Sans le relief et la précision de sa plume, qui est toujours d’un écrivain, on dirait madame de Ségur… C’est qu’en dehors du mysticisme, qui a fait de lui ce qu’il est quand il est absolument supérieur, Ernest Hello n’existe pas ! […] Le mystique Hello, qui y croit, lui, est supérieur, par ce côté surnaturel et frémissant, à l’incrédule américain, et par cela seul il cause naturellement une impression plus profonde.
Sainte-Beuve, qui, dans sa notice, n’a guères que répété les faits de la publication autobiographique de Guérin, a le mérite d’une glace qui réfléchit une autre glace ; mais comme l’étamage de la seconde n’est pas supérieur à celui de la première, c’en est évidemment une de trop ! […] La prose de Guérin est infiniment supérieure à ses vers.
Mais le sonnet n’en est pas moins un genre de poésie inférieur, la poésie ayant, comme toutes choses, dans ce monde hiérarchisé, des genres inférieurs et des genres supérieurs. […] III Mais Jules de Gères a plus qu’un petit écu en fait de sentiments et d’idées, et voilà pourquoi il est réservé à une destination supérieure à celle d’écrire des sonnets comme Oronte ou comme l’abbé Cotin.
Ainsi, une œuvre supérieure dans un genre inférieur et borné, voilà le dernier mot à dire et la conclusion à tirer de ces Sonnets humouristiques qui classent d’emblée, du reste, M. […] Joséphin Soulary bien supérieur à tous les autres poètes d’une École qui ne se soucie que de l’expression, c’est le fond humain qui palpite en lui, c’est cette profonde sensibilité qui est toujours exquise, — quand elle cesse d’être cruelle.
Toute l’originalité humaine n’est peut-être qu’une manière supérieure de nous répéter les uns les autres. […] Elle vit seule avec cet abbé, — qui devrait être d’une beauté morale bien supérieure à Dominus Sampson, puisqu’il est catholique, et qui non-seulement a du Sampson gâté, mais aussi du Caleb, car les teintes de M.
L’auteur de Guy Livingstone est idéal de sentiment et d’expression, de société et de caractère, dans un temps où nous nous mourons du mal de cœur de la réalité, qu’on nous donne pour l’art ou la vie ; il est idéal, parce qu’il est un byronien d’abord et ensuite un dandy, préoccupé, comme tout dandy, de la beauté des attitudes de son orgueil ; il l’est encore parce que tous les caractères de son roman sont pris dans un milieu humain et social exceptionnel, parce que la high life est la vie des classes supérieures qui valent mieux que les autres, de cela seul (comme le mot le dit) qu’elles sont au-dessus. […] J’ai dit plus haut que l’auteur de Guy Livingstone était, comme tous les grands écrivains de son pays, un fils de la Bible, qui est la magna parens de tout ce qui est supérieur en Angleterre.
Certes, on peut concevoir que, dans un but de moralité supérieure, un génie misanthropique ou indigné prenne un coquin pour héros de son livre et en dévoile l’idéal affreux, comme Vautrin, ou la réalité immensément comique, comme Panurge, mais pour cela il faut savoir individualiser. […] C’est un écrivain d’imitation plus ou moins souple, plus ou moins délié, plus ou moins habile, imprégné plus ou moins des influences européennes, mais manquant, pour toutes ces raisons, du caractère de tout ce qui est supérieur en littérature : — la sincérité !
