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2185. (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Émile Augier — Chapitre Premier »

Au second acte, nous retrouvons Marguerite dans l’hôtel de sa marraine, qui lui promet, foi de Rohan, qu’elle n’épousera pas M. de Cruas.

2186. (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre VI. Le Bovarysme essentiel de l’humanité »

La horde primitive retrouve et vénère son chef mort dans le lion qui le dévora et qui, franchissant la nuit le cercle de feu où elle s’endort, prélève sa dîme sur les anciens serviteurs.

2187. (1856) Les lettres et l’homme de lettres au XIXe siècle pp. -30

Si parfois, par un de ces changements ordinaires sur la scène politique, l’écrivain homme d’État retrouve ses loisirs, et qu’il ait encore la force de reprendre sa plume, alors il rapporte à sa profession bien-aimée un trésor d’observations et de souvenirs : c’est un voyageur enrichi qui revient dans sa patrie.

2188. (1913) La Fontaine « III. Éducation de son esprit. Sa philosophie  Sa morale. »

Vous retrouvez la même constatation dans le Loup et l’Agneau, ce Loup et l’Agneau — j’y reviendrai peut-être — qui irritait les nerfs de Napoléon Ier, vous verrez pourquoi.

2189. (1767) Sur l’harmonie des langues, et en particulier sur celle qu’on croit sentir dans les langues mortes

De l’imagination, du goût, de l’oreille ; pourquoi des Français, qui prétendent avoir eu le bonheur de posséder ces qualités en parlant une langue morte et étrangère, ne les ont-ils plus retrouvées quand ils ont hasardé de faire des vers dans la leur ?

2190. (1899) Le roman populaire pp. 77-112

Et ceci révèle l’amour spécial et caractéristique qui dort au fond de la plupart d’entre nous. » En France, et sous des formes très différentes, j’ai retrouvé l’expression de la même idée.

2191. (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Deuxième partie — Chapitre III. La complication des sociétés »

Il peut donc arriver qu’un même homme se retrouve, dans des associations très différentes, politiques ou religieuses, mondaines ou économiques, placé au même rang.

2192. (1893) Des réputations littéraires. Essais de morale et d’histoire. Première série

Lorsqu’ils sont façonnés et développés par un maître, Bossuet, Villon ou Victor Hugo, ils deviennent aussi originaux que les inventions les plus rares, et plus intéressants même que les inventions les plus rares pour l’humanité tout entière, contente d’y retrouver un ordre de pensées et de sentiments qui lui est accessible et habituel. […] Les « qualités de vulgarité » qui rendent une oeuvre populaire se retrouvent, selon. […] L’érudition moderne a retrouvé les noms de trois cent cinquante tragiques grecs ; mais le chiffre de six cents tragédies environ et de plus de quinze cents comédies qu’on donne comme approximatif du nombre total, paraît être fort au-dessous de la réalité, puisque Eschyle avait laissé à lui seul plus de soixante-dix pièces ; Sophocle, cent treize ; Euripide, quatre-vingt-douze, et puisque Athénée avait pu lire huit cents comédies appartenant toutes à ce genre intermédiaire et transitoire qu’on appelait comédie moyenne. […] Nul être humain ne voudrait, tournant le dos à l’avenir, remonter le cours des récentes années, non pas même pour, retrouver et ressaisir un état d’âme dont il déplore la disparition. […] Après tout, il n’était pas nécessaire que la grande situation de Bossuet dans l’histoire fût occupée, à défaut de lui, par quelqu’un, et la rigueur logique que certains philosophes aiment à retrouver dans l’enchaînement des faits littéraires ne peut sans doute aller jusqu’à prétendre que le Discours sur l’histoire universelle et le Sermon sur l’unité de l’Église devaient être produits.

2193. (1774) Correspondance générale

Si l’extrait dont il s’agit se retrouve là, envoyez-le-moi. […] J’espère le retrouver auprès de vous. […] Si vous saviez ce que produit la présence d’un compatriote qu’on aime qu’on estime, et qu’on retrouve subitement à sept ou huit cents lieues de sa patrie : et Grimm dont je me sépare à Paris, incertains si nous ne nous reverrons jamais, qui parcourt un arc de cercle dont l’extrémité se termine à Pétersbourg, tandis qu’à l’insu l’un de l’autre, je parcours un arc de cercle opposé qui aboutit au même endroit sous le pôle ! […] Je me trompe, avec un peu de mémoire, je retrouverai encore beaucoup de traits qui me seront échappés, et je ne serai de longtemps dans le cas de me répéter. […] Cette lettre et la suivante ont été récemment retrouvées aux Archives de l’État, à Moscou.

