Un héros de ce caractère étoit capable, sinon d’éclipser, de balancer au moins Henri IV.
On aurait été indigné, à Port-Royal des plaisanteries et des blasphèmes de Ferney ; on y détestait les ouvrages faits à la hâte ; on y travaillait avec loyauté, et l’on n’eût pas voulu, pour tout au monde, tromper le public en lui donnant un poème qui n’eût pas coûté au moins douze bonnes années de labeur.
Àpeine un livre grave, au moins d’intention, comme Du pouvoir en France, par Wallon, ou Des forces productives de la Russie, par Tegoborski Le reste n’est que vocabulaires, annuaires, réimpressions prétentieuses d’articles de journaux qui n’ont pas la pudeur spirituelle de rester oubliés.
quand on fait du connu de cette force, on doit au moins le racheter par la beauté et la distinction des détails.
Tout au moins, si elle voulait jouer à ce petit mystère du « pseudonyme » qu’on perce toujours, il fallait attacher à cette composition si féminine un nom de femme ; car c’est une femme qui parle toujours dans ces Récits de la Luçotte 34, et monsieur Paria Korigan n’est que le nom d’un personnage auquel la Luçotte adresse ses Récits.
L’univers est tel aujourd’hui qu’il était il y a cinq ou dix siècles : c’est l’homme qui a changé, au moins dans sa pensée, sinon, pour le présent, dans sa vie.
Il y eut une exception apparente au temps du boulangisme, où les opinions de l’école étaient très divisées, pour et contre le général, et où, dans l’Est au moins, elle était généralement pour lui. […] La séparation a sinon supprimé, tout au moins fort affaibli et le cléricalisme et l’anticléricalisme. […] Jusqu’à la fin du xixe siècle, l’instituteur a été plus ou moins le délégué sinon d’une classe, tout au moins d’un organisme spirituel dirigeant. […] Or, la surpopulation d’une partie du monde, cause principale sinon de la crise économique, tout au moins de sa durée, et de son passage de l’aigu au chronique, condamnera longtemps les sections nationales de l’Internationale ouvrière à ce nationalisme ouvrier. […] Les hommes d’État radicaux ont été et sont encore au moins aussi cultivés que les hommes d’État conservateurs.
Flaubert croit donc, en a la possibilité du bonheur, au moins provisoire. […] En cela, au moins déjà, il n’était pas un saint. […] L’indifférence empêche au moins de dire des sottises ; et c’est un grand bienfait. […] Au moins, à Grenade, n’a-t-on pas rasé le parc adorable de l’Alhambra. […] Au moins s’étaient-ils accordé le temps de créer une œuvre.
Le Taine de 1861, quelle pensée son sens au moins technique de la vie lui suggéra-t-il, lorsqu’il vit l’Étienne Mayran qui sortait de ses mains ? […] On oublie que, d’après un calcul approximatif, dix-sept millions d’Anglais sur quarante lisent au moins un volume de fiction par mois. […] — C’est tout au moins une Idée du bonheur, une Idée du plaisir : l’artiste platonicien relaye l’homme épicurien. […] Le plaisir va probablement dans le courant de la vie (tout au moins de la vie de l’espèce), mais il nous fait tourner le dos à cette énigme. […] C’est le troisième qui conclut, ou tout au moins son récit se confond avec cette conclusion.
Peut-être n’y avait-il pas une seule ville qui ne possédât son poème ou au moins son hymne sur l’acte sacré qui lui avait donné naissance. […] Les pontifes la regardaient encore comme un acte religieux ; les hommes d’état y voyaient au moins une excellente mesure d’administration. […] Pourtant elle devait être au moins le reflet des annales, et se trouver ordinairement d’accord avec elles. […] Il représente la cité, qui est une association religieuse au moins autant que politique. […] S’il ne faisait pas les consuls, c’était au moins par lui que les dieux les faisaient.
