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270. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 286-288

Un jour, entendant un Credo en musique, elle s'écria tout haut : Ah !

271. (1923) Les dates et les œuvres. Symbolisme et poésie scientifique

C’est de la musique surtout, et une musique dorlotée, rompue ça et là par la rauque dissonance de vers qui ont la bizarrerie voulue et le rocailleux aigu qu’a aussi cherchés Corbière. […] Je partais de la manière harmonique, non plus mélodique, de ses poèmes que nous disions d’essai, et du passage de l’Avant-propos que résumait la phrase : « Dans une phrase passera la musique de la Vie : musique de saveurs, de couleurs, d’odeurs, de rumeurs ». […] « Le Poème, ainsi, devient un vrai morceau de musique suggestive et s’instrumentant seul : musique de mots évocateurs d’images-colorées, sans dommage pour les Idées », puisqu’au contraire, ce sont les idées et les sensations d’où elles vinrent qui appellent et régissent les séries timbrales, et leurs nuances propres à les exprimer émotivement. […] Elle était picturale, par le moins de hasard lumineux attribué aux mots  elle était musique verbale, avons-nous dit. […] Je suis tenté de croire qu’alors seulement, en entendant à satiété la musique de Wagner et en la pénétrant davantage, il développa l’image d’un grand Drame poétique, d’une nouvelle Trétralogie.

272. (1884) Propos d’un entrepreneur de démolitions pp. -294

Je ne sais pourquoi cette musique de Domination et de Prière, — la plus irrésistible pour moi de toutes les musiques, — m’étreignait d’une force si extraordinaire. […] Mais il y avait à entendre de la musique de M.  […] C’est le meilleur balai pour un sorcier de la musique quand il veut s’en aller au sabbat des astres ! […] Toutes les grâces sont dans ses gestes, toutes les musiques dans sa voix. […] Assurément, la musique et les vers de Rollinat peuvent très bien se passer d’être ensemble et vivre encore très glorieusement.

273. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — F — Fournier, Édouard (1819-1880) »

Fournier, Édouard (1819-1880) [Bibliographie] La Musique chez le peuple (1847). — Souvenirs historiques et littéraires du département du Loiret (1847). — Album archéologique de l’église abbatiale de Saint-Benoît-sur-Loire (1851)

274. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — J — Joncières, Léonce de »

Il me faut bien avouer que les beaux vers sonores de M. de Joncières, coulés en un métal très pur et dans un moule d’une rigueur voulue, m’ont enchanté par leur musique, déjà connue peut-être, mais dont le temps ne m’a jamais lassé.

275. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 259-261

Sans le surcharger ridiculement d’un sentiment froid & puérile, sans y étaler une philosophie vaporeuse, propre à faire hurler la musique ou la dénaturer, sans le parsemer de ces petits riens à prétention, qui ne sont accueillis qu’au défaut de quelque chose, il a su y répandre de l’intérêt, du naturel, de la gaieté, de la finesse, & tous les agrémens dont il est susceptible ; il a su, en un mot, y peindre le vrai caractere de la Nation, que ses Rivaux ne s’occupent qu’à abâtardir & à défigurer.

276. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MADAME DE CHARRIÈRE » pp. 411-457

Elle devait chanter à côté de lui, il devait l’accompagner : tout est oublié ; il la regarde marcher et s’arrêter et prendre sa musique : « Je la regardais avec un air si extraordinaire, à ce que l’on m’a dit depuis, que je ne doute pas que ce ne fût cela qui la fit rougir, car je la vis rougir jusqu’aux yeux ; elle laissa tomber sa musique, sans que j’eusse l’esprit de la relever ; et quand il fut question de prendre mon violon, il fallut que mon voisin me tirât par la manche. […] En effet, je suis allée au concert ; j’ai laissé tomber un papier de musique ; j’ai assez mal chanté ; j’ai été à la première assemblée ; j’y ai dansé avec tout le monde, entre autres deux comtes alsaciens et deux jeunes apprentis de comptoir : qu’y a-t-il dans tout cela d’extraordinaire, ou dont je pusse te faire une histoire détaillée ? […] Après bien des souffrances et des vicissitudes, Caliste, mariée à un autre, pure et dévorée, meurt ; elle meurt, comme cet empereur voulait mourir, au milieu des musiques sacrées ; génie des beaux-arts et de la tendresse, elle exhale à Dieu sa belle âme en faisant exécuter le Messiah de Haendel et le Stabat de Pergolèse. […] A l’âge d’environ douze ans (1779), on le voit, par une lettre à sa grand’mère, déjà lancé, l’épée au côté, dans le grand monde de Bruxelles ; il y parle de la musique qu’il apprend, des airs qu’il joue, et dans quelle manière : « Je voudrais qu’on pût empêcher mon sang de circuler avec tant de rapidité et lui donner une marche plus cadencée ; j’ai essayé si la musique pouvait faire cet effet.

