Ce n’est pas pour la forme, c’est en conscience que cet esprit d’élite fait appel au vœu des majorités, qu’il leur accorde non-seulement une puissance de fait, mais comme une faculté de justesse. […] Le parfait critique, ainsi considéré, serait, donc celui qui aurait la faculté d’être tour à tour, ne fût-ce qu’un moment, artiste dans tous les genres, et de nous offrir en lui l’amateur universel. […] L’Essai VIII, qui traite du jugement considéré à la fois comme opération et comme faculté de l’esprit, est bien technique, mais je dois dire qu’il a paru à des juges excellents un parfait modèle de la saine méthode analytique fortement appliquée. […] L’artiste enhardi (car il y est devenu artiste) a pris en quelque sorte des portions, des démembrements de lui-même, et les a personnifiés dans des êtres distincts ; il leur a prêté non-seulement ses facultés, mais ses désirs, ses rêves. […] Mais M. de Serre sérieux, imagination, éloquence, il avait tout ; il y joignait seulement la faculté de se faire des illusions.
On ne les explique pas, on les subit, on les vit, on s’en imprègne, on s’y abandonne, on les entend, non avec l’intelligence discursive et représentative, mais grâce à une faculté spéciale qui est, je dirais, le fond même de nous, l’intuition. […] À la division classique de l’âme en trois facultés, s’est substituée l’étude d’une conscience formée d’éléments enchaînés et groupés. […] D’abord l’ignorant dont la faculté de raisonner rudimentaire ne s’aventure pas au-delà de l’induction vulgaire. […] « L’entendement, déclare Fichte, est une faculté improductrice, inerte de l’esprit, le simple réceptacle de tout ce qui est et sera déterminé par la raison68. » La raison, au contraire, le Vernunft, lui apparaît une sorte de faculté métaphysique, suprasensible et supra-intellectuelle qui se rapproche de la Foi des mystiques. — De même chez le savant, qui se guide d’après l’intellect scientifique, le raisonnement bannit la raison. […] « Notre poésie est un symbole, et c’est ce que doit être toute vraie poésie, car la parole de Dieu, lorsqu’elle se transforme en la parole de l’homme, doit se rendre accessible à nos sens, à nos facultés, s’incarner en nous, devenir nous-mêmes.
Or, le legs, conçu comme un droit essentiel du propriétaire, la faculté de transmettre ce que l’on lègue ainsi, sous conditions. […] Enfin, parler d’un développement des facultés le plus complet possible, c’est proprement énoncer une phrase vide de sens. […] Lui aussi, l’artiste complexe dès Fleurs du mal avait reçu de la nature des facultés incapables de s’harmoniser. […] Il n’y a donc pas de faculté plus contraire à l’état lyrique et, par suite, à la poésie que l’esprit d’analyse. […] Quand on l’a beaucoup pratiqué, on reconnaît que son extraordinaire faculté créatrice se doublait d’une faculté critique non moins exceptionnelle.
. — …… Jean Lombard avait gardé de son origine prolétaire, affinée par un prodigieux labeur intellectuel, par un âpre désir de savoir, par de tourmentantes facultés de sentir ; il avait gardé la foi carrée du peuple, son enthousiasme robuste, son entêtement brutal, sa certitude simpliste en l’avenir des bienfaisantes justices.
Quellien, poète breton, d’une verve si originale, le seul homme de notre temps chez lequel j’aie trouvé la faculté de créer des mythes.
Si cet Auteur n’a pas été heureux dans la partie des Belles-Lettres, il s’est rendu justement recommandable dans la Faculté de Droit, en introduisant dans ses Ecoles la discipline qu’on y observe aujourd’hui.