Alfred de Musset ont été des plus remarquées et cela avec justice car nous ne craignons pas d’affirmer, dès l’abord, que longue vie est assurée au moins à une partie de ce qu’elles contiennent. […] Lorsqu’on se décide à reproduire partout et toujours la même idée, il faut au moins que cette idée soit vaste, féconde en points de vue divers, et que le poète en la présentant sans cesse, puisse y faire apercevoir des richesses encore inconnues. […] Théophile Gautier ne s’est jamais trouvé mal à l’aise au plus fort de la mêlée romantique ; au contraire, il s’y est porté de préférence, estimant volontiers la rudesse à l’égal du courage ; il faut donc en quittant Namouna pour Fortunio s’attendre à descendre au moins d’un degré. […] Avec une pareille donnée, on a, certes, les coudées franches pour représenter le bonheur, ou au moins le plaisir ; le poète a cependant tiré un très médiocre parti de tant d’éléments réunis à si grands frais. […] C’était une œuvre difficile ; mais c’était aussi une tentation ingénieuse et hardie, qui donnait aux novateurs un grand cachet d’audace, et qui prouvait suffisamment que ces cohortes indisciplinées avaient au milieu d’elles au moins un chef amant de la tradition et ne répudiant pas la science.
Il pouvait donc élever au moins ses deux derniers enfants. […] Donc, ils mouraient au moins autant.) […] Si on pouvait le détacher de Thérèse, ou tout au moins le ramener à Paris ! […] Et il est vrai qu’elle parle beaucoup d’amour, et qu’elle conseille tout au moins une sensualité légère. […] Évidemment il n’avait pas dépendu d’eux d’empêcher le décret du Parlement. — Au moins, direz-vous, auraient-ils dû le prévoir. — C’est bien mon avis.
C’est là le grand vice de tous les esprits solitaires ; les outils leur manquent, et sinon le but élevé et lointain, au moins le but direct et quotidien. […] Le radical le plus obstiné, le plus ardent pour les intérêts des classes moyennes, ne songe pas à détrôner l’aristocratie, au moins de ses postes officiels de représentation extérieure. […] Jusqu’à une époque très rapprochée de nous, en effet, la littérature anglaise s’est composée, pour le public, de six ou sept noms dont trois au moins étaient contemporains. […] Ces forces, dont nous avons constaté l’action, c’est cette âme universelle qui les crée en partie et qui, si elle ne les crée pas, les met au moins en mouvement. […] Il n’y a guère de personnage de cette époque qui n’ait été don Quichotte au moins deux ou trois fois dans sa vie.
Ce n’est pas idiot, au moins. […] Et il est clair, au moins, celui-là, et c’est avec cela un peintre d’une couleur et d’une intensité extraordinaires. […] Avec cela si, au moins, il picorait les jolis mots ! […] Et je trouve que cela vaut au moins la peine qu’on s’y intéresse. […] — mais qu’on lui conserve au moins son harmonie externe !
