Ça avait été la fabrication d’une plaisanterie lourde, entêtée, patiente, continue, ainsi qu’une plaisanterie de petite ville ou une plaisanterie d’Allemand. […] … — Écoute, Claudin, continue placidement et imperturbablement Gautier, en admettant qu’il y ait des êtres dans le soleil, un homme de cinq pieds dans la terre, aurait 750 lieues de haut dans le soleil, c’est-à-dire que les semelles de tes bottes, pour peu que tu portes des talons, auraient deux lieues, la hauteur de la mer dans sa plus grande profondeur ; écoute toujours bien, Claudin : et avec tes semelles de bottes de deux lieues, tu posséderais 75 lieues de masculinité à l’état naturel… — Tout cela est très gentil, mais… fait Claudin se rebiffant un peu — « Catholicisme et Markowski », voilà ta devise, Claudin », lui lance brutalement Saint-Victor. […] Et il continue : « Ah !
Elle continue aussi, en allant et venant, à parler, mais d’une voix éteinte, et avec des intermittences, et ressemblant de plus en plus à une voix d’une personne qui rêve tout haut : « Il ne faut pas que je pleure… » Et presque aussitôt : « Non, voyez-vous… quand je m’assieds… je pense à des choses auxquelles il ne faut pas penser… et quand je marche, quand je parle… je ne pense pas. » Elle se tait longtemps, puis regardant alors du côté de la bière, qui doit partir demain matin, elle répète avec un accent impossible : « Mais quand il ne sera plus là… quand il ne sera plus là ! […] » s’écrie-t-elle, et malgré les objections, la défense timide de son Alphonse, elle continue à tomber Michel, avec le doux entêtement et la parole placide, qu’elle apporte dans la contradiction. […] Puisse-t-il continuer et se mettre à même d’être, un jour, avocat à la Cour de cassation.
Il eût fallu continuer de la même manière, faire passer sous nos yeux les systèmes vivants, comme des idées devenues des âmes. […] La tension continue du style, la versification savante, variée, et cependant monotone par la recherche constante de l’effet, le ton souvent oratoire et souvent déclamatoire, font de la lecture de ces beaux vers une fatigue ; mais il faut savoir gré à l’auteur d’avoir eu des aspirations à un symbolisme grandiose. […] D’abord opaque, inerte, presque insensible, ce n’est que sous l’éblouissement et la chaleur continue des rayons que l’œil de l’être primitif, par degrés s’éclaircissant, s’est senti devenir cristal, et, vivant miroir, a reflété.
VIII Dès la première scène il parut frappé, malgré le tremblement de ma voix, de l’harmonie et de la pureté des vers. « On voit que vous avez beaucoup lu Racine, peut-être trop », me dit-il à la fin de la scène. « Continuez. » Je lus pendant environ trois quarts d’heure, sans que sa vaste tête, appuyée sur sa main, donnât aucun signe ni de lassitude ni d’approbation. […] Quand j’eus terminé ma lecture, Talma, dans la même attitude, continua de se taire et de réfléchir longtemps. […] Rompez, rompez tout pacte avec l’impiété ; Du milieu de mon peuple exterminez les crimes, Et vous viendrez alors m’immoler vos victimes. » La scène continue ; le secret de l’existence d’un roi légitime, à peine retenu sur les lèvres du grand-prêtre, se laisse percer par Abner.