» Ceux qui sont si empressés à refuser aux hommes engagés dans la vie active et dans l’âpreté des luttes publiques la faculté de sentir et de souffrir n’ont pas lu Émile, où se rencontrent, au milieu d’une certaine exaltation de tête, tant de pensées justes, délicates ou amères nées du cœur : « A l’âge où les facultés sont usées, où une expérience stérile a détruit les plus douces illusions, l’homme, en société avec son égoïsme, peut rechercher l’isolement et s’y complaire ; mais, à vingt ans, les affections qu’il faut comprimer sont une fosse où l’on est enterré vivant. » « Cette proscription qui désole mon existence ne cessera entièrement que lorsque j’aurai des enfants que je vous devrai (il s’adresse à celle qu’il considère déjà comme sa compagne dans la vie) ; je le sens, j’ai besoin de recevoir le nom de père pour oublier que le nom de fils ne me fut jamais donné. » Émile parle de source et, quand il le pourrait, il n’a à s’inspirer d’aucun auteur ancien ; la tradition, je l’ai dit, ne le surcharge pas ; elle commence pour lui à Jean-Jacques, et guère au-delà : c’est assez dans le cas présent. […] Quiconque a reçu la faculté de sentir et de penser ne peut nier cette mystérieuse assertion ; mais quiconque aussi voudra prouver l’existence de Dieu ne pourra l’expliquer qu’à l’aide d’arguments que je m’abstiens de qualifier, parce que toutes les croyances doivent être inviolables, et qu’elles sont toutes sacrées pour moi tant qu’elles ne me sont point imposées. » Les religions, on le voit, y sont respectées dans leur formes et honorées dans leur principe : « Je crois que toutes les religions sont bonnes, je crois que, hors le fanatisme, toutes les erreurs des cultes obtiendront grâce devant Dieu, car notre ignorance est aussi son ouvrage… J’adopte toutes les idées religieuses qui peuvent élever l’esprit, je rejette celles qui le rétrécissent ; et s’il fallait décider entre toutes les religions établies celle qui me paraîtrait la meilleure, je répondrais : — La plus tolérante. » À un endroit où le fils abandonné se suppose forçant enfin la destinée par sa vertu, parvenant à percer par ses œuvres, et méritant que sa mère revienne s’offrir à lui comme fit un jour la mère de D’Alembert au savant déjà illustre, il y a une apostrophe pieuse, un mouvement dans le goût de Jean-Jacques : « Dieu !
Nul exemple ne nous prouve mieux que le sien combien la faculté de critique émue, délicate, est une faculté active. […] Hier un violent disciple de Balzac souffletait Vauvenargues (lisez La Rochefoucauld) pour avoir dit que ce n’est pas assez d’avoir de grandes facultés, qu’il faut en avoir l’économie : et remarquez qu’économie ne veut dire là qu’ordonnance, distribution, bon emploi et non épargne.
Joseph Bertrand, doué par la nature de la faculté mathématique la plus élevée et la plus profonde, à laquelle l’éducation a donné tout son développement, se trouve être de plus un esprit ingénieux, aimable, facile et de lui-même ouvert au goût des lettres. […] La science a marché, elle avance chaque jour, et ses résultats appartiennent à tous : l’esprit philosophique reste une faculté toute particulière et individuelle ; il est et sera toujours une chose rare. […] Trouessart, ancien élève de l’École normale, professeur à la Faculté des sciences de Poitiers.
Il semblait que la société parisienne, légèrement hébétée depuis nos malheurs et désaccoutumée des gens d’esprit, tout à coup en retrouvait un qui lui redonnait la sensation que donne l’esprit, cette faculté ineffablement charmante, qui n’est pas le talent et que le plus grand talent, et même le génie, n’ont pas toujours ! […] Après les inexplicables engouements, quand la Critique aura cessé de sonner les cloches comme pour une naissance, la naissance de facultés inconnues et battant neuf dans feu Mérimée, ces lettres, sans amour sincère, sans éloquence de cœur, sans aperçus sur quoi que ce soit, sans un seul jaillissement ou pétillement d’idées ou de mots, montreront un Mérimée bien inférieur à celui de ses œuvres. […] L’un (Gustave Planche) est un sec aux os épais qui a du muscle, l’autre (Mérimée) est un sec maigre qui a du nerf, mais tous deux, l’un comme critique et l’autre comme écrivain de roman et de drame, sont dépourvus également d’imagination créatrice, plantureuse et féconde, et, encore une fois, c’est dans cette identique absence de la même faculté que probablement ils sympathisèrent, Mérimée, il est vrai, n’a laissé dans ses écrits à ma connaissance aucun témoignage d’admiration ou de reconnaissance pour le critique auquel il doit tout, mais s’il a été ingrat, ce sec d’esprit qui pouvait bien l’être de cœur, il l’aura beaucoup été, car il doit tout à Gustave Planche, qui l’a presque inventé tant il l’a vanté !
