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1233. (1909) Les œuvres et les hommes. Philosophes et écrivains religieux et politiques. XXV « Le Docteur Véron »

Il aurait été une espèce de Talleyrand lâché et bourgeois, — oh !

1234. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Comte de Gramont »

Mais aujourd’hui nous avons mieux que cette espèce de fleurs, inodore et incolore !

1235. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Charles Monselet »

Cela n’est plus de ces espèces de vins joyeux qu’il a si largement versés et sablés toute sa vie, ce sont les gouttes précieuses d’un Lacryma Christi poétique des plus rares, et qui mérite ce nom mélancolique ; car il verse au cœur moins l’ivresse qu’une divine mélancolie.

1236. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre premier. De la louange et de l’amour de la gloire. »

Enfin nous terminerons cet essai par quelques idées générales sur le ton et l’espèce d’éloquence qui nous paraît convenable aux éloges des grands hommes ; non que nous nous proposions de donner la poétique de ce genre, nous voulons nous instruire et ne pas tracer des règles.

1237. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre second. De la sagesse poétique — Chapitre VII. De la physique poétique » pp. 221-230

Pour les liquides, ils les réduisaient à une seule espèce, à celle du sang ; ils appelaient sang la liqueur spermatique, comme le prouve la périphrase sanguine cretus, pour engendré ; et c’était encore une expression juste, puisque cette liqueur semble formée du plus pur de notre sang.

1238. (1837) Lettres sur les écrivains français pp. -167

Sans doute qu’il les élevait et les formait dans cette espèce de Saint-Cyr littéraire. […] Soulié a cédé à cette espèce d’épidémie fort dangereuse pour quelques-uns : c’est une grippe qui a montré le côté faible de la constitution de beaucoup d’entre eux. […] Une espèce de roman appelé l’Abordage, qu’il a publié il y a un ou deux ans, et dont on a fait tapage, m’a paru, je dois le dire, assez médiocre lorsque je l’ai lu. […] C’était une espèce de tour de force pour l’état des idées de l’écrivain, mais la bizarrerie de la situation, et peut-être aussi la libéralité de cette proposition le firent céder. […] De cette façon, Mme Constance Aubert est parvenue à se faire une sorte d’autorité dans la matière, autorité qu’ont surtout appréciée les marchands et les fabricants de toute espèce.

1239. (1927) Les écrivains. Deuxième série (1895-1910)

Espèce de bouffi ! […] — N’avez-vous pas inventé aussi une espèce de religion ? […] Plusieurs poussèrent la littérature et la psychologie jusqu’à lui dénier toute espèce de talent et toute espèce de style. […] Elle n’a qu’un rôle dans l’univers, mais grandiose : faire l’amour, c’est-à-dire perpétuer l’espèce. […] Qu’est-ce que tu deviens, espèce de sauvage ?

1240. (1925) Comment on devient écrivain

Je connais un auteur qui n’a aucune espèce de talent, qui a déjà publié bien des volumes et qui s’indigne à l’idée qu’on veuille enseigner à écrire […] Il y aurait donc plusieurs espèces de publics ! […] Il ne saurait donc y avoir, pour le peintre et l’écrivain, aucune espèce d’inconvénient à copier la nature. […] En dehors de son attirail livresque, Brunetière représente assez bien l’absence de toute espèce d’originalité. […] Ces missionnaires semblent du moins pénétrés de ce qu’ils annoncent ; et leur élocution brusque et grossière produit son effet sur l’espèce d’hommes à laquelle elle est destinée.

1241. (1856) Réalisme, numéros 1-2 pp. 1-32

C’est alors que des pinceaux, secs et criards, sont venus, sous la main de Raphaël, tracer les éternels modèles du dessin, et que nous avons vu une demi-douzaine de têtes suffire à la confection d’un nombre considérable de personnages ; espèce de miracle comparable à la multiplication des pains. […] Je signale ici une espèce naïve et touchante de poètes, ceux dont les vers sont austèrement consacrés aux événements publics et qui se donnent la mission d’exciter, comme jadis Tyrtée, les nations à la guerre, au dévouement, à la charité, à la religion. […] Cette espèce n’est pas aimée dans les rangs. […] Dire école réaliste est un non-sens : Réalisme, signifie l’expression franche et complète des individualités ; ce qu’il attaque, c’est justement la convention, l’imitation, toute espèce d’école. […] D’autres sont d’une espèce d’école chirurgicale et ne comprennent que les personnages écorchés, ou préparés anatomiquement de manière à laisser voir certains viscères, ces personnages étant du reste bien portants et ne gardant pas du tout le lit.

