2º Votre attaque est injuste ; car, au lieu de se contenter d’immoler les copies, elle immole les originaux ; au lieu de frapper les copistes, elle frappe les modèles. […] En vain il frappe, il frappe à la porte de son ami, rien ne bouge ! […] Dans toute la ville, on ne jurait que par Caveyrac ; c’est lui qui frappait aux portes la nuit, réveillait la maison endormie : Au feu ! […] Le grand roi avait l’habitude d’écrire sur ces feuillets épars la chose qui le frappait au moment même et dont il voulait se souvenir. […] Il ressemble au cheval pâle de l’Apocalypse, et, comme le cheval de Job, il frappe du pied la terre en s’écriant : « Allons !
Extraordinairement frappé de la Révolution française (il faut toujours en revenir là), l’ayant jugée satanique dans son esprit, il en vint à se retourner contre Rousseau d’abord, puis surtout contre Voltaire, comme étant le grand auteur satanique et anti-chrétien. […] La foudre a tout frappé ; il ne me reste que des cœurs ; c’est une grande propriété quand ils sont pétris comme le vôtre. […] Mais lui, quoiqu’il n’eût aucune maladie, il se sentait frappé à mort. […] « Quand on la contemple dans ses détails, on voit que, quoiqu’elle frappe à la fois sur tous les ordres de la France, il est bien clair qu’elle frappe encore plus fortement sur le clergé… » Et il poursuit en s’attachant à exposer le mode de vengeance providentielle sur le clergé dans le sens qu’il entend. […] Il faut convenir pourtant que la phrase est telle qu’on a pu s’y méprendre ; la voici un peu construite et condensée, comme l’on fait toujours lorsqu’on tire à soi : « Il faut nous tenir prêts pour un événement immense dans l’ordre divin, vers lequel nous marchons avec une vitesse accélérée qui doit frapper tous les observateurs.
Sganarelle, ayant besoin d’un commissaire, ne manque pas d’aller frapper sur le seuil de sa porte, et les spectateurs n’entendent jamais à quel point il est sonore, le seuil de cette porte, puisqu’il ne s’écrie pas bravo l’acteur ; voilà ce qui s’appelle ne point perdre la tête, et se ressouvenir à propos qu’on est sur les planches. […] Le dénouement. — Bien propre à frapper un peuple superstitieux, aussi la scène se passe-t-elle en Sicile. […] Le reproche l’a vivement frappé ; il s’est recueilli un instant, et par là, il a motivé sa sortie précipitée, lorsque, poussé à bout par la soubrette, et craignant de s’emporter encore, il s’écrie : Vous avez là, ma fille, une peste avec vous, Avec qui, sans péché, je ne saurais plus vivre ! […] oui ; elle s’est donné tant de peine pour tousser, elle a tant frappé à coups redoublés sur la table qui cache Orgon ! […] Je demande si un fichu de dentelle n’est pas nécessaire pour faire dire à Tartuffe, avec cette vraisemblance, l’âme de la scène, surtout lorsqu’elle doit frapper les regards, Mon Dieu !
… On ne peut t’échapper, Tu n’as qu’à frapper !
Les indifférents, les connaissances intimes mêmes, vous représentent, par leurs manières avec vous, le tableau raccourci de vos infortunes : à chaque instant, les mots, les expressions les plus simples, vous apprennent de nouveau ce que vous savez déjà, mais ce qui frappe à chaque fois comme inattendu ; si vous faites des projets, ils retombent toujours sur la peine dominante ; elle est partout, il semble qu’elle rende impraticable les résolutions mêmes qui doivent y avoir le moins de rapport ; c’est contre cette peine alors qu’on dirige ses efforts, on adopte des plans insensés pour la surmonter, et l’impossibilité de chacun d’eux, démontrée par la réflexion, est un nouveau revers au-dedans de soi.