C’est à lui que je m’attacherai aujourd’hui, moins encore au savant qu’à l’homme ; moi, le dernier venu et le plus indigne de sa postérité directe, je veux gagner mon titre d’héritier et lui consacrer, à lui le grand sceptique, cet article tout pieux, au moins en ce sens-là. […] Le résultat de cette vaste époque effervescente à son lendemain et auprès des esprits rassis, judicieux, critiques, qui l’embrasseraient par la lecture, devait être naturellement le doute, au moins le doute moral, philosophique ; et de toutes parts le xvie siècle finissant l’engendra. […] Il avait le bon esprit d’y mettre même ce qu’il n’aimait guère ; là aussi il savait faire la part de la coutume : « Finalement, dit-il, il faut pratiquer en cette occasion l’aphorisme d’Hippocrate qui nous avertit de donner quelque chose au temps, au lieu et à la coutume, c’est-à-dire que certaine sorte de livres ayant quelquefois le bruit et la vogue en un pays qui ne l’a pas en d’autres, et au siècle présent qui ne l’avoit pas au passé, il est bien à propos de faire plus ample provision d’iceux que non pas des autres, ou au moins d’en avoir une telle quantité qu’elle puisse témoigner que l’on s’accommode au temps et que l’on n’est pas ignorant de la mode et de l’inclination des hommes. » En cela Naudé préparait directement les matériaux de l’histoire littéraire, telle que l’entendait Bacon. […] Ayant recommencé à parler de cette grande roue des siècles qui fait paraître, mourir et renaître chacun à son tour sur le théâtre du monde, « si tant est que la terre ne tourne, dit-il (car il n’a garde d’en être tout à fait aussi sûr que Copernic et Galilée), au moins faut-il avouer que non-seulement les cieux, mais toutes choses, se virent et tournent à l’environ d’icelle. » Et citant Velleius Paterculus, lequel est avec Sénèque un vrai penseur moderne entre les anciens, il en vient à admirer la conjonction merveilleuse qui se fait à de certains moments, et la conspiration active de tous les esprits inventeurs et producteurs éclatant à la fois ; mais cela ne dure que peu ; la lumière, si pleine tout à l’heure, ne tarde pas à pâlir, l’éclipse recommence, l’éternel conflit de la civilisation et de la barbarie se perpétue : c’est toujours Castor et Pollux qui reparaissent sur la terre l’un après l’autre, ou plutôt c’est Atrée et Thyeste qui régnent successivement en frères peu amis.
C’est cette pensée honnête, persévérante, patriotique et européenne, la paix, qui surnage sur la tombe de M. de Talleyrand ; elle donne une signification véritablement morale à une vie grosse de petites immoralités, mais pure de crimes ; elle fait extraire, avec un respect au moins politique, le nom de M. de Talleyrand de la gémonie des vices où M. de Chateaubriand l’avait enseveli sous ses invectives. […] Aussi ces premières années du consulat, fécondes en négociations, en congrès, en traités de paix, en alliances provisoires au moins avec toute l’Europe, furent-elles les plus laborieuses et les plus prospères de la vie du prince de Talleyrand. […] Cet honneur, au moins, devrait-il être partagé entre l’exécuteur et l’inspirateur de cette sagesse. […] Sa mémoire négociait encore, du fond de ce cercueil, avec tous les partis, compensant les offenses par des services, les injures par des éloges, les vengeances par des honneurs, et reconnaissant tous, au moins, ainsi par leur présence, que quelque chose de grand venait de s’évanouir des conseils de l’Europe, et que la sagesse de ce monde venait de baisser d’un grand poids !
Mais, comme il est académicien, qu’il mène forcément une vie plutôt artificielle et mondaine, la vie que son nom et sa condition lui imposent, et qu’il est, quoi qu’il fasse, sinon d’une coterie, au moins d’une société, avec qui qui sa pensée intime n’a presque rien ’ de commun, il semble, en quelque manière, exilé dans son monde. […] (Je veux nommer aussi, tout au moins, Georges Auriol, ne pouvant les nommer tous.) […] Il apparaît, par sa complexion, comme un soldat-gentilhomme de jadis, un maréchal de camp de l’ancien régime ou tout au moins un général risque-tout du premier empire, égaré dans une démocratie niveleuse, empêtré dans des charges bureaucratiques autant que militaires, commandant durant une paix interminable une armée de citoyens et d’électeurs où le patriotisme abonde plus que le tempérament et l’esprit proprement guerriers. […] C’est d’une de celles-là, mêlée, sous son crêpe de deuil, aux divertissements de quelque villégiature aristocratique, qu’une méchante langue dit un jour : « Oui, c’est bien ainsi que ce pauvre un tel aurait voulu être pleuré. » Il y a celles qui étaient au moins égales, par l’esprit et le talent, au mari qu’elles pleurent, et qui, tant qu’il vécut, se sont tues, se sont cachées, ont suivi ses succès, du fond de leur retraite volontaire, comme des mères indulgentes.
