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350. (1880) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Première série pp. 1-336

ou bien y ont-ils été introduits plus tard, dans le désordre d’une révision et d’un remaniement postérieurs ? […] On les prendra plus tard à partie, non pas quand ils auront dégénéré de la vertu de leur institution, mais quand on sentira qu’on peut les frapper sans danger. […] Un mois plus tard, le 15 février 1650, nous retrouvons la troupe à Agen. […] Si jamais il n’est plus jeune et qu’il cesse d’être amoureux, ce ne sera plus la même chose. » Elle dira plus tard, au lendemain d’Esther, que « Racine aime Dieu comme il a aimé ses maîtresses ». […] Diderot a échoué, comme on sait ; Sedaine a presque réussi ; quelques années plus tard, au grand dommage de la littérature et du goût, Beaumarchais a triomphé.

351. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Léopold Robert. Sa Vie, ses Œuvres et sa Correspondance, par M. F. Feuillet de Conches. — [Note.] » pp. 444-445

Plus tard, il est vrai, il devient triste et dégoûté de la vie ; mais, au milieu de ses souffrances d’esprit et de corps, la chose qui l’occupe le plus, celle dont il parle sans cesse, c’est toujours sa chère peinture ; c’est toujours son tableau des Pêcheurs.

352. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XXX » pp. 126-128

Cela finira par quelque petite concession qu’on fera le plus tard possible.

353. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « PENSÉES ET FRAGMENTS. » pp. 495-496

Par malheur il n’en est point absolument ainsi ; ce qu’on recueille dans de gros volumes n’est pas sauvé par là même, et ce qui reste dans des feuilles éparses n’est pas tellement perdu que cela ne pèse encore après vous pour surcharger au besoin votre démarche littéraire et, plus tard, votre mémoire (si mémoire il y a), de mille réminiscences traînantes et confuses.

354. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Première partie. Préparation générale — Chapitre premier. De la stérilité d’esprit et de ses causes »

Et ce n’est pas seulement à l’école ou au lycée, quand on fait ses devoirs par obligation, qu’on ne trouve rien à dire : plus tard, dans le inonde, on aime à causer, on veut écrire à de chers amis, on fait le projet de noter ses impressions dans un journal intime.

355. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — C — Cladel, Léon (1834-1892) »

Cladel est très grande, c’est là sa forte qualité ; son art, minutieux et brutal, turbulent et enfiévré, se restreindra plus tard, sans nul doute, dans une forme plus sévère et plus froide, qui mettra ses qualités morales en plus vive lumière, plus à nu.

356. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « M. DE LA ROCHEFOUCAULD » pp. 288-321

En 1665, il y avait neuf ans que les Provinciales avaient paru ; les Pensées ne devaient être publiées que cinq ans plus tard, et le livre des Caractères qu’après vingt-deux ans. […] Ce petit volume original, dans sa primitive ordonnance qui s’est plus tard rompue, offrant ses trois cent quinze pensées si brèves, encadrées entre les considérations générales sur l’amour-propre au début et les réflexions sur le mépris de la mort à la fin, me figure encore mieux que les éditions suivantes un tout harmonieux, où chaque détail espacé arrêta le regard. […] Esprit, et l’abbé de La Victoire : « Je sais qu’on dîne chez vous sans moi, écrivait-il, et que vous faites voir des sentences que je n’ai pas faites, dont on ne me veut rien dire… » Et encore, de Verteuil où il était allé, non loin d’Angoulême : « Je ne sais si vous avez remarqué que l’envie de faire des sentences se gagne comme le rhume : il y a ici des disciples de M. de Balzac qui en ont eu le vent et qui ne veulent plus faire autre chose. » La mode des maximes avait succédé à celle des portraits : La Bruyère les ressaisit plus tard et les réunit toutes les deux. […] Vinet, qu’il mourut, comme on l’a dit plus tard, avec bienséance.

357. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE RÉMUSAT » pp. 458-491

Je ne sais si, comme plus tard, ses cheveux volontiers ramenés voilaient le front, qui aurait eu son éclat. […] Guizot, M.de Barante, un peu M. de Fontanes, Gérard le peintre, plus tard M. […] Assez ordinairement les femmes sérieuses et sensibles sont très-frappées, dans leur jeunesse, de l’obstacle que le monde oppose aux sentiments vrais, aux affections naturelles, et plus tard des entraves qu’il met, pour leur sexe encore, aux études et aux pensées suivies, aux applications sérieuses et profondes. De là elles sont tentées de faire des romans de sentiment quand elles sont jeunes, et plus tard des plans d’éducation.