2194. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCIVe entretien. Alfred de Vigny (1re partie) » pp. 225-319

Ces soins domestiques lui laissaient le loisir non-seulement de méditer et de polir ses vers, mais encore de se livrer comme Frédéric II à son goût pour la musique, et en particulier pour la flûte, le plus doux et le plus pastoral des instruments, celui qui s’allie le mieux avec la solitude et la campagne ; il y retrouvait l’âme de Théocrite de Sicile, et il excellait dans cet instrument. […] Indépendamment de quelques poèmes très courts, mais très parfaits d’exécution, tels que le Cor, où l’on retrouve l’instinct musical de son âme, et qu’il écrivit pendant un voyage dans les Pyrénées avec sa mère, et que voici : Le Cor.

2195. (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxvie entretien. L’ami Fritz »

Il retrouve dans sa poche la recette des beignets de Sûzel. […] À force de le voir, il n’y pensait plus ; mais alors il lui sembla le retrouver après une longue absence.

2196. (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIIIe entretien. Littérature cosmopolite. Les voyageurs »

Ce vieux seigneur était dans le sérail quand ils arrivèrent, et, en ayant été averti, il sortit en robe de chambre ; et, entrant par une porte de derrière dans la salle où il les avait fait mener, il leur dit qu’il les priait de s’asseoir jusqu’à ce qu’il fût habillé, et qu’il les allait venir retrouver. […] Je doute fort de la justesse de la signification indiquée ici par Chardin, quoiqu’elle se retrouve encore dans sa Relation du couronnement de Soliman, cérémonie qui eut lieu dans cette même salle.

2197. (1857) Cours familier de littérature. IV « XXIIe entretien. Sur le caractère et les œuvres de Béranger » pp. 253-364

IV L’invasion de 1814 interrompit à peine ces chansons ; dès le mois de mai de cette année, nous retrouvons Béranger au Caveau, en compagnie de Désaugiers, chantant en convive patriote, mais toujours gai, les meilleures espérances de la patrie après ses revers. […] XXV Je ne fis qu’entrevoir Béranger pendant les trois mois de modération et de périls, toujours sauvés par le civisme inespéré de ce grand peuple, mois qui précédèrent l’avènement de l’Assemblée constituante, seule souveraineté que nous pussions retrouver sous ces débris.

2198. (1896) Matière et mémoire. Essai sur la relation du corps à l’esprit « Chapitre I. De la sélection des images, pour la représentation. Le rôle du corps »

Bien loin d’en retrancher quelque chose d’aperçu, nous devons au contraire rapprocher toutes les qualités sensibles, en retrouver la parenté, rétablir entre elles la continuité que nos besoins ont rompue. […] L’affection est donc ce que nous mêlons de l’intérieur de notre corps à l’image des corps extérieurs ; elle est ce qu’il faut extraire d’abord de la perception pour retrouver la pureté de l’image.

2199. (1856) Réalisme, numéros 1-2 pp. 1-32

Le public ne compare pas, en littérature principalement ; chacune de ses lectures, de ses impressions est isolée des autres, il ne peut pas mesurer son enthousiasme à la valeur proportionnelle des œuvres, surtout dans le premier mouvement ; mais plus tard il retrouve des sensations durables, gravées en lui par les bonnes choses, alors il retourne à celles-là et établit ainsi leur supériorité. […] Vous vous retrouvez dans son œuvre qui vous rappelle les faits de votre existence. […] N’est-il pas des grands types qu’on retrouve dans toutes les mémoires ? […] Cela se comprend : quand ils ont fait leur petite bimbeloterie de facéties et d’anecdotes, quand ils ont fait le bruit de leurs prétentions et de leurs haines, quand ils ont travaillé pour faire rire le public, et qu’ils se retrouvent mangeant au même râtelier et réduits à s’appeler entre eux « mon spirituel ami » ils ne sont pas contents, et c’est justement le contentement qu’on recherche en cette joyeuse vie.

2200. (1716) Réflexions sur la critique pp. 1-296

Nous serions encore dans la barbarie, si nous ne les avions retrouvez. […] Je passe d’abord à Me D un grand étalage d’érudition, dont elle saisit un prétexte bien leger, comme si elle avoit craint de n’en pas retrouver une meilleure occasion. […] Je ne les avance que sur de bons témoignages ; mais dans l’impuissance où je suis de lire, ce n’est qu’avec une peine infinie que je les retrouve. […] Que demain les troyens renversez sous nos coups puissent à chaque instant le retrouver en nous.