Soit, mais alors il en faut dire au moins autant du désir mental, de la tension du vouloir et de la concentration de la pensée : ce sont tout au moins des éléments et des facteurs de l’attention, fût-ce au même titre que les mouvements musculaires. […] Si je recommence un grand nombre de fois à toucher la flamme qui m’a brûlé ou tout au moins à en sentir la chaleur croissante à mesure que j’en approche le doigt, si j’additionne grosso modo dans ma mémoire tous les cas positifs, si j’ai conscience, au contraire, de l’absence d’aucun cas négatif, si je vois ainsi les raisons pour (égales à un nombre indéfini) et les raisons contre (égales à zéro), si enfin j’ai le langage qui me permet de traduire la direction d’esprit résultant de cette comparaison, j’arriverai à cette proposition générale : le feu brûle. […] Tantôt enfin nous pensons soit des choses abstraites et générales, soit des choses en apparence toutes spirituelles ou intellectuelles ; mais, même alors, nous avons tout au moins dans l’esprit les images qu’on appelle mots ou signes.
En quoi est-il besoin de concevoir « une distance particulière » entre deux taches de couleurs diverses pour les percevoir en dehors l’une de l’autre, tout au moins différentes l’une de l’autre ? […] Sans prétendre l’expliquer par réduction à quelque chose de plus simple, au moins faut-il le rattacher à sa vraie origine expérimentale, et cette origine, selon nous, n’est pas la représentation, elle est l’appétition ; elle n’est pas d’ordre intellectuel, mais d’ordre volitif. […] Le prestidigitateur divin serait déjoué, malgré l’artifice de sa lanterne magique, tant qu’Adam immobile n’aurait pas encore agi et, par l’action, par l’effort, réalisé en soi le temps, au moins une première fois. […] Penser, en un mot, c’est établir des relations tout au moins de différence et de ressemblance ; or, il n’y a de différence et de ressemblance aperçue qu’entre des objets co-existants dans la conscience.
C’est celle au moins qui plaît & qui fait le mieux connoître le Poëte Grec avec toutes ses grandes qualités, comme avec ses défauts, quoique ceux-ci y soient quelquefois déguisés ou adoucis autant que l’exactitude d’une traduction qui n’a rien de servile a pu le permettre, & que le génie de notre langue semble l’avoir exigé. […] Supposé qu’il y eût des défauts, ce ne sont pas au moins des défauts qui viennent du fond vicieux ou de la mauvaise construction de la fable ; mais uniquement du tems qui a manqué à l’auteur pour finir son ouvrage. […] in-12. est la meilleure qui ait été encore faite de ce Poëte, au moins pour la lettre ; car quelques critiques prétendent que le traducteur est trop froid, & que quelquefois il noye dans de longues phrases entortillées la poésie de Virgile. […] Elle n’a nulle imagination dans l’expression, & l’on y cherche en vain ce nombre & cette harmonie que la prose comporte & qui est au moins une foible image de celle qui a tant de charme dans la poésie.
Mais si la forme a changé, si le christianisme a mis fin à certains crimes ou tout au moins obtenu qu’on ne s’en vantât pas, le meurtre est trop souvent resté la ratio ultima, quand ce n’est pas prima, de la politique. […] De toutes les conceptions politiques c’est en effet la plus éloignée de la nature, la seule qui transcende, en intention au moins, les conditions de la « société close ». […] Or l’homme a nécessairement la propriété de ses instruments, au moins pendant qu’il s’en sert. […] Celui de la paix intérieure en dépend au moins autant.
Il le garda pendant près de douze ans, le célébra dans un des livres du poème de La Tâche, se félicitant d’avoir gagné toute sa confiance et d’avoir détruit en lui toute crainte : « Si je te survis, disait-il, je creuserai ta fosse et, en t’y plaçant, je dirai avec un soupir : J’ai connu au moins un lièvre qui a eu un ami. […] Bien des figures en sortirent, qui avaient au moins le mérite de n’avoir point leurs pareilles ni dans l’art ni dans la nature.