Je passe rapidement sur tous les discours, pour venir à celui qui a, et qui mérite en effet le plus de réputation ; c’est l’éloge funèbre de Turenne, de cet homme si célèbre, si regretté par nos aïeux, et dont nous ne prononçons pas encore le nom sans respect ; qui, dans le siècle le plus fécond en grands hommes, n’eut point de supérieur, et ne compta qu’un rival ; qui fut aussi simple qu’il était grand, aussi estimé pour sa probité que pour ses victoires ; à qui on pardonna ses fautes, parce qu’il n’eut jamais ni l’affectation de ses vertus, ni celle de ses talents ; qui, en servant Louis XIV et la France, eut souvent à combattre le ministre de Louis XIV, et fut haï de Louvois comme admiré de l’Europe ; le seul homme, depuis Henri IV, dont la mort ait été regardée comme une calamité publique par le peuple ; le seul, depuis Du Guesclin, dont la cendre ait été jugée digne d’être mêlée à la cendre des rois, et dont le mausolée attire plus nos regards que celui de beaucoup de souverains dont il est entouré, parce que la renommée suit les vertus et non les rangs, et que l’idée de la gloire est toujours supérieure à celle de la puissance.
« Ne me dites pas non plus : “nous sommes des hommes, des êtres semblables, des frères ; le lien social qui nous unit est antérieur à nous, supérieur à nous, nous ne saurions le dénouer ni le briser ; la suite infinie des temps et des générations nous a indissolublement assemblés”. […] Mais si on veut rattacher les obligations qu’on lui impose à quelque être supérieur, dieu ou société, qui l’a créé pour le servir, alors il faut dire que si l’homme ne remplit pas spontanément son office, c’est qu’il y est mal adapté, et que s’il y est mal adapté il est mauvais sans doute, mais que cela prouve surtout que celui qui l’a créé n’a pas été bon ouvrier. […] Ce n’est pas lui-même que représente le révolté, c’est un ordre social supérieur. […] Il n’y a pas là beaucoup plus de « justice » que lorsque nous tuons un animal pour le manger (et nous pourrions aussi faire valoir, pour nous concilier l’animal, que nous allons le transformer en un être supérieur). […] Et pareillement un ordre abstrait, intérieur, dont l’origine est méconnue, qui paraît sortir du moi lui-même, et représenter soit sa nature essentielle la plus haute, soit une volonté supérieure et divine.
Le dédain est la seule chose pénible pour les natures simples ; il trouble leur foi au bien ou les porte à douter que les gens d’une classe supérieure en soient bons appréciateurs. […] On ne comprenait pas, mais on sentait en lui quelque chose de supérieur ; on s’inclinait. […] Je ne comprenais que vaguement, déjà cependant j’entrevoyais que la beauté est un don tellement supérieur, que le talent, le génie, la vertu même, ne sont rien auprès d’elle, en sorte que la femme vraiment belle a le droit de tout dédaigner, puisqu’elle rassemble, non dans une œuvre hors d’elle, mais dans sa personne même, comme en un vase myrrhin, tout ce que le génie esquisse péniblement en traits faibles, au moyen d’une fatigante réflexion. […] Le moindre acte de vertu, le moindre grain de talent, me paraissent infiniment supérieurs à toutes les richesses, à tous les succès du monde. […] Quant au faucon, il se tient tranquille dès que la vertu, par ses sacrifices, lui procure des avantages supérieurs à ceux qu’il atteindrait par sa propre violence.
Il est un lettré ou un savant ; il se sent supérieur à toutes sortes de gens riches et puissants qu’il coudoie chaque jour ; il constate souvent leur sottise, il se demande pourquoi il n’a pas d’argent pendant que les autres en regorgent. […] Vous pouvez voir dans certaines comédies de Meilhac et Halévy, qui sont, outre des œuvres dramatiques d’une fantaisie supérieure, de précieux tableaux de nos mœurs, vous pouvez voir les charmantes précautions que prenait alors une femme du monde pour aborder une comédienne, et réciproquement. […] Vous connaissez la surprenante biographie d’Homère qui commençait par cette phrase : « Homère était atteint de cécité qui se disputait l’honneur de lui avoir donné le jour. » Mais il n’y avait pas que de la cocasserie dans les articles de Grosclaude : il s’y trouvait de très profondes observations sur les choses du jour et, à chaque instant, les traces d’une culture supérieure. […] Or, la culture classique tend à ramener inévitablement les réfractaires dans l’ordre, et elle a la chance quelquefois de faire des déclassés supérieurs. […] Notre littérature abandonnerait ainsi le domaine où elle est supérieure et sans rivale : la représentation de l’humanité et l’interprétation de la vie.