2201. (1875) Revue des deux mondes : articles pp. 326-349

J’ai souvent moi-même répété ces expériences et constaté que chez l’animal sauvé le poison était passé dans l’urine, de sorte qu’en concentrant ce liquide, on y retrouvait le curare avec ses propriétés toxiques ordinaires. […] Autrefois Buffon avait cru qu’il devait exister dans le corps des êtres vivants un élément organique particulier qui ne se retrouverait pas dans les corps minéraux9. […] Le déterminisme du phénomène initial une fois saisi sera le fil d’Ariane qui dirigera l’expérimentateur, et lui permettra toujours de se retrouver dans le labyrinthe en apparence si obscur des phénomènes physiologiques et pathologiques. […] Cependant ce corps en était également entouré pendant la vie ; leurs affinités pour ses molécules étaient les mêmes, et celles-ci y eussent cédé également, si elles n’avaient pas été retenues ensemble par une force supérieure à ces affinités, qui n’a cessé d’agir sur elles qu’à l’instant de la mort. » Ces idées de contraste et d’opposition entre les forces vitales et les forces extérieures physico-chimiques, que nous retrouvons dans la doctrine des propriétés vitales, avaient déjà été exprimées par Stahl, mais en un langage obscur et presque barbare ; exposées par Bichat avec une lumineuse simplicité et un grand charme de style, ces mêmes idées séduisirent et entraînèrent tous les esprits.

2202. (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre premier. » pp. 15-203

Bientôt on ne retrouve ni l’homme équitable ni le prince clément : Claude, subjugué par Messaline46, entouré de l’eunuque Posidès, des affranchis Félix, Harpocras, Caliste, Pallas et Narcisse, qui abusent de ses terreurs, de son penchant à la crapule, et de sa passion pour les femmes ; l’administration a passé de ses mains au pouvoir d’une troupe de scélérats aux ordres des deux derniers. […] Il m’objectera ici ce qu’il m’a dit plusieurs fois : qu’il n’y a peut-être pas une idée principale, folle ou sage, qui lui appartienne, que la préférence de l’état sauvage sur l’état civilisé, n’est qu’une vieille querelle réchauffée ; qu’on avait fait cent fois avant lui l’apologie de l’ignorance contre les progrès des sciences et des arts ; qu’on retrouve partout la base et les détails de son Contrat social ; qu’un homme d’un peu de goût ne s’avisera jamais de comparer son Hèloïse avec les romans de Richardson, qu’il a pris pour modèle ; que son Devin du village n’est aujourd’hui que de la très-petite musique ; que, si l’on avait un enfant à élever, on laisserait les idées fausses ou exagérées d’Emile, pour se conformer aux sages préceptes de Locke ; que l’on ne clouta jamais que les langes où nous emprisonnons les nouveau-nés, ne les fissent pâtir, et ne les déformassent ; qu’on lit dans la plupart des moralistes et des médecins122, que les mères exposaient leur santé et manquaient à leur devoir en refusant à leurs enfants la nourriture qui gonflait leurs mamelles, et que c’est autant la fréquence des accidents que l’éloquence de Rousseau qui les a persuadées. […] retrouvera-t-il quelque soumission dans le sénat ? […] Qu’avonsnous de mieux à souhaiter que de les retrouver ? […] Que, dans les bons ouvrages de cet âge, avec la force d’Afranius et la sagesse d’Afer on retrouve encore l’abondance de Sénèque : In his quos ipsi vidimus, copiam Senecæ, vires Afrani, maturitatem Afri reperimus.

2203. (1902) La politique comparée de Montesquieu, Rousseau et Voltaire

On comprend, encore que Voltaire ne le comprenne pas, que Choiseul se fût refroidi à l’endroit de Voltaire, Ce peu de goût que Voltaire a pour les gens qui défendent leur droit contre la force se retrouve dans son attitude à l’égard des insurgents américains. […] C’est dans le Contrat Social que la définition même de la Liberté telle qu’elle se retrouve dans la Déclaration des Droits de l’homme et telle que nous la donnions au commencement de ce chapitre est insérée avec éclat et commentaires élogieux. […] On y gagne ; car on retrouve en la personne de ce suprême magistrat plus de force qu’on n’en a quitté pour l’autoriser, puisqu’on y retrouve toute la force de la nation réunie ensemble pour nous secourir.  » (Politique tirée des propres paroles de l’Ecriture sainte.) […] Tout ce que j’ai vu dans mon pays et dans le vôtre m’apprend qu’il n’y a pas d’autre esprit des lois. » Enfin Voltaire s’est trouvé un jour en face du collectivisme proprement dit, en 1767, en lisant un livre que je n’ai pas pu retrouver et dont j’ignore l’auteur, l’Ordre essentiel des Sociétés.L’auteur y soutenait sans doute le collectivisme royal, c’est à-dire le droit éminent de propriété, qui est au roi, poussé jusqu’à la pratique, et le roi possédant réellement toutes les terres et les administrant selon son gré. […] — Cette utilité des religions condamnées, mais tolérées, se retrouve aujourd’hui dans l’utilité, qu’on ne comprend pas assez, des partis politiques.

