Stuart Merrill, publiée dans le dernier numéro de la Plume. […] Je laissai publier de mes ballades dans les revues d’Auxerre, de Bruxelles, de Banyuls. […] On se souvient encore des solides études publiées dans cette Revue même par Adolphe Retté. […] Le Napoléon Ier de Proudhon, publié par M. […] Or, je suis assuré que les manuscrits inédits que vient de publier M.
Il avait publié un petit livre, le Marfore ou discours contre les libelles, dont je ne parlerai pas, attendu que je ne sais personne qui l’ait lu ni vu. […] Il suffira pour cela de parcourir quelques-uns des écrits qu’il publia antérieurement. […] La nature, Dieu merci, ne lui à pas été marâtre. » Son premier écrit français connu (je laisse de côté l’introuvable Marfore) est son Instruction à la France sur la vérité de l’histoire des Frères de la Rose-Croix, publiée en 1623. […] Une brochure publiée au sujet du livre de Garasse avait traité Virgile de nécromancien et d’enchanteur au sens de l’enchanteur Merlin. […] Son Addition à l’Histoire de Louis XI (1630) est le dernier ouvrage qu’il publia avant son départ pour l’Italie.
Toujours prosateur, mais pour cela n’éteignant pas en lui la poésie, Alphonse Daudet a publié en volume les Lettres de mon moulin, qui nous donnèrent une sensation si neuve quand nous les lûmes dans Le Figaro. […] Avant qu’il ne fût publié, ce livre de Jack (même par un k) avait exhalé une odeur d’ouvrier inquiétante pour ceux qui veulent que le talent ne déroge pas… Daudet ne semblait pas littérairement conformé pour mettre son pied, qui est fin et cambré, dans les vieilles savates d’Eugène Sue. […] À quelque moment que ce fût la Critique compterait avec Alphonse Daudet ; mais, cette fois, elle a une autre raison pour s’occuper de son Nabab que le mérite prouvé de l’auteur de tant de choses