Ceux qui voudront ajouter foi à un récit qui fut sans doute inventé ou tout au moins brodé par la malignité, pourront y trouver une confirmation dans ces Mémoires, par la manière tout exaltée et tendre dont il est parlé de Mme de Castelmoron : cependant ils n’y trouveront que bien peu de chose sur les défauts de Mme Du Deffand qui sont l’autre moitié de la scène. Vers l’âge de cinquante ans (1735), le président fit une maladie grave, et Mme de Castelmoron en profita pour déterminer sa conversion ou tout au moins sa résipiscence ; il fit une confession générale et prit dès lors le parti de la dévotion qu’il soutint assez bien, et où il se fortifia dans les dernières années.
L’influence de M. de Chateaubriand (juge d’ailleurs assez équitable de Voltaire), celle de Mme de Staël, c’est-à-dire de Rousseau toujours, le réveil d’une philosophie spiritualiste et respectueuse pour la nature humaine, l’action aussi de la renaissance religieuse qui atteignait au moins les imaginations quand ce n’était pas les cœurs, l’influence littéraire enfin qui soufflait tantôt de la patrie de Goethe et de Schiller, tantôt de celle de Shakespeare, de Walter Scott et de Byron, ces diverses causes générales avaient fort agi sur plusieurs d’entre nous, jusque dans nos premières lectures de Voltaire. […] Je crois voir, en un mot, dans ces travaux de Voltaire, sinon le germe, tout au moins un élément très essentiel de l’action qu’il a exercée sur son siècle… » — Nous autres, Français, nous sommes un peu lestes dans nos conclusions, et nous avons beau faire, nous ressemblons plus ou moins à ce seigneur Pococurante que Voltaire lui-même a introduit dans Candide.
L’abbé Bossuet, que l’ambition dissipe et qui n’est guère pressé de publier, ne s’avance pas jusque-là avec Le Dieu, et la famille se borne à le combler de soins, d’attentions, à le recevoir, à le défrayer pendant les voyages qu’il fait à Paris, au moins une ou deux fois l’an. […] Avec ce missel, voilà ma chapelle complète, au moins telle quelle, venant de feu M. de Meaux ; nous verrons ce que cet abbé fera de plus quand il aura fini ses affaires, et qu’il verra ce qu’il aura de reste en ses mains.
Il a lu Crébillon fils au moins autant que Tacite qu’il prétend traduire ; je veux dire qu’il a le goût petit-maître. […] On a bien fait de nos jours du Napoléon à s’y méprendre, au moins pendant quelques semaines.
Le duc de Montausier, qui eut toujours des bontés pour lui, avait obtenu pour sa traduction d’Athénée le privilège nécessaire, mais ce privilège accordé et la traduction faite, pas un libraire ne s’en voulut charger : Enfin, s’écrie Marolles qui se décide à l’imprimer à ses frais (1680), enfin, pour ne pas frustrer la grâce du privilège obtenu par le généreux seigneur à qui cet ouvrage est dédié, j’ai osé entreprendre de faire cette édition pour vingt-cinq exemplaires seulement, laissant toutefois à l’imprimeur la liberté d’en prendre tel nombre qu’il voudra de copies pour lui, afin au moins que peu de personnes connaissent après moi que ce travail n’était peut-être pas si méchant qu’il dût demeurer éternellement enseveli dans les ténèbres de l’oubli. […] Et Mercier, l’auteur du Tableau de Paris, dans je ne sais quelle épître de sa vieillesse, a trouvé ce vers qu’il adressait à la nature ou à la Providence : Laisse-moi vivre au moins par curiosité !
Il eut le temps de prendre quelques habitudes de province, au moins dans le goût ; il admirera jusqu’à la fin Mlle de Scudéry, il sera son soupirant idolâtre. […] Mais je m’aperçois que cette vue suppose et demande toujours une suite ou au moins une fréquence de Richelieux historiquement impossibles.