Votre ouvrage est un chef-d’œuvre ; les Quatre Saisons et le quinzième chapitre de Bélisaire sont deux morceaux au-dessus du siècle. […] L’auteur, dans ce second chapitre, fait parler en un dialogue le médecin philosophe Bernier et Ninon de Lenclos : « J’avais besoin d’une femme d’esprit qui n’eût pas conservé cette retenue et cette dissimulation que les mœurs imposent à son sexe ; il me fallait une femme qui eût beaucoup pensé, beaucoup vu, et qui osât tout dire. » Et, en effet, il s’y dit froidement beaucoup de choses qui rappellent la conversation des dîners de Mlle Quinault.
A Bâle, où nos voyageurs sont reçus avec distinction et traités par la seigneurie de la ville avec des marques d’honneur et de cérémonie, Montaigne voit François Hotman, le célèbre jurisconsulte, rival de Cujas, échappé au massacre de la Saint-Barthélemy ; à souper où il l’invite, il le met, lui et un savant médecin de la ville, sur le chapitre de la religion, et il devine que, tout en protestant contre la romaine, ils sont peu d’accord entre eux. […] Ici l’on aurait à faire tout un chapitre, Montaigne antiquaire, si M.
Quand l’esprit d’un temps n’est pas très-sévère en matière de critique et qu’il n’en a pas pris l’habitude, il n’est pas non plus très-rigoureux moralement sur ce chapitre des fabrications plus ou moins ingénieuses : il ne les appelle pas des falsifications67. […] Il est naturel par le fond des choses et dans le courant du récit, sinon dans le détail de l’expression ; il est facile désormais, grâce à son traducteur ; il est agréable, excepté dans le dernier livre ; il est instructif partout sur le chapitre des mœurs et usages.
La géographie physique des lieux parcourus, la géologie, la météorologie, les productions minérales, la flore, si l’on ose parler ainsi, la faune, sont la matière d’autant de chapitres et de tableaux ; puis l’on passe au moral des peuples qui se meuvent dans ce cadre inflexible et sous ce climat impérieux : les centres commerciaux, les centres religieux, puis les mœurs des Touareg en particulier, leurs origines probables, leur histoire (si histoire il y a), leur constitution, leur vie politique et intérieure, tout vient par ordre et en son lieu. […] Il faut lire tout ce chapitre chez M.
Aux chapitres XII et XIII, elle est encore très belle, et l’on nous apprend que ses bras et sa gorge se tiennent fort bien. […] Et maintenant tournez quelques feuillets, et voyez au dernier chapitre le récit du mariage : « Et Védrine disait son saisissement en voyant paraître, dans cette salle de mairie, la duchesse Padovani, pâle comme une morte, navrée, désenchantée, sous une toison de cheveux gris, ses pauvres beaux cheveux qu’elle ne prenait plus la peine de teindre.
La physiologie et l’hygiène d’un écrivain sont devenues un des chapitres indispensables dans l’analyse qu’on fait de son talent. […] Le mode de publication en feuilletons, qui obligeait, à chaque nouveau chapitre, de frapper un grand coup sur le lecteur, avait poussé les effets et les tons du roman à un diapason extrême, désespérant, et plus longtemps insoutenable.
Qu’on lise les chapitres de son livre III sur le bien et le mal moral et sur la grandeur d’âme : jamais la morale de La Rochefoucauld étroitement interprétée, jamais la morale du xviiie siècle, telle que vont la sophistiquer et la matérialiser grossièrement les Helvétius, les d’Argens, les La Mettrie et bien d’autres parmi ceux qui valaient mieux n’a été plus énergiquement et plus solidement réfutée. […] [NdA] Quintilien, au livre X, chap.
Le texte, typographiquement, est admirable ; les titres sont d’un grand goût ; les portraits sont beaux : je ne trouve à blâmer que les espèces de vignettes qui terminent les pages à la fin des chapitres, et qui font ressembler par moments ce volume royal à un livre d’illustrations : ces enjolivements, dont le sujet est souvent énigmatique, ne conviennent pas à la gravité monumentale de l’édition. […] Je recommande la lecture du chapitre vi, qui traite de la campagne de 1757, cette campagne si pleine de vicissitudes et de retours, et dans laquelle Frédéric, réduit aux abois, eut sa victoire facile et brillante de Rossbach, sa victoire savante et classique de Leuthen.