1242. (1927) Quelques progrès dans l’étude du cœur humain (Freud et Proust)

D’autre part la victoire incontestable sur les énigmes de la nature que représente son idée maîtresse lui donne une espèce d’ivresse qui le conduit à l’impérialisme. […] Cela est important non pas pour rabaisser celle-ci, mais pour faire comprendre l’unité de notre vie psychique et pour faire apparaître que nous ne disposons en somme que d’une espèce d’énergie dont toute notre liberté se borne à diriger l’emploi. […] Si nous voulons nous représenter proprement et sous son vrai jour l’esprit dont Proust est animé et qui lui permet d’introduire dans les phénomènes intérieurs une véritable positivité, il faut nous le représenter sous les espèces d’un « immense soupçon ». […] Comme un thème constant, et comme un abîme que côtoie sa pensée sans oser jamais le regarder en face, l’idée que tout ce qu’il éprouve de si puissant, de si vraiment dionysiaque n’a peut-être aucune espèce d’objet hors de lui hante d’un bout à l’autre le cerveau de Swann. […] Nous éprouvons donc une espèce de supplice en lisant Proust.

1243. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. RODOLPHE TÖPFFER » pp. 211-255

« C’est quelque chose de bienveillant, c’est aussi une espèce d’estime. […] Cette espèce d’opposition, inutile d’abord est surtout disgracieuse ; rien de moins propre à diminuer nos préjugés d’ici. […] Ici, aussitôt parvenu à de certaines positions, on fait trop vite le tour de l’espèce ; on la connaît trop par tous ses vilains côtés ; on ne croit plus en elle, à moins d’avoir un fonds incurable d’illusion ou une intrépidité voulue d’optimisme.

1244. (1883) Souvenirs d’enfance et de jeunesse « Chapitre II. Prière sur l’Acropole. — Saint-Renan. — Mon oncle Pierre. — Le Bonhomme Système et la Petite Noémi (1876) »

Celtes, Germains, Slaves m’apparurent comme des espèces de Scythes consciencieux, mais péniblement civilisés. […] Saint Cadoc, saint Iltud, saint Conéry, saint Renan ou Ronan, m’apparaissaient de même comme des espèces de géants. […] Je n’efface rien de ce que j’ai dit ; mais, depuis que je vois l’espèce de rage avec laquelle des écrivains étrangers cherchent à prouver que la Révolution française n’a été que honte, folie, et qu’elle constitue un fait sans importance dans l’histoire du monde, je commence à croire que c’est peut-être ce que nous avons fait de mieux, puisqu’on en est si jaloux.

1245. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre deuxième. L’émotion, dans son rapport à l’appétit et au mouvement — Chapitre quatrième. Les émotions proprement dites. L’appétit comme origine des émotions et de leurs signes expressifs. »

Les animaux les plus rudimentaires, voisins de la vie purement végétative, dépourvus de système nerveux et musculaire, n’avaient probablement pas la faculté de se mouvoir d’un point à l’autre dans leur lieu d’habitation ; mais il devait cependant exister, jusque chez ces espèces primitives, certaines tendances à une surexcitation ou à un affaissement de l’activité générale, selon l’approche ou le départ des objets avantageux ou nuisibles. […] La nature humaine, dit Maudsley, contient et renferme la nature animale ; le cerveau d’une brute habite dans le cerveau humain, et chez quelques personnes les traits du visage trahissent l’espèce à laquelle appartient l’animal intérieur. […] Ce que font l’hérédité et la sélection, c’est simplement de rendre de plus en plus grande l’espèce de sonorité interne par laquelle un être répond à l’émotion d’autrui.

1246. (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1882 » pp. 174-231

Il s’interrompt : « Savez-vous un rêve que je fais… s’il m’arrivait, d’ici à dix ans, de gagner 500 000 fr… ce serait de me fourrer dans un livre, que je ne terminerais jamais… quelque chose, comme une histoire de la littérature française… oui, ce serait pour moi un prétexte de cesser d’être en communication avec le public, de me retirer de la littérature sans le dire… je voudrais être tranquille… oui, je voudrais être tranquille. » « Allons, dit-il, en s’en allant avec une espèce d’air d’effroi, en voilà là-bas pour huit mois ! […] Mais dès aujourd’hui, mon inquiétude est celle-ci : je me demande si l’espèce d’excitation spirituelle, que donne l’abus du tabac, ne manquera pas à mon inspiration ; puis j’ai même peur, que le mécanisme de mon travail, scandé par ces repos de rêverie, durant une seconde, ne soit plus aussi nerveux. […] Dimanche 1er octobre L’amour du mari chez l’Américaine diffère de celui de la femme française : « L’Américaine préfère toujours son mari à son enfant, la Française, toujours son enfant à son mari. » Jeudi 12 octobre Je revois Daudet, dans une espèce d’allégresse, de bonheur exalté produit par le travail, et qui ressemble à de la griserie : un état très particulier et que je n’ai constaté que chez lui.

