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1018. (1904) La foi nouvelle du poète et sa doctrine. L’intégralisme (manifeste de la Revue bleue) pp. 83-87

Encore ne faut-il pas cependant qu’elle l’absorbe au point de nous conduire à la routine.

1019. (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Deuxième partie. L’évolution des genres — Chapitre IV. Littérature dramatique » pp. 202-220

Mais placez à son centre l’âme consciente avec tous ses pouvoirs, faites rayonner à son foyer incandescent la divine Psyché, déployez ses ailes — et le théâtre sera le miroir de la vie meilleure, l’éducateur du peuple, l’initiateur qui conduit l’homme à travers la forêt de la vie et les mirages du rêve au sommet des plus hautes vérités.

1020. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 15, le pouvoir de l’air sur le corps humain prouvé par le caractere des nations » pp. 252-276

Il est des païs où le cheval est communément un animal doux qui se laisse conduire à des enfans.

1021. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 34, que la réputation d’un systême de philosophie peut être détruite, que celle d’un poëme ne sçauroit l’être » pp. 489-511

Les mauvais succès de ses tentatives pour reformer les abus et pour établir l’ordre qu’il avoit imaginé dans son cabinet, les lumieres que donne l’expérience et qu’elle seule peut donner, lui font bien-tôt connoître que son prédecesseur s’étoit bien conduit, et que le monde avoit raison de le loüer.

1022. (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre I : Qu’est-ce qu’un fait social ? »

D’ailleurs, cette seconde définition n’est qu’une autre forme de la première ; car si une manière de se conduire, qui existe extérieurement aux consciences individuelles, se généralise, ce ne peut être qu’en s’imposant13.

1023. (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre IV. Des changements survenus dans notre manière d’apprécier et de juger notre littérature nationale » pp. 86-105

Je serais maintenant conduit à parler de cette littérature de mouvement, qu’on a appelée romantique, littérature absolument nouvelle, qui ne remonte pas plus haut que J.

1024. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « VI. M. Roselly de Lorgues. Histoire de Christophe Colomb » pp. 140-156

L’étude approfondie de Christophe Colomb, de ses plans, de ses écrits dans ce qui nous reste de ce grand homme, la connaissance de ses travaux, de son malheureux gouvernement sur le terrain de sa conquête où il déploya l’inutilité de trop de vertus pour les hommes qu’il avait à conduire, la pureté de sa gloire et la beauté céleste de ses infortunes, ont pu forcer l’historien à conclure que cet homme, plus grand que nature et de hauteur de prophète, était le dernier missionnaire de la Providence sur la terre.

1025. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Fustel de Coulanges » pp. 15-32

La première impression que donne son livre, c’est là satisfaction de la clarté… Ce n’est pas la vérité encore que la clarté, mais elle y conduit et elle y tient par son rayon.

1026. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « IX. L’abbé Mitraud »

La logique même, qui conduit l’esprit du point de départ au point d’arrivée, ne suffirait pas davantage, et M. 

1027. (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Le Comte de Gobineau »

Tous s’y conduisent en étoiles.

1028. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXI. De Thémiste, orateur de Constantinople, et des panégyriques qu’il composa en l’honneur de six empereurs. »

Ils s’occupaient de leur parure, et ils négligeaient l’univers ; peut-être même avaient-ils grand soin de choisir leurs chevaux, mais point du tout les hommes qu’ils destinaient aux places ; et tandis qu’aux jeux, du cirque ils n’auraient pu souffrir de voir des cochers conduire un char, ils abandonnaient à des hommes sans choix les rênes de l’empire et la conduite des nations.

1029. (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 3665-7857

L’inventeur n’est quelquefois qu’un aventurier que la tempête a jetté dans le port ; le critique est un pilote habile que son art seul y conduit : si toutefois il est permis d’appeller art une suite de tentatives incertaines & de rencontres fortuites où l’on ne marche qu’à pas tremblans. […] Ce dernier exemple nous conduit à une remarque qui peut être utile. […] Si le fil qui conduit au denouement échappe à la vûe, on se plaint qu’il est trop foible ; s’il se laisse appercevoir, on se plaint qu’il est trop grossier. […] mais encore en prenant le sujet par le centre, elle fait refluer sur l’avant-scene l’intérêt de la situation présente des acteurs, par l’impatience où l’on est d’apprendre ce qui les y a conduits. […] Ce sont des moyens bien puissans & bien négligés, de conduire & de gouverner les peuples.