358. (1895) Histoire de la littérature française « Première partie. Le Moyen âge — Livre I. Littérature héroïque et chevaleresque — Chapitre I. Les chansons de geste »

Du vie au xe  siècle, comme du xie au xive , le procédé constamment mis en usage a été l’extension par remaniement total ; c’est par étirement, non par suture, que peu à peu ce qui pouvait avoir quelques centaines de vers au ixe  siècle, s’est trouvé être, quatre siècles plus tard, un poème de dix mille ou vingt mille vers. […] Ainsi les chansons de geste21 sont déjà telles à peu près qu’elles nous apparaîtront un siècle et demi plus tard dans les rédactions conservées. […] Il la vend au jongleur, qui la joint à son répertoire, et la colporte de château en château, plus tard aussi, et de plus en plus, de ville en ville et de village en village : il se fait entendre dans la grande salle féodale, aux barons assemblés, ou sur la place publique, aux bourgeois, aux vilains. […] On dit plus tard, mais rarement en français propre, une geste tout court pour un poème épique.

359. (1883) Souvenirs d’enfance et de jeunesse « Chapitre V. Le Séminaire Saint-Sulpice (1882) »

L’Église catholique s’oblige à soutenir que ses dogmes ont toujours existé tels qu’elle les enseigne, que Jésus a institué la confession, l’extrême-onction, le mariage ; qu’il a enseigné ce qu’ont décidé plus tard les conciles de Nicée et de Trente. […] Si j’avais pu croire que la théologie et la Bible étaient la vérité, aucune des doctrines plus tard groupées dans le Syllabus, et qui, dès lors, étaient plus ou moins promulguées, ne m’eût causé la moindre émotion. […] Loin de reculer les vœux pour ce motif, ils les précipitent, pensant que ces troubles disparaissent quand il n’est plus temps d’y donner suite et que les soucis de la vie active du ministère chassent plus tard ces hésitations spéculatives. […] Une voix secrète me disait : « Tu n’es plus catholique, ton habit est un mensonge : quitte-le. » J’étais chrétien cependant ; car tous les papiers que j’ai de ce temps me donnent, très clairement exprimé, le sentiment que j’ai plus tard essayé de rendre dans la Vie de Jésus, je veux dire un goût vif pour l’idéal évangélique et pour le caractère du fondateur du christianisme.

360. (1830) Cours de philosophie positive : première et deuxième leçons « Première leçon »

Sans les attrayantes chimères de l’astrologie, sans les énergiques déceptions de l’alchimie, par exemple, où aurions-nous puisé la constance et l’ardeur nécessaires pour recueillir les longues suites d’observations et d’expériences qui ont plus tard servi de fondement aux premières théories positives de l’une et l’autre classe de phénomènes ? […] Même sans avoir égard aux obstacles plus spéciaux que nous considérerons Plus tard. […] Ce mode d’organisation des études humaines, d’abord inévitable et même indispensable, comme nous aurons lieu de le constater plus tard, change peu à peu, à mesure que les divers ordres de conceptions se développent. […] J’ignore si, plus tard, il deviendra possible de faire a priori un véritable cours de méthode tout à fait indépendant de l’étude philosophique des sciences ; mais je suis bien convaincu que cela est inexécutable aujourd’hui, les grands procédés logiques ne pouvant encore être expliqués avec la précision suffisante séparément de leurs applications.

361. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Histoire de la Restauration, par M. Louis de Viel-Castel » pp. 355-368

Chaque régime qui a ses raisons d’être amène à sa suite et fait plus ou moins surgir son cortège naturel, les générations nées en même temps, éveillées au même signal, qui en ont l’esprit, le sentiment, l’intelligence, les espérances d’abord avec les ambitions, et plus tard, s’il tombe, les regrets. […] Notez que c’était bien affaire d’État chez lui, non pas récréation ni divertissement pur ; et cette marque de favori, inscrite au front, frappera de discrédit, d’odieux ou de ridicule aux yeux de plusieurs, l’homme de son choix, même quand plus tard cet homme sera un ministre bienveillant et habile.

362. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. ALFRED DE MUSSET (La Confession d’un Enfant du siècle.) » pp. 202-217

Plus tard, il y a un moment où tout d’un coup, à propos d’une grande promenade nocturne, nous découvrons que Mme Pierson, pour ces longues courses, prend une blouse bleue et des habits d’homme. […] L’auteur en commençant, et n’étant pas encore sûr de son effet, a voulu faire, on le sent, un déploiement inaccoutumé ; plus tard, à mesure qu’il avançait, sentant que les vraies beautés ne lui manquaient pas, il a osé être simple.