Ainsi nous ont frappé les Symphonies de M. de Laprade, œuvre de méditation et de candeur, mélange d’inductions métaphysiques, de sentiments austères avec tendresse, et de vives émotions empruntées au spectacle de la nature et rapprochées toujours des grandes vérités inscrites au cœur de l’homme comme sur la voûte des cieux.
Je ne vous parle pas de la manière dont il a fait frémir et jouer ce rayon de lumière sur la surface tremblotante des eaux ; c’est un effet qui a frappé tout le monde.
Au-dessous de Jupiter sévère, je vois un scélérat qu’on se prépare à lier ; il est désespéré, il regarde la terre, il se frappe le front du poing. à côté de ce brigand, car il en a bien l’air, un jeune homme qui lui a saisi le bras, qui tient une chaîne de sa main gauche, et qui serre si fort cette chaîne qu’on dirait qu’il craint plus qu’elle ne lui échappe que son coupable.
Les Mémoires en question, les autres romans de l’auteur, ces drames de toute forme, très intrigués et dans lesquels les événements semblent des nœuds gordiens impliqués les uns dans les autres, frappèrent à poing fermé sur l’imagination d’une époque qui avait ressenti les étincelantes secousses du Romantisme.
Passons-lui donc d’avoir présenté la force comme la mesure de la grandeur des dieux ; laissons Jupiter démontrer, par la force avec laquelle il enlèverait la grande chaîne de la fable, qu’il est le roi des dieux et des hommes ; laissons Diomède, secondé par Minerve, blesser Vénus et Mars ; la chose n’a rien d’invraisemblable dans un pareil système ; laissons Minerve, dans le combat des dieux, dépouiller Vénus et frapper Mars d’un coup de pierre, ce qui peut faire juger si elle était la déesse de la philosophie dans la croyance vulgaire ; passons encore au poète de nous avoir rappelé fidèlement l’usage d’empoisonner les flèches 83, comme le fait le héros de l’Odyssée, qui va exprès à Éphyre pour y trouver des herbes vénéneuses ; l’usage enfin de ne point ensevelir les ennemis tués dans les combats, mais de les laisser pour être la pâture des chiens et des vautours.
L’Ariane de Catulle peut aisément s’apprécier et faire valoir ses droits ; mais il me semble qu’on n’a pas rendu assez justice à la Médée d’Apollonius, frappée d’une sorte de défaveur et d’oubli, et comme entourée d’une ombre funeste. […] Son cœur se précipitait à coups pressés d’au dedans de sa poitrine : comme un rayon de soleil, rejaillissant d’une eau qu’on vient de verser dans une chaudière ou dans un baquet, s’agite à travers la maison et va frapper tantôt ici, tantôt là, avec un tournoiement rapide, ainsi le cœur de la jeune fille se débattait dans son sein. […] Seule donc, durant la nuit, et partagée entre mille résolutions contradictoires, elle se débat avec elle-même : elle regrette de n’être point morte de mort naturelle, de n’avoir point été frappée des flèches de Diane avant l’arrivée de cet étranger. […] Plus d’une fois elle ouvrit les portes de sa chambre, guettant la lumière : enfin l’Aurore la frappa de sa clarté chérie, et déjà chacun se mettait en mouvement à travers la ville. » Ici se placent des descriptions pleines de fraîcheur, la toilette empressée de la jeune fille qui veut effacer la trace des larmes de la nuit et s’assurer toute sa beauté, les ordres qu’elle donne à ses compagnes d’atteler le char.
Cet acte raconté sans blâme est en opposition flagrante avec la maxime : « Si on vous frappe à la joue, tendez l’autre joue. » Mais ici c’est l’Évangile impeccable, c’est l’universalité du pardon ! […] Fontenelle n’avait pas remarqué cette supériorité de l’homme qui excuse sur le Dieu qui frappe, mystérieuse perfection dont l’énigme reste énigmatique et contredit son axiome. […] Leurs paroles frappent l’oreille ; mais vous ouvrez l’intelligence. […] Nous allons un peu plus vite à la mort par la route du chemin de fer qui nivelle le sol, et par l’art du télégraphe électrique ; nos boulets frappent un peu plus fort la poitrine de nos ennemis, mais c’est tout.