Cependant la conversation continue, et l’homme aux cheveux noirs prend avec chaleur la cause de la liberté contre celui qui paraît hésiter à la défendre : celui-ci s’étonne, se rassure et se met à rire en disant : « Ma foi, je croyais que ce citoyen était un jacobin, et je n’étais pas à mon aise ! […] Pendant les jours suivants, Roederer continua d’être un intermédiaire entre Bonaparte et Sieyès, un interprète habile et entendu de ce fameux plan de Constitution que ce dernier avait en portefeuille, et qui ne put être appliqué qu’avec des modifications qui le transformèrent profondément.
savoir le grec, ce n’est pas comme on pourrait se l’imaginer, comprendre le sens des auteurs, de certains auteurs, en gros, vaille que vaille (ce qui est déjà beaucoup), et les traduire à peu près ; savoir le grec, c’est la chose du monde la plus rare, la plus difficile, — j’en puis parler pour l’avoir tenté maintes fois et y avoir toujours échoué ; — c’est comprendre non pas seulement les mots, mais toutes les formes de la langue la plus complète, la plus savante, la plus nuancée, en distinguer les dialectes, les âges, en sentir le ton et l’accent, — cette accentuation variable et mobile, sans l’entente de laquelle on reste plus ou moins barbare ; — c’est avoir la tête assez ferme pour saisir chez des auteurs tels qu’un Thucydide le jeu de groupes entiers d’expressions qui n’en font qu’une seule dans la phrase et qui se comportent et se gouvernent comme un seul mot ; c’est, tout en embrassant l’ensemble du discours, jouir à chaque instant de ces contrastes continuels et de ces ingénieuses symétries qui en opposent et en balancent les membres ; c’est ne pas rester indifférent non plus à l’intention, à la signification légère de cette quantité de particules intraduisibles, mais non pas insaisissables, qui parsèment le dialogue et qui lui donnent avec un air de laisser aller toute sa finesse, son ironie et sa grâce ; c’est chez les lyriques, dans les chœurs des tragédies ou dans les odes de Pindare, deviner et suivre le fil délié d’une pensée sous des métaphores continues les plus imprévues et les plus diverses, sous des figures à dépayser les imaginations les plus hardies ; c’est, entre toutes les délicatesses des rhythmes, démêler ceux qui, au premier coup d’œil, semblent les mêmes, et qui pourtant diffèrent ; c’est reconnaître, par exemple, à la simple oreille, dans l’hexamètre pastoral de Théocrite autre chose, une autre allure, une autre légèreté que dans l’hexamètre plus grave des poètes épiques… Que vous dirais-je encore ? […] … » On croit entendre un personnage de Térence, transportant et appliquant à un cas moderne cette morale délicate à la fois et indulgente. — Je continue ce portrait tout composé de traits à bâtons rompus, et qui rentre assez dans le genre du modèle.
Après Leipsick, Jomini crut devoir se retirer du quartier général des Alliés ; il en demanda, dès Weimar, l’autorisation à l’empereur Alexandre, alléguant « que rien n’arrêterait plus les armées alliées jusqu’au Rhin ; que de deux choses l’une : ou que l’on ferait la paix, si l’on se contentait d’avoir assuré l’indépendance des puissances européennes ; ou que, si l’on continuait la guerre, on marcherait vers Paris ; que dans ce dernier cas il lui paraissait contre sa conscience d’assister à l’invasion d’un pays qu’il servait encore peu de mois auparavant. » Jomini estimait, à la fin de 1813, que l’invasion de la France serait pour les Alliés une beaucoup plus grosse affaire qu’elle ne le fut réellement : « J’avoue, écrivait-il en 1815, qu’aussitôt qu’il a été question d’attaquer le territoire français mon jugement politique et militaire n’a pas été exempt de prévention, et que j’ai cru qu’il existait un peu plus d’esprit national en France… Est-il besoin, ajoutait-il pour ceux qui lui en faisaient un reproche, de se justifier d’un sentiment de respect pour un Empire que l’on a bien servi et auquel on a vu faire de si grandes choses ? […] Olivier, en plus d’une page de ses Études d’histoire nationale, Monnard même dont je viens de parler dans l’Histoire (continuée) de la Confédération suisse 58, ont parfaitement défini son rôle.
Dès qu’il s’était vu casé à l’Université, de 1809 à 1814, Béranger avait pu continuer avec lenteur ses essais silencieux. […] Le Juif errant, les Contrebandiers continueront, on le verra, ce genre de ballade philosophique qui touche aux limites extrêmes de la chanson ; presque toujours Béranger a pris soin de rattacher ces excursions, assez vagabondes en apparence, à une prophétique pensée d’avenir.