1247. (1856) Cours familier de littérature. I « Ve entretien. [Le poème et drame de Sacountala] » pp. 321-398

« Quant à ceux qui ont voulu assimiler ce drame à une simple pastorale, comme s’il s’agissait ici de bergeries et de moutons à la manière de Florian, nous conviendrons volontiers avec eux que le premier acte se rapproche en effet de ce genre, et qu’il nous offre un modèle de l’idylle aussi parfait qu’il ait été conçu par aucun des meilleurs poètes bucoliques de l’antiquité ; mais, pour le reste, nous leur demanderons dans quelle espèce de pastorale ils ont jamais vu le pathétique, la noblesse, l’élévation des sentiments portés au point où ils le sont généralement dans ce drame, le quatrième acte surtout, qui, sous ce point de vue, nous semble avoir atteint le comble de la perfection. […] C’est ainsi que cette forêt, tout à l’heure si bruyante, ne présente bientôt plus que l’aspect d’un funeste champ de carnage, dévoué au silence, couvert de cadavres, souillé de sang et jonché de tronçons de lances brisées, de massues, d’arcs, de flèches, et de débris d’armes de toute espèce. […] Les compagnes de la jeune mère s’écrient : « Nous apercevons, flottant aux branches d’un grand arbre, un voile céleste, du lin le plus fin, imitant dans sa blancheur la lumière argentée de la lune, sûr présage du bonheur qui attend Sacountala. » Un autre arbuste distillait une laque admirable, destinée à teindre du plus beau rouge ses pieds délicats ; tandis que, de tous côtés, de petites mains charmantes, qui rivalisaient d’éclat avec les plus belles fleurs, se faisant jour à travers le feuillage, répandaient autour de nous ces joyaux de toute espèce, dignes de briller sur le front d’une reine.

1248. (1856) Cours familier de littérature. I « VIe entretien. Suite du poème et du drame de Sacountala » pp. 401-474

» Le héros toujours incrédule, se retournant vers les femmes âgées témoins de cette scène : « Vénérables femmes, on dirait que la ruse est un défaut inné dans le sexe féminin, même parmi les êtres étrangers à notre espèce ? […] Les métaphysiciens de l’Inde, qui se sont occupés de l’art dramatique, comptent huit espèces d’émotions constituant le pathétique, ou la passion dont cette poésie doit agiter les âmes. […] Ainsi, par une analogie aussi morale que physique entre les impressions de l’œil et les impressions de l’esprit, analogie tout à fait conforme à l’harmonie que la nature a établie entre nos différents sens, et entre ces différents sens et notre âme, il y a dans cette littérature une gamme de style, comme une gamme de couleurs, et comme une gamme de sons ; en sorte que les genres de style adoptés par tel ou tel écrivain peuvent se caractériser d’un mot, en style bleu, style rouge, style rose, style jaune, style gris, comme nous caractérisons nous-mêmes, par une analogie d’une autre espèce, nos genres de style, en style élevé, style bas, style brûlant, style tempéré, tant l’esprit humain a besoin d’images pour se faire comprendre.

1249. (1893) Impressions de théâtre. Septième série

Jamais une espèce n’a envié la forme d’une autre espèce. […] Et, dans la même espèce, jamais un individu, à moins d’être infirme et contrefait, n’a envié la peau d’un autre individu. […] Brémond, qui est, en effet, une espèce de sécot, les accueille froidement. […] Je n’ai pas besoin de vous dire que je n’ai aucune espèce de préjugé contre les israélites. […] L’espèce de curiosité qu’il sent chez les poupées qui l’écoutent lui fait, à lui, une âme cabotine.

1250. (1882) Autour de la table (nouv. éd.) pp. 1-376

Votre philosophie de l’art est, ma chère mère, une espèce de béatitude morale. […] Que l’homme disparaisse de notre planète, l’herbe en poussera mieux, les arbres se remettront en forêt vierge, tous les animaux, redevenus libres et forts, vivront en paix avec leur espèce, et la guerre que les espèces se font entre elles pour vivre les unes des autres maintiendra l’équilibre nécessaire. […] Nous les comparons alors au type de leur espèce seulement, et la forme ici pèche par défaut. […] Il eût été, en ce cas, le premier que la nature eût produit, et le dernier probablement de son espèce. […] Une espèce de diligence me descendait à Sceaux ou à Antony.

