C’est une contagion à laquelle personne n’échappe. […] Quant à sa langue, personne malheureusement n’en exprimera jamais la qualité incomparable. […] C’est la peinture d’une personne ou d’un animal. […] Personne n’a plus magistralement employé l’antithèse que Victor Hugo. […] Personne n’a mieux possédé l’art de faire heurter ses pensées.
Mais le doute ne tarde pas à être éclairci par sa rougeur ou son air de contrariété, par son calme affecté ou sa triste préoccupation. » La Bruyère, sans entrer dans ces nuances un peu prolongées, avait dit vivement : « Une femme qui n’a jamais les yeux que sur une même personne, ou qui les en détourne toujours, fait penser d’elle la même chose. » Mais, dans bien des cas, on éprouve chez M. de Latena la satisfaction de rencontrer des pensées justes, exprimées avec une attention et une description circonstanciée qui montre qu’elles sont bien nées, en effet, dans l’esprit de l’auteur : son seul soin est d’être élégant d’expression en même temps que fidèle. […] — Je crois que moyennant deux ou trois corrections que je viens de faire et un ou deux mots où j’ai appuyé, il ne saurait y avoir de doute sur le sens de mon jugement : ce n’est point à titre de nouveau, comme quelques personnes l’ont pensé, que je recommandais ce que j’allais citer, c’est en prenant sur mon goût habituel et non en y cédant que je rendais justice à un moraliste estimableu, sans avoir d’ailleurs le moins du monde l’intention de le rapprocher de M.
Après avoir reçu le livre, il écrivait à Mme d’Albany, le 14 octobre 1816, — et cette lettre est devenue désormais le jugement et le commentaire inséparables d’Adolphe : … J’ai profité du retard pour lire deux fois Adolphe ; vous trouverez que c’est beaucoup pour un ouvrage dont vous faites assez peu de cas, et dans lequel, à la vérité, on ne prend d’intérêt bien vif à personne. […] Ni les circonstances de la vie, ni celles de la personne n’ont aucune identité ; il en résulte qu’à quelques égards elle se montre dans le cours du roman tout autre qu’il ne l’a annoncée : mais, à l’impétuosité et à l’exigence dans les relations d’amour, on ne peut la méconnaître.
Nous y voyons (et cela est neuf) que la multiplicité de ses amours vint de ce qu’elle se croyait d’un tempérament froid, et que c’était cette persuasion, un peu humiliante, qui l’incitait à plus d’expériences qu’elle n’eût voulu… Nous y découvrons aussi qu’elle ne commença à aimer Musset « pour de bon » qu’à partir du jour où, l’ayant trompé, elle le congédia : et ce nous est une nouvelle preuve qu’elle fut une personne d’une extraordinaire imagination. […] Je serai franc : j’aime de tout mon cœur les œuvres des écrivains illustres, mais je n’éprouve pas le besoin de respecter particulièrement leur personne.
Il n’y a nulle exagération à dire, et le disant on n’apprend rien à personne, qu’il est et demeurera une des plus hautes figures littéraires de notre temps, et par un très haut talent et par cette vie entièrement dédiée à la poésie, et à la plus hautaine. […] Personne avant Dierx n’avait aussi bien vu, dans la plus saisissante métaphore qu’ait trouvée la nature, soit la splendeur floue des beaux soirs, vivant un instant, sur la rapide destruction quotidienne, ce contraste du dur déterminisme universel et des toilettes coquettes de ce vieil univers insoluble, couronnes de roses sur le front dur du sphinx.
Ce que n’ont pu Charles-Quint, Louis XIV, Napoléon 1er , personne probablement ne le pourra dans l’avenir. […] La différence du noble et du vilain est aussi accentuée que possible ; mais la différence de l’un à l’autre n’est en rien une différence ethnique ; c’est une différence de courage, d’habitudes et d’éducation transmise héréditairement ; l’idée que l’origine de tout cela soit une conquête ne vient à personne.