Sa dévotion, malgré tant de lectures mélangées, continuait d’être pure et avait des accès de vivacité ; il allait souvent en secret adorer le Saint Sacrement dans des chapelles d’alentour. […] Mais, après la crise dont nous approchons, on ne remontera pas immédiatement à l’état chrétien : le despotisme et l’anarchie continueront longtemps encore de se disputer l’empire, et la société restera soumise à l’influence de ces deux forces également aveugles, également funestes, jusqu’à ce que d’une part elles aient achevé la destruction de tout ce que le temps, les passions, l’erreur, ont altéré au point de n’être plus qu’un obstacle au renouvellement nécessaire ; et, de l’autre, que les vérités d’où dépend le salut du monde aient pénétré dans les esprits et disposé toutes choses pour la fin voulue de Dieu. » Vers le même temps où l’esprit de M. de La Mennais acceptait si largement l’union du catholicisme avec l’État par la liberté, il tendait aussi à se déployer dans l’ordre de science et à le remettre en harmonie avec la foi.
Les premières pages ne le choquèrent pas trop, et il continuait d’assez bonne humeur sa lecture. […] Je ne vous reverrai de ma vie si vous ne consentez. ” — Vaincu à la fin par ces paroles et par bien d’autres, j’acceptai, continue Latouche.
Evidemment, il n’y avait pas à songer, après 1830, à devenir ou à continuer d’être le critique du romantisme poétique. […] Nisard nous semble l’avoir continuée à certains égards dans cet article sur Carrel où de fort bonnes pages et des vues justes sur l’homme sont compromises par une singulière préoccupation de le tirer à soi, et par une dilatation extrême des parties du biographe les moins correspondantes à son modèle.
Je ne parle pas des excès, excès superstitieux d’une part, excès révolutionnaires de l’autre ; on était, dans ces derniers temps, un peu à bout des théories en divers sens ; c’est alors que se lève quelqu’un qui nous dit : « Ces grands auteurs, Messieurs, que vous, les uns, vous croyez imiter et continuer, que vous, les autres, vous vous attachez à combattre, à éloigner de vous comme s’ils étaient d’hier, il y a quelque chose de mieux peut-être à en faire pour le présent ; car, pendant que vous discutez, le temps passe, les siècles font leur tour, pour nous ces auteurs sont déjà des anciens ; et ils le sont tellement, prenez-y garde, que leur texte nous échappe, que l’altération s’y mêle, que nous ne les possédons plus tout entiers. […] Tu n’as plus ton chasseur, ton fidèle serviteur… Et le dialogue continue sur ce ton ; Thésée s’y mêle, et la déesse réconcilie le père désolé avec son fils : « Je ne connais point, dit M e Schlegel, de scène plus touchante dans aucune tragédie ancienne ou moderne. » Au moment où elle profère les nobles et clémentes paroles, Diane, qui s’aperçoit qu’Hippolyte va trépasser, termine ainsi : « … Et toi, Hippolyte, je t’exhorte à ne point détester ton père ; c’est ta destinée qui t’a fait périr.
A des études vastes, continues, profondes, à la possession directe des sources supérieures, M ignet n’a cessé de joindre le soin accompli (cultus) de composer et d’écrire ; chaque œuvre de lui se recommande par l’ensemble, par la gravité et l’ordre, comme aussi par l’éclat de l’expression ou par l’empreinte. […] On continuera donc probablement, comme par le passé, de publier des recueils de pièces, traités et correspondances, avec plus ou moins de liaisons et d’éclaircissements : à M.Mignet restera l’honneur d’avoir presque élevé un simple recueil de ce genre jusqu’à la forme et au mouvement de l’histoire80.