Rien ne peut paraître plus difficile à croire au premier abord que les organes et les instincts les plus complexes aient été perfectionnés, non par des moyens supérieurs bien qu’analogues à la raison humaine, mais par l’accumulation de variations innombrables, quoique légères, et dont chacune a été utile à son possesseur individuel. […] Le caractère intermédiaire des fossiles de chaque formation, comparés aux fossiles des formations inférieures et supérieures, s’explique tout simplement par le rang intermédiaire qu’ils occupent dans la chaîne généalogique. […] C’est ainsi que le Veau, par exemple, a hérité d’un ancêtre éloigné, qui eut des dents bien développées, des dents qui ne percent jamais la gencive de sa mâchoire supérieure : or nous pouvons admettre que chez l’animal adulte les dents se sont résorbées pendant un certain nombre de générations successives, par suite du défaut d’usage ou parce que la langue, les lèvres ou le palais se sont adaptés par sélection naturelle à brouter plus commodément sans leur aide ; tandis que chez le jeune Veau les dents n’ont point été modifiées par le défaut d’usage ou la sélection et, en vertu du principe d’hérédité des variations à l’âge correspondant, elles se sont transmises de génération en génération à leur état fœtal depuis une époque éloignée jusqu’aujourd’hui. […] C’est ainsi que de la guerre naturelle, de la famine et de la mort résulte directement l’effet le plus admirable que nous puissions concevoir : la formation lente des êtres supérieurs. […] Si l’embryologie atteste que, chez les fœtus des vertébrés supérieurs, les organes revêtent transitoirement des formes qui sont définitives chez certains représentants inférieurs de la même classe ou du même embranchement (Voir Bischoff, Encycl. anat., p. 213.
Ils savent parfaitement qu’ils agissent en bons ou mauvais citoyens, en braves ou lâches soldats, en libérateurs ou en tyrans de leur patrie, et ne songent point à reporter une part de responsabilité à des puissances supérieures dont ils ne seraient que les instruments. […] C’est la science historique de notre temps qui a fait comprendre comment Rome légiste, militaire et conquérante, a dû commencer par une espèce de monarchie, puis se développer en une république aristocratique pour finir par l’empire des Césars, tout cela en vertu de nécessités supérieures qui ont dominé l’action des individus et des partis. […] La philosophie de l’histoire eut encore ses théoriciens absolus, comme Buchez et Louis Blanc, qui purent croire, par une illusion logique, à la nécessité et à la moralité supérieure de certains actes réprouvés par la conscience publique. […] Quand on voit, selon le mot vulgaire, le chapitre des incidents occuper une si grande place dans l’ordre des choses humaines, quand on voit l’imprévu venir à chaque instant déjouer les calculs de la raison ou tromper les espérances de la vertu, on est tout disposé à prêter l’oreille aux enseignements qui ne font qu’ériger cette triste expérience en théorie, en expliquant comment l’homme, peuples et individus, est, non le véritable acteur, mais simplement l’agent toujours subordonné d’une puissance supérieure, s’il n’en est pas le jouet. […] Il y a là évidemment un concours de causes supérieures à la volonté des bourreaux et des victimes.
Il est un virtuose de qualité extrêmement supérieure. […] Lemaître explique éloquemment pourquoi) ; mais un si beau rôle convenait-il à un viveur comme lui, et était-il si supérieur à Suzanne qu’il pût ainsi s’instituer son justicier ? […] L’éthique n’est-elle pas une sorte d’esthétique supérieure ? […] On n’a pas manqué de lui reprocher cet exclusivisme ; on lui a demandé pourquoi sa galerie était prise toute entière dans les classes supérieures. […] Il lui faut des affirmations supérieures qui la prennent aussi par l’imagination, par le cœur, par les sens, et qui, fécondes en promesses vraies ou fausses, apaisent son désir d’Infini.