) Coppeé est bien l’original, en effet, de ce « fin poète » Olivier ; et frappât-il, comme lui, … sur l’épaule, ma foi ! […] Je poursuivais le monstre sans me laisser effrayer ni attendrir, et c’est ainsi que je l’ai frappé jusque dans ses avatars les plus subtils ou les plus séduisants, j’entends le concept de cause, la foi dans une loi, l’apothéose de la science, la religion du progrès. » Honte aussi à ces « faux matérialistes qui honorent la vertu ! […] Ainsi que sur une enclume Je frapperai, jusqu’à tant Que la peau du dos lui fume Et soit un torchon flottant, Jusqu’à tant qu’il disparaisse Comme un grain dans un gésier, Comme une larme de graisse Dans la gueule d’un brasier. […] La blague a perdu son tranchant A force de frapper le nez des dieux fossiles.
— L’une des premières choses dont on soit frappé quand on considère les individus de la même variété ou sous-variété parmi nos plantes depuis longtemps cultivées et nos animaux domestiques les plus anciens, c’est qu’en général ils diffèrent plus les uns des autres que les individus d’espèces ou de variétés sauvages. […] Une chose m’a vivement frappé ; c’est que tous les éleveurs des divers animaux domestiques, et presque tous les horticulteurs avec lesquels j’ai conversé ou dont j’ai lu les traités, sont fermement convaincus que les diverses races à l’étude desquelles chacun d’eux s’est attaché spécialement, descendent d’autant d’espèces originales distinctes. […] De très petites différences frappent tout d’abord un œil exercé, et il est de la nature de l’homme d’évaluer très haut toute nouveauté qu’il a en sa possession, si insignifiante qu’elle soit. […] Le Pigeon Culbutant tourne quelquefois ainsi deux ou trois fois sur lui-même, la tête en arrière comme un oiseau frappé d’un coup de feu.
Mais si on aimait mieux le vrai que le beau, on ne désarmerait pas, même contre la beauté entraînante, et on la frapperait, en se détournant, quand cette beauté coupable aurait, comme la courtisane de l’Antiquité, compté sur la splendeur du sein qu’elle découvre pour se faire tout pardonner ! […] Beaucoup aussi, et parmi les esprits qui aiment la monarchie et respectent le passé de notre histoire, ont reproché à Richelieu d’avoir frappé trop fort sur la noblesse et rabaissé les parlements, si bien que quand les révolutions se sont levées, la Royauté n’avait plus ses défenses et qu’elle se trouva esseulée dans un État vide sur les débris de ses antiques constitutions. […] Cardinal, il résista à Rome sans manquer à sa foi ; et féodal de naissance, il n’abaissa point les féodaux, comme on l’a dit étourdiment, pas plus que Louis XI, son aïeul, dont on l’a dit aussi ; mais il frappa les nobles qui avaient failli, en s’appuyant pour cela sur la conscience même de la noblesse ! […] Ce n’est pas nous qui l’avons frappé, c’est lui-même.
Edgar Poe37 I38 La Bibliothèque des chemins de fer a eu l’heureuse idée de publier en un volume deux Nouvelles d’un homme récemment célèbre dans son pays, et dont la renommée commence de frapper l’opinion publique dans le nôtre. […] C’est la chose la plus merveilleuse que vous ayez jamais vue. » Tout accoutumé qu’il fût aux excentricités de son ami Legrand, Poe fut frappé de l’exaltation de sa parole quand il parla de ce scarabée, que Jupiter, aussi exalté que son maître, disait, dans son langage de nègre : « être d’or, d’or massif, dedans et tout, excepté les ailes », et qui pesait autant que s’il avait été de métal. […] C’est aussi le manque d’entrailles qui nous frappe dans les deux Nouvelles que nous avons sous les yeux. […] La curiosité de l’incertain qui veut savoir et qui rôde toujours sur la limite de deux mondes, le naturel et le surnaturel, s’éloignant de l’un pour frapper incessamment à la porte de l’autre, qu’elle n’ouvrira jamais, car elle n’en a pas la clef, — et la peur, terreur blême de ce surnaturel qui l’attire et qui l’effraye autant qu’il l’attire ; car depuis Pascal peut-être il n’y eut jamais de génie plus épouvanté, plus livré aux affres de l’effroi et à ses mortelles agonies, que le génie panique d’Edgar Poe !