1251. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre IV. Addison. »

Bref, je regarde ma famille comme un État patriarcal où je suis, à la fois roi et prêtre… Quand je vois mon petit peuple devant moi, je me réjouis d’avoir fourni des accroissements à mon espèce, à mon pays, à ma religion, en produisant un tel nombre de créatures raisonnables, de citoyens et de chrétiens. […] Addison choisit souvent pour lieu de promenade la sombre abbaye de Westminster, pleine de tombes. « Il se plaît à regarder les fosses qu’on creuse et les fragments d’os et de crânes que roule chaque pelletée de terre », et considérant la multitude d’hommes de toute espèce qui maintenant confondus sous les pieds ne font plus qu’une poussière, il pense au grand jour où tous les mortels, contemporains, apparaîtront ensemble919 » devant le juge, pour entrer dans l’éternité heureuse ou malheureuse qui les attend. […] C’en est assez, je n’y veux point aller. —  La même précision littérale et lourde lui fait rechercher quelle espèce de bonheur auront les élus921. […] Si tout cela n’est point assez pour lui arranger un paysage agréable, il peut faire des espèces de fleurs nouvelles, aux parfums plus riches, aux couleurs plus puissantes que toutes celles qui croissent dans les jardins de la nature.

1252. (1894) Critique de combat

Or, on éprouve cette espèce d’inquiétude en lisant le livre récent de M.  […] Non, madame, ne vous en déplaise, on ne saurait pour toute espèce de raisons vous accorder ce titre-là. […] Or, le mot d’original est devenu une espèce d’injure. […] Notre enseignement supérieur y est si bien composé de pièces et de morceaux qu’il apparaît comme une espèce de chaos. […] Qui donc a dit que la grisette est une espèce éteinte ?

1253. (1874) Premiers lundis. Tome I « Ferdinand Denis »

Si la beauté confie à la colombe messagère le secret qu’elle n’oserait révéler à ses austères gardiens, il ajoute : « Prête à voir l’oiseau charmant s’élever dans les airs, en emportant les vœux de sa tendresse, elle voudrait le retenir, comme on retient un aveu qui va s’échapper. » S’il parle des bouquets mystérieux qui racontent et les tendres inquiétudes et les douces espérances d’une jeune captive : « Messager, dit-il, plus discret que notre écriture, maintenant si connue, son parfum est déjà un langage, ses couleurs sont une idée. » L’ouvrage dont nous venons de rendre compte est suivi d’une espèce de nouvelle historique sur la vie du Camoëns.

1254. (1874) Premiers lundis. Tome I « Diderot : Mémoires, correspondance et ouvrages inédits — II »

Mais, les années s’accumulant et aucun obstacle n’irritant plus son amour, hormis quelques contrariétés d’absence, il dut s’établir entre sa maîtresse et lui une intimité paisible et solide, une espèce de ménage en correspondance dans lequel les jeux d’espièglerie convenue et mille traits familiers de pointe galante ou grivoise effleuraient à peine à la surface cette constante et profonde affection.

1255. (1874) Premiers lundis. Tome II « Doctrine de Saint-Simon »

Elevé tendrement au sein d’une famille où s’était conservée la tradition des liens d’une parenté patriarcale, il fut un de ceux qui appelèrent et réalisèrent avec le plus de ferveur la hiérarchie dans la grande parenté de l’espèce humaine ; il s’efforça d’harmoniser ce qu’il y a de religieux dans les sentiments de famille avec la dévotion à l’humanité nouvelle révélée par Saint-Simon.

1256. (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section III. Des ressources qu’on trouve en soi. — Chapitre III. De l’étude. »

Une fois il a saisi la solution d’un problème qui l’occupait depuis longtemps, une autrefois une beauté nouvelle l’a frappé dans un ouvrage inconnu ; enfin, ses jours sont marqués entre eux par les différents plaisirs qu’il a conquis par sa pensée : et ce qui distingue surtout cette espèce de jouissance, c’est que l’avoir éprouvée la veille, vaut la certitude de la retrouver le lendemain.

1257. (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « Marcel Prévost et Paul Margueritte »

Il les considère comme des êtres inférieurs et charmants, dont la seule mission est de « conspirer aux fins de la nature » et, par l’attrait qu’elles exercent sur l’homme, d’assurer la perpétuité de l’espèce.

1258. (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. Samuel Bailey »

La hausse et la baisse, les fluctuations du change, les variations de l’offre et de la demande, le retour du papier chez le banquier après une émission excessive, la disparition des espèces, tous les faits de cette nature résultent de causes déterminées qui agissent avec régularité.

1259. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IV » pp. 38-47

Il trouvait un double avantage à la fréquentation de cette société, celui de satisfaire le goût très vif qu’il avait pour les jouissances de l’esprit, et de se dérober aux inquiétudes jalouses de Luynes, favori de Louis XIII, et défiant à l’égard de toute espèce de mérite, comme le sont d’ordinaire les favoris.

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