Votre renoncement à la science va être récompensé par une science supérieure que les savants du monde ne soupçonnent point. […] Plusieurs poètes lui sont supérieurs par la puissance, et plusieurs par la renommée. […] Ses vers laissent deviner des femmes diverses ; il n’a pas eu, semble-t-il, une vision supérieure de la femme et de l’amour. […] Aucun homme n’a représenté à un degré supérieur les hautes vertus du grand artiste littéraire. […] Il montrera d’abord des échantillons supérieurs, les grands chefs : un Marat, un Danton, un Robespierre.
Elle doit enfin convenir à des âmes parvenues au plus haut degré d’intuition, puisque ce stade supérieur de la vie psychique n’est que le terme des deux autres. […] Il en est de très supérieurs qui savent seulement lire, écrire, compter. […] Il voulait être un individu supérieur. […] Il était un romancier supérieur. […] La vie de ce remarquable écrivain s’est passée tout entière à des besognes virilement acceptées, exécutées avec une conscience supérieure.
Il conte, et il conte d’une façon supérieure. […] Chacun se lève anxieux et est bientôt glacé d’effroi : toute la partie supérieure de l’Amazone est en feu. […] Nous répondrons que nul ne l’a à un degré supérieur. […] Zola sont de beaucoup supérieures à son système. […] Tout sert aux hommes supérieurs, et principalement ce qui les contrarie.
Il n’eût pas, à la vérité, acquis autant de gloire que son pere, dont les talens étoient supérieurs aux siens ; mais il se fût garanti du blâme d’avoir préféré le coupable plaisir d’amuser le libertinage & la frivolité, au mérite solide de donner des Productions décentes & utiles.
le Tourneur a eu le talent d’embellir, par une touche aussi vigoureuse que sublime, les moindres pensées du Poëte lugubre & énergique qu’il a traduit, mérite qui ne doit pas paroître médiocre aux yeux de ceux qui savent que la Langue Angloise est supérieure à la nôtre, pour rendre les idées sombres, fortes & pittoresques.
Mais les miennes seront d’un ordre de sentiment supérieur. […] Cela ne s’applique pas toujours aux esprits supérieurs, mais semble bien se réaliser souvent chez les médiocres, c’est-à-dire chez la majorité. […] Celui en qui s’opère cette évolution du germe et qui n’en reconnaît ni les causes, ni les moyens, ni les déviations possibles, est porté à y voir l’expression d’une sorte de nécessité supérieure préordonnée et coordonnée. […] Et même on peut aller jusqu’à considérer l’invention comme une déviation de la routine qui produira plus tard une nouvelle routine supérieure à la première. […] Il n’est pas de progrès qui ne détruise un progrès d’autrefois et ne contrarie un progrès supérieur.
Campistron, [Jean Galbert de] Secrétaire des Commandemens de M. le Duc de Vendôme, de l’Académie Françoise & de celle des Jeux Floraux, né à Toulouse en 1656, mort dans la même ville en 1723 ; Poëte tragique, inférieur à ceux qui tiennent le premier rang parmi nous, mais supérieur à beaucoup d’autres qui prétendent en occuper un sur notre Théatre.
Mais si Sapho, Anacréon, Catulle, Chapelle, Chaulieu, la Sabliere, se sont immortalisés par un petit nombre de Vers heureux, il seroit absurde de confondre leur gloire avec celle qui n'appartient qu'à ces Génies supérieurs qui ont excellé dans des genres plus élevés & plus difficiles.