Ses romans, en effet, avaient un cours prodigieux ; on les contrefaisait de toutes parts ; quelquefois on les continuait sous son nom, ce qui est arrivé pour le Cléveland ; les libraires demandaient du l’abbé Prévost, comme précédemment du Saint-Évremond ; lui-même, il ne les laissait guère en souffrance, et ses œuvres, y compris le Pour et Contre et l’Histoire générale des Voyages, vont beaucoup au-delà de cent volumes. […] De composition et d’art dans le cours de son premier ouvrage, non plus que dans les suivants, il n’y en a pas l’ombre ; le marquis raconte ce qui lui est arrivé, à lui, et ce que d’autres lui ont raconté d’eux-mêmes ; tout cela se mêle et se continue à l’aventure ; nulle proportion de plans ; une lumière volontiers égale ; un style délicieux, rapide, distribué au hasard, quoique avec un instinct de goût inaperçu ; enjambant les routes, les intervalles, les préambules, tout ce que nous décririons aujourd’hui ; voyageant par les paysages en carrosse bien roulant et les glaces levées ; sautant, si l’on est à bord d’un vaisseau, sur une infinité de cordages et d’instruments de mer, sans désirer ni savoir en nommer un seul, et, dans son ignorance extraordinaire, s’épanouissant mille fois sur quelques scènes de cœur, renouvelées à profusion, et dont les plus touchantes ne sont pas même encadrées.
Tel est le travail vital ; sauf obstacle ultérieur, c’est-à-dire pourvu que le milieu soit convenable, il se continue à l’aveugle, que son issue soit utile, inutile, ou même malfaisante. — Il en est de même pour le travail mental ; sauf empêchement et paralysie dans les lobes cérébraux, sitôt que la sensation est donnée, la perception ou jugement affirmatif suit, faux ou vrai, salutaire ou nuisible, peu importe, quand même l’hallucination qui parfois le constitue entraînerait l’homme au suicide et détruirait l’harmonie ordinaire qui ajuste notre action à la marche de l’univers. […] Mais elles n’étaient plus continues et ne se produisaient guère que le matin, aussitôt après le lever.
« Ce gouvernement d’une république fédérative par une théocratie sacrée et centrale, continue le philosophe allemand, était le plus idéal des gouvernements. […] » L’enfant se détourne humblement et continue à s’informer du prix que l’on propose à celui qui réprimera les outrages du bâtard de Geth.
En son temps, en son monde, il ne pouvait voir que ce qu’il a vu ; et s’il faut corroborer son témoignage par d’autres, demandez à la bonne Mme de Motte-ville, qui n’avait pas des yeux de lynx, ce qu’elle en pense : elle n’a pas pu vivre à la cour, et continuer de croire au désintéressement. […] Et par Retz se révèle l’affinité de l’héroïsme cornélien avec la virtù italienne : il est sublime d’absolue immoralité dans la grandeur d’âme continue.
Or voici ce que nous constatons : au début mon doigt D′ éprouve une sensation A′ ; je fais des mouvements qui engendrent les sensations musculaires S ; mon doigt D éprouve l’impression A ; je fais des mouvements qui engendrent une série de sensations σ ; mon doigt D continue à éprouver l’impression A, puisque c’est la propriété caractéristique des séries σ ; je fais ensuite des mouvements qui engendrent la série S′ de sensations musculaires, inverse de S au sens donné plus haut à ce mot. […] Je fais ensuite les mouvements correspondants à la série σ ; dans ces mouvements, par hypothèse, la position du doigt D ne change pas, ce doigt reste donc au contact de l’objet a et continue à éprouver l’impression A.