Soit qu’elle voulut éveiller les passions du jeune roi, soit qu’elle voulût satisfaire son propre penchant, et peut-être faciliter son commerce avec Mazarin, qui, dans les règles d’une bienséance sévère, aurait pu paraître trop intime, elle autorisa dans les bals de la cour une liberté dont s’étonnaient les personnes habituées au sérieux et au cérémonial rigide qui avaient régné à la cour de Louis XIII. […] Nous parlerons séparément de ces deux classes de personnes,
Eschine devoit être perdu ; mais l’accusation n’eut aucune suite, parce que la personne chargée d’entamer le procès, accusée elle-même alors de toutes sortes de crimes, ne put être écoutée en justice. […] Attaquant Démosthène dans la personne de Ctésiphon, il avance, dans son discours, que celui-ci, par sa demande, a violé les loix fondamentales de la république.
L’auteur anglois qui réprend la parole, prétend que nos poëtes, afin de pouvoir mettre de l’amour par tout, ont pris l’habitude de donner le nom d’amour et de passion à l’inclination generale d’un sexe pour l’autre sexe, determinée en faveur d’une certaine personne par quelques sentimens d’estime et de préference. […] On croiroit que l’amour fut une passion gaie à oüir les gentillesses que ces galands disent aux personnes qu’ils aiment ; ils ornent leurs discours enjouez de ces traits ingenieux, de ces métaphores brillantes, enfin de toutes les expressions fleuries qui ne sçauroient naître que dans une imagination libre.
C’est un sujet traité depuis un trop petit nombre d’années par des personnes d’esprits. […] Ainsi qu’il est plusieurs personnes, qui pour être trop sensibles à la musique, s’en tiennent aux agrémens du chant, comme à la richesse des accords, et qui éxigent d’un compositeur qu’il sacrifie tout à ces beautez, il est aussi des hommes tellement insensibles à la musique, et dont l’oreille, pour me servir de cette expression, est tellement éloignée du coeur, que les chants les plus naturels ne les touchent pas.
Je parle de cette hauteur qui consiste dans la noblesse des sentimens du coeur, et dans une élevation d’esprit, et qui fait mettre un juste prix aux avancemens où l’on peut aspirer, comme à la peine qu’il faut prendre pour y parvenir, sur tout quand il est question de les solliciter auprès de personnes qu’on ne croit pas être des juges compétens du mérite. […] Ce qu’un homme né avec du génie fait de mieux, est ce que personne ne lui a montré à faire.
Personne chez le concierge…, personne au secrétariat… rien qu’un pompier, le regard effaré, le casque en désordre, — en prière dans les escaliers.
voilà tout le contingent obligatoire auquel sont tenus ces hommes, modestes par l’offrande, mais immenses par le dévouement, qui, de présent, se donnent la fonction de dîner chez Véfour pour ranimer, dans leurs personnes, l’esprit français, manifestement défaillant. […] Pour lui, c’était un coup d’État… ou d’éclat, de ranger autour de sa personne toute la littérature, — foule de satellites dont il serait le soleil !
Il passe pour expérimenté, connu déjà par des ouvrages dont la publicité n’a pas été, jusqu’à ce moment, très sonore, ce qui est presque une distinction dans un temps où les réputations les moins méritées font le bruit de ces innocents coups de pistolet de papier que les enfants s’amusent à tirer et qui ne cassent la tête ni les doigts de personne. […] En plus d’un endroit nous avons remarqué des touches très fraîches, et qu’il n’a prises sur la palette de personne.
Jamais une oraison funèbre n’a ajouté un grain à la réputation de personne. C’est sans doute une partie de ces raisons qui a engagé l’auteur des hommes illustres du dix-septième siècle à choisir dans ses éloges une route tout à fait différente, et à s’oublier lui-même pour ne se souvenir que des personnes qu’il voulait louer.
