa maîtresse ; mais on ne s’accoutume pas à voir les bornes, que la nature même de son sentiment met aux preuves de son amitié ; on croit donner plus qu’on ne reçoit, par cela même qu’on est plus frappé de l’un que de l’autre, et l’égalité est aussi difficile à établir sous ce rapport que sous tous les autres ; cependant elle est le but où tendent ceux qui se livrent à ce lien.

644. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIX » pp. 319-329

Elle est habillée modestement et magnifiquement, comme une femme qui passe sa vie avec des personnes de qualité. […] D’abord, elle est certainement du temps où les enfants et la gouvernante habitaient la maison isolée de la rue de Vaugirard, dans laquelle personne n’entrait que M. de Louvois, ou du moins n’entrait habituellement. […] Si les paroles du roi ne prouvent pas en lui réveil d’un sentiment nouveau, il est du moins certain qu’elles durent faire une vive impression sur deux personnes fort intéressées a les étudier, après les avoir entendues.

645. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXV » pp. 402-412

Le 7 juillet, elle lui dit : « Vous ne pouvez assez plaindre ni assez admirer la triste aventure de cette nymphe (Jo) : quand une certaine personne en parle, elle dit ce haillon. […] Madame de Coulanges et moi nous célébrâmes hier votre santé à Maintenon, et n’oubliâmes pas la chambre des élus. » Plus tard, en 1678 et 1679, l’intimité s’étant établie entre le roi et madame de Maintenon, les relations qu’elle avait conservées avec les personnes de son ancienne société, en souffrirent réellement et durablement. […] Du moment qu’elle devint confidente et dépositaire des sentiments et des pensées du roi, et même des secrets de l’État, elle cessa de s’appartenir à elle-même : ce fut un devoir pour elle de donner au roi une parfaite sécurité sur le dépôt que sa confiance mettait à la discrétion de son amie ; elle lui devait de rompre toute familiarité qui aurait pu compromettre ce dépôt : il n’y a rien de si difficile à cacher qu’un secret avec tes personnes à qui l’on parle habituellement à cœur ouvert ; et il y a des secrets à la cour qui se découvrent par le soin de les cacher ; si bien qu’affecter de taire certaines choses, c’est les dire.

646. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Balzac, et le père Goulu, général des feuillans. » pp. 184-196

Mais personne ne le lit aujourd’hui que pour apprendre comme il ne faut point écrire. […] On doit dire, il est vrai, pour sa justification, que ses lettres n’ont été écrites à personne ; qu’elles ne traitent ni de nouvelles ni d’affaires ; qu’elles ne sont proprement que des discours travaillés avec autant de soin que ses autres écrits ; qu’ainsi son imagination étoit moins à craindre & qu’il a pu se donner carrière, s’éloigner du ton des Bussy-Rabutin & des Sévigné, faire des ouvrages académiques plutôt que des lettres simples & ordinaires. […] « On a vu, dit-il, trois mois durant, certain nombre de ceux de sa faction sortir tous les matins de leur quartier, & prendre leur département de deux en deux, avec ordre de m’aller rendre de mauvais offices en toutes les contrées du petit monde & de semer par-tout leur doctrine médisante, avec intention de soulever contre moi le peuple, & le porter à faire de ma personne ce que leur supérieur a fait de mon livre… Ils ont été rechercher, pour grossir leur troupe, des hommes condamnés par la voix publique, fameux par leurs débauches & par le scandale de leur vie, connus de toute la France par les mauvais sentimens qu’ils ont de la foi. » Toutes les actions du P.

647. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Michel Van Loo » pp. 66-70

Personne n’a plus que lui la physionomie de son âme. […] Elles n’exhortent personne. Elles ne nous recommandent à personne.

648. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 37, des défauts que nous croïons voir dans les poëmes des anciens » pp. 537-553

Suivant l’opinion la plus commune, Homere vivoit environ cent cinquante ans après la guerre de Troye, et suivant la chronologie de Monsieur Newton, Homere étoit encore bien plus voisin des temps où se fit cette guerre, et il a pû voir plusieurs personnes qui avoient vû Achille et les autres heros célebres dans le camp d’Agamemnon. […] Pouvoit-il faire d’Agnès Sorel une fille violente et sanguinaire, ou une personne sans élevation d’esprit, et qui auroit conseillé à Charles VII de vivre avec elle dans l’obscurité ? […] Il n’y a personne dans la république des lettres qui n’ait oüi parler de monsieur le chevalier d’Arvieux, si fameux par ses voïages, par ses emplois et par son érudition orientale.

649. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XI. Mme Marie-Alexandre Dumas. Les Dauphines littéraires »

tant elle est véritablement — et n’est que cela — Mme Marie-Alexandre Dumas père et Mme Marie-Alexandre Dumas fils, procédant également de l’un et de l’autre, — la troisième personne de cette Trinité de Dumas, qui s’en croit l’Esprit-Saint peut-être, mais à qui je voudrais, si elle se fait cet effet-là, pour son compte et pour le mien, plus d’esprit et plus de sainteté. […] IV Tel ce livre chrétien, — d’un christianisme hostile aux prêtres, qui y sont fort malmenés dans la personne d’un abbé imbécile et ridicule, et qui remplace le confesseur par une femme en robe blanche, laquelle n’a été effleurée (sic) que par une tasse de lait depuis la sainte Eucharistie et par les lis du bouquet de la Vierge qu’elle a touchés… Est-ce assez M.  […] … Quant au talent, il est nul tout le temps qu’elle christianise, mais il y en a cependant dans le récit de l’adultère et du duel ; seulement un talent à la Dumas, sans esprit, tout de récit et de faits, et d’une personne qui a vécu dans une atmosphère où pendant trente ans et plus, on n’a parlé, arrangé, inventé que de ces choses-là.

650. (1895) Les œuvres et les hommes. Journalistes et polémistes, chroniqueurs et pamphlétaires. XV « Les honnêtes gens du Journal des Débats » pp. 91-101

En effet, si la critique n’est plus maintenant et ne doit plus être qu’un salut à tour de bras et jusqu’à terre à tout le monde, le Journal des Débats est plus que personne au niveau de la difficulté. […] Mais, du moins, personne n’avait encore dit que c’était un progrès ! Personne n’avait dit qu’être évasif dans les questions du bien et du mal littéraire, du bien et du mal moral, — car tout livre pose le double problème, — était le devoir, la fonction et la gloire de la critique !

651. (1880) Goethe et Diderot « Diderot »

Jourdain avec son gendre, et tapant sur les cuisses de toutes les personnes auxquelles il parlait. […] Il n’y trouve que des gouttes de cette force, qui ne tueront personne : « Qui examinera les livres  saints ? […] Triste production, qui, quand elle parut, ne fit illusion à personne. […] Hégel est quelqu’un, et Diderot, en philosophie, n’est personne. […] Personne, personne, au fond, n’avait lu et ne connaissait Diderot dans son intégralité, effrayante et assommante.

652. (1895) Nos maîtres : études et portraits littéraires pp. -360

Napoléon l’a créé pour son usage personnel : désormais son mécanisme ne profite plus à personne ; mais, en attendant qu’on se décide à le modifier, il n’y a désormais personne qui n’en souffre. […] France aurait contredit, ce prophète ne saurait être personne que M.  […] Personne n’a plus de vocation que pour la critique. […] Seule elle nous a montré dans la mère de Goethe une personne vivante. […] France sont des maîtres, et n’ont besoin d’imiter personne.

653. (1888) La vie littéraire. Première série pp. 1-363

Pourtant ils ont conté tous deux, et mieux que personne. […] Il n’assassina personne. […] Personne peut-être ne le sait. […] Personne ne l’aimait pour ce qu’il avait accompli. […] Personne n’en veut.

654. (1905) Études et portraits. Portraits d’écrivains‌ et notes d’esthétique‌. Tome I.

Le chevalier et l’abbé se fondirent dans la personne du comte de Rivarol. […] Une autre personne demeura plus fidèle au culte de la morte. […] Il ne peut pas se détacher de sa personne. […] Les comprendre, c’est comprendre du coup un groupe de personnes et chaque personne de ce groupe. […] Quelles mœurs, sinon celles que toutes ces personnes connaissent ?

655. (1884) Cours de philosophie fait au Lycée de Sens en 1883-1884

Pour qu’un être soit une personne il faut d’abord, c’est évident, qu’il soit un et identique. […] En effet, c’est là ce qui distingue la personne de la chose. […] La personne au contraire a pour qualité propre de tirer son action d’elle-même. […] Les autres ne sont que des instruments entre les mains des personnes ou des choses avoisinantes. […] Pour cela il faut critiquer et la personne du témoin, et les faits rapportés.

656. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre III. La Révolution. »

Nos Français qui en ce moment découvrent l’Angleterre en sont frappés. « En France, dit Montesquieu, je fais amitié avec tout le monde ; en Angleterre, je n’en fais à personne. Il faut faire ici comme les Anglais, vivre pour soi, ne se soucier de personne, n’aimer personne et ne compter sur personne. […] Et heureuses ces personnes religieuses, ces dames qui peuvent avoir pour confesseurs de tels hommes, si pleins d’abnégation, si prospères, si capables ! […] Une sorte de médiocrité incurable les retient la bêche à la main dans des tranchées où personne ne passera. […] Ma terre, mon bien, mon droit garanti par ma charte, quel qu’il soit, suranné, indirect, inutile, privé, public, personne n’y touchera, ni roi, ni lords, ni communes ; il s’agit d’un écu, je le défendrai comme un million : c’est ma personne qu’on entame.

657. (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXXIe entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff » pp. 237-315

Deux personnes seulement comprenaient sa situation : c’étaient son vieux père et son ami Pierre. […] Elle ne parlait à personne, et tremblait au seul nom de sa maîtresse, quoiqu’elle la connût à peine de vue. […] » L’innocente Moumou n’avait jamais mordu personne. […] Elle n’adressa la parole à personne, elle ne joua point aux cartes, et la nuit elle ne put dormir en paix. […] Il dîna tristement avec les domestiques, puis s’éloigna sans saluer personne.