Il paroît que le génie de cet Ecrivain avoit besoin d'être ému par des événemens extraordinaires ; c'est pourquoi il n'est vraiment supérieur, que lorsqu'il traite les changemens subits arrivés dans les Gouvernemens.
Les grands hommes ont deux sortes de dénigrements systématiques à combattre à la fin de leur carrière : premièrement, les ennemis de la vérité qu’ils portent en eux et qui, en les tuant par la raillerie, espèrent tuer la vérité elle-même ; secondement, la jalousie et l’envie de leurs rivaux, supérieurs ou médiocres, qui, en les ravalant, espèrent les rabaisser ou les subordonner à leur orgueil. […] S’il me faut dire toute ma pensée, Goethe pour les grands repos de la pensée était très supérieur à Voltaire, si on excepte les parties purement critiques de l’esprit humain, la clarté, la gaieté, la facétie, l’épigramme, les contes amusants et la correspondance familière. […] Béranger, que j’ai beaucoup connu et aimé dans nos derniers jours, était, selon moi, mille fois supérieur comme homme à ce qu’il était comme poète. […] Mais il était au milieu de nous comme un être d’une nature supérieure, que les souffrances de la terre ne touchent pas. […] Très sage et très heureux, il vécut en harmonie avec toutes les idées raisonnables des deux partis qui déchiraient son temps, religion et incrédulité, radicalisme et conservation, jamais populaire jusqu’à l’excès, jamais impopulaire jusqu’à la ciguë, géant de l’Allemagne dominant de la tête les petitesses du vulgaire, plus grand que lui et respecté de lui, le seul homme supérieur qui ait dompté l’envie !
La critique a beau jeu d’exiger, sous toute espèce de forme d’imagination, des qualités supérieures, dont il lui serait fort incommode, souvent, de fournir le modèle après la théorie. […] Car vous pensez bien qu’ils ne perdent pas le temps à corriger les épreuves du travail d’autrui, même quand ils ont jugé utile de se l’approprier, pour des raisons d’intérêt, financier supérieures aux raisons de la littérature. […] Supprimez la dégradation de la misère, donnez des loisirs et vous aurez par milliers, dans le peuple des cerveaux bien supérieurs — parce qu’ils ont l’expérience des réalités — aux plaisantins d’Institut. […] Je crois fermement que Mgr Myriel et Jean Valjean présentés à la masse l’intéresseraient aussi fortement (et de façon supérieure) que les aventures débitées par les fabricants dont vous parlez. […] Or, dans ces livres, qu’est-ce que Dickens, sinon un Richebourg supérieur ?
L’Art doit encore être réaliste ; la vie qu’il créera sera faite des éléments qui constituent la vie appelée réelle, parce qu’on ne peut recréer, dans la vie supérieure et joyeuse de l’Art, que les modes déjà vécus dans cette réalité inférieure. […] Les tragédies du XVIIe siècle, les mélodrames des romantiques allemands et français, et toutes les pièces scéniques de notre temps ont gardé la valeur de créations artistiques pour les âmes qui ont encore le besoin de voir la vie recréée matériellement : mais à des âmes supérieures ces choses, si même elles étaient moins romanesques, et d’une analyse plus subtile, paraîtraient inartistiques, exposées par l’intermédiaire d’acteurs. […] Zola ne se résigne point à recréer les seules notions sensibles : il prend pour sujets des événements psychiques, et pour personnages des hommes supérieurs : il peuple ainsi de fantômes des œuvres qui pourraient être fort belles s’il les bornait à la description des couleurs et des gestes ; s’il variait, aussi, la musique trop régulière, et un peu facile, de ses phrases. […] Il vit, naturellement, par le seul besoin de sa hautaine différence, une vie supérieure, puissamment créée au dessus de notre réalité vulgaire qu’il ne perçoit plus. […] Transporté à la vision constante d’un monde supérieur, il ne parle point, ou prononce des mots qu’on ne peut comprendre.