L’on n’est guère tenté vraiment de se montrer plus sévère, plus dédaigneux à son égard, que ces ambassadeurs étrangers qui, dans les horribles journées de germinal et de prairial, s’empressaient d’accourir dans son sein pour partager ses périls, être mentionnés à son procès-verbal et dire ensuite avec orgueil aux rois qui les avaient envoyés :« Nous aussi, nous y étions. » Le Directoire lui-même, observé de près, semble moins inhabile et moins méprisable qu’on n’a coutume de se le figurer à distance, sur la foi du royalisme et de l’impérialisme qui l’ont décrié après l’avoir détruit. […] Jusque-là du moins, s’il y avait d’affligeantes représailles, les victimes n’inspiraient guère par elles-mêmes un intérêt bien touchant.
Il n’y a guère de comparable dans un autre ordre que celui de Mademoiselle Rachel… Dès l’apparition du premier volume de La Démocratie en Amérique, Alexis de Tocqueville fut, sans résistance et sans conteste, proclamé un jeune Montesquieu. […] Dans le Voyage en Sicile, nous n’avons qu’une rhétorique parfaitement sage, mais qui ne vaudrait guères que le milieu de la classe à l’écolier qui en ferait ainsi.
M. de Montalembert l’a-t-il compris, dans le veuvage de la tribune dont il est l’Arthémise et qu’on ne se rappelle guères maintenant que parce qu’il l’a pleuré ? […] En effet, je ne sais guère, — pas plus que M. de Montalembert, — ce que deviendra son histoire ici présente, mais je crois savoir ce qu’elle vaut, et je veux même essayer, s’il veut bien me le permettre, de le lui montrer.
Toujours est-il qu’on avait l’air de ne pas oser… On vivait, non sur les vieilles histoires, mais à côté des vieilles histoires (car on ne les lisait guères) d’Abelly et de Collet, ces modestes garde-notes historiques qui n’eurent jamais, du reste, la prétention de s’élever à ce que nous autres modernes appelons de l’histoire, nous dont le seul mérite devant la postérité sera d’en avoir élargi la notion. […] L’hagiographie, cette peinture byzantine littéraire, avec son inspiration macérée, avec ses nimbes mystérieux et rayonnants, ne touche guères que les cœurs qui les voient, ces nimbes, sans qu’on ait besoin de les leur montrer, et c’est pourquoi l’abbé Maynard a mieux aimé faire de l’histoire, — de la vaste et forte peinture d’histoire, — avec tout le ragoût de critique et de renseignement qu’une civilisation très avancée et très difficile exige maintenant de l’historien.
Notre mission n’est pas de chanter un hymne, mais de conjurer un fléau. » Et il ajoute : « Nous prendrons de plus l’engagement de n’appeler à notre aide que l’élite de la science, ou les autorités les plus graves, car ce premier mémoire n’est guères qu’une exposition sur pièces officielles, exposition raisonnée, il est vrai, discutée et terminée par des conclusions ; mais ces conclusions auront leur conséquence et ne sont, en définitive, que le prélude de débats et de questions bien autrement graves, réservés pour un second mémoire. » Après avoir tracé et déterminé les caractères qui doivent donner son autorité à tout témoignage et garantir l’authenticité de chaque fait, il commence l’histoire de ces phénomènes qui ne sont pas d’hier dans le monde, mais qu’une science infatuée et superficielle y croit d’hier, parce qu’elle les a nommés de noms nouveaux. […] Ici nous ne sommes guères encore qu’à la moitié de ce traité si renseigné et si complet de pneumatologie transcendante.