277. (1864) Cours familier de littérature. XVII « XCIXe entretien. Benvenuto Cellini (1re partie) » pp. 153-232

Mon père, dit-il, prit le même état d’architecte que le sien ; et comme, selon Vitruve, un bon architecte doit savoir bien dessiner, et un peu de musique, mon père apprit l’un et l’autre, et surtout à jouer de la flûte et de la viole. […] J’y jouais de la flûte, porté par un domestique, afin que je pusse lire plus facilement la musique. […] Nous nous y préparâmes huit jours à l’avance ; et le 1er août, pendant que le pape dînait, nous exécutâmes ces morceaux de choix qui lui plurent tellement qu’il avoua n’avoir jamais entendu de si belle musique. […] La nuit suivante, mon père m’apparut en songe ; il me disait avec des larmes pleines de tendresse : Au nom de Dieu, mon fils, entre dans la musique du pape ! […] Après la musique, un certain Aurelio d’Ascoli, grand improvisateur, fit un magnifique éloge des femmes.

278. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « DÉSAUGIERS. » pp. 39-77

Son père, compositeur de musique et ami de Sacchini, de Gluck, a donné des opéras et d’autres morceaux lyriques appréciés des maîtres. […] Il y avait dans cette famille comme un courant naturel de verve, de gaieté et de musique, qui allait du père aux enfants. […] Mais il ne tint pas à l’épreuve, et dès le lendemain sa vocation l’emportait : il faisait une comédie en un acte et en vers qui réussissait au boulevard ; il arrangeait en opéra-comique le Médecin malgré lui de Molière, dont son père faisait la musique, et qu’on jouait à Feydeau en 1791. […] Composer après coup de la musique sur de jolis vers lyriques qu’on a intitulés ballade ou chanson, ou encore envoyer ses couplets ou stances au compositeur, ce n’est pas du tout la même chose que d’être chansonnier.

279. (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série «  M. Taine.  »

De même, pour nous donner l’idée des délices parfaites que Faustus et Stella goûtent par les oreilles, le poète fait chanter le rossignol dans le crépuscule, nous décrit les sensations et les sentiments qu’éveille en lui la musique de Beethoven ou de Schumann, et se contente d’ajouter que Stella chante mieux que le rossignol, et que la musique du paradis est encore plus belle que celle des concerts Lamoureux. […] Il renonce à décrire une autre musique que celle de la terre : n’est-ce point parce qu’il ne saurait, en effet, en concevoir une autre ? […] Mais, enfin, Faustus et Stella boivent et mangent, respirent des parfums, regardent de beaux spectacles, entendent de bonne musique, dorment ensemble dans les fleurs, et puis c’est tout  Trouvez mieux !

280. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Le Vavasseur, Gustave (1819-1896) »

L’obstacle le ravit ; la pointe et le jeu de mots l’enivrent ; il n’y a pas de musique qui lui soit plus agréable que celle de la rime triplée, quadruplée, multipliée.

281. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Marie-Thérèse et Marie-Antoinette. Leur correspondance publiée par. M. le Chevalier Alfred d’Arneth »

Là-dessus aucune négligence, et n’imitez personne ; suivez ce que vous avez vu et appris ici. » Elle ne cesse de conseiller à sa fille des lectures fortes, des lectures suivies ; elle attend tous les mois en vain la liste des livres sérieux que l’abbé de Vermond s’était chargé de procurer à la jeune princesse, et qui, on le sait aujourd’hui par les catalogues, étaient si absents de ses bibliothèques particulières : « Tâchez de tapisser un peu votre tête de bonnes lectures ; elles vous sont plus nécessaires qu’à une autre, … n’ayant aucun autre acquit, ni la musique, ni le dessin, ni la danse, peinture et autres sciences agréables. » Il est permis sans doute, surtout à son âge, de s’amuser, mais d’en faire son unique soin et de n’être occupée qu’à « tuer le temps entre promenades et visites », elle en reconnaîtra le vide et en sera un jour aux regrets. […] J’étais si aise, vous voyant adonnée à la musique ; je vous ai si souvent tourmentée pour savoir vos lectures, pour cette raison ; depuis plus d’un an, il n’est plus question ni de lecture, ni de musique, et je n’entends parler que des courses de chevaux, des chasses de même, et toujours sans le roi, et avec bien de la jeunesse non choisie : ce qui m’inquiète beaucoup, vous aimant si tendrement.

282. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Madame Desbordes-Valmore. »

Jars, que nous avons connu député du Rhône, mais qui avait commencé par la littérature légère, lui confia le rôle de Julie dans l’opéra de Julie ou le Pot de fleurs, dont la musique était de Spontini. […] Puis de là elle revint au théâtre de Rouen, où elle joua seulement les jeunes premières, toujours très accueillie et goûtée du public ; mais elle ne chantait plus : « À vingt ans, dit-elle, des peines profondes m’obligèrent de renoncer au chant, parce que ma voix me faisait pleurer ; mais la musique roulait dans ma tête malade, et une mesure toujours égale arrangeait mes idées, à l’insu de ma réflexion. » La musique commençait à tourner en elle à la poésie ; les larmes lui tombèrent dans la voix, et c’est ainsi qu’un matin l’élégie vint à éclore d’elle-même sur ses lèvres.

283. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « MME DESBORDES-VALMORE. (Les Pleurs, poésies nouvelles. — Une Raillerie de l’Amour, roman.) » pp. 91-114

Je suis, en lisant ces épars chefs-d’œuvre, de l’avis de Mme Tastu, de celle, comme la désigne Mme Valmore, dont le cœur s’enferme et bat si vite : « Qu’importe, a-t-on dit du chanteur Garat, que ce ne soit pas un musicien, si c’est la musique elle-même ? […] « A vingt ans, des peines profondes m’obligèrent de renoncer au chant, parce que ma voix me faisait pleurer ; mais la musique roulait dans ma tête malade, et une mesure toujours égale arrangeait mes idées, à l’insu de ma réflexion. […] Peu après elle eut le rôle de Julie dans l’opéra de Julie ou le Pot de fleurs, dont la musique était de Spontini.

284. (1861) La Fontaine et ses fables « Troisième partie — Chapitre II. De l’expression »

La répétition des rimes est une musique sourde, qui rappelle à l’esprit par la ressemblance des sons la ressemblance des idées, et simule par une union physique leur union morale. […] A l’extérieur, les rimes peuvent se détacher de celles qui précèdent et qui suivent, comme la phrase peut se séparer de celles qui l’entourent, comme la pensée peut se mettre à part de celles qui lui sont jointes, et la musique, la grammaire et la logique sont d’accord pour en former un tout distinct. […] D’où il suit que les sons s’appellent comme les idées et comme les phrases ; la logique, la grammaire et la musique s’accordent pour former un tout indissoluble.

285. (1869) Cours familier de littérature. XXVIII « CLXVIIe entretien. Sur la poésie »

et quand la contemplation extatique de l’être des êtres lui fait oublier le monde des temps pour le monde de l’éternité, enfin quand, dans ses heures de loisir ici-bas, il se détache sur l’aile de son imagination du monde réel pour s’égarer dans le monde idéal, comme un vaisseau qui laisse jouer le vent dans sa voilure et qui dérive insensiblement du rivage sur la grande mer, quand il se donne l’ineffable et dangereuse volupté des songes aux yeux ouverts, ces berceurs de l’homme éveillé, alors les impressions de l’instrument humain sont si fortes, si inusitées, si profondes, si pieuses, si infinies dans leurs vibrations, si rêveuses, si extatiques, si supérieures à ses impressions ordinaires, que l’homme cherche naturellement pour les exprimer un langage plus pénétrant, plus harmonieux, plus sensible, plus imagé, plus crié, plus chanté que sa langue habituelle ; et qu’il invente le vers, ce chant de l’âme, comme la musique invente la mélodie, ce chant de l’oreille, comme la peinture invente la couleur, ce chant des yeux, comme la sculpture invente les contours, ce chant des formes ; car chaque art chante pour un de nos sens, quand l’enthousiasme, qui n’est que l’émotion de sa suprême puissance, saisit l’artiste. […] « Quand nous étions enfants, nous nous amusions quelquefois, mes petites sœurs et moi, à un jeu que nous appelions la musique des anges. […] Dur, colère jusqu’aux emportements contre les choses inanimées, incapable de souffrir la moindre contradiction, opiniâtre à l’excès, passionné pour tous les plaisirs, la bonne chère, la chasse, la musique, le jeu, où il ne pouvait supporter d’être vaincu ; il ne regardait les hommes que comme des atomes, avec qui il n’avait aucune ressemblance, quels qu’ils fussent.