De même pour l’association latente : si l’on admet (ce que la physiologie rend de plus en plus probable) que tous nos sentiments, comme toutes nos sensations, ont pour antécédents physiques un état particulier des nerfs, on peut croire que l’association entre deux idées ne peut paraître interrompue, que parce qu’elle se continue physiquement, par des états organiques des nerfs dont la succession est si rapide, que l’état de conscience appropriée à chacun ne peut se produire85. […] Voisinage et éloignement ne signifient dans leur bouche rien de plus que temps court ou temps long, que le plus ou moins grand nombre des sentiments intermédiaires, entre le premier et le dernier des sentiments éprouvés. » En somme, l’idée d’espace est au fond une idée de temps, et la notion d’étendue ou de distance est celle d’un mouvement des muscles, continué pendant une durée plus ou moins longue.
M. de Malesherbes, dans une remarquable lettre, répondit au ministre qu’il n’y avait guère, au fond, à compter sur la censure ; que des gens d’esprit, dans un ouvrage de longue haleine, viendraient toujours à bout de l’éluder ; qu’il ne savait qu’un seul moyen sûr de remédier aux abus, c’était de rendre les auteurs responsables personnellement de leurs fautes : Si ce moyen est le plus sûr, continuait M. de Malesherbes en s’adressant à l’abbé de Bernis, vous me demanderez pourquoi je n’ai pas employé jusqu’à présent ? […] continuait Malesherbes ; les disgrâces qu’il a déjà éprouvées et celle qu’il éprouve encore, puisque l’entrée des Académies lui est interdite pour le moment présent, ne sont-elles pas suffisantes ?
L’auteur continue d’entendre toutes ces choses comme on les entendait autrefois, du temps d’Horace, du temps de La Bruyère et de Vauvenargues. […] Il continue chaque jour l’œuvre de la création, subordonnant à la pensée les choses inertes, et les faisant monter ainsi à un plus haut degré de vie.
Hermann démontre qu’il ne s’agit dans ces listes que des représentations de l’ancien et du nouveau répertoire, c’est-à-dire des acteurs et des chanteurs appliqués aux œuvres de l’ancien théâtre, puis des poëtes, acteurs et chanteurs des pièces nouvelles, comme on continuait d’en faire et d’en jouer, d’après l’ancien modèle plus ou moins altéré. […] Aristophane continuait Archiloque sur la scène ; et, bien que la satire animât partout le dialogue, elle jaillissait plus vive dans les Chœurs.
Ce discours vous déplaira fort, Et je confesse que j’ai tort De parler du soin de ma vie À celui qui n’eut d’autre envie Que de chercher partout la mort… Mais vous et moi, c’est bien différent, continuait agréablement Voltaire : si, en l’une de vos belles journées, un coup de canon vous avait envoyé chez Pluton, vous étiez sûr d’avoir toutes les consolations magnifiques qu’on décerne aux fameux capitaines : service solennel, oraison funèbre, et Saint-Denis peut-être au bout : Mais si quelque jour, moi chétif, J’allais passer le noir esquif, Je n’aurais qu’une vile bière ; Deux prêtres s’en iraient gaiement Porter ma figure légère Et la loger mesquinement Dans un recoin du cimetière.
Je réponds, dans les termes d’un bon juge, que toute assemblée publique où les bienséances sont observées est une école utile… Il continue dans ce sens cette apologie des cafés.
Il y avait en moi, dans ces années, un trop-plein de sensibilité et d’enthousiasme, un besoin d’admirer et de pousser à l’idéal chaque objet de mon culte, tellement qu’il n’aurait pas été inutile, pour continuer de paraître vrai, que l’objet disparût presque aussitôt, et moi-même peu après.
Aussi inaccessible aux craintes qu’aux séductions, aux menaces d’assassinat qu’aux insinuations amicales, il persiste dans ses projets de fructidor, une fois qu’il les a jugés nécessaires à la liberté, et, sous les poignards des chouans, continue paisiblement ses promenades de chaque soir au Jardin des plantes.
» Et leurs compagnes qui verront leur tristesse leur en demanderont la cause, et elles ne la diront pas ; et les autres bergères innocentes et jeunes continueront de s’amuser autour de la cabane du satyre ; et lui de les surprendre, de les surprendre encore une fois, de ne les surprendre plus ; et elles de se taire.