C’est une étrange situation, et à laquelle nous ne pensons guère, nous qui ne pensons volontiers qu’à nous-mêmes, que celle de ces écrivains qui, sans être Français, écrivent en français au même titre que nous, du droit de naissance, du droit de leur nourrice et de leurs aïeux. […] Ces restes de richesses, piquantes à retrouver sur les lieux, et qui sont comme des fleurs de plus qui les embaument, n’ont guère d’ailleurs d’application littéraire, et les écrivains du pays en profitent trop peu. […] Töpffer, je n’ai guère vécu avec quelqu’un d’autre. » Entendons-nous bien, c’est avec le Rousseau de Julie, avec celui des courses de montagnes et des cerises cueillies, et de tant d’adorables pages du début des Confessions, avec le Rousseau des Charmettes. […] Ce sont des riens ; ils font tache pour nous, sans qu’il y ait guère de la faute de l’auteur, qui n’était pas tenu de deviner nos entresols de lionsà la mode, quand il ne peignait qu’un mirliflor du quartier. […] Ce qu’on est en train de pratiquer et de vivre, on ne l’idéalise guère.
Il est bien vrai que cette dure nécessité n’est guère faite pour rendre les classiques chers à la jeunesse. […] Les autres ne comptent guère. […] nous nous en doutions bien un peu, mais il ne nous plaît guère qu’on le prouve. […] — Tu ne l’as guère connu, toi. […] Si je me mets ensuite à écrire, je n’ai plus qu’à tirer du sac de mon cerveau ce qui s’y est accumulé précédemment… Aussi le tout ne tarde guère à se fixer sur le papier.
Je n’en fais guère moins de M. […] J’ai quelque peine à le croire ; et, pour parler franchement, je n’en ai guère moins à comprendre ces mystiques formules. […] Et, sans doute, il n’importe guère à la valeur d’une tragédie que le sujet en soit authentique en son fond. […] C’est ce qui résulte au moins de leurs déclarations, qui ne leur font guère d’honneur, s’il faut qu’elles soient sincères. […] et je ne dis pas de la plus fine, — il n’y a guère de mot qui convînt moins à Flaubert, — mais de la bonne, et presque de la meilleure ?
On passe aisément à Gœthe de parler par la bouche de Werther, et nous en savons plus d’un qui ne se soucie guère, en écoutant René, que d’entendre Chateaubriand. […] Je ne vois guère qu’Élysée Méraut et le petit comte de Zara, l’enfant-roi et son précepteur, à qui le lecteur puisse vraiment s’intéresser. […] Et que si d’autre part, dans l’application du procédé, tous les disciples n’ont pas eu le même bonheur que le maître, c’est à quoi je ne regarderai guère. […] On nous a conté qu’il n’aimait guère à s’entendre appeler toujours l’auteur de Madame Bovary. […] Il a perdu, comme l’on sait ; et si le livre, à certains égards, est un tour de force, il n’est guère au total qu’une mystification.
Un simple stoïcien ne parlerait guère autrement. […] Barrès ne s’occupe guère d’autre chose. […] Les éditeurs d’autrefois n’avaient guère l’habitude de rendre des comptes. […] Voilà qui ne convient guère à La Fontaine, s’écrie triomphalement M. […] Et peut-être alors n’était-il guère capable d’être heureux.
Ce corps ne pesait guère devant cet esprit. […] Rabelais n’a guère de ce que nous appelons particulièrement l’esprit. […] — Précisément La conclusion, ou pour mieux en parler, Je point d’aboutissement de Rabelais ne diffère guère de celui de Montaigne. […] C’est le grand péril des nouvelles religions de ne pouvoir guère se passer des puissances temporelles. […] Mais ce ne sont là que les moments de repos d’un homme qui ne se reposait guère.
Saint-Marc Girardin qu’il s’agissait, dans ce que j’ai dit, de l’Académie française, et que leur renom n’a guère jusqu’ici profité à aucun des deux Dumas.
L’intelligence et le talent, voilà, je crois, une distinction qui n’a guère jamais été faite en critique littéraire ; elle est pourtant capitale… Aurier manqua de quelques années pour s’harmoniser définitivement… Presque rien de ce que nous connaissons de lui, en fait de vers, n’avait reçu la septième correction.
Ce qui le guide, c’est uniquement l’aspect de la plante et, en somme, de son temps on ne pouvait guère avoir d’autres règles que cela et l’usage empirique. […] Ils ne se déplacent guère que pour aller chercher leur pâture, qu’elle soit de l’herbe, qu’elle soit une proie vivante. […] Les tchandalas ne sont guère moins redoutés que les parias. […] Cependant, nous ne l’éprouvons guère que par contraste, après uns maladie, après un danger. […] Les plaisirs de l’oreille ne sont guère que d’entendre des paroles, mais c’est plutôt un plaisir de sentiment ou d’intelligence.
Dans la Revue des Deux Mondes du 1er mars, il y a une chronique où Rossi, nageant entre deux ou trois eaux, et ne voulant guère parler de choses d’ici, a très-bien parlé, ce me semble, de Genève et de la Suisse.
Paul-Ambroise Valéry, qui est né à Cette (Hérault) le 30 octobre 1871, jusqu’ici n’a guère écrit que pour ses amis et dans des Revues fermées, comme La Conque, de M.
Valade, Mérat, Charles Cros, moi donc, excepté, il ne trouva guère d’accueil dans la capitale revisitée. […] L’autre, que je n’ai jamais connu beau causeur, ni même très communicatif en général, ne répondait guère que par monosyllabes plutôt ennuyés. […] Nombre de chansons populaires sont instrumentées dans ce goût, avec la liberté toutefois en outre de rimer soit par à peu près, soit sans guère observer l’alternance des deux genres masculin et féminin, non plus que des singuliers ou des pluriels assortis, avec d’autres commodités encore. […] Voilà un éloge auquel Gautier ne s’attendait guère, je gage, et qui n’a dû le toucher que médiocrement. […] Et je vous prie de croire que ce pauvre empereur n’était guère plus ménagé dans ses mœurs qu’à propos de toutes autres choses par le disciple que par le maître.
Pour Naudé qui débute vers 1623, et qui s’en va passer hors de France de longues années, Malherbe ni Balzac ne sont guère jamais venus. […] S’il appelle Montaigne le Sénèque de la France, il n’en profite guère que pour s’accorder les citations latines à son exemple. […] Il avait le bon esprit d’y mettre même ce qu’il n’aimait guère ; là aussi il savait faire la part de la coutume : « Finalement, dit-il, il faut pratiquer en cette occasion l’aphorisme d’Hippocrate qui nous avertit de donner quelque chose au temps, au lieu et à la coutume, c’est-à-dire que certaine sorte de livres ayant quelquefois le bruit et la vogue en un pays qui ne l’a pas en d’autres, et au siècle présent qui ne l’avoit pas au passé, il est bien à propos de faire plus ample provision d’iceux que non pas des autres, ou au moins d’en avoir une telle quantité qu’elle puisse témoigner que l’on s’accommode au temps et que l’on n’est pas ignorant de la mode et de l’inclination des hommes. » En cela Naudé préparait directement les matériaux de l’histoire littéraire, telle que l’entendait Bacon. […] De toutes ces productions de Naudé composées durant le séjour d’Italie et couvées, pour ainsi dire, sous le manteau et sous la pourpre, on ne lit plus maintenant, on ne cite plus guère à l’occasion que ses Coups d’État ; et, par leur renom de machiavélisme, ils ont presque entaché sa mémoire. […] Cette cour était devenue sur la fin un guêpier de savants qui s’y jouaient des tours ; Naudé n’y tint guère.
La bonne ignorance, naïve, de Boiëldieu et d’Adam, n’est plus guère possible, aujourd’hui, à nos compositeurs ; ils doivent être bruyants, paraître audacieux… Pour le public, heureux, toujours, des classifications, ces nouveautés, le bruit, l’audace, furent, jadis, la caractéristique innovation de Richard Wagner, musicien : émerveillé de les voir bruyants et audacieux, le public nomma nos compositeurs des wagnéristes. — Ils protestent : l’Institut n’admet point de wagnérisme ! […] Ce plan enfin est réalisé à son tour ; mais Wagner sent alors que ses contemporains, n’ayant pas comme lui réfléchi sur l’œuvre d’art, ne peuvent guère, même en son théâtre, comprendre pleinement son œuvre. […] Villot, écrite dans des conditions spéciales, Wagner ne revient plus guère sur cette définition théorique de l’œuvre d’art. […] Verdhurdt, le nouveau directeur de la Monnaie, se persuadera-t-il que le moment est venu où les opéras de Wagner s’imposent de force au public de Bruxelles et qu’il n’est plus guère de succès durable en dehors d’eux ? […] En Allemagne, il n’est guère de séance musicale sans une ouverture ou une scène de Wagner : le Mois Wagnérien ne notera, de l’Allemagne, que les concerts spécialement wagnériens.
On n’en sait guère que le morceau que voici, et il est fait pour donner le regret de l’ensemble. […] On assure, non sans vraisemblance, que cela commence fort à passer, et qu’on ne chante plus guère, du moins dans le sens joyeux du mot. […] Désaugiers l’était, si jamais on le fut, et tout ce qu’il a fait en ce genre a été tellement lancé d’un jet, qu’on ne peut guère y adapter d’autres airs ; rhythme et pensée, la chose légère est née tout entière avec le chant. […] Le nom de Désaugiers m’en rappelle un autre qu’on n’est guère tenté de lui associer, et que je tiens absolument à y rattacher par quelque bout, — un personnage célèbre à tout autre titre, et qui pourtant, né en d’autres régions sociales, eût tenu largement sa place parmi les coryphées de la gaieté pure : je veux parler de Lally-Tollendal, auteur de pots-pourris délicieux, d’une folie à l’usage de la bonne compagnie, et qu’il chantait à ravir ; il n’était pas seulement le plus gras, mais encore le plus gai des hommes sensibles.
C’était l’habitude alors dans ces mœurs de grande compagnie : un mari vous donnait un nom définitif, une situation et une contenance convenable et commode ; il ne prétendait guère à rien de plus, et de lui, passé ce point, dans la vie de la femme célèbre, il n’était jamais fait mention. […] La fin, en effet, de ces romans intimes, puisés dans le souvenir, n’est guère jamais conforme à la réalité. […] Nous la perdrons aussi de vue dans notre récit ; ce que nous aurions à ajouter ne serait guère qu’une variante monotone de ce qui précède. […] mon très-cher, s’écriait-elle avec sa grâce naturelle, s’il n’est pas mort, il n’en est guère mieux pour cela. » 212.
George Farcy72 La Révolution de Juillet a mis en lumière peu d’hommes nouveaux, elle a dévoré peu d’hommes anciens ; elle a été si prompte, si spontanée, si confuse, si populaire, elle a été si exclusivement l’œuvre des masses, l’exploit de la jeunesse, qu’elle n’a guère donné aux personnages déjà connus le temps d’y assister et d’y coopérer, sinon vers les dernières heures, et qu’elle ne s’est pas donné à elle-même le temps de produire ses propres personnages. […] Hors de là, peu de choses l’intéressent ; l’antiquité ne l’occupe guère, la société moderne ne l’attire pas. […] Il n’y avait plus qu’un point secret sur lequel Farcy se sentait inexpérimenté encore, et faible, et presque enfant, c’était l’amour ; cet amour que, durant les tièdes nuits étoilées du tropique, il avait soupçonné devoir être si doux ; cet amour dont il n’avait guère eu en Italie que les délices sensuelles, et dont son âme, qui avait tout anticipé, regrettait amèrement la puissance tarie et les jeunes trésors. […] Sa poésie a une ingénuité de sentiments et d’émotions qui s’attachent à des objets pour lesquels le grand nombre n’a guère de sympathie, et où il y a plutôt travers d’esprit ou habitudes bizarres de jeune homme pauvre et souffreteux, qu’attachement naturel et poétique.
Il ne plaida guère, s’il plaida jamais : attendant le client, sans impatience, dans un coin de la Grand’Salle du Palais, il divertissait les clercs de ses saillies facétieuses ou mordantes. […] Et le monde même, maintenant qu’il ne produisait presque plus rien, ne le recherchait plus, et ne le voyait guère. En dehors de quelques amis très intimes et de son rang, il n’avait guère habitude que chez le Premier Président, M. de Lamoignon. […] Il n’était guère dévot en sa jeunesse, lorsqu’il buvait avec Vivonne et soupait chez Ninon.
Mais, cette question de la langue parlée n’a guère d’importance : sans citer les meilleurs poèmes de Du Bellay, qui sont en latin, il y a bien vingt-cinq millions de Français — pour être décent —, qui s’entendent mieux aux divers argots de la Phynance, du Journalisme, de la Chambre et du Bordel qu’à la langue poétique. […] Jacques Chaumié ne me satisfait guère. […] On verrait que la Bretagne, les Flandres, la Picardie, le Maine, et d’autres encore, ne sont guère plus riches en poètes que les provinces méridionales. […] En outre, un poète n’arrive guère à donner toute sa mesure que s’il rencontre un milieu où on l’écoute, où on l’encourage.
Cette crainte peut être fondée : mais il n’y a guère que le défaut d’intérêt dans les actes suivants, qui rappelle au spectateur que le théâtre était rempli au premier acte : témoin Brutus et les ouvrages déjà cités. […] C’est elle qui déclare aux Grecs le projet du départ de la reine et de la princesse ; c’est elle qui est la victime du sacrifice qu’elle veut hâter, et elle ne tient guère moins à la pièce qu’Oreste dans Andromaque. […] C’est pourtant sur ce modèle si déraisonnable, que sont faits la plupart des récits de nos tragédies, et on n’en connaît guère qui ne pèche contre la vraisemblance. […] On trouve peu d’aparté chez les Grecs : ils ne sont guère que d’un vers ou deux ; encore sont-ils dans la bouche du chœur, qui les dit après qu’un acteur vient de parler, pour donner à l’autre le temps de méditer sa réponse, ou quand un acteur arrive au théâtre.
Ce que nous disons de cette loi peut être répété de toutes celles que l’école économique orthodoxe qualifie de naturelles et qui, d’ailleurs, ne sont guère que des cas particuliers de la précédente. […] Il faut qu’elle passe du stade subjectif, qu’elle n’a encore guère dépassé, à la phase objective. […] Par conséquent, il est permis de croire que, du jour où ce principe de la méthode sociologique sera unanimement reconnu et pratiqué, on verra la sociologie progresser avec une rapidité que la lenteur actuelle de son développement ne ferait guère supposer, et regagner même l’avance que la psychologie doit uniquement à son antériorité historique24. […] Si évidente et si importante que soit cette règle, elle n’est guère observée en sociologie.
Vous allez voir que ceci est tout à fait une lettre familiale, une lettre qui n’intéresse guère que les membres de la famille et qui n’intéresserait pas beaucoup le public. […] La Fontaine, qui ne s’occupe guère de son fils, comme vous savez, qui n’en a parlé que deux ou trois fois peut-être dans toute sa vie, en parle dans ces lettres à sa femme, et il en parle même gentiment. […] Il est évident qu’il ne pouvait pas inventer du pittoresque là où il n’y en avait pas, et en dehors des bords de la Loire, il n’y en avait guère. […] » Ceci est un peu du Chapelle et Bachaumont, du Chapelle et Bachaumont écrit par La Fontaine, c’est-à-dire d’une façon tout à fait supérieure ; mais ceci est un peu du genre volontairement plaisant, plaisant je ne dirai pas avec un peu d’effort quand on parle de La Fontaine on ne peut guère dire cela mais avec un certain apprêt, que l’on sent.
Tiercelin, nous ne comprenons guère « pourquoi ils n’ont été représentés ni à l’Odéon, ni à la Comédie-Française ».