Il est certain que toute sa personne répond mieux que celle de M. […] Au moins personne ne l’aura ! […] Personne ne veut la défendre ? […] Personne ne déménage plus facilement qu’un Parisien ! […] Notre petite mère, la terre, ne le dira à personne.
Si l’œuvre était très médiocre, si elle n’avait vraiment aucun rapport avec l’art, cela ne choquerait personne, mais étant d’art elle doit être également de morale. […] Telle est la supériorité de la fausse nouvelle sur la vraie, qu’elle donne des émotions sans dommage pour personne. […] Je crois que ceux qui veillent à la sécurité des personnes et de leurs biens seront de mon avis : les volés sont presque toujours des gens imprudents. […] Personne n’y comprenait rien et surtout les malheureux dont les actes discutables semblaient justement demander une certaine discussion. […] Personne n’avait songé à elle et elle ne pouvait le supporter, ni surtout supporter que les passants s’en aperçussent.
En revanche, il l’était peu de sa mère, fille pourtant du célèbre sculpteur Dubois, mais qui paraît avoir été une personne assez insignifiante, étroite de cœur et d’esprit ; elle ne lui avait guère laissé de tendres souvenirs. […] « Il y avait le comte de Bentheim, la seconde personne des États de Hollande ; M. […] Piron n’a jamais voulu se prêter à cet arrangement, et il a cependant souffert tout ce que l’on peut souffrir d’une personne qui a perdu entièrement la raison et qui se portait quelquefois aux dernières violences. […] Quel supplice de voir toujours sous ses yeux une personne que l’on aime, dans une situation aussi déplorable ! […] » — Il avait fait venir du pays, après la mort de sa femme, et il avait près de lui, pour le soigner, une personne qui passait pour sa nièce et qui n’était qu’une petite cousine.
Il y a des ridicules complètement ignorés de la personne qui en est atteinte. […] Il existe d’autres ridicules ou même de véritables vices, parfaitement connus de la personne chez qui ils règnent, mais cachés avec soin par son amour-propre. […] N’est-ce pas assez d’un pour tuer une personne ? […] Il excelle, quand il veut, dans cette gaieté douce qui ne fait de mal à personne. […] Ce sont les Nérine et les Sbrigani, quand ils ne se vantent pas trop des faux contrats qu’ils ont signés et des personnes qu’ils ont fait pendre.
Au-devant, au-devant de ses yeux, tout lui apparaissait encore : quel il était lui-même en personne, de quel manteau il était vêtu, ce qu’il avait dit, et quelle bonne mine quand il se tenait assis sur son siège, et quelle noble démarche en sortant ; et sa pensée, en s’assombrissant, lui disait qu’il n’y en avait pas un pareil entre les hommes ; et sans cesse la douce voix du héros résonnait à ses oreilles, avec les discours de miel qu’il avait prononcés. […] Mais, puisque nous y voilà, et que personne ne paraît, amusons-nous à cueillir des fleurs et à chanter : il sera temps ensuite de s’en retourner, et vous ne reviendrez pas sans présents, si vous voulez m’en croire. » Et elle leur raconta à demi la promesse à laquelle elle s’est engagée : l’étranger doit venir pour recevoir d’elle un charme propice, mais elle peut lui en donner un qui soit contraire, recevoir les présents, et ainsi tout sera concilié. […] Tous les héros des poëmes anciens, Énée, Ulysse, ont le don de devenir plus grands, plus beaux de leur personne, à de certains moments, sous la protection des déesses ; mais nulle part cette sorte de métamorphose ou d’embellissement surnaturel n’est plus magnifiquement décrite que pour Jason : « Personne encore jusque-là parmi les hommes des anciens jours, ni parmi ceux qui sont de la descendance de Jupiter lui-même, ni d’entre tous les héros qui jaillirent du sang des autres immortels, personne n’avait été pareil à ce que devint Jason ce jour-là, par la faveur de l’épouse de Jupiter, tant pour la beauté de la personne que pour le charme des entretiens. […] Aussi ne me témoigne point cette réserve extrême, ô jeune fille, si tu as quelque chose à me demander ou à me dire ; mais, puisque nous sommes venus ici à bonne intention, dans un lieu sacré où tout manquement est interdit, traite-moi en toute confiance… » Et il lui rappelle la promesse qu’elle a faite à sa sœur ; il la conjure par Hécate et par Jupiter-Hospitalier ; il se pose à la-fois comme son hôte et son suppliant ; et il touche cette corde délicate de louange qui doit être si sensible chez la femme ; car, après tout, Médée est un peu une princesse de Scythie, une personne de la Mer-Noire qui doit être secrètement flattée de faire parler d’elle en Grèce112. « Je te payerai ensuite de ton bienfait, lui dit-il, de la seule manière qui soit permise à ceux qui habitent si loin l’un de l’autre, en te faisant un nom et une belle gloire.