On ne saurait étudier dans toute leur étendue le sujet et la forme de ses chants, sans être frappé de l’affinité naturelle qui, à des époques éloignées, sous des conditions sociales fort différentes, a souvent réuni dans la même personne, pour la même croyance et pour les mêmes admirateurs, le prêtre, le philosophe et le chantre lyrique. […] De l’Unité sort la Triade, et de la Triade l’Unité ; non pas de la même manière que la source, le ruisseau, le fleuve, ne forment qu’une seule onde chassée en trois jets différents sur la terre ; non pas comme la flamme du bûcher s’en détache et revient s’y réunir ; non pas comme la parole s’élance de l’esprit, et pourtant y demeure ; non pas comme des eaux frappées par les traits du soleil jaillit une splendeur réfléchie sur les murailles, çà et là mobile, qui fuit au moment d’approcher, et se rapproche à l’instant où elle va fuir. […] Bien qu’il n’ait été frappé d’aucun blâme, d’aucune censure, comme Tertullien, Origène et tant d’autres, il ne resta point, comme eux, une autorité célèbre et citée souvent. […] devant toi tremblaient les tribus des démons dispersées dans les airs, le chœur immortel des astres était frappé de stupeur, le ciel souriait.
Fauriel, en citant tout ce passage, a dit : « Ce qui me frappe le plus dans ce discours, ce n’est pas d’être pathétique et naturel, c’est d’être, et d’être éminemment ce que nous ne saurions mieux exprimer que par l’épithète d’homérique. » L’expression est si juste que, dans ce qui suit, on est forcé encore de se ressouvenir de Virgile et surtout d’Homère, et des noirs sourcils du roi des dieux, dont un mouvement fait trembler tout l’Olympe. […] De mécontentement il dresse la tête ; il n’y eut bête si hardie, Ours ni Sanglier qui ne tremblât à ce soupir et à ce mugissement de leur roi, et Couard, le Lièvre, en prit une telle peur, qu’il en eut deux jours la fièvre… Et encore : « De mécontentement, il (le roi) redresse sa queue et s’en frappe d’une telle colère, qu’en résonne toute la maison. » Quant à ce qui est de la fièvre que le Lièvre a prise, il est à remarquer qu’il ne s’en guérira qu’après avoir dormi sur le tombeau de la pauvre Poule qu’on enterre solennellement par ordre du roi, et qui, martyre du fait de Renart, devient un objet de vénération.
Il raconte comment son attention fut de bonne heure détournée des études classiques, auxquelles il commençait à s’adonner, par la vue d’un très jeune officier sortant de l’École polytechnique et dont l’épaulette le frappa. […] répandaient des torrents de larmes ; aucun cri plaintif ne s’échappait de sa bouche ; elle fit sur nous cet effet que produit toujours une personne qui, frappée subitement d’un irréparable malheur, se résigne et ne manifeste ses profondes angoisses que par des pleurs silencieux.
Les beautés de La Divine Comédie, les difficultés qu’elle continue d’offrir, les disparates qui nous y frappent, ses rapports avec l’histoire, ce qui est du temps et ce qui semble en avant du temps, tout cela était touché, parcouru, soulevé avec ce talent unique qui caractérisait le professeur en M. […] Ainsi dès l’entrée de L’Enfer (chant III) : Per me si va nelta città dolente ; Per me si va nell’eterno dolore ; Per me si va tra la perduta gente… « Toute oreille, a dit à ce sujet M. de Chateaubriand, sera frappée de la cadence monotone de ces rimes redoublées où semble retentir et expirer cet éternel cri de douleur qui remonte du fond de l’abîme.