L’abbé Boileau, qui était alors doyen de l’église cathédrale de Sens, fut obligé de porter la parole à la tête de son chapitre. […] V, livre vi, chap. 7.
Il y a dans le Testament politique un curieux chapitre intitulé « Des lettres », c’est-à-dire de la littérature classique ou de l’éducation, et qui vient immédiatement après les chapitres sur l’Église.
Chapitre deuxième Rapports du plaisir et de la douleur à la représentation et à l’appétition I. […] Voir le chapitre précédent.
Voir la note sur le vers libre latin à la fin de ce chapitre. […] Œuvres d’Adam de Saint-Victor ; 1re édition. — Nous avons étudié la séquence avec quelque détail, mais surtout au point de vue littéraire, dans le Latin mystique, chapitres VII et VIII.
Chapitre V. […] Pour en finir avec cette étude un peu aride je renvoie le lecteur à ce j’ai dit (Chapitre I) des conceptions ethniques, cosmogoniques et zoologiques des noirs telles qu’elles semblent ressortir des contes de ce recueil.
Quant à moi, je n’ai pas la prétention de faire connaître dans un chapitre un ouvrage qu’il faut lire tout entier, mais d’en faire venir seulement l’envie à ceux qui ne le connaissent pas. […] Comme discernement et jugement littéraire, comme caractérisation des divers génies et des diverses œuvres, dans son beau chapitre sur la Comédie italique, le plus intéressant de second volume, il vaut encore le critique anglais qu’il rappelle.
Cet esprit profond et tragique qui a écrit le morceau d’Hamlet ou le mal de l’analyse, cet esprit comique et profond qui a écrit le chapitre de Prudhomme ou la synthèse de la sottise, se trompe presque à chaque fois sur les hommes et sur la quantité de forces intellectuelles qu’ils ont en eux ou qu’ils ont versées dans leurs œuvres. […] En mettant à part ses figures de femmes, qui sont très réussies, le plus grand intérêt de son livre est celui qu’on a pour soi-même, lorsqu’on est très fatigué… Jusqu’aux titres des chapitres sont prétentieux.
Chapitre iii Les catholiques Il y a vingt-cinq mille prêtres environ dans l’armée. […] Dans tout le chapitre sur les catholiques, je me suis borné à échantillonner de quelques touches magnifiques ma froide esquisse ; pourtant, à la minute (janvier 1917) où je corrige mes épreuves, la lettre d’un bien cher ami m’apporte un fait charmant, et je l’épingle sur mon feuillet.
En obéissant à son goût naturel et réfléchi, M. de Latena cependant ne s’y est point laissé aller comme un simple amateur ; il n’a pas jeté au hasard et sans suite les remarques que lui suggérait l’étude de l’homme ou le spectacle de la société, et, sans enchaîner précisément toutes ses notes et ses aperçus dans une combinaison de chapitres se succédant avec méthode et transition, il a tenu à y établir un ordre général qui maintient la liaison des principales parties ; il a fait et voulu faire un ouvraget ; il a eu tout le respect du sujet qu’il traitait.
— La Revue de Paris de dimanche dernier a publié un chapitre de l’ouvrage de M.
Chapitre VI.
Chapitre V.
Chapitre III.
Chapitre XI.
Je ne pouvais croire à tant de bonheur. » Il écrit couramment : « Le chapitre des Paysans est trop célèbre à mon sens, sinon à mon gré », et il parle du « prodigieux retentissement accumulé autour de son nom ».
Au moment où il parlait des deux millions de sa liste civile, les six autres rois détrônés s’étaient approchés de lui d’un air de déférence… » (Candide, appendice au chapitre XXVI.)
Un souffle de désespérance, d’épouvante et de deuil passe sur les chapitres de cette œuvre comme un grand envol d’oiseaux de nuit.
Chapitre VIII.
Chapitre II.