1030. (1882) Types littéraires et fantaisies esthétiques pp. 3-340

Celle-ci s’est comme enivrée des sons ; d’abord elle a bu avec avidité la capiteuse liqueur de l’harmonie ; mais, au bout de quelques minutes, elle a senti la volonté lui échapper et n’a plus eu la force de conduire ses rêves. […] S’il y a une idée qui domine dans le livre, c’est que la route choisie au début par le héros est absolument fausse et ne peut le conduire que dans des fondrières de plus en plus dangereuses. […] Il s’y trouve telle pensée qui, poussée logiquement, conduirait à des conséquences que Goethe aurait réprouvées. […] Elle est pour eux une dépense et une déperdition de forces, leur vie s’écoule avec chacun de leurs lieder, chacune de leurs inspirations les conduit un peu plus près de la mort. […] Elle entre en eux comme un aliment au lieu d’en sortir comme une perte d’âme ; elle vient de la vie et les conduit à la vie.

1031. (1896) La vie et les livres. Troisième série pp. 1-336

Du fond du sol sacré, par des fissures imperceptibles, l’affinité mystérieuse qui choisit au vaste chaos de l’univers avait conduit là ce qui brille, ce qui chatoie, ce qui demeure. […] Ils vont, et le coryphée Homolle les conduit… Les poètes, qu’ils y consentent ou non, sont les disciples des antiquaires au pied léger. […] Le cortège était conduit par la prêtresse d’Athéna Polias, par le prêtre d’Érechthée et par celui d’Hélios, qui s’avançaient à l’abri d’un vaste parasol blanc porté par les descendants de la famille des Étéoboutades. […] Degas qui a conduit M.  […] Une prédilection décidée l’a conduit vers les époques où la France a conquis, non sans peine, son indépendance et son unité.

1032. (1858) Du roman et du théâtre contemporains et de leur influence sur les mœurs (2e éd.)

La puissance fatale qui conduit l’homme et opprime sa volonté, elle n’est pas au ciel, elle est dans l’homme même. […] L’Adultère Les opinions que nous venons d’exposer au sujet du mariage, conduisaient directement à la justification de l’adultère. […] Quand on a proclamé que l’homme est fatalement conduit par ses instincts, comment ne pas rejeter sur un autre que lui, la responsabilité du mal qui se fait en ce monde ? […] Regardez où nous ont conduits les idées, les doctrines morales, les théories philosophiques et sociales prêchée ? […] C’est pour le consoler, non pour le conduire, que l’imagination lui a été donnée : c’est comme un mobile, non comme une règle, que la sensibilité a été mise en lui.

1033. (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 7172-17709

Nous appercevons sensiblement la même influence dans les mots composés de notre langue, qui ne sont pour la plûpart que des mots latins terminés à la françoise ; patri-moine, légis-lateur, légis-lation, juris-consulte, juris-prudence, agri-culture, frontis-pice, homi-cide : & l’analogie nous a naturellement conduits à conserver les droits de ce génitif dans les mots que nous avons composés par imitation ; part-ager, as-sort-ir, res-sort-ir, &c. […] De toutes les routes qui conduisent au même but, il n’y en a qu’une qui soit la meilleure. […] Le même poëte, parlant d’Enée & de la sibylle qui conduisit ce héros dans les enfers, dit, Æneid. […] Un simple coup d’oeil jetté sur les différentes especes de mots, & sur l’unanimité des usages de toutes les langues à cet égard, conduit naturellement à les partager en deux classes générales, caractérisées par des différences purement matérielles, mais pourtant essentielles, qui sont la déclinabilité & l’indéclinabilité. […] Les mots considérés de cette maniere sont essentiellement déclinables, ou essentiellement indéclinables ; & si l’unanimité des usages combinés des langues ne nous trompe pas sur ces deux propriétés opposées, elles naissent effectivement de la nature des especes de mots qu’elles différencient ; & l’examen raisonné de ces deux caracteres doit nous conduire à la connoissance de la nature même des mots, comme l’examen des effets conduit à la connoissance des causes.

1034. (1904) Propos littéraires. Deuxième série

Tu la conduisais à l’école, avec ton tablier bleu ; et tu cachais pour elle des pommes dans ta poche. […] C’était viser haut ; et c’est ce que le public veut toujours et exige de ceux qui s’adressent à lui, surtout pour le guider et le conduire. […] Ces considérations sur les ensembles de l’histoire littéraire ont conduit M.  […] Sa place dans la composition lui prouve où cette irrévérence peut conduire un homme de goût et d’imagination. […] Quand cela ne servirait à rien de l’avoir trouvée et ne conduirait à l’invention d’aucun remède, que voulez-vous ?