J’ouvre l’Histoire amoureuse des Gaules, et d’abord je suis frappé de ce qui a donné idée d’écrire un tel livre. […] À cette origine du règne de Louis XIV, et avant que la fusion de manières et de ton se fût opérée, on est très frappé de ces contrastes et de cette crudité à côté du raffinement.
Taine l’ait appliquée avec la vigueur qui est en lui : son Shakespeare, son Saint-Simon ont vivement frappé l’attention de tous ceux qui lisent. […] Aussi ont-ils besoin de communiquer, de donner à leur conception l’appareil le plus brillant, le plus propre à frapper ; et n’ont-ils pas une idée sans l’habiller de signes, sans l’orner le plus richement ou le plus élégamment qu’ils peuvent.
Je suis très frappé, d’après le récit même de M. […] Guizot nous le montre, et en oubliant même ce qu’on en savait déjà, il n’a rien du souverain proprement dit, rien de ce qui frappe l’imagination et de ce qui impose.
Il reçoit donc une lettre par laquelle le savant journaliste l’informe qu’on vient de trouver en Italie une médaille antique, dont on a fait frapper des copies exactes qui courent en Hollande et qui, selon toute apparence, se répandront bientôt dans tous les pays et toutes les cours de l’Europe ; il compte dans peu de jours en envoyer une à celui même à qui il écrit ; mais en attendant il va lui en faire une description aussi fidèle que possible. […] « Les savants se donnent beaucoup de peine, continue le correspondant supposé, pour découvrir en quelle occasion cette médaille a pu être frappée dans l’antiquité.
En toutes choses il faut traiter les hommes de la sorte et leur supposer les vertus qu’on veut leur inspirer. » Je suis extrêmement frappé, dans ces paroles venues de Sainte-Hélène, du point de vue auquel se place invariablement Napoléon. […] J’ai vécu dans les assemblées, et j’ai été frappé d’une chose : c’est que dès qu’un orateur faisait ce qu’on appelle une phrase, l’auditoire souriait avec un indéfinissable dédain et cessait d’écouter.
Ce qui me frappe dans l’Évangile selon saint Matthieu, et qui, s’il n’est pas l’original même de cet apôtre, est traduit de l’hébreu et rédigé en grande partie d’après lui, c’est moins le récit des actions, l’encadrement des circonstances, que les discours, les dires et sentences de Jésus qu’on saisit ici dans tout leur jet primitif et toute leur fraîcheur. […] Ce qui caractérise le Discours de la montagne et les autres paroles et paraboles de Jésus, ce n’est pas cette charité qui se rapporte uniquement à l’équité et à la stricte justice et à laquelle on arrive avec un cœur sain et un esprit droit, c’est quelque chose d’inconnu à la chair et au sang et à la seule raison, c’est une sorte d’ivresse innocente et pure, échappant à la règle et supérieure à la loi, saintement imprévoyante, étrangère à tout calcul, à toute prévision positive, confiante sans réserve en Celui qui voit et qui sait tout, et comptant, pour récompense dernière, sur l’avènement de ce royaume de Dieu dont les promesses ne sauraient manquer : « Et moi je vous dis de ne point résister au mal que l’on veut vous faire : mais si quelqu’un vous a frappé sur la joue droite, présentez-lui encore l’autre.
Mais elle revient à elle ; elle frappe, et appelle ses suivantes, ses serviteurs, en criant au secours ! […] Lisez tout haut le paragraphe qui suit, en le scandant comme une prose poétique, et vous serez frappé du ton et du nombre : « Souvent, au milieu du jour, le soleil perdait ses rayons tout à coup.