/ 3528
1939. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « Léopold Ranke » pp. 1-14

Or, jamais cette impersonnalité exigée par les rhétoriques, rêvée par les niais et jouée par les sournois, ne nous a paru briller plus clairement de sa fausse lumière que dans l’Histoire de France publiée par Léopold Ranke, — le meilleur ouvrage peut-être qui ait jamais été écrit pour prouver que l’indifférence olympienne est la qualité des dieux de marbre qu’on n’invoque plus, mais qu’elle n’est jamais qu’une hypocrisie de la pensée, qui, pour sa peine, — comme on va le voir, — en reste blessée et mutilée presque toujours. […] Mais il paraît que le bœuf aussi a la même horreur pour ce qui brille… Aux yeux de ces sortes d’esprits, Léopold Ranke, passant de l’état d’historien qui sent, se passionne et peint sa pensée, à l’état d’historien systématique et décoloré, est un grand esprit qui s’élève ; et si, à cette suppression de sentiment ou de mouvement, à cette recherche amoureuse sans amour de l’expression abstraite, à cette généralisation vague quand elle n’est pas fausse et fausse dès qu’elle s’avise de préciser, on ajoute la gravité, ce masque des têtes vides qui cache si bien, dans tant de livres contemporains, la platitude de la niaiserie sous l’imposance du sérieux, vous avez un de ces historiens composés de qualités négatives tels que les rationalistes philosophiques et littéraires conçoivent leur historien — leur caput mortuum — et l’ont souvent réalisé.

1940. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Silvio Pellico »

Cela parut nouveau et sublime, et cela l’était ! […] Vous lui avez dit, à ce qu’il paraît, que je n’ai pas été coupable.

1941. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Sismondi, Bonstetten, Mme de Staël et Mme de Souza »

II Ainsi, — je le répète, — ce n’est point l’affirmation de Saint-René Taillandier, quelle que soit l’épouvantable peine qu’il se donne pour paraître enthousiaste, et il l’est peut-être, que sait-on ? […] Il paraissait très spirituel, mais en Suisse, et pour les gens de ce pays.

1942. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXVII. Silvio Pellico »

Cela parut nouveau et sublime, et cela l’était ! […] Vous lui avez dit, à ce qu’il paraît, que je n’ai pas été coupable.

1943. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. de Vigny. Œuvres complètes. — Les Poèmes. »

Mais il y a plus heureux qu’Achille, et ce sont ces esprits qui auront pu vivre longtemps sans paraître pour cela moins jeunes aux yeux de la Postérité. […] Le magnifique poème de Moïse, à coup sûr, après Eloa, le plus beau du recueil, et qui paraît plus mâle et plus majestueux peut-être à ceux qui oublient ce Satan d’Eloa dont Milton aurait été jaloux, — le poème de Moïse n’apparaît pour la grandeur du sentiment et de l’idée, l’ineffable pureté des images, la solennité de l’inspiration, la transparence d’une langue qui a la chasteté de l’opale, qu’un fragment détaché de cette Eloa qui n’est pas seulement l’œuvre de ce nom, mais chez M. de Vigny, l’angélique substance de la pensée.

1944. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Henri Murger. Œuvres complètes. »

S’il redevient obscur, il n’aura pas du moins vécu obscur… La Vie de Bohême, quand elle parut, cette suite de pochades écrites en un style qui est plus de l’argot que du français, sur des tables de brasserie et de café, entre beaucoup de pipes et de petits verres, parut une délicieuse fantaisie à beaucoup d’esprits et même à la Critique, qui devait pourtant s’y connaître.

1945. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « M. Pécontal. Volberg, poème. — Légendes et Ballades. »

Mais tout cela, mon père, a fatigué mon âme Sans l’user, — tout cela, amour, jeunesse et femme, La gloire du Sénat, celle des bataillons, Et le peuple en drap d’or, et le peuple en haillons, Tout cela m’a bientôt paru fortune aride ; En le voyant de près, j’en ai trouvé le vide, Et, déchirant ma robe au fer de mes talons, J’ai porté mes regards vers de plus hauts jalons ! […] Siméon Pécontal nous a données plus tard, commence de paraître.