1035. (1888) La vie littéraire. Première série pp. 1-363

Mais pourquoi, dites-vous, s’il aime tant Paris, nous conduit-il à Rome, chez Sérénus ? […] Il est aveugle et il nous conduit. […] Il n’est tel qu’un fou pour conduire un cauchemar dans la perfection. […] Aussi verrons-nous qu’il resta peu de temps au service et fut loin de s’y conduire d’une manière irréprochable. […] Sa polémique ardente le conduisit trois fois sur le terrain.

1036. (1897) La vie et les livres. Quatrième série pp. 3-401

Se présentant un jour, de grand matin, au quartier général, à Toulon, Dumas fut conduit par l’aide de camp de service vers la chambre du général en chef et reçu familièrement. […] Il fut conduit, un soir, par son ami Adolphe de Leuven, dans la loge de Talma, et il manqua de défaillir d’émotion en voyant, réunies dans cet étroit espace, toutes les gloires dont l’éclat et le bruit lui faisaient envie. […] Cela était intitulé : Instructions et maximes que je me suis données pour me conduire à la cour. […] L’étude de l’empire romain d’Orient l’a conduit, par une suite naturelle d’étapes et de haltes, dans le domaine d’Ivan le Terrible et de Pierre le Grand. […] L’exégète nous conduit au seuil du grand temple, près de l’autel d’Athéna Ergané, la déesse industrieuse pour laquelle les descendants de Phidias répandent, à certains jours, des libations d’huile sainte.

1037. (1905) Études et portraits. Sociologie et littérature. Tome 3.

Une invincible analogie les a conduits à rapprocher jusqu’à les identifier les faits de vitalité morale, si l’on peut dire, et les faits de vitalité organique. […] L’un des employés le conduisit, dit son biographe, dans une salle où étaient entassés pêle-mêle les ouvrages ayant subi cet ignoble sort… L’écrivain remue du bout de sa canne cet énorme tas. […] Elle consiste à montrer ce que l’activité la plus réaliste, la plus soumise aux exigences du fait, la plus subordonnée à des fins pratiques, prend de vigueur, combien elle devient productrice et salutaire, lorsque la foi religieuse est à son origine pour la conduire, pour la soutenir, pour la réchauffer, — en la réglant. […] La facilité de l’instruction parut devoir conduire à l’identité des éducations, de même que la facilité des rapprochements entre nations parut devoir conduire à l’identité des races. […] Les enthousiastes de 89 ont pu vérifier aussi à quelle extrémité de misère leur méconnaissance conduisit la malheureuse France.

1038. (1892) La vie littéraire. Quatrième série pp. -362

Elle en fut justement punie : elle aima, n’étant plus libre, et elle ne sut pas se défendre contre cet amour, et ainsi une noble faute la conduisit à une fauté avilissante. […] C’est aux plus fermes et aux plus sages d’essayer de conduire et d’éclairer ceux qui entrent aujourd’hui dans la vie intellectuelle. […] Ce blond César, danseur gracieux, qui conduisait, entre deux assauts, des ballets symboliques, était un Hercule. […] Or le vers brisé devait conduire au vers à césure mobile et multiple : c’était nécessaire. […] Il l’a répété vingt fois : la raison ne conduit pas à Dieu ; le sentiment seul y mène.

1039. (1854) Causeries littéraires pp. 1-353

Arrivé à une époque où le désordre venait d’atteindre à son apogée dans la littérature comme partout, et où la société reconnaissait avec effroi jusqu’à quel-gouffre peut conduire cette épidémie d’indiscipline politique, morale, religieuse et littéraire, il a profité (en y contribuant) de la réaction générale. […] Ponsard ; d’une part, il s’abandonnait à l’influence d’un homme illustre, qui nous a tous plus ou moins enivrés des charmes divins de ses premiers vers ou des capiteuses séductions de ses derniers livres, mais qui possède trop mal l’art de se conduire lui-même pour qu’on puisse le supposer habile à conduire les autres ; il se laissait entraîner après lui dans ce tourbillon révolutionnaire où devait nécessairement s’estomper et disparaître les chastes et sérieux contours de sa pensée ; d’autre part (ceci est plus délicat à indiquer), il devenait décidément trop païen, non pas dans le sens classique et autorisé, mais par ce côté un peu profane, un peu libertin, que toute la grâce et tout l’atticisme d’Horace ne parviennent pas à déguiser. […] Il est pour les peuples, comme pour les individus, un état d’enfance où la raison des hommes, loin d’être capable de les conduire, peut à peine suffire à les soumettre. […] Déclarant la guerre à toutes les maladies morales qui avaient conduit la société au bord de l’abîme, M.  […] On ne savait pas, on ne prévoyait pas alors jusqu’où pouvaient conduire ces emportements de la pensée humaine, de la liberté moderne, débarrassées de tout frein ; on s’amusait de ces folies criminelles comme de ces courtes bourrasques qui éclatent tout à coup entre deux rayons de soleil.