Aussi la puissance despotique, qui pour lors comprimait les partis et qui avait suspendu leur lutte, ne leur laissait-elle pas la faculté de la controverse politique. […] Les idées des hommes sur la politique, sur la morale, sur toutes les choses enfin où s’exercent leurs facultés, ont aussi pris une autre direction. […] Mais aussi personne ne fut plus que lui susceptible de céder à de telles impressions ; son génie présente, à ce qu’il nous semble, ce singulier phénomène d’un homme le plus souvent dépourvu de cette faculté de l’esprit qu’on nomme réflexion, et en même temps doué, au plus haut degré, de la faculté de sentir et de s’exprimer avec une merveilleuse vivacité. […] On distingua la nature de ses opérations ; on lui reconnut des facultés diverses, une action propre. […] Il était trop savant pour voir, dans tous les gros rouages de l’organisation physique, les facultés morales qui distinguent l’homme ; il a poussé ses recherches plus avant, et a voulu reconnaître ces facultés dans les ressorts les plus fins, et pour ainsi dire les plus mystérieux de la nature physique.
Comme il importe à tout le monde de savoir raisonner juste, de connoître la nature & les facultés de son ame, la structure de l'Univers & l'Auteur qui l'a créé & le conserve, rien n'étoit plus nécessaire que de donner de justes idées sur tous ces objets, & ce qui n'est pas moins nécessaire, de les mettre à la portée de tous les Lecteurs.
On croit être plus habile, parce qu’on redresse quelques erreurs de physique (qu’on remplace par toutes les erreurs de la raison) ; et l’on rétrograde en effet, puisqu’on perd une des plus belles facultés de l’esprit.
Mais il existe un degré qui suppose la finesse de vision, auquel on n’atteint qu’à travers elle, qui est nettement au-delà cependant et qui ressortit à une faculté spéciale : la dégustation. […] Tout historien qui est en même temps un artiste le prouve avant tout par sa faculté de modeler, et ce pouvoir se reconnaît à la progression dans le récit. […] Ils ont provoqué par là l’entrée en jeu systématique d’une force qui n’est tout à fait efficace et belle que lorsqu’elle se dégage électriquement à la pointe d’autres facultés dont elle s’offre alors à nous comme quelque merveilleuse antenne. […] Et puis il est un de ceux qui ont su reconnaître le véritable instrument, cette faculté indéfinissable et impossible à confondre, la seule appropriée. […] Tout de même que chez Pascal, l’instrument ici c’est le « cœur », — mais le « cœur » en tant que faculté de connaissance145 ; et qui procède, qui doit procéder par « coups de sonde directs, perpendiculaires au donné, séparés ix » ; c’est aussi, si l’on veut, le bon sens, mais alors « au lieu d’entendre comme Descartes par bon sens simplement la raison pure, il faut garder au mot son sens plus vague et plus général et lui faire désigner une faculté composite, où entrent des éléments très différents ; les deux principaux : une faculté de sondage, une faculté de développement.