658. (1932) Le clavecin de Diderot

Quand il ne peut ou n’ose, ou ne veut, ou ne daigne se déranger en personne, il dépêche son nonce laïque. […] Mais personne, jamais, ne manquera d’avoir bonne opinion de soi. […] La personne à soi condamnée, étanche aux autres, n’a même pas la compensation de se sentir bloc. […] Personne, en tout cas, ne s’était simplement contenté de le qualifier d’organe de la jouissance. […] Mais d’abord, il y a erreur sur la personne.

659. (1778) De la littérature et des littérateurs suivi d’un Nouvel examen sur la tragédie françoise pp. -158

Ces aplaudissemens ne vaudroient-ils pas bien ceux que l’on reçoit devant quelques personnes choisies & disposées à admirer d’avance la couleur & le ton de l’école. […] La coutume a fait de ce brigandage un acte public contre lequel personne ne réclame. […] C’est une vérité dont personne ne disconvient, mais sur laquelle on glisse toujours. […] Pourquoi personne n’ôse-t-il marcher sur ses traces ? […] Je ne dispute à personne un sentiment fin & délicat.

660. (1932) Les deux sources de la morale et de la religion « La religion statique »

Mais personne n’attribue plus à la société une origine accidentelle ou contractuelle. […] La force morale d’où part la résistance, et au besoin la vengeance, s’incarnerait donc dans une personne. […] Il n’est pas démontré que l’enfant qui s’est cogné à une table, et qui lui rend le coup reçu d’elle, voie en elle une personne. […] La veine n’est pas une personne complète ; il faut plus que cela pour faire une divinité. […] Le dieu est une personne.

661. (1874) Premiers lundis. Tome II « Sextus. Par Madame H. Allart. »

L’héroïne du roman, Française de vingt-quatre ans, blonde au visage noble et animé, qui a quelque chose d’élégant, de modeste et de naturel dans toute sa personne, d’un abord parfois sévère, mais qui s’adoucit avec de la grâce et de la cordialité, telle enfin qu’on croit sentir en elle une âme à la fois aimable et forte, capable de grandes choses, mais sensible aux petites ; Thérèse de Longueville, au milieu des hommages dont elle est l’objet, et auxquels elle reste assez indifférente, ne tarde pas à distinguer Sextus, à le craindre d’abord (car d’anciens chagrins l’ont rendue prudente), puis à désirer de le revoir et de lui plaire. […] Ces deux personnes idéales et vraiment belles n’ont d’air ni d’espace qui les entoure, et où elles puissent se déployer.

662. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — F — Franc-Nohain (1873-1934) »

Celle des Pédicures est impayable, et que dites-vous de celle-ci, qui porte ce titre élégiaque : Solitudes :          À boutons, ou à élastiques, Ou à lacets, ô bottine mélancolique Des personnes qui ont leur autre jambe en bois,          Ô bottine mélancolique, Sur ton isolement je pleure quelquefois. […] Les personnes qui, selon la règle classique, tiennent à ce que le comique découle des caractères, et non des situations ou des mots, ne trouvent pas toujours leur compte aux petits poèmes de M. 

663. (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre XX. Des Livres de facéties, des recueils d’anecdotes & de bons mots. » pp. 381-385

Personne n’a plus compilé de bons mots ; personne n’étoit plus incapable d’en dire.

664. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 7, que la tragedie nous affecte plus que la comedie à cause de la nature des sujets que la tragedie traite » pp. 57-61

Au contraire le poëte comique dépeint nos amis et les personnes avec qui nous vivons tous les jours. […] Le poëte tragique nous expose les inconveniens dont l’ignorance de soi-même est cause parmi les souverains et les autres personnes indépendantes qui peuvent se vanger avec éclat, dont le ressentiment est naturellement violent, et dont les passions propres à être traitées sur la scene peuvent donner lieu à de grands évenemens.

665. (1891) Esquisses contemporaines

Néanmoins, une extrême bienveillance l’empêche de se plaindre de personne. […] On nous apprend à réfléchir, personne ne nous enseigne à vivre. […] Cette conception, qui nous étonne aujourd’hui, n’étonnait personne à cette époque. […] la personne de Jésus-Christ. […] Il n’est loisible à personne, il n’était pas loisible a Scherer, de le discuter.

666. (1884) Propos d’un entrepreneur de démolitions pp. -294

contre les flancs de bronze qu’il faudrait avoir quand on veut sonner de sa personne en ce lâche monde. […] Jusque-là, qu’il prenne soin d’éloigner toute sa personne de la mienne. […] L’Église est un pouvoir désarmé qui ne menace plus la peau de personne. […] Je ne saurai sans doute jamais, ni personne, ce que M.  […] Rollinat est encore un inconnu et n’offusque personne jusqu’à cette heure.

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