1040. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Mademoiselle Aïssé »

Toute impatience, toute négligence en pareil cas est déplacée et peut avoir des conséquences très-fâcheuses, au lieu que, si vous vous conduisez bien dans vos couches, non-seulement elles ne nuiront pas à votre santé, mais au contraire vous en deviendrez plus forte et plus saine. […] C’est le cœur qui nous conduit : l’instinct d’un cœur droit est mille fois plus sûr que toutes les réflexions d’un bel esprit : c’est du cœur que partent tous les premiers mouvements : c’est au cœur que nous obéissons sans cesse. […] Jeune, partant pour Paris en 1784, il fut conduit par son père à Mayac, où vivait encore l’abbé d’Aydie, frère du chevalier, et plus qu’octogénaire ; il reçut du spirituel vieillard des conseils.

1041. (1858) Cours familier de littérature. V « XXVIe entretien. Épopée. Homère. — L’Iliade » pp. 65-160

Ulysse, après de nombreux exploits, est cerné par les Troyens, « comme, sur le sommet d’une montagne, des loups carnassiers, altérés de sang, entourent un cerf blessé par la flèche d’un chasseur ; mais le cerf lui a échappé en courant d’un pas rapide, tant qu’un sang encore tiède coule de sa blessure et que ses genoux peuvent le porter ; enfin, lorsqu’il s’arrête énervé par la douleur aiguë, les loups féroces des montagnes vont le dévorer sous le bois ténébreux ; mais si le hasard conduit en ces lieux un lion redouté, soudain les loups s’enfuient et le lion se rue sur leur proie !  […] « Les coursiers d’Achille pleurent loin du champ de bataille depuis qu’ils savent que Patrocle, qui les conduit, est tombé dans la poussière, terrassé par l’homicide Hector. […] de tous mes beaux-frères ô toi le plus aimé de mon cœur, puisqu’il est trop vrai que Pâris est mon époux, et qu’il m’a ravie pour me conduire en Ilion.

1042. (1859) Cours familier de littérature. VIII « XLIVe entretien. Examen critique de l’Histoire de l’Empire, par M. Thiers » pp. 81-176

Les comprendre… « C’est la profonde intelligence des choses qui conduit à cet amour idolâtre du vrai que les peintres et les sculpteurs appellent l’amour de la nature. […] Thiers, nous le savons bien, mais c’est là où conduirait sa théorie historique de l’intelligence supérieure à tout dans le récit des événements humains. […] Thiers conduit son lecteur par le fil des événements avec une clarté de vue, une sûreté de marche et une universalité de science historique qui entraînent sans cesse sans jamais lasser.

1043. (1861) Cours familier de littérature. XI « LXIIIe entretien. Cicéron (2e partie) » pp. 161-256

Il y a longtemps, Catilina, que les ordres du consul auraient dû te faire conduire à la mort… Si je le faisais dans ce même moment, tout ce que j’aurais à craindre, c’est que cette justice ne parût trop tardive, et non pas trop sévère. […] Mais le peuple romain qui t’a conduit de si bonne heure par tous les degrés d’élévation jusqu’à la première de ses dignités, sans nulle recommandation de tes ancêtres, sans te connaître autrement que par toi-même, le peuple romain obtient donc de toi bien peu de reconnaissance, s’il est quelque considération, quelque crainte qui te fasse oublier le salut de tes concitoyens ! […] « Les Cimmériens (peuples voisins du pôle) à qui la vue du soleil est dérobée ou par un dieu, ou par quelque phénomène de la nature, ou plutôt par la position de la terre qu’ils habitent, ont cependant des feux à la lueur desquels ils peuvent se conduire ; mais ces philosophes du doute, dont vous vous déclarez les sectateurs, après nous avoir enveloppés de si épaisses ténèbres, ne nous laissent pas même une dernière étincelle pour éclairer nos regards et nos pas !

1044. (1913) Les livres du Temps. Première série pp. -406

Mais il s’agit bien toujours d’une enquête à conduire et d’un jugement à formuler sur le monde et sur l’homme. […] En principe, on prétend que la littérature inquiète de Chateaubriand, avec son goût de l’horreur, des ruinés et des naufrages, conduisait logiquement à l’anarchie politique. […] Ses recherches dans les archives et les bibliothèques l’ont conduit à des trouvailles dont personne n’a méconnu la valeur, bien qu’on ait parfois discuté assez vivement les conséquences qu’il en tirait. […] Et sa recherche des sensations rares le conduit vers certaines formes de l’art catholique. […] L’Invasion nous conduit à Marseille ; l’action du Rival de don Juan se déroule à Séville ; celle des Bains de Phalère en Attique.

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