L’Histoire du nouveau Peuple de Dieu a fourni matiere à de si justes condamnations.
Il est moins connu par son Histoire Romaine, son Histoire des Indes, celle des Amazones, celle des Empires, & son Essai critique sur celui d’Occident, que par l’Oracle des nouveaux Philosophes.
Il me sembla donc que, sans rejeter inconsidérément les observations (qualifiées mal à propos de règles) grammaticales, il fallait du moins ajouter un nouveau principe à ceux qui guident l’étude des langues, le principe esthétique.
Cette seconde édition est augmentée de deux odes nouvelles, Louis XVII et Jéhovah.
Je crois voir de ta main tomber l’urne terrible ; Je crois te voir cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau !
Je suis persuadé que son ouvrage rencontrera le succès auquel il a droit : les spécialistes, comme je l’indiquais à l’instant, y trouveront matière à compléter leurs connaissances et sans doute à découvrir des aperçus nouveaux ; la masse du public, elle aussi, voudra lire ce livre et ceux qui le suivront, car, aujourd’hui comme au temps de La Fontaine, nous aimons tous et toujours à nous faire conter l’histoire de Peau d’Ane ; notre plaisir se double même d’une piquante sensation de curiosité lorsque c’est un nègre qui nous la conte, pourvu que ce nègre ait trouvé un interprète aussi averti que l’est M.
Cette critique est le fondement d’un nouveau système du droit des gens.
Autres preuves tirées de la manière dont chaque état nouveau de la société se combine avec le gouvernement de l’état précédent.
Voyez dans Tacite comment la monarchie s’établit à Rome à la faveur des titres républicains que privent les empereurs, et auxquels le peuple donna peu-à-peu un nouveau sens.
Il a une nouvelle idée, il va exécuter un autre poème, après quoi il nous reviendra de nouveau, aussi fidèlement. […] Les nouveaux venus gobent tout et admirent de confiance. […] Tissot, qui était alors une autorité, s’avisa, tout classique qu’il était, de dire je ne sais quoi sur Esther ; je le relançai si vertement, moi nouveau venu, qu’il en fit deux jours après un article au Constitutionnel, sur la jeunesse du jour. […] Bien plus tard, commençant dans Le Constitutionnel la série des Nouveaux Lundis, j’avais cru pouvoir m’occuper de M. […] Victor Hugo publia une réimpression de ses premières odes, augmentée d’odes nouvelles et de ballades, avec une préface qui arborait résolument le drapeau de la liberté littéraire.
Il lisait toutes sortes de livres anciens et nouveaux : c’était une nourriture qui lui était nécessaire. « Les jeunes gens surtout, disaii-il, devraient se mettre en tête cette maxime bien véritable, que plus on lit plus on a d’esprit… Celui qui a lu aurait encore plus d’esprit s’il avait lu davantage. » Il lisait toutes les nouveautés, et notait l’impression qu’il en recevait ; il n’était pas de ces dédaîgneurs (comme il les appelle) qui déclaraient d’un livre à première vue que cela ne valait rien ; il lisait jusqu’au bout le livre une fois commencé, biographies, mélanges, anecdotes, même les ana, même les contes de fées ; il les prenait par leur bon côté et y trouvait presque toujours sujet à quelque réflexion, à quelque plaisir : « Je dis à nos amis ordinaires : Que je vous plains de toujours critiquer ! […] Auparavant ses conclusions allaient à n’admettre nul goût et nui génie, ni presque ressources d’aucun genre, et il y avait des moments ou l’on se sentait avec lui à la fin des temps et comme au bout du monde : il se relève à partir d’une certaine heure, et s’aperçoit qu’un souffle nouveau passe dans l’air, et pour ainsi dire que la brise fraîchit ; il la signale des premiers et la salue. […] À côté de Saint-Évremond, dans son goût et son estime, il place pourtant une femme, Mme de Staal-Delaunay, dont les Mémoires, alors nouveaux (1755), l’ont ravi : « Elle écrit mieux que Mme de Sévigné, dit-il ; moins d’imagination, plus de sagesse, plus de sentiment, plus de vérité. » Si l’on y réfléchit, tous ces jugements concordent et se tiennent ; ils sont bien du même homme24.