Les paroles de Jésus, sa doctrine, les rites de son culte qui ont si longtemps régi les consciences, nous sont devenus consubstantiels, et ils ont modelé nos facultés émotionnelles. […] Pour ma part, je les estime trop compréhensifs, trop érudits, d’une curiosité exacerbée à l’extrême, tout cela développé au détriment de leurs facultés sensitives. […] Ce choix d’un instrument qui s’adapte à nos facultés, est pour lui une chose essentielle. […] Chaque faculté ancestrale trouve son développement, se crée et s’épanouit en l’un quelconque de ses descendants. […] Chez Verlaine, qui méconnut toujours les sensations compliquées, les facultés de sentir restèrent incultes et vives, vierges de tout intempestif jardinage.
Rigault, dont chacun peut lire dans les Débats de spirituels articles littéraires, et qui est un des plus brillants professeurs de l’Université, a soutenu, il y a quelques jours, ses thèses pour le doctorat devant la Faculté des lettres en Sorbonne. […] La Faculté, présidée par son savant doyen, M.
Lorsque nous sommes émus, le son de la voix s’adoucit pour implorer la pitié, l’accent devient plus sévère pour exprimer une résolution généreuse ; il s’élève, il se précipite lorsqu’on veut entraîner à son opinion les auditeurs incertains qui nous entourent : le talent, c’est la faculté d’appeler à soi, quand on le veut, toutes les ressources, tous les effets des mouvements naturels ; c’est cette mobilité d’âme qui vous fait recevoir de l’imagination l’émotion que les autres hommes ne pourraient éprouver que par les événements de leur propre vie. […] Il trouvera des idées, des expressions que l’ambition du bien peut seule faire découvrir ; il sentira son génie battre dans son sein, il pourra s’écrier un jour avec transport, en relisant ce qu’il aura écrit, ce qu’il aura dit dans un tel moment, comme Voltaire en entendant déclamer ses vers : « Non, ce n’est pas moi qui ai fait cela. » Ce n’est pas, en effet, l’homme isolé, l’homme armé seulement de ses facultés individuelles, qui atteint de son propre essor à ces pensées d’éloquence dont l’irrésistible autorité dispose de tout notre être moral : c’est l’homme alors qu’il peut sauver l’innocence, c’est l’homme alors qu’il peut renverser le despotisme, c’est l’homme enfin lorsqu’il se consacre au bonheur de l’humanité : il se croit, il éprouve une inspiration surnaturelle.
Toute œuvre, du reste, et c’est le cas pour la peinture, ne manifeste guère ces caractères intellectuels : le raisonnement juste ou fautif, le jugement sain ou faux, la faculté forte ou faible de généralisation, etc. […] L’hérédité, la sélection naturelle qui s’opère entre les artistes et les facultés de l’artiste, les lieux ou l’habitat, ces trois facteurs, juge-t-il, ne nous donnent pas grand-chose, même entre les mains de Taine ; leurs influences sont indécises, et les théories de ce puissant critique ne semblent ni justes dans leur rigueur, ni surtout vérifiables.
En effet, quoi de plus beau, même dans le talent le plus composé de facultés diverses, le plus brillant, le plus savant et le plus étonnant, que cet atome, céleste et mystérieux, qui manque souvent aux grands talents et que Mme de Staël, qui l’avait, appelait l’étincelle divine, — que ce rien qui est tout, qui se mêle à tout et qui fait qu’on est poëte ! […] Seulement, si la spontanéité de ses facultés passait bien souvent par-dessus les faux cadres dans lesquels posait sa pensée, nul ne put croire tout d’abord que, la plume à la main, cette Belle Impétueuse, qui se faisait un peu trop de rayons autour de la tête avec ses longs tire-bouchons d’or pût se maintenir, comme en ces Lettres parisiennes, femme du monde spirituelle, moqueuse et adorablement frivole, dans cette simplicité qui devait être une compression, et que nous avons tant admirées dans Mlle Mars, à la scène, car le talent de Mme de Girardin dans ses Lettres parisiennes rappelle le jeu de Mlle Mars, comme dans ses Poésies les cris de Mme Desbordes-Valmore rappellent le pathétique de Dorval.