2204. (1916) Les idées et les hommes. Troisième série pp. 1-315

Le mot que nous attendions depuis quarante-quatre ans. » Nous avons lu, à leur date, ces lignes dans le journal ; nous les retrouvons dans le livre, nous les reconnaissons : notre mémoire les a gardées, les a liées au souvenir des épisodes et du sentiment dont elles sont la formule indélébile. […] Nous l’avons vu très amoureux de sa belle ; une page de blanc : nous le retrouvons dans la roulotte. […] Mockel, analysant l’âme ardennaise, y montre « une sensibilité nerveuse, délicate à l’extrême chez les hommes cultivés et dont on retrouve les traces jusque dans le peuple des campagnes », un penchant vers la rêverie, une exquise amitié pour toutes choses et le goût de communier avec la nature. […] C’est là que nous le retrouvons avec plaisir. […] Il me semble que toutes les idées du siècle, toutes les nuances d’idées, et tous les sentiments, toutes les tentatives ingénieuses pour comprendre et aussi toutes les finesses de l’émoi, se retrouvent en Fénelon, qui les achève et, souvent, les détériore.

2205. (1837) Lettres sur les écrivains français pp. -167

Elle était à demi couchée dans une ganache de maroquin ; ses petits pieds jouaient avec les petites mules chinoises qu’elle perdait et retrouvait sans cesse sur le tapis. […] Ils se sont fait de ce foyer leur salon, où ils se retrouvent ; ils ont leurs entrées à l’Opéra parce qu’ils appartiennent au haut journalisme, ou bien parce qu’ils ont une influence marquée sur la haute société qui fait la fortune de ce théâtre. […] Or, comme la majeure partie des romanciers sont devenus journalistes, je devais retrouver là quelques personnages qui m’avaient manqué au foyer de l’Opéra.

2206. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Werther. Correspondance de Goethe et de Kestner, traduite par M. L. Poley » pp. 289-315

Werther une fois fait, et même à mesure qu’il le conçoit et le compose, Goethe retrouve sa sérénité ; il a triomphé de ses sentiments puisqu’il les a magnifiquement exprimés.

2207. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Appendice. »

Après l’avoir perdu, je retrouvai un utile et solide secours dans la collaboration de M. 

2208. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Sismondi. Fragments de son journal et correspondance. »

Ce qui autorise à reconnaître Mme de Staël dans ce passage, c’est la manière dont Sismondi a parlé de l’Ellénore d’Adolphe, dans laquelle il la retrouvait également (lettre du 14 octobre 1816) ; il déchire, à cette occasion, tous les voiles, et après avoir dit à Mme d’Albany qu’il a lu deux fois Adolphe, il ajoute : « Vous trouverez que c’est beaucoup pour un ouvrage dont vous faites assez peu de cas, et dans lequel, à la vérité, on ne prend d’intérêt bien vif à personne.

2209. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « DES MÉMOIRES DE MIRABEAU ET DE L’ÉTUDE DE M. VICTOR HUGO a ce sujet. » pp. 273-306

On retrouvera dans le passage suivant, sous une forme un peu plus voilée, quelques-unes des mêmes pensées qui nous sont très-familières : « La première partie, disions-nous, de l’ouvrage de M.

2210. (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Livre quatrième. La propagation de la doctrine. — Chapitre III »

Un personnage de Mme de Genlis, revenant à Paris après cinq ans d’absence, dit « qu’il a laissé les hommes uniquement occupés de jeu, de chasse, de leurs petites maisons, et qu’il les retrouve tous auteurs575 ».

2211. (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre premier. Mécanisme général de la connaissance — Chapitre II. De la rectification » pp. 33-65

Quantité d’exemples, cités plus haut, ont, je crois, mis cette vérité hors de doute, et l’on a vu que la transformation se fait de deux façons, tantôt par un progrès lent dont on peut suivre plusieurs phases : c’est le cas de la rêverie qui aboutit au sommeil ; tantôt brusquement, après une incubation sourde dont souvent on retrouve les traces : c’est le cas ordinaire pour l’hallucination17.

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