Cette jeune personne avait reçu de la nature un esprit délicat, et de son père un esprit cultivé. […] Il s’attache à la fortune et à la personne de cette charmante protectrice ; elle l’emmène avec elle à Chambéry dans la retraite délicieusement occupée des Charmettes ; elle y achève l’éducation littéraire de son protégé. […] Amant prétendu de la nature, il méprise la simple beauté des jeunes filles de basse condition, pleines de prévenances et d’agaceries pour lui ; il avoue ses goûts tout aristocratiques pour le rang, l’orgueil, la parure des jeunes personnes de haut rang et de haute fortune. […] Les invectives de Rousseau contre l’ambassadeur choquèrent par leur véhémence les personnes qui l’avaient recommandé à cet homme de cour ; on l’éloigna de ces maisons, dans lesquelles on l’avait si bien accueilli. […] Cette puérilité dans un philosophe européen attire sur lui une attention qui s’attache plus à l’habit qu’à la personne.
Des intérieurs sordides apparaissent dans ses livres, de la cahute près d’Yonville, où Mme Bovary trouva l’entremetteuse de ses liaisons, à la mansarde dans laquelle Dussardier blessé fut soigné par cette énigmatique personne, la Vatnaz. […] Seul, avec les plus grands des psychologues russes, il saisit les personnes successives qui apparaissent tour à tour au-dehors et au dedans de chaque individu. Que l’on observe combien Mme Bovary est parfaitement, aux premiers chapitres, la jeune femme soucieuse d’intérieur et reconnaissante de l’indépendance que le mariage lui assure ; puis l’inquiétude, croissante de toute sa personne ardemment vitale, et son chaste amour pour un jeune homme fréquentant sa maison, prélude coutumier des adultères plus consommés. […] Félicité, la simple bonne de Mme Aubain, porte au catéchisme où elle accompagne la fille de sa maîtresse, une sensibilité délicate et tactile, jusqu’à de pareilles élévations : « Elle avait peine à imaginer sa personne ; il n’était pas seulement oiseau mais encore un feu et d’autres fois un souffle, c’est peut-être sa lumière qui voltige la nuit, au bord des marécages, son haleine qui pousse les nuées, sa voix qui rend les cloches harmonieuses ; et elle demeurait dans une adoration, jouissant de la fraîcheur des murs et de la tranquillité de l’église. » En s’accoutumant à rendre le dialogue en style indirect, Flaubert se débarrasse encore, de la nécessité des modernistes, forcés de hacher leur phrase à la mesure de paroles lâchées. […] Mes accès antérieurs ont eu lieu par violations exercées sur ma personne ; mais le bras de Dieu s’est appesanti d’une manière effrayante sur ceux qui ne sont pas revenus à lui… etc. » Que l’on fasse abstraction de l’absurdité des idées et que l’on considère seulement la brièveté et la rondeur des phrases, leur suite incohérente ou faiblement liée, toute l’allure mesurée et cadensée de ce petit morceau ; il semblera incontestable aux personnes qui ne répugnent pas par préjugé à l’assimilation d’un fou et d’un homme de génie, que certains passages de Flaubert sont l’analogue lointain et cependant exact de cette littérature d’asile.