1946. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « M. Charles Didier » pp. 215-226

Didier paraît si aise et presque si fier. […] Excepté deux histoires, parmi ces histoires, et surtout une, qui me paraît un vrai chef-d’œuvre, dû à mieux et à plus que du talent, c’est-à-dire à des circonstances d’esprit très-particulières et sur lesquelles je vais revenir, il n’y a rien dans ces Amours d’Italie qui puisse classer grandement leur auteur.

1947. (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Avant-propos »

Avant-propos On pensera, peut-être, qu’il y a de l’empressement d’auteur à faire paraître la première partie d’un livre quand la seconde n’est pas encore faite ; d’abord, malgré la connexion de ces deux parties entre elles, chacune peut être considérée comme un ouvrage séparé ; mais il est possible aussi que, condamnée à la célébrité, sans pouvoir être connue, j’éprouve le besoin de me faire juger par mes écrits.

1948. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 394

Quelques années après, on vit paroître la Relation historique du Royaume de Macaçar.

1949. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » p. 425

Il a cru donner un grand exemple de modestie, en se bornant à un titre si court, du moins a-t-il cru s’en faire un mérite, comme il le paroît par cette Epigraphe propre à servir de leçon pour les Auteurs entichés de la manie des longs titres & des frontispices fastueux.

1950. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 543

Malgré les attaques de ses Adversaires, on peut dire que cet Ouvrage est le plus méthodique, le plus utile, & le plus complet qui ait encore paru sur cette matiere ; il seroit beaucoup meilleur, si le style en étoit plus correct, plus égal, & moins diffus.

1951. (1763) Salon de 1763 « Peintures — Guerin et Roland de la Porte »

Le bas-relief en paraît absolument détaché ; cela est d’un effet surprenant, et le peuple est fait pour en être ébahi ; il ignore combien cette sorte d’illusion est facile.

1952. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 301

Elles eurent du succès dans leur nouveauté, parce qu’elles offroient des instructions assez bien présentées sur la Nation Angloise ; mais il a paru depuis une si grande quantité d’Ouvrages sur le même sujet, que ces Lettres sont aujourd’hui fort négligées.

1953. (1759) Salon de 1759 « Salon de 1759 — Aved »

De près la figure paraît un peu longue ; mais c’est un portrait.

1954. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Braun, Thomas (1876-1961) »

Parmi les dix-sept poèmes dont se compose ce petit livre, il en est plusieurs qui me paraissent dénoter en M. 

1955. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Reynaud, Charles (1821-1853) »

Des recueils comme celui-là et comme deux ou trois autres qui ont paru récemment sont en poésie, entre la glorieuse époque de la Restauration et le poète inconnu qui entraînera sur ses pas la génération nouvelle, ce que sont en musique les doux accents de Lucia, les mélancoliques soupirs de Bellini, les délicieux refrains d’Auber, entre Guillaume Tell et le musicien à venir qui nous consolera du silence de Rossini.

1956. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 442

Quelques-unes avoient paru successivement dans le Mercure.

1957. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 429

Cet Auteur a trop paru oublier que ces deux qualités lui manquoient.

1958. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » p. 298

Il paroît qu'il travailloit plus pour la fortune que pour la gloire, en quoi il a eu beaucoup d'Imitateurs.

1959. (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Livre deuxième. Les mœurs et les caractères. — Chapitre II. La vie de salon. »

Il ne suffit même plus d’être affable, il faut à tout prix paraître aimable à ses inférieurs comme à ses égaux224 ». — « Les princes français, dit encore une dame contemporaine, meurent de peur de manquer de grâces225. » Jusques autour du trône, « le ton est libre, enjoué », et, sous le sourire de la jeune reine, la cour sérieuse et disciplinée de Louis XVI se trouve à la fin du siècle le plus engageant et le plus gai des salons. […] On savait se ruiner sans qu’il y parût, comme de beaux joueurs qui perdent sans montrer d’inquiétude et de dépit. […] Vous verrez qu’ils s’accommoderont très bien ; il n’y a pas la plus petite réflexion à faire. » Effectivement il paraît que personne n’en fit, ni l’officier ni la dame  À Granselve283, dans le Gard, les bernardins sont encore plus hospitaliers ; on y vient de quinze ou vingt lieues, pour la fête de saint Bernard qui dure deux semaines ; pendant tout le temps, on danse, on chasse, on joue la comédie, « les tables sont servies à toute heure ». […] Un mois après l’arrêt du Parlement contre les jésuites, paraissent de petits jésuites en cire ayant pour base un escargot. « À l’aide d’une ficelle on fait sortir et rentrer le jésuite dans la coquille. […] La femme qui pouvait lui paraître aimable, ou seulement plaire à la duchesse de Gramont, sa sœur, était sûre de faire tous les colonels et tous les lieutenants généraux qu’elle voulait.