La poésie française au xvie siècle est un des champs qui ont été le plus fouillés et retournés en tous sens depuis trente-cinq ans, et il s’y produit chaque jour de petites découvertes nouvelles. […] Je ne ferai que citer à la file nombre de ces tentatives moins ambitieuses de réhabilitation, ou plutôt de ces exhumations toutes provinciales de poètes du xvie siècle : Alexandre, surnommé le Sylvain de Flandre, et dont le vrai nom était Van den Bussche, qui vint en France à la Cour des Valois, se polir, se galantiser, rimer dans le goût, du temps et mériter ce nouveau nom travesti de Sylvain ; qui fut mis en prison pourtant l’année même de la Saint-Barthélemy, et peut-être pour n’en avoir pas approuvé les horreurs54 ; — et Blaise Hory, un poète Suisse de Neufchâtel, pasteur d’un petit village bernois55, — et Loys Papon, chanoine de Mont-brison, cher aux Forésiens et aux bibliophiles plus à bon droit qu’aux poètes56 ; — et Julien Riqueur de Séez, l’ami de Bertaut57 ; — et Guy de Tours58 ; — et André de Rivaudeau, le poitevin59, etc., etc. : — et Nicolas Ellain, poète parisien, aussi enterré qu’un poète de province60. — Enfin, nous attendons de jour en jour Pierre de Brach, le poète bordelais, l’ami de Montaigne, que le jeune érudit, M. […] L’historien littéraire qui n’a point de parti pris et qui tient sa fenêtre ouverte, est toujours prêt à jouir de ce qui s’offre de bien et à profiter du bénéfice des investigations nouvelles.
Remarquez qu’au moment même où il se préparait à s’enfuir, don Carlos, ce séditieux d’un nouveau genre, se rendit au monastère de Saint-Jérôme près Madrid (27 décembre 1567) pour s’y confesser, y communier le lendemain et gagner le jubilé que le pape avait accordé à toute la chrétienté pour ce jour-là, qui était celui des Saints-Innocents. […] Un nouveau Cid, de nos jours, est impossible. […] Sur ce nom demi-fabuleux, depuis Tirso de Molina, Molière, Mozart, jusqu’à Byron, Mérimée et Musset, chacun a joué à son tour et à sa guise ; chacun a transformé le type à son image et l’a fait chaque fois original et nouveau.
Nous causerons, lui dit-il, poésie, littérature, et des jeunes et des vieux, des nouveaux d’aujourd’hui et de ceux d’autrefois ; et venant à la peinture : Je te dirai comment Rioult, mon maître, fait Un tableau qui, je crois, sera d’un grand effet : . […] Son premier voyage en Espagne, qui est de 1840, et qui fut dans sa vie d’artiste un événement, lui avait fourni des notes nouvelles d’un ton riche et âpre, bien d’accord avec tout un côté de son talent ; il y avait saisi l’occasion de retremper, de refrapper à neuf ses images et ses symboles ; il n’était plus en peine désormais de savoir à quoi appliquer toutes les couleurs de sa palette. […] Sans compter que le public français (j’y reviendrai) ne peut guère porter qu’un poète nouveau à la fois, notez encore que c’est presque toujours par des côtés accessoires, étrangers à la poésie pure, qu’il l’adopte et qu’il l’épouse.