Les personnes qui ont connu Émile Zola disent que, pour le visage, Édouard Rod lui ressemblait. […] Il l’était assez pour n’entreprendre point sur l’individualité de personne. […] M. de Boislisle m’avait dit : — Vous verrez… Personne n’a autant d’esprit, personne n’est aussi amusant que l’abbé Duchesne ! […] Saint François d’Assise était plus gai que personne. […] Je me figure que vous ne détestez rien ni personne : pourquoi limiter son plaisir ?
Il n’est plus la personne objective que les voyants et les prophètes ont entrevue : il est une conception de l’esprit humain. […] Renan vivra dans l’avenir, car depuis Platon, personne n’a écrit plus de choses essentielles sur les problèmes de l’âme et du cœur. […] Peut-être fera-t-on des miracles en son nom, et qui sait si personne ne les lui reprochera ? […] Lemaître nous confie quelque part qu’il ne hait personne. […] Il semblerait donc que personne ne doive mener une vie bonne, droite et morale.
On a reconnu la tendance des graves vers un centre commun, & l’opinion des Antipodes n’a plus révolté personne. […] C’est un talent donné à peu de personnes, & que peu de personnes sont en état de critiquer. […] (Belles-lettres.) entretien de deux ou de plusieurs personnes, soit de vive voix, soit par écrit. […] Personne, par exemple, n’est tenté d’envier le sort de deux bergers qui se traitent de voleurs & d’infames (Virg. […] L’épître n’a point de style déterminé ; elle prend le ton de son sujet, & s’éleve ou s’abaisse suivant le caractere des personnes.
C’est qu’il nous fait, pénétrer plus avant que personne aux secrets replis de notre être. […] C’est, suivant les personnes, un amusement ou une foi aristocratiques. […] En revanche, jamais personne ne se sera diverti autant que toi d’être au monde. » Ainsi parla la fée et, tout compte fait, elle fut assez bonne personne. […] Zola s’en défend et qu’il l’est pourtant plus que personne. […] Mais je me demande si personne l’a jamais eue à ce degré.
Sarcey le sait mieux que personne. […] Il a pensé (peut-être à tort) que je la connaissais mieux que personne. […] C’est aux autres à ne pas se laisser duper ; on ne force personne. […] Et personne n’y a cru, et l’on s’est demandé (juste retour) si les deux frères avaient bien compris. […] — Voici : le serment de ne parler à aucun étranger sans toi, de ne voir personne, de ne penser jamais à personne qu’à toi !
Dans une cité qui a un port et vit de commerce maritime, il n’est personne qui ne s’entende à manœuvrer un tel navire, personne qui ne connaisse d’avance ou n’apprenne vite les signes du temps, les chances du vent, les positions et les distances, toute la technique et tous les accessoires qu’un matelot ou un officier de mer ne sait chez nous qu’après dix ans d’étude et de pratique. […] Car personne, à ce qu’on dit, ne parut plus beau et plus grand que ton oncle Pyrilampe toutes les fois qu’on l’envoyait en ambassade auprès du grand roi on auprès de quelque autre sur le continent ; et toute cette autre maison ne cède en rien à la première. […] Lorsqu’un peuple sent la vie divine des choses naturelles, il n’a pas de peine à démêler le fond naturel d’où sortent les personnes divines. […] Le soleil dans Homère, est un autre dieu qu’Apollon, et la personne morale se confond en lui avec la lumière physique. […] Personne, parmi les Égyptiens, n’a pu lui répondre quand il leur a demandé la cause des crues périodiques du Nil.