1960. (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre deuxième. La connaissance des corps — Chapitre premier. La perception extérieure et les idées dont se compose l’idée de corps » pp. 69-122

. — En effet, par sa seule présence, une sensation, notamment une sensation tactile ou visuelle, engendre un fantôme intérieur qui paraît objet extérieur. […] Par conséquent, s’il y a effectivement des personnages debout dans la rue, la sensation que j’éprouverai en les regardant suscitera en moi, comme tout à l’heure, des fantômes de personnages debout dans la rue, et forcément, comme tout à l’heure, ces fantômes purement intérieurs me paraîtront objets extérieurs, c’est-à-dire personnages réels et vrais. […] Or, dans ce cas et dans tous les autres semblables, ce que nous prenons pour l’objet réel diffère de l’objet réel ; la chose affirmée n’est qu’une chose apparente, rien ne lui correspond à l’endroit et avec les caractères affirmés ; en d’autres termes, elle n’est qu’un simple simulacre interne, éphémère, qui fait partie de nous, et qui cependant nous paraît une chose externe, autre que nous, permanente. […] À toutes ces questions, nous chercherons tout à l’heure une réponse. — En attendant, posons seulement que, lorsque nous percevons un objet par les sens, lorsque nous voyons un arbre à dix pas, lorsque nous prenons une boule dans la main, notre perception consiste dans la naissance d’un fantôme interne d’arbre ou de boule, qui nous paraît une chose extérieure, indépendante, durable, et située, l’une à dix pas, l’autre dans notre main. […] Ce que les autres perçoivent quand je le perçois, ce que les autres attestent pour les motifs d’après lesquels je l’atteste, me paraît plus réel que ce dont ils ne savent rien, à moins que je ne les en informe.

1961. (1859) Cours familier de littérature. VII « XLIe entretien. Littérature dramatique de l’Allemagne. Troisième partie de Goethe. — Schiller » pp. 313-392

C’est que dans ses œuvres l’écrivain se peint tel qu’il désire paraître et que dans sa correspondance il se peint tel qu’il est : les œuvres, c’est la volonté ; les lettres, c’est la nature. […] Madame Goethe mourut avant lui, et il ne parut la regretter que comme un maître regrette une fidèle servante, colonne de sa maison. […] Goethe plus sensible lui aurait paru un homme ; il ne se montra qu’en divinité. […] Goethe parut sensible à cet amour moitié naïf, moitié fantastique de la belle enthousiaste. […] Quant à l’histoire, à l’éloquence, au drame, qui demandent un langage clair comme le fait, évident comme le regard, rapide et foudroyant comme le coup du verbe humain sur l’âme, la France, l’Angleterre, l’Italie, l’Espagne, le Portugal paraissent plus aptes à ces trois fonctions de la parole que l’Allemagne.

1962. (1860) Cours familier de littérature. X « LVe entretien. L’Arioste (1re partie) » pp. 5-80

qu’elle me parut embellie et épanouie par les trois années d’absence et de veuvage qui s’étaient écoulées depuis que je l’avais vue pour la première fois ! […] Il n’avait aucune pruderie ; le fin rire et la douce piété s’accordaient parfaitement sur ses lèvres ; il n’entendait mal à rien ; son bréviaire sous le bras en sortant de la chapelle, rien ne lui paraissait plus naturel que de prendre un Arioste dans son autre main et de nous en lire quelques stances, qui finissaient souvent par un éclat de rire. […] « S’il est ami ou ennemi, elle ne le sait pas ; la terreur et l’espérance agitent son cœur serré par le doute ; elle attend, immobile, la fin de cette aventure, sans ébranler de sa respiration l’air qui l’environne ; le chevalier se couche à demi sur le bord incliné du ruisseau, passe un de ses bras sous sa tête où s’appuie sa joue, et s’abîme tellement dans une profonde rêverie qu’il paraît transformé en une insensible pierre. […] Le cruel amour, envieux de mon bonheur, me fit paraître plus belle que toutes les autres belles de la cour aux yeux du duc d’Albanie. […] Jamais aucun des livres que tu m’as laissé lire jusqu’ici ne m’a fait paraître l’heure plus courte, ne m’a fait tant frémir, tant pleurer, et ne m’a tant consolée aussi par la belle aventure qui fait éclater l’innocence de Ginevra et qui récompense la générosité d’Ariodant !