Avec des facultés très fortes, de l’acuité d’observation, de la profondeur dans l’accent, de l’emporter pièce dans l’empreinte, il voulut être un moraliste et n’y réussit pas, quoiqu’il ne se soit survécu à lui-même que sous ce nom, et quoique à cette heure il ne soit lu et compté que comme tel. […] C’est ainsi que dans les bâtards les trois facultés qui constituent l’homme sont viciées, en leur à priori originel, de cela seul qu’ils sont exclus du nom, de la famille et du patrimoine.
Sa vocation d’historien n’est pas la domination de facultés irrésistibles, ce commandement intérieur du génie, impérieux jusqu’à la cruauté. […] Moret n’a point ce que j’oserais nommer la faculté suraiguë de l’Aperçu, le plus beau don que Dieu puisse faire à ceux qui doivent écrire l’histoire.
., etc. », il écrit avec aplomb que le prêtre « peut garder les petites facultés d’intrigue et de manège, mais les grandes facultés viriles, surtout l’invention, ne se développent jamais dans cet état maladif… Depuis cent cinquante ans surtout, il s’est énervé et n’a plus rien produit ».
Quand donc un homme livré au journalisme n’a pas de facultés plus hautes que son métier, et n’apporte pas la main souveraine et incontestable d’un maître dans le pétrissage de cette pensée qu’il jette sur la place tous les jours, il est bientôt dévoré par sa fonction même, et le temps n’est pas loin où il sera oublié. […] Mais, sans ressembler à Tardent jeune homme qui trouva l’inspiration du talent dans les premières ivresses de la Révolution française, Carrel pourrait avoir des facultés à part, un talent à lui, dont nous regretterions l’emploi, mais dont nous subirions la puissance.
Il la préférait même à la gloire, qu’il aimait pourtant avec une passion presque égale en intensité aux facultés que Dieu lui avait données pour devenir l’un des premiers hommes de son siècle. […] Il en double et triple toutes les facultés.
Il faut que la Critique, en lui signalant ses facultés, lui apprenne quels sont ses devoirs. […] Il a réellement, si on veut bien y prendre garde, du grand poète de Childe Harold et du Don Juan dans les facultés.
Perdu dans l’abstraction où ils se perdent tous, il a dédaigné de regarder cette tête de l’homme, qui s’est déformé en tombant et dont les facultés, devenues inaptes à saisir la vérité d’une prise souveraine, ne font plus pour la prendre que de gauches mouvements. […] Diderot, qui était presque un Allemand du dix-neuvième siècle parmi les Français du dix-huitième, écrivait avec le même aplomb qu’Hegel : « On ne sait pas plus ce que les animaux étaient autrefois qu’on ne sait ce qu’ils deviendront. — L’homme est un clavecin, doué de sensibilité et de mémoire… Que ce clavecin animé et sensible soit doué aussi de la faculté de se nourrir et de se reproduire, et il produira de petits clavecins. » Il disait : « Même substance, différemment organisée, la serinette est de bois, l’homme de chair. » Et encore : « Nos organes ne sont que des animaux distincts que la loi de continuité tient dans une identité générale », et il concluait comme s’il l’avait vu : « Quand on a vu la matière inerte passer à l’état sensible, rien ne doit plus étonner !
Flourens a le plus exhalé sa petite odeur de muguet littéraire, quand, de savant en savant, il est arrivé jusqu’à Guy Patin, cette excellente figure, ce Boileau Despréaux de la médecine, qui aurait donné très bien la monnaie de sa pièce à l’autre Boileau, le railleur de la Faculté. […] Enfin il analysa expérimentalement les facultés, les fonctions, les forces, et donna la preuve sans réplique à ses adversaires (car c’était une preuve physiologique) de l’unité de l’intelligence, concluant que la physiologie répétait le témoignage du sentiment, et qu’elle le confirmait, en le répétant.