Il venait à peine de prendre possession de ce nouveau poste plus avantageux, lorsque la Porte, rompant avec la France et nous déclarant la guerre, le fit arrêter comme otage. […] Ces fonctions extraordinaires ayant cessé l’année suivante par l’organisation régulière et l’entière annexion de ces nouveaux départements, il fut et resta préfet de l’un d’eux, de celui du Mont-Tonnerre, qu’il administra jusqu’à sa mort. […] Je me félicite de pouvoir conserver avec vous à un autre titre des relations que votre zèle et vos lumières me rendent précieuses, et je ne doute point que lorsque je vais mettre sous les yeux des Consuls le compte rendu de votre gestion jusqu’au 1er vendémiaire prochain, je ne doute point qu’ils ne m’autorisent à confirmer ce témoignage de confiance et d’estime. » Tel fut le point de départ des nouveaux services que Jean-Bon était appelé à rendre et des approbations qu’il allait continuer de mériter dans un exercice de plus de dix années.
Le reste était tous nouveaux régiments, dont plusieurs étaient à demi ruinés, dix-neuf escadrons de dragons… Nous leur avons abandonné Carmagnole que l’on ne pouvait soutenir et que l’on voulait quitter. […] Bouchu se trouvait dans la chambre du roi au moment où Louis XIV, dans son cabinet, déclara les nouveaux maréchaux, et les personnes qui étaient dans la chambre, c’est-à-dire dans la pièce voisine, en eurent la première nouvelle : ce fut l’archevêque de Paris, M. de Harlay, qui, sortant du cabinet, le dit à Bouchu, et le pria de mander à Catinat cette circonstance que le roi, en lisant au Père de La Chaise et à lui archevêque la liste des sept nouveaux maréchaux, avait dit, en répétant le nom de Catinat : « C’est bien la vertu couronnée !
La quantité de notions plus précises qu’on a pu acquérir depuis par la publication de papiers originaux, le jour qui s’est fait sur bien des événements controversés, toutes ces révélations, comme on dit, sont plus que compensées, selon moi, par la fausseté et l’énormité de certains systèmes et sophismes historiques qui ont plus ou moins prévalu, qui pèsent désormais sur l’esprit des générations nouvelles et y font nuage à leur tour, — qui font empêchement et obstacle dans un autre sens à une vue nette de la vérité. […] S’il la faisait favorable ou simplement impartiale, ne passerait-il point pour manquer à ses nouveaux devoirs et ne soulèverait-il pas les accusations des militaires antifrançais ? […] Il maintenait les grands principes stratégiques, sans se dissimuler toutefois que les chemins de fer avaient apporté un élément tout nouveau et imprévu dans les opérations des armées.
Elle a foi dans son vœu ; Elle ose la première à l’avenir en feu, Quand, chassant le vieux Siècle, un nouveau s’initie, Lire ce que l’éclair lance de prophétie. […] Mais en y songeant mieux, revoyant sans fumée, D’une vue au matin plus fraîche et ranimée, Ce tableau d’un poëte harmonieux, assis Au sommet de ses ans, sous des cieux éclaircis, Calme, abondant toujours, le cœur plein, sans orage, Chantant Dieu, l’univers, les tristesses du sage, L’humanité lancée aux Océans nouveaux…, — Alors je me suis dit : Non, ton oracle est faux ; Non, tu n’as rien perdu ; non, jamais la louange, Un grand nom, — l’avenir qui s’entr’ouvre et se range, — Les générations qui murmurent : C’est lui ! […] Les secondes Méditations ne finissent pas, ne s’accomplissent pas comme les premières ; elles ouvrent un chant nouveau, indéfini, plus serein, plus paisible et lumineux ; elles laissent entrevoir la consolation, l’apaisement dans l’âme du poëte ; mais elles n’apaisent pas le lecteur.
Mais, à part cette velléité d’orgueil national qui se prenait à un nom, ses vœux et ses penchants, d’accord avec tout ce qu’il entendait autour de lui, étaient pour l’ordre nouveau. […] Les nombreux articles de critique dans lesquels il juge les ouvrages et drames nouveaux respirent une conscience profonde, et accusent un retour pénétrant sur lui-même, un souci comme effaré de l’avenir. […] Autour de Hugo, et dans l’abandon d’une intimité charmante, il s’en était formé un très-petit nombre de nouveaux ; deux ou trois des anciens s’étaient rapprochés ; on devisait les soirs ensemble, on se laissait aller à l’illusion flatteuse qui n’était, après tout, qu’un vœu ; on comptait sur un âge meilleur qu’on se figurait facile et prochain.
Ampère en particulier, voilà sept années au moins que cette influence existe, qu’elle féconde les directions des jeunes esprits laborieux, qu’elle stimule, qu’elle éclaire les travaux collatéraux des autres critiques, qu’elle réagit même sur les talents des maîtres plus mûrs, pour les avertir à quelques égards d’un certain progrès nouveau. […] L’abbé Prévost, dans le vingtième nombre du Pour et Contre, adressa aux auteurs sur leur premier volume, parmi de vrais éloges, assez de critiques qui lui attirèrent une réponse dans la préface du second tome : « C’est une plume agréable, disait-on, qui cherche à badiner… S’étant familiarisé avec le brillant, le nouveau, le magnifique, il voudrait ne voir paraître de livres que dans le même goût. » L’abbé Prévost leur reprochait, en effet, d’une manière assez peu indirecte, le manque d’agrément, de choix et de proportion dans la série des auteurs. […] Mes amis ont raison, j’aurais tort, en effet, De me plaindre ; en tous points mon bonheur est parfait : J’ai trente ans, je suis libre, on m’aime assez ; personne Ne me hait ; ma santé, grâce au ciel, est fort bonne ; L’étude, chaque jour, m’offre un plaisir nouveau, Et justement le temps est aujourd’hui très-beau.
Il porta tout aussitôt et ne cessa de garder les qualités antiques dans l’adoption des œuvres et des doctrines nouvelles. […] C’est plaisir et douce surprise que de retrouver ces théories et ces œuvres nouvelles analysées, exposées, justifiées parfois, dans un langage courant et pur, avec accompagnement des réminiscences, des citations classiques que le critique y entremêle, et par lesquelles il les rattache sans effort à ce que souvent elles oubliaient. […] C’est cette portion mobile qui a été ruinée du coup en juillet 1830 ; le je ne sais quoi de nouveau se cherche et ne s’est pas trouvé jusqu’ici.
Quand les faits sont clair-semés ou manquent, ce qui arrive quelquefois, il ne s’efforce point d’y suppléer par les suppositions circonspectes et les inductions légitimes d’une critique sagement conjecturale ; mais il passe outre, et s’empresse d’arriver à des faits nouveaux : de là chez lui des intervalles et des lacunes que l’esprit du lecteur est involontairement provoqué à combler. […] Ronsard, mort depuis longtemps, mais encore en possession d’une renommée immense, et représentant la poésie du siècle expiré ; Malherbe vivant, mais déjà vieux, ouvrant la poésie du nouveau siècle, et placé à côté de Ronsard par ceux qui ne regardaient pas de si près aux détails des querelles littéraires ; Théophile enfin, jeune, aventureux, ardent, et par l’éclat de ses débuts semblant promettre d’égaler ses devanciers dans un prochain avenir. […] Les dégoûts qui suivirent pour lui le triomphe du Cid le ramenèrent à Rouen dans sa famille, d’où il ne sortit de nouveau qu’en 1639, Horace et Cinna en main.
Cependant elle ne peut tout à fait s’abriter contre les souffles nouveaux : Jean Le Maire de Belges, qui fut historiographe de Louis XII, écrit les Illustrations des Gaules 162, vaste compilation de récits fabuleux, où se heurtent singulièrement l’érudition saugrenue du moyen âge et l’enthousiasme poétique de la Renaissance : le même qui fait des vers dignes de Molinet est un adroit ouvrier qui prépare avec un certain sentiment d’artiste l’instrument de la poésie future ; Clément Marot tiendra de lui quelques excellents secrets de facture163. […] Il a l’imagination abstraite, subtile, spirituelle, des souplesses et des sourires nouveaux dans la sécheresse un peu triste d’autrefois. […] En 1526, il est mis au Châtelet, puis transféré à Chartres (épitre à Lyon Jamet) ; eu 1527, octobre, on l’arrête de nouveau : Epitre au Roy, qui le fait, relâcher.
A ses vieux griefs contre les Parlements jansénistes s’ajoutait une haine humanitaire contre les traditions surannées de ces corps, contre leur légèreté, leur présomption, contre leur égoïste indifférence, et la préférence qu’ils donnaient à leurs intérêts collectifs sur l’intérêt de la justice ou des particuliers : aussi applaudit-il des deux mains au coup d’État de Maupeou, à l’institution des nouveaux Conseils qui promettaient une justice plus rapide, plus sûre, plus humaine. […] Et il en vient toujours du nouveau, toujours de l’imprévu. […] Un coupable lui rappelle les autres ; et sur chaque grief nouveau il repasse toutes ses vieilles rancunes.
C’est donc le plaisir que nous donne un objet qui nous porte vers un autre ; c’est pour cela que l’ame cherche toûjours des choses nouvelles, & ne se repose jamais. […] Mais s’il faut de l’ordre dans les choses, il faut aussi de la variété : sans cela l’ame languit ; car les choses semblables lui paroissent les mêmes ; & si une partie d’un tableau qu’on nous découvre, ressembloit à une autre que nous aurions vue, cet objet seroit nouveau sans le paroitre, & ne seroit aucun plaisir ; & comme les beautés des ouvrages de l’art semblables à celles de la nature, ne consistent que dans les plaisirs qu’elles nous font, il faut les rendre propres le plus que l’on peut à varier ces plaisirs ; il faut faire voir à l’ame des choses qu’elle n’a pas vûes ; il faut que le sentiment qu’on lui donne soit different de celui qu’elle vient d’avoir. […] C’est encore par-là que les pieces de théatre nous plaisent ; elles se développent par degrés, cachent les évenemens jusqu’à ce qu’ils arrivent, nous préparent toûjours de nouveaux sujets de surprise, & souvent nous piquent en nous les montrant tels que nous aurions dû les prévoir.
Il va les découvrir, les rallier, se mettre à leur tête, comme un nouveau Moïse, et les reconduire dans la Terre promise, à l’ombre du Temple reconstruit sur un nouveau plan, In exitu Israel de Egypto ! […] La pièce pourrait finir là : l’auteur, au troisième acte, a su pourtant tirer des effets nouveaux d’une action qui paraissait épuisée.
Basset prêche sur le vaisseau et lui fait l’effet d’un Bourdaloue : Il y a un peu de miracle à son affaire, dit Choisy ; et, à mesure qu’il approche du lieu de sa mission, Dieu lui fait de nouvelles grâces et lui donne de nouveaux talents. […] L’abbé de Choisy écrit comme il cause, comme il entend causer ; il aime à ouvrir des parenthèses, et quand un nouveau sujet l’intéresse, il interrompt et laisse le précédent.
Cependant à quoi pensez-vous que je puisse vous être bon, tant que vous réserverez mon talent et mon action pour les cas particuliers où vous vous trouverez embarrassé, et qu’aussitôt sauvé ou non sauvé de cet embarras, perdant de vue ses conséquences et la nécessité d’une marche systématique dont tous les détails soient en rapport avec un but déterminé, vous me laisserez sous la remise pour ne me provoquer de nouveau que dans une crise ? […] quel assemblage grotesque de vieilles idées et de nouveaux projets, de petites répugnances et de désirs d’enfants, de volontés et de nolontés, d’amours et de haines avortés ! […] Le talent aurait retrouvé son compte à un nouveau rôle plein d’éclat et de puissance.