1963. (1864) Cours familier de littérature. XVIII « CVIe entretien. Balzac et ses œuvres (1re partie) » pp. 273-352

Effacer de l’âme humaine l’honneur et la vertu, comme dans le chevalier Des Grieux, ce n’est pas élever le monde et l’amour, c’est les abaisser et les rétrécir ; Manon Lescaut, malgré l’engouement de ses jeunes enthousiastes, vrais ou faux, ne me paraissait qu’un Manuel de courtisane, et son amant qu’un monomane de débauche qu’on ne peut plaindre qu’en consentant à le mépriser. […] Sa sérénité enfantine regardait le monde de si haut qu’il ne lui paraissait plus qu’un badinage, une bulle de savon, causée par la fantaisie d’un enfant. […] La doctrine de l’implacabilité du salut public paraissait prête à triompher. […] XXI C’est peu de temps avant cette époque que la beauté, l’amour, l’esprit et la fortune parurent d’un seul coup vouloir dépasser par la réalité tous les rêves de son passé. […] Les théories, les systèmes, les socialismes, n’étaient rien pour lui ; des expériences hasardées sur des millions d’hommes ignorants ou passionnés lui paraissaient des bêtises ou des crimes.

1964. (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1868 » pp. 185-249

ce n’est pas le talent qui manque… mais la pièce nous a paru à tous d’une représentation si dangereuse6… » Nous avons coupé ces condoléances, en lui demandant de nous renvoyer la pièce. […] Cette maison vraiment nous tenait au cœur, nous en étions devenus amoureux, pris par le grand je ne sais quoi, qui attache à une femme plus qu’à toutes les autres, et vous la fait paraître unique. […] * * * — Ici le château dort ou paraît dormir jusqu’à onze heures. […] Il nous a fourni pour tapissier un de ses amis, un long et maigre vieillard, à la tête de renard et de vieux marquis, habillé d’un antique habit de chasse en velours, et apportant ses outils dans un sac de voyage ; un tapissier mystérieux et déclassé, avec de l’ombre dans sa vie, et qui paraît sortir d’un roman humanitaire de George Sand. […] En sortant, la princesse inquiète de la santé de Gautier, et qui lui a envoyé son médecin, le docteur Elloco, nous attire de la main, et nous dit à voix basse : « Il paraît que ce n’est pas la poitrine, mais le cœur ! 

1965. (1857) Cours familier de littérature. IV « XIXe entretien. Littérature légère. Alfred de Musset (suite) » pp. 1-80

Quand Rolla sur les toits vit le soleil paraître, Il alla s’appuyer au bord de la fenêtre. […] Dans un carrosse ouvert une troupe entassée Paraissait par moment sous le ciel pluvieux, Puis se perdait au loin dans la ville insensée, Hurlant un hymne impur sous la résine en feux. […] Voici par quel hasard je ne connus pas ces vers, je n’y répondis pas et je parus dur de cœur, quand je n’étais qu’emporté et distrait par le tourbillon des affaires. […] Bref, je lisais peu de vers alors, excepté ceux d’Hugo, de Vigny, des deux Deschamps, dont l’un avait le gazouillement des oiseaux chanteurs, dont l’autre avait, par fragments, la rauque voix du Dante ; j’entendais bien de temps en temps parler de Musset par des jeunes gens de son humeur ; mais ces vers badins, les seuls vers de lui qu’on me citait à cette époque, me paraissaient des jeux d’esprit, des jets d’eau de verve peu d’accord avec le sérieux de mes sentiments et avec la maturité de mon âge. […] ………………………………………………… ………………………………………………… J’avoue que ces strophes me parurent au-dessous de la dignité comme du génie de la France.

/ 3528