Au commencement du siècle dernier, Louis XIV une fois mort, la licence avait été extrême, effrénée, monstrueuse. […] Mais le vice était devenu un besoin d’habitude ; on le garda, et comme on n’avait plus à faire ses preuves, on en usa désormais à son aise, à son loisir, ne le voilant ni même ne l’affichant plus ; on en fut à cette indifférence raisonnée, dernier degré de l’impudeur.
Bonaparte et les Grecs, ce sont là sans doute deux grands événements européens, qui figurent en commun au premier rang dans l’histoire de ces vingt-cinq dernières années. […] Et que le rossignol, de sa voix pure et belle, Me raconte que mai fleurit encor nos champs. » Le précis de la guerre durant ces quatre dernières années est un résumé, un peu oratoire, des nombreuses relations récemment publiées.
Guiran vient de donner une traduction élégante ont été récemment écrites de Paris à quelque journal d’Allemagne, et elles ont trait aux événements de ces vingt derniers mois. […] Bœrne, pour nous dédommager des hauteurs et de la morgue pédantesque que d’autres visiteurs, ses compatriotes, nous prodiguent, surtout depuis notre dernière révolution.
Par une opposition curieuse, des poètes nouveaux étaient venus à lui en ces dernières années, attirés par l’aristocratie de son talent : mais il va sans dire que le vieillard ne les entendait pas. […] Les derniers volumes de son Journal firent sourire.
La voix de cette femme mourante est douce et triste ; ce sont les derniers bruits du vent qui va quitter la forêt, les derniers murmures d’une mer qui déserte ses rivages.
Au fait, on le voit, dans toute sa correspondance des vingt dernières années, très libéral et aumônier, d’ailleurs fort simple de mœurs. […] Dans ses dernières années, sa sympathie était évidente pour des doctrines dont la sienne était la négation radicale, et pour les vertus mêmes que sa philosophie était le plus propre à décourager. […] Sa vie, d’abord, le prouverait, toute solitaire et, jusqu’à ces dernières années, toute en dehors des « cadres » officiels. […] Brunetière a pu, l’an dernier, à propos de l’évolution de la poésie lyrique, parler de Musset sans presque mentionner ses comédies, où est pourtant tout Musset. […] Sa dernière Elvire, fleur pâlotte et douce, nimbée, à travers les losanges d’une maigre tonnelle, par les derniers rayons du soleil couchant sur la Marne, n’a point paru sans poésie.
Un coup d’œil sur l’étendue de ce poème vous montre aussitôt que le détail infini auquel le poète, en traitant un sujet historique, est astreint pour expliquer l’enchaînement extérieur de l’action aux dépens du développement clair des motifs intérieurs, ce détail, dis-je, j’osai le réserver exclusivement aux derniers. […] Wagner, dans ses dernières œuvres théoriques, semble avoir renoncé à parler jamais de son œuvre musicale, et, sans cesse, il cite les noms de ses deux grands prédécesseurs, qui ont, d’après lui, fondé la religion allemande artistique, Bach et Beethoven. […] Alors la Musique sera l’art divin : les dernières symphonies de Beethoven, aujourd’hui mystérieuses aux cœurs endurcis, seront enfin comprises, manifestation suprême de la Pensée religieuse chrétienne. […] Les Maîtres Chanteurs agissent plutôt sur l’estomac… Il est vrai qu’il y a une saucisse qui joue un grand rôle au dernier acte. […] Glasenapp, l’éminent biographe de Richard Wagner, vient de faire paraître, le 21 mars dernier, une notice des plus intéressantes à l’occasion de la fête bi-centenaire de la naissance de J.