363. (1874) Premiers lundis. Tome II « Mémoires de Casanova de Seingalt. Écrits par lui-même. »

C’est, au reste, la même J…, qu’après diverses rencontres Casanova retrouvait, six ou sept ans plus tard, dans la galerie de Fontainebleau, devant être présentée au roi Louis XV le lendemain ; mais sa majesté étant venue à passer avec M. le maréchal de Richelieu, lorgna la galante étrangère un peu dédaigneusement, et dit au maréchal assez haut pour que J… pût l’entendre : « Nous en avons ici de plus belles. » L’iris fascinateur avait manqué son triomphe, et la présentation n’eut pas lieu. […] Ce qui me frappe surtout dans les amours de Casanova, dans les premières comme dans celles qui viendront plus tard, dans ses passions les plus vraies et les plus profondes au moment où il les a, dans ce qui n’est ni pur caprice ni désœuvrement, ni débauche, dans sa liaison avec dona Lucrezia, avec Bellino-Thérèse, avec madame F., avec la jeune comtesse A.

364. (1861) La Fontaine et ses fables « Première partie — Chapitre III. L’écrivain »

Plus tard, quand il imite la Psyché d’Apulée, il n’atteint qu’un style faux, à demi naïf et à demi fade. […] Plus tard ayant trouvé le rythme vrai, il est devenu notre plus grand poëte.

365. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XIII. Premières tentatives sur Jérusalem. »

Il en résulta seulement pour lui quelques bonnes relations, dont plus tard il recueillit les fruits. […] Il en garda sans doute une impression favorable, car plus tard il défendit Jésus contre les préventions de ses confrères 622, et, à la mort de Jésus, nous le trouverons entourant de soins pieux le cadavre du maître 623.

366. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre IV. La littérature et le milieu psycho-physiologique » pp. 126-137

Quelques années plus tard, la sensibilité a si bien absorbé tout l’homme qu’on le définirait volontiers un être qui sent, et Bernardin de Saint-Pierre propose, en termes formels, de remplacer le fameux argument de Descartes : « Je pense, donc je suis », par celui-ci, qui lui paraît plus simple et plus général : « Je sens, donc j’existe !  […] Scarron, le roi du burlesque, est, par une harmonie de la nature, comme eût dit plus tard Bernardin de Saint-Pierre, le burlesque incarné.

367. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29

Mademoiselle de Scudéry a fait la description de l’hôtel de Rambouillet dans son roman de Cyrus, sous le nom de palais Cléonime ; ce détail ne sera pas inutile pour séparer dans l’esprit des lecteurs les cabinets de ce fameux hôtel, des réduits, des ruelles et des alcôves, ou plus tard s’assemblèrent les coteries, bourgeoises pour la plupart, qui singèrent les femmes de distinction8. […] Bientôt aussi le talent de converser devînt le but d’une émulation vive et générale : on en vint plus tard à mettre par écrit les conversations des sociétés particulières, on les livra à l’impression : on envoya ses conversations à ses amis et à ses connaissances13.

368. (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre VII. Les hommes partagés en deux classes, d’après la manière dont ils conçoivent que s’opère en eux le phénomène de la pensée » pp. 160-178

Lorsque nous établirons, plus tard, que la société est une des conditions de notre nature, et que, par conséquent, la société a été imposée à l’homme, nous trouverons la liaison des deux questions, si distinctes en apparence, de l’origine du pouvoir et de l’origine du langage. […] Que nous nous rencontrions plus tôt ou plus tard sur la route, l’essentiel est que nous finissions par nous rencontrer.

369. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Fustel de Coulanges » pp. 15-32

Mais sous toutes ces analyses respire la synthèse qu’il organisera probablement plus tard. […] Plus tard, l’auteur, sans doute, dégagera de ce qu’il appelle les Institutions de l’ancienne France, l’immense part de cette influence qui les a pénétrées comme l’eau pénètre l’éponge. « La collection de Justinien — dit-il en passant — a eu force de loi jusqu’au milieu du Moyen Âge… » Mais, en ce moment, ce qu’il veut, c’est de marquer notre lignage et de le purifier de cette tache originelle de la conquête, que l’Histoire lui a fait trop longtemps porter.

370. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Gaston Boissier » pp. 33-50

Il était du bois de l’endroit… et, de par ce livre, il y est entré plus tard. […] Les femmes, qui expriment mieux que les hommes l’imagination religieuse d’une race, les femmes, « très pieuses à leurs dieux » dans cette époque de dévotion universelle, allaient à Isis et à Cybèle sans cesser d’aller à Junon et à Diane, comme, plus tard, elles devaient aller à Jésus… Seulement, il ne faut pas oublier de marquer ce que l’auteur de La Religion romaine oublie : c’est qu’une fois à Jésus, elles ne revenaient pas à Junon et à Diane, et que Junon et Diane ne leur avaient jamais fait faire ce que le Christianisme, qu’on veut diminuer en l’expliquant, leur fit faire, en raison de deux choses que ne connaissaient pas ces misérables religions anciennes : l’absolu de son dogme et le péremptoire de sa loi.

371. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « VIII. Du mysticisme et de Saint-Martin »

Berlin avait vu naître une secte qui s’appela plus tard la secte d’Avignon et qui fut suivie de la grande société des « Éclaireurs » (Aufklærer), laquelle se répandit dans l’Allemagne entière et jusque sur les pics de la Suisse. […] Caro nous montre Saint-Martin, abrité contre la révolution française dans le désert intérieur de sa spiritualité, et, quand la tempête est passée, plus tard, en 1795, il suit avec un intérêt mêlé d’éloge le solitaire devenu homme public, répondant sur la question de l’enseignement, agitée alors officiellement par le Pouvoir, aux attaques cauteleuses de Garat, le rhétoricien de la sensation.

372. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Le père Augustin Theiner »

Grave question, du reste ; car, si le livre réussissait, il y aurait peut-être derrière le succès qu’il provoque un de ces terribles événements destinés à éclater plus tard, et auquel l’auteur et le livre auraient également contribué. […] … Elle avait donc besoin de tout ce que, plus tard, elle devait maudire ?

373. (1910) Propos littéraires. Cinquième série

La dernière idée qui soit venue aux Italiens, c’est l’idée de « la botte », si populaire plus tard. […] Il me semble que la conscience nationale est beaucoup plus haute et beaucoup plus claire au quinzième siècle qu’elle ne le fut un siècle plus tard. […] Quelquefois, s’il a des loisirs, il ne songe qu’à s’amuser, et il finira par être pris plus tard. […] Quatre ans plus tard, il eût été sur les champs de bataille et aurait fourni une carrière militaire très probablement admirable, à coup sûr très belle. […] Un peu plus tard (septembre 1793) elle redevint, avec plus de simplicité républicaine, la Commune (tout court) des Arts.

374. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — H — Haraucourt, Edmond (1857-1941) »

Nombre des pièces du volume purent reparaître dans l’Âme nue publiée deux ans plus tard avec un très vif succès et qui, en affirmant les qualités de force, de couleur et de pensée de M. 

375. (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Contes — XVI. Le dévouement de yamadou havé »

Un marabout de Souyama-Toran, qui devait plus tard fonder le royaume du Boundou et qui, à ce moment, voyageait dans le Haut-Sénégal pour s’instruire, vint alors à Bambéro.

376. (1875) Premiers lundis. Tome III « Du point de départ et des origines de la langue et de la littérature française »

. — Plus tard ou même déjà, les écoles de Bordeaux étaient célèbres et présageaient les succès oratoires de la Gironde. […] Deux siècles plus tard, les Arabes ayant conquis la Septimanie, et Narbonne étant devenu le siège de leur puissance, il s’y introduisit encore une langue nouvelle. […] C’était, comme nous le reconnaîtrons plus expressément par la suite (disait Fauriel), ce même idiome que j’ai distingué plus haut par la dénomination de latin rustique, et qui fut un peu plus tard nommé langue romane, ou roman ; il se divisait en nombreux dialectes, dont les deux plus tranchés, aux deux extrémités du pays, formèrent, l’un le français, ou roman du Nord ; l’autre, le provençal, ou roman du Midi20. » Tel est l’état général des choses au moment où notre étude proprement dite commence. […] Ampère, mais plus hardis ou plus affermis que ces derniers, parce qu’ils venaient plus tard et sur un terrain mieux préparé, ont commencé à reconnaître et à établir assez positivement des lois. […] Cette classification naturelle, qui répond à des diver-silés fondamentales, et que Génin a eu la légèreté de railler, a servi de base, quinze ans plus tard, aux travaux si précis et si solides de M. 

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