286. (1888) La critique scientifique « La critique scientifique — Analyse esthétique »

En progressant à des analogies plus lointaines, étant donné que toute œuvre d’art produit une émotion causée, soit par les moyens d’expression employés, soit par ce qu’ils expriment, tout ce que nous avons dit des genres littéraires sera facilement adapté à la peinture, à l’architecture, à la musique. […] Sur ces points, on s’entend naturellement, comme on est accord sur les caractères généraux de la sculpture grecque, de la peinture flamande, de la musique italienne. […] L’application de ce principe à la musique, par exemple, ou à un poème comme la Divine Comédie serait malaisée.

287. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « La princesse Mathilde » pp. 389-400

Parmi les différents arts, ceux de la forme et du dessin sont, à ses yeux, les préférés ; son goût, à cet égard, est même prédominant, et il entre un peu de condescendance pour ses amis et pour sa société dans ce qu’elle accorde à cet autre art si transportant et si ravissant, mais un peu vague d’objet et de moyens, à la musique. On ne s’en douterait pourtant pas à voir le choix heureux des morceaux de musique instrumentale ou vocale qu’on lui doit d’entendre chaque hiver.

288. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « José-Maria de Heredia.. »

M. de Heredia possède, à un plus haut degré peut-être qu’aucun autre poète, le don de saisir, entre les images, les idées, les sentiments — et le son des mots, la musique des syllabes, de mystérieuses et sûres harmonies. […] Faites ce travail sur tous les sonnets de M. de Heredia, non seulement pour les rimes, mais pour tout l’intérieur du vers : peut-être ne démêlerez-vous pas toujours les raisons de cette harmonie secrète du sens et de la musique des phrases ; mais toujours vous la sentirez.

289. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1854 » pp. 59-74

J’entends le bercement nasillard de la musique, je regarde les plis des burnous ; lentement le « Bois en paix » de l’Orient me descend de la petite tasse jusqu’à l’âme ; j’écoute le plus doux des silences dans ma pensée et comme un vague chantonnement de mes rêves au loin, — et il me semble que mon cigare fait les ronds de fumée de ma pipe sous le plafond du Café de la Girafe. […] C’était un dilettante frénétique de musique, parlant de Cimarosa, comparant Rossini à Meyerbeer ; ayant une stalle aux Italiens que Lumley, devenu directeur, lui avait accordée pour ne pas lui avoir réclamé une note de 3 000 francs dans les moments difficiles de sa vie.

290. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Achille du Clésieux »

Ce n’est plus la musique, l’intangible et divine musique de la poésie lamartinienne, qui nous fondait si délicieusement le cœur dans la rêverie et semblait vaporiser eu nous la réalité des douleurs, l’épaisseur noire des mélancolies… L’auteur d’Armelle a ce don mélodieux du chant auquel on préfère une poésie plus physique, et qui, pour arriver à l’âme, passe par un autre organe que l’oreille.

291. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Barbusse, Henri (1873-1935) »

La musique de son vers se cadence sur des rythmes connus et sa rythmique manque encore moins de richesse que d’aristocratie.

292. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Ghéon, Henri (1875-1944) »

Henri Ghéon est un amoureux de la nature, un poète qui sait bien voir et souvent bien rendre les féeries et les enchantements des prés et des bois… Dans ce livre, qui fleure bon la terre et l’herbe fauchée, on ne regrette qu’un métier plus habile et une musique moins élémentaire.

293. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Lapaire, Hugues (1869-1967) »

Armand Silvestre … J’ai ouvert un livre de vers bien fait pour ajouter sa musique au parfum de ces fleurs lointaines.

294. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Mauclair, Camille (1872-1945) »

Mauclair, que de faire en ces vers un peu de musique.

295. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Rouquès, Amédée (1873-1935) »

Rouquès, ce sont ses pièces de rythmes variés, impressions brèves d’un dessin concis et d’une musique fine.

296. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 266-268

On lit encore avec plaisir les vers qu’il fit pour les Ballets qu’on représentoit à la Cour de Louis XIV, avant qu’on connût l’Opéra, & dont la musique & la danse formoient toute l’économie.

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