Cette cellule est située au dernier étage d’une tour d’où le regard domine le cimetière du village, l’église et le clocher. […] L’idée révolutionnaire semblait s’être faite homme et marcher, sous la figure de cette horde, à l’assaut des derniers débris de la royauté. […] J’ai encore une dernière bouteille de vin du Rhin dans mon cellier ; qu’on l’apporte ! […] Strasbourg doit avoir bientôt une cérémonie patriotique ; il faut que de Lisle puise dans ces dernières gouttes un de ces hymnes qui portent dans l’âme du peuple l’ivresse d’où il a jailli. » Les jeunes femmes applaudirent, apportèrent le vin, remplirent les verres de Dietrich et du jeune officier jusqu’à ce que la liqueur fut épuisée. […] À la première strophe, les visages pâlirent ; à la seconde, les larmes coulèrent ; aux dernières, le délire de l’enthousiasme éclata.
J’avais entendu parler d’un ecclésiastique, nommé l’abbé Lambert, prêtre assermenté, ami de plusieurs Girondins, qui avait communiqué avec eux dans leur prison et assisté à leurs derniers moments jusqu’à l’heure du supplice. […] XI Le curé de Bessancourt, encore vert et comme présent à tout ce passé, nous donna tous les renseignements désirés sur les derniers jours, sur les diverses dispositions d’esprit, sur les conversations des condamnés. […] Une journée suffit à peine à recueillir ce témoignage du seul et dernier témoin de ce grand drame. […] Il est sans doute possible qu’après un si long laps de temps le curé de Bessancourt ait commis quelques inadvertances de noms, de dates, de détails sur des personnages si nombreux alors dans les prisons et sur leurs rôles respectifs dans ce drame pathétique de leur dernière heure ; mais il est impossible à qui a entendu ce modeste et sincère témoin de ces scènes de révoquer en doute sa véracité. […] Je connus par lui tous les secrets de nature et d’intimité sur le caractère, sur la vie intérieure, sur les sentiments privés, sur la séparation dernière, sur la mort tragique d’un de ces hommes à deux aspects, terribles au dehors, placables au dedans.
Mais cette réponse ne vaut que pour les dernières années. […] C’est une fantaisie étrange que de traiter d’entomologiste l’homme qui a écrit l’introduction de l’Histoire de la littérature anglaise, les chapitres sur Milton et sur Shakespeare, les dernières pages de l’Intelligence ou le parallèle de l’homme antique et de l’homme moderne dans le troisième volume (je crois) des Origines de la France contemporaine. […] Dans les dernières pages de son livre, le prince excuse le meurtre du duc d’Enghien par la raison d’Etat, justifie la guerre d’Espagne, affirme que l’empereur n’a été que le propagateur désintéressé des idées de la Révolution, qu’il n’a jamais été ambitieux ni égoïste, et insinue que ce qu’il avait peut-être de plus remarquable, c’était la bonté de son cœur. […] Pascal, qu’il retrouve dans son froid paradis, a beau lui dire : « Ne cherche pas davantage ; l’homme, dans cette vie nouvelle, connaît tout, hormis la cause première : La cause où la nature entière est contenue Outrepasse la sphère où l’homme est circonscrit, Elle est l’inabordable et dernière inconnue Du problème imposé par le monde à l’esprit. » Il est bon, là, Pascal ! Mais c’est justement cette « dernière inconnue » que nous voudrions saisir.
Il souffre, et voici que sont dissipés et fuient les derniers tourbillons des souvenirs. […] Pour suggérer les émotions, mode subtil et dernier de la vie, un signe spécial a été inventé : le son musical. […] Saint Ambroise, après lui saint Grégoire sont les derniers protecteurs de cette vénérable musique ; ils instituent une précieuse mélodie expressive, le plain-chant, traduction simple et profonde des premières émotions religieuses. […] Tristan s’est dressé convulsif, l’œil hagard, les narines dilatées, haletant, livré tout entier aux sensations suraiguisées de l’agonie ; il a prononcé un seul mot, — le nom de son idole. — et il a rendu le dernier soupir dans un dernier baiser. […] Ma dernière idée est de me servir, à cette occasion, d’un moyen tout spécial.
Elle est pauvre, car elle a placé sa dot, à fonds perdus, sur la tête de son père ; elle s’est dépouillée pour l’envelopper de bien-être ; elle s’est faite misérable dans l’avenir pour assurer l’aisance de ses derniers jours. […] On le décide à partir ; mais les minutes lui sont comptées, s’il manque le train de cinq heures, sa dernière chance lui échappe. […] Avant d’accepter, d’Estrigaud veut tenter un dernier enjeu. […] Terminons vite l’historiette de ce billet doux posthume, tombé des mains du père dans la poche du fils, et qui menace, au dernier acte, d’empêcher le mariage de Lucien et d’Aline Lagarde. […] D’un jour à l’autre, cet homme est ruiné, déshonoré, déclassé ; il sera demain mis au ban de tous les clubs et consigné à la porte de tous les salons ; il reçoit, pour dernier affront, le coup de pied de la biche, plus rude encore à endurer que celui de l’âne.
Et maintenant, plus abandonné et plus tremblant que les derniers des malheureux, que les plus vils esclaves, que les prisonniers enfermés dans de noirs cachots, n’ayant devant les yeux que les épées préparées contre lui, que les tourments et les bourreaux, privé de la lumière du jour au milieu du jour même, il attend à chaque moment la mort, et ne la perd point de vue. […] Courtisan de l’envie, il la sert, la caresse, Va dans les derniers rangs en flatter la bassesse, Jusques aux fondements de la société Il a porté la faux de son égalité ; Il sema, fit germer, chez un peuple volage, Cet esprit novateur, le monstre de notre âge, Qui couvrira l’Europe et de sang et de deuil. […] « … Mais, surtout, Mylord, soyez moins fâché contre moi de ce que j’appelle le siècle dernier le siècle de Louis XIV. […] Ces dernières furent perfectionnées chez vous par nos réfugiés, et nous avons perdu ce que vous avez acquis. […] Parmi des ossements et des marbres brisés, Témoins de ses regrets, de ses pleurs arrosés, Il creuse, sans pâlir, sa retraite dernière.
L’an dernier, M. de Vogüé publiait un article qui fit quelque bruit dans le monde académique. […] Yves Guyot, semblable à beaucoup d’hommes d’Etat de ces dernières années, est essentiellement un utilitaire. […] Gide et quelques autres hérétiques ont discuté et propagé ses idées ces temps derniers. […] On extraira des derniers ouvrages de l’élu les passages les plus propres à faire l’éducation de la jeunesse. […] Mais un dernier et grave sujet m’appelle.
Un dernier mot. […] Ce sera peut-être là le terme dernier de l’évolution de M. […] Je n’en veux pour preuve dernière que le ton habituel de M. […] Les derniers ouvrages du comte Tolstoï et son genre de vie. […] Par suite des dernières affaires, nous avons eu ces jours-ci une recrudescence de blessés et de travail à l’ambulance.
De même il a dédaigné de tirer parti des derniers perfectionnements de l’art de la réclame. […] Il avait choisi un des épisodes les plus poignants de notre dernière guerre, l’assaut de Loigny. […] Au dernier moment il confesse sa supercherie. […] L’esprit de la Renaissance faisait du dernier des artisans un artiste incomparable. […] Adolphe Retté « est une des personnalités les plus saillantes de ces cinq dernières années ».
Ce nouveau volume, composé de toutes sortes de glanures, en est, s’il le fallait une dernière preuve. […] je lui ai écrit… À d’autres endroits du volume, et avec d’autres correspondants c’est le Voltaire de la fin, le patriarche de Ferney, qui, toujours mourant, passe et repasse devant nous sur quelques-uns des dadas (très beaux dadas en effet, et le plus souvent très nobles) de ses dernières années. […] Avec Rousseau il reste beaucoup plus à faire, et le dernier mot de ses confidences déjà si longues n’a pas été dit, les dernières pages de ses œuvres n’ont pas été données.
Sainte-Beuve, qui s’y sentait provoqué par une allusion assez plate, en prit occasion pour dire une dernière fois ce qu’il pensait de M. […] Sainte-Beuve avait des engagements plus pressants d’abord envers le public, et son article du Globe reste encore son dernier et unique mot sur le grand poète romain. […] L’exemple de ce qui s’était passé en nos derniers troubles civils contribuait à nous faire expliquer Lucrèce dans ce sens.
Toutefois, pour être juste, il reste encore à la critique, après le triomphe incontesté, universel, du génie auquel elle s’est vouée de bonne heure, et dont elle voit s’échapper de ses mains le glorieux monopole, il lui reste une tâche estimable, un souci attentif et religieux : c’est d’embrasser toutes les parties de ce poétique développement, d’en marquer la liaison avec les phases qui précèdent, de remettre dans un vrai jour l’ensemble de l’œuvre progressive, dont les admirateurs plus récents voient trop en saillie les derniers jets. […] Et, d’autre part, comme ces admirateurs plus tardifs, honteux tout bas de s’être fait tant prier, et n’en voulant pas convenir, acceptent le grand écrivain dans ses dernières œuvres au détriment des premières qu’ils ont peu lues et mal jugées, comme ils sont fort empressés de le féliciter d’avoir fait un pas vers eux, public, tandis que c’est le public qui, sans y songer, a fait deux ou trois grands pas vers lui, il est du ressort d’une critique équitable de contredire ces points de vue inconsidérés et de ne pas laisser s’accréditer de faux jugements. […] Assis dans sa gloire au foyer domestique, croyant pour dernière et unique religion à la famille, à la paternité, il accepte les doutes et les angoisses inséparables d’un esprit ardent, comme on subit une loi de l’atmosphère ; il reste l’heureux et le sage dans ce qui l’entoure, avec des anxiétés mortelles aux extrémités de son génie ; c’est une plénitude entourée de vide.
Ces dernières, venues année par année, automne par automne, comme les fruits d’un même arbre, expriment fidèlement par leur saveur et par leur éclat les phases, les accidents divers sous le soleil, les greffes plus ou moins heureuses, les variétés du tronc et des rameaux. […] Les développements considérables que reçut Bug-Jargal sous sa dernière forme ont amené quelques défauts de proportion qui jurent avec l’encadrement primitif du récit, lequel, on ne doit pas l’oublier, se débite de vive voix, en cercle, à un bivouac. […] Son Dernier Jour d’un Condamné proclama avec une saisissante éloquence, quoique d’un ton plus irrité peut-être qu’il n’eût convenu en matière de miséricorde, le respect pour la vie humaine, alors même qu’elle s’est souillée de sang.
Ou bien s’était-il préparé, par une longue et laborieuse éducation, à cette facilité merveilleuse qu’il garda jusqu’aux derniers jours de sa vieillesse, et doit-on admettre ainsi que les fables et les contes du bonhomme ne coûtèrent pas moins à enfanter que les odes de Malherbe ? […] Quant aux auteurs français, il avait ceux du temps, passablement nombreux, et la littérature du dernier siècle, qui était encore fort en vogue, surtout hors de la capitale. […] Ce Guillaume Colletet, singulièrement enclin, selon l’expression de Ménage, aux amours ancillaires, avait épousé, l’une après l’autre, trois de ses servantes, et en était, pour le moment, à sa troisième et dernière, appelée Claudine, dont la beauté, jointe à la réputation d’esprit que lui faisait son mari débonnaire, attirait chez elle une foule d’adorateurs.
L’année dernière (août 1822), le soldat qui était en faction dans l’intérieur du théâtre de Baltimore, voyant Othello qui, au cinquième acte de la tragédie de ce nom, allait tuer Desdemona, s’écria : « Il ne sera jamais dit qu’en ma présence, un maudit nègre aura tué une femme blanche. » Au même moment le soldat tire son coup de fusil, et casse un bras à l’acteur qui faisait Othello. […] Voilà la question du Romanticisme réduite à ses derniers termes. […] Je suis arrivé aux derniers confins de ce que la logique peut saisir dans la poésie.
De rares gazettes, pendant les deux derniers siècles, contentaient amplement le besoin qu’ont les hommes de savoir (pourquoi ? […] Si vous relisez les chroniques du mois dernier, il est probable qu’elles vous sembleront insipides, superflues, et que vous n’y apprendrez rien. […] Prenez sa dernière chronique.
Les personnages sont, outre la comédienne Vittoria (jouée par la signora Antonella Bajardi) et son camarade Piombino, les deux vieillards Pantalon et Gratiano, leurs femmes Isabelle et Flaminia, et les amoureux de ces dernières, Oratio et Flavio. […] Pedrolino sourit, lui demande combien il y a de temps qu’il n’est allé à la comédie, l’interroge sur tous les acteurs et en dernier lieu sur la signora Vittoria. […] Son mari, Francesco Andreini, fit graver sur sa tombe une épitaphe qu’on voyait encore à la fin du dernier siècle, et qui se terminait ainsi : « … Religiosa, pia, musis amica, et artis scenicæ caput, hic resurrectionem exspectat.
Le premier coule à découvert ; le second, occulte, fut jusqu’en ces dernières années insoupçonné. […] Si le vers manque d’une syllabe on y supplée : J’irai me plaindre J’irai me plaindre (6) Au duc de Bourbon (duque) Mais de par la musique ces trois derniers petits vers n’en forment en réalité qu’un seul de 15 syllabes : J’irai me plaindre, j’irai me plaindre au duque de [Bourbon]216. Je crois que l’on peut noter, d’après les derniers vers cités, deux rythmes particuliers dans la poésie populaire, l’un binaire, rythme de marche, l’autre ternaire, rythme de danse : Elle fait || l’hiver || elle fait || l’été Dans le pli || de sa mante.
. — Les dernières Calinodies. — Les mauvaises habitudes. — Petite gazette des tribunaux. — Une rivière qui s’ennuie. […] Vous m’aviez pourtant dit, lors du dernier renouvellement : Cette fois, vous pouvez compter sur moi, je n’ai qu’une parole ! […] Les dernières Calinodies Calino se trouvait dernièrement dans un château — de ses amis, plein de chasseurs et de bruit.
On a beaucoup disserté sur le but de la comédie ; des philosophes du siècle dernier l’ont regardée comme la seule école de la sagesse ; des critiques de nos jours, au contraire, la représentent comme fatale aux mœurs et à la religion. […] Et en effet, Messieurs, transportons-nous par la pensée dans l’avenir le plus lointain : supposons que de nombreuses générations se sont succédé, et que, par l’effet de ces grandes catastrophes qui bouleversent les empires, tout ce qui a été écrit sur les deux derniers siècles a disparu. […] Dès longtemps l’horizon était obscurci ; c’en est fait, le siècle finit au milieu des orages, et une nuit épaisse en couvre les derniers moments.
Excepté son dernier et son plus magnifique ouvrage, intitulé « Les Paroles de Dieu », d’une hauteur de mysticisme qui épouvante l’admiration et dont je ne me suis pas senti digne de rendre compte, j’ai toujours parlé de ses livres avec l’intérêt passionné qu’ils excitent. […] Son dernier livre vient, en effet, de révéler dans un de ses plus beaux chapitres — le chapitre de la charité intellectuelle — le secret de cette ardente préoccupation de la gloire, opposée si longtemps dans M. […] Pour les attardés qui parlent encore de Dieu, et qui bourrent leurs livres de ce vieux fagot avec lequel les hommes ne veulent plus se chauffer, il n’y a désormais, par ce temps sans Dieu, que l’enterrement vivant du silence, et le sacrifice des œuvres les plus belles et les plus pleines de lui, à brûler comme un dernier encens sur l’autel secret des Catacombes !