Il avoit l’imagination vive, les mœurs simples, & une certaine naïveté qui intéressoit.
Cet Ouvrage fut d'autant plus accueilli du Public, que les antiquités, les loix, les usages & les mœurs privées des Romains, n'avoient encore été expliqués que d'une maniere confuse & peu instructive.
Ses plaisanteries & sa gaieté sont plus libres que la sagesse & l’honnêteté ne le comportent, & souvent ses Vers décelent la bassesse de ses inclinations, aussi bien que le déréglement de ses mœurs ».
Les Italiens & les Allemands l'ont fait passer dans notre Langue, & il a été accueilli en France, des Esprits qui tiennent à la Religion & aux mœurs.
Il aime les mœurs de son pays avec une candeur un peu enfantine, quoique un peu déclamatoire, qui ne déplaît pas. Tranchons le mot : il est provincial Ses satires contre les mœurs de Paris dans la Nouvelle Héloïse sont des hommages à Genève et à Chambéry. […] A conserver les mœurs, ils sont intéressés. […] Les Epidamniens, sentant leurs mœurs se corrompre par leur communication avec les Barbares, élurent un magistrat pour faire tous les marchés au nom de la cité et pour la cité. […] J’en conviens ; mais les insulaires ont en général un autre caractère que ceux du continent, et les mœurs anglaises sont moins molles que celles des autres Européens.
Il est factice, et les mœurs de la société sont factices. […] C’était le costume du temps, il fallait bien l’endosser. « La demande des élégances, dit le brave Samuel Johnson dans son style commercial et académique, était si fort accrue, que la pure nature ne pouvait être supportée plus longtemps. » La bonne compagnie et les lettrés faisaient un petit monde à part, qui s’était formé et raffiné d’après les mœurs et les idées de la France. […] Ses mœurs se sentent bien fort de celles de Rochester et de toute cette canaille bien vêtue que la Restauration légua à la Révolution. […] Telles mœurs, tel style. […] Macpherson étalait devant les gens un pastiche des mœurs primitives, point trop vraies, car l’extrême crudité des barbares eût choqué, mais cependant assez bien conservées ou imitées pour faire contraste avec la civilisation moderne et persuader au public qu’il contemplait la pure nature.
Il a en vue surtout, et il le manifeste par son refrain tantôt grivois, tantôt patois, tantôt soldatesque, l’ouvrier du faubourg, le paysan du village, le soldat, le sergent, la cantinière de la caserne ; il affecte, en chantant, l’accent, les mœurs, le costume, le geste, les gallicismes intentionnels de ces classes particulières de la nation. […] On a affecté de le dire pour flatter l’ignorance ; on a voulu faire croire au peuple que l’éducation était inutile aux mœurs, que l’instruction était inutile à l’esprit, et que, dans les couches neuves et incultes de la nation, le génie né de lui-même portait sans racines les fruits exquis de la littérature, de la philosophie, de la politique et de l’art. […] Ni cette éducation qui forme les mœurs, ni cette instruction qui achève l’esprit, n’avaient totalement manqué à Béranger. […] Qu’importe le mot, quand la latinité de l’idée a passé dans les mœurs et dans le style ? […] Enfin il y fut initié par les mœurs communes à la langue triviale du peuple dont il goûtait les larmes au fond du verre.
Lorsqu’on parcourt soit telle oraison funèbre, soit tel chapitre de la Politique tirée de l’Écriture sainte, en tenant compte même des mœurs de la monarchie absolue, il est impossible de ne pas être frappé de la platitude des épithètes dont l’évêque accable le roi. […] … « … Les plus sages catholiques et les mieux informés, les gouverneurs, les intendants… témoignent que, ni pour les mœurs, ni pour l’instruction, les catholiques ne soutenaient la comparaison avec les protestants, ni les prêtres avec les ministres… En ce sens, les protestants persécutaient, humiliaient le clergé. […] Le grand trait des mœurs de ce temps, la dévotion galante et la pénitence amoureuse, l’universalité de l’adultère, distinguaient, séparaient fortement les deux sociétés. La grande France, dévote et mondaine, avait sa bête noire en la petite, chagrine, austère, qui, sans rien dire, contrastait par ses mœurs, importunait de son triste regard90. » Ce petit peuple héroïque des Réformés de France possédait en lui des trésors d’énergie pour l’avenir. […] L’archevêque de Paris, Harlai, n’était peut-être pas en suffisante estime, à cause de ses mœurs.
Dans cette variété infinie d’actions et de pensées, de mœurs et de langues que nous présente l’histoire de l’homme, nous retrouvons souvent les mêmes traits, les mêmes caractères. […] Partout il est indigène, partout il a été fondé par la Providence dans les mœurs des nations. […] Si les gouvernements résultent des mœurs, la jurisprudence varie selon la forme du gouvernement. […] Il ne fait point marcher de front, comme Vico, l’histoire des religions, des gouvernements, des lois, des mœurs, de la poésie, etc. […] Essai sur l’esprit et les mœurs des nations, commencé en 1740, imprimé en 1785. — Turgot.
Il entra par l’étude dans les mœurs et dans l’esthétique des siècles morts ; il démêla l’empreinte que les générations reçoivent de la terre, du climat et des ancêtres : et, comme il s’amusait à la logique de l’histoire, il en sentit moins la tristesse ; puis il lui parut que toute force qui se développe a sa beauté pour qui en est spectateur sans en être victime ; il eut des visions du passé si nettes, si sensibles et si grandioses qu’il leur pardonna de n’être pas consolantes. […] Les nouveaux convertis au Christ, Saxons, Germains, Gaulois, n’ont point dépouillé leurs moeurs barbares ni leur facilité à tuer et à mourir. […] Leconte de Lisle ne soit jamais populaire ; mais on ne peut nier que les sociétés primitives, l’Inde, la Grèce, le monde celtique et celui du moyen âge ne revivent dans les grandes pages du poète avec leurs mœurs et leur pensée religieuse. […] Etre convaincu que toute émotion est vaine ou malfaisante, sinon celle qui procède de l’idée de la beauté extérieure ; regarder et traduire de préférence les formes de la Nature inconsciente ou l’aspect matériel des mœurs et des civilisations ; faire parler les passions des hommes d’autrefois en leur prêtant le langage qu’elles ont dû avoir et sans jamais y mettre, comme fait le poète tragique, une part de son cœur, si bien que leurs discours gardent quelque chose de lointain et que le fond nous en reste étranger ; considérer le monde comme un déroulement de tableaux vivants ; se désintéresser de ce qui peut être dessous et en même temps, ironie singulière, s’attacher (toujours par le dehors) aux drames provoqués par les diverses explications de ce « dessous » mystérieux ; n’extraire de la « nuance » des phénomènes que la beauté qui résulte du jeu des forces et de la combinaison des lignes et des couleurs ; planer au-dessus de tout cela comme un dieu à qui cela est égal et qui connaît le néant du monde : savez-vous bien que cela n’est point dépourvu d’intérêt, que l’effort en est sublime, que cet orgueil est bien d’un homme, qu’on le comprend et qu’on s’y associe ?
Ce sera même une succession d’événements, car ces rapports annuels de 1846 à 1856, « que les conseils bienveillants de quelques amis des lettres ont engagé l’auteur à réimprimer », comme il nous le dit dans sa préface, ont tous plus ou moins produit leur effet à leur date quand ils furent lus en séance publique d’Académie, — ce genre de solennité dont nous sommes friands encore par un reste de nos anciennes mœurs. […] C’était un poète de mœurs locales très restreintes, très grec, très thébain, et, quand il n’était pas thébain, très syracusain dans le grec. […] Ainsi, quand il a la bonté de constater dans les Prophètes le plus beau lyrisme qui ait jamais brillé sur la terre, il l’impute à l’amour de la patrie, à la pureté des mœurs, à la pratique des vertus les plus hautes, mais il se tait sur l’inspiration divine. […] Il le fit lui-même joueur, débauché, buveur et prodigue, dépensier à jeter des milliers de guinées par les fenêtres avant ses vingt ans, et il lui paya trente chevaux de race à la fois que montait sur le turf le jeune effréné pour gagner des paris ruineux, et qui par deux fois le ruinèrent… Fox fut par ses mœurs, dans un temps qui avait cessé d’être puritain, le plus retentissant scandale de l’Angleterre.
Quant au fond, il était peut-être pire, certainement vénal et, de plus, malgré sa douceur apparente de mœurs et de ton, ayant si peu de scrupule pour les actes, qu’il y a trois points de sa vie qui font trois doutes presque terribles : la mort de Mirabeau, — l’affaire du duc d’Enghien, — l’affaire de Maubreuil.
Desmahis a toujours respecté la Religion, les mœurs, les Lettres, & les Loix.
Ils oublient trop aisément qu’ils ne sont pas Juges des Productions qu’on leur soumet, & que leur unique fonction est de rejeter ce qui peut blesser la Religion, les Mœurs & les Loix.
Bernis, par conscience même et par sentiment de son peu de force, reculait et retardait : ses mœurs étaient celles de son âge et de son temps ; son cœur et son esprit n’avaient rien d’irréligieux : la perspective d’un évêché, qu’on lui laissait entrevoir moyennant des sacrifices extérieurs, était plus faite pour l’effrayer que pour le tenter : Non, tu connais trop ma droiture : Coupable par fragilité, Mais ennemi de l’imposture, Je ne joins pas l’impiété Aux faiblesses de la nature. […] Si le roi veut faire respecter sa couronne et sa nation à Venise, il faut qu’il y envoie toujours un homme de bon sens, ce qui suffît, mais un homme d’une âme élevée et de mœurs décentes ; car on n’impose à une nation très libertine, on peut même dire débauchée, que par des mœurs opposées.
Chateaubriand (suite) XXXIII Cet épisode eut plus de charme que le poëme : la société contemporaine, en retrouvant son pays et ses mœurs, sentit mieux la grandeur du peintre et l’universalité du pinceau. […] Au fait, je ne connais point deux nations plus antipathiques de génie, de mœurs, de vices et de vertus, que les Anglais et les Français, avec cette différence que les premiers reconnaissent généreusement plusieurs qualités dans les derniers, tandis que ceux-ci refusent toute vertu aux autres. […] Enfin il recherche de préférence, dans ce règne aimable, les plantes qui par leurs accidents, leurs goûts, leurs mœurs, entretiennent des intelligences secrètes avec son âme.
Nos artistes ne décrivent plus, comme on l’a fait, la campagne ni le paysan en général, mais des paysans et des pays particuliers, souvent très différents les uns des autres, et avec leur caractère, leur esprit, leurs mœurs, leurs usages. […] Dans le Forestier, toute la forêt nous est expliquée, et les mœurs et les métiers de ses habitants : a-t-on la sensation de la forêt ? […] Je ne prétends point que ce souci de corriger les mœurs en racontant des histoires s’étale grossièrement ; mais très souvent il se devine.
Forcé de sortir de Paris en Vendémiaire, il raconte très spirituellement sa fuite et les divers incidents du voyage, la patache de ce temps-là, la patache primitive en plein vent, et dans toute sa rusticité originelle : « J’en ai vu depuis, dit-il, mais corrompues par le luxe qui nous envahit ; elles sont couvertes. » Les dialogues qui égayent le chemin sont d’excellentes scènes de mœurs. […] On y trouve aussi quelques scènes vraies, où sont peintes les mœurs licencieuses et grossières des enrichis, des fournisseurs, des parvenus et des femmes qui les recherchent. […] On disait autrefois qu’en France personne ne résistait au ridicule ; cela a bien changé depuis : « Est-ce qu’il y a du ridicule, en effet, quand il n’y a plus de mœurs fixées ?
Il s’étonne quelque part que Voltaire ait si mal parlé d’Homère dans un chapitre de son Essai sur les mœurs, où tous les honneurs de l’épopée sont décernés aux modernes : « Si cet arrêt, dit Grimm, eût été prononcé par M. de Fontenelle, on n’en parlerait point ; il aurait été sans conséquence : mais que ce soit M. de Voltaire qui porte ce jugement, c’est une chose réellement inconcevable. » Et il donne ses raisons victorieuses tout à l’avantage de l’antique poète. […] Si Grimm disait aux Français bien des vérités dures sur la musique, il en disait d’autres très agréables sur la littérature ; la Voix ou le Génie, parlant de la France en style prophétique et en se supposant dans les temps reculés, s’exprimait ainsi : Ce peuple est gentil ; j’aime son esprit qui est léger, et ses mœurs qui sont douces, et j’en veux faire mon peuple, parce que je le veux, et il sera le premier, et il n’y aura point d’aussi joli peuple que lui. […] Grimm (disons-le à son honneur) n’était pas aussi insensible qu’on le supposerait à ce désaccord entre les mœurs et les préceptes, et il en souffrait : Une des choses, ma tendre amie, écrivait-il, qui vous rendent le plus chère à mes yeux, est la sévérité et la circonspection sur vous-même que vous avez surtout en présence de vos enfants… Les enfants sont bien pénétrants !
Les préceptes que ce Rhéteur philosophe fournit sur le genre déliberatif, le démonstratif & le judiciaire ; la peinture qu’il fait des mœurs de chaque âge, de chaque état, de chaque condition, la maniere dont il explique les moyens d’exciter ou de calmer les passions ; les instructions qu’il donne par rapport aux preuves, aux caractères de la bonne élocution, au choix des mots, à la structure de la période, & à toute l’œconomie du discours oratoire, montre qu’il n’ignoroit rien de ce qui est essentiel à l’éloquence, & qu’il en avoit approfondi toutes les parties. […] Non content de donner des regles par rapport à la conduite de l’esprit, il en donne aussi pour celle des mœurs. […] L’auteur ayant réfléchi sur un défaut essentiel des Rhétoriques de Collège, qui est de ramener tout à l’imitation des Anciens, & de nous remplir des préceptes d’Aristote, sans les plier à nos usages, à nos mœurs, a cru devoir les abandonner & tracer un nouveau plan.
Ce formidable duc, aux mœurs sévères et aux éternelles écritures, qui avait passé toute sa vie à écrire, sans rien publier, contre Louis XIV et son siècle, et qui l’avait effrayé, lui ! […] Et il se trouve aussi que ces deux Mémoires sont à eux deux l’histoire la plus pénétrée et la plus profonde, en sa généralité, de la Monarchie française dans son institution et ses mœurs. […] Dans ce Mémoire contre eux, il a relevé et compté avec beaucoup de soin et de détail tous les bâtards des races royales qui ont successivement régné sur la France, et que la faiblesse de leurs générateurs a fait sortir de l’obscurité à laquelle les mœurs et les lois de ce pays, qui fut la monarchie française, condamnaient toutes les bâtardises, et on peut s’étonner du petit nombre de ces bâtards.
À part, en effet, les idées, la conscience et les mœurs, c’est-à-dire à part ce qui est le plus important et doit être le premier chez les hommes, Joseph de Maistre s’oppose encore à Rivarol, et par d’autres côtés il le surpasse. […] Toutes les ardeurs d’esprit d’un tel homme, de ce somptueux de style, de ce fulgurant, de cet Écarlate d’esprit comme d’habit, ses entraînements, son monde, ses vanités, ses mœurs frivoles (elles l’étaient, et même un peu plus…) toutes ses manières de sentir et de se produire au dehors, auraient fait croire, en Rivarol, à un tout autre historien que Tacite, et cependant ce fut celui-là qu’il devint quand il fallut écrire l’histoire ! […] Rivarol en est par les mœurs que son biographe a drapées ; il n’en n’est point par les doctrines.
La tendance anti-individualiste de toute éthique s’exprime, avec son maximum de force et de netteté dans la dernière venue des théories morales, la morale — science des mœurs, ou morale scientifique, ou morale sociologique qu’on pourrait appeler aussi morale sociocratique. […] Delbos : « La science objective des mœurs ne peut produire aucune règle définie qui prescrive à la volonté des fins à choisir — sinon par addition arbitraire. » (Cité par M.
C’est une peinture de mœurs qui est encore fidèle de nos jours ; et ce dernier trait : Pour se faire annoncer ce que l’on desirait, développe les derniers replis du cœur humain. […] Cette fable écrite du style le plus simple, et bien moins ornée que les précédentes, n’est pas d’une grande application dans nos mœurs ; mais elle en avait beaucoup dans nos anciennes démocraties.
Il ne s’agit point de ses mœurs, à cette demoiselle ; elles sont excellentes… Seulement, par le fait des bonds, sauts et ressauts du roman, il se rencontre qu’elle est accusée d’avoir tué un enfant qui n’est pas lie sien, et qu’elle n’a pas tué, et qu’elle aime mieux se faire pendre que de révéler le meurtrier, lequel n’est pas son amant, À coup sûr, c’est là un acte de vertu et de vertu désintéressée, quoique ce ne soit pas celle-là à laquelle l’imagination s’attendait. […] Ce livre de « Vertu » dont le titre est un titre à la manière anglaise (les Anglais seuls ont de ces livres abstraits qui disent l’idée de leurs livres), ce livre dont les mœurs sont anglaises, semble avoir été écrit par un bas-bleu anglais.
Dès le début de ce livre inouï, l’auteur, pour honorer les Américaines, se met tranquillement à les comparer à ces misérables prostituées de France, dont la lâcheté de nos mœurs a cru voiler élégamment l’ignominie en les appelant des lorettes : « Ce type, chez nous (la lorette), — dit-il, aux pages 8 et 9, — n’est que le modèle d’une catégorie féminine. […] Il est douteux aussi — du moins, nous le croyons, — qu’ils admettent sans un modeste embarras la conclusion, logiquement très bonne, mais historiquement suspecte, que Bellegarrigue sait tirer de cette absence de la famille aux États-Unis : « L’autorité paternelle — dit-il — ayant abdiqué en Amérique, sinon en totalité, du moins en grande partie, il est arrivé que la famille n’y existe pas… et que l’extrême civilisation autorise les mœurs à ressaisir la simplicité de l’état sauvage. » Mais cet éloge, une fois jeté en passant, des Américains, qui ne sont pas l’objet spécial du livre, l’auteur revient aux femmes d’Amérique ; car sans la femme, nous dit-il avec une galanterie vraiment philosophique, la masculinité ne serait pas !
Mais quant à ce qu’on appelle un succès littéraire, — un violent retentissement de publicité, — j’en suis moins sûr que d’un succès intime, avec l’abaissement universel de nos esprits et de nos mœurs. […] selon ce critique, qui est chrétien pourtant et d’une noble race, fidèle aux anciennes traditions et aux anciennes mœurs, il fallait que l’amour d’Armelle mis dans la balance avec le serment fait à la mère l’emportât dans le cœur du fils, sous peine de disproportion entre le motif du sacrifice et son objet ; et, le pourra-t-on croire ?
La pensée contemporaine, qui n’est point une reine pour qu’on la flatte, se soucie médiocrement des livres didactiques où la réflexion a remplacé l’action, et dans lesquels l’originalité de la forme heurte ce besoin d’égalité qui est aussi bien dans nos mœurs intellectuelles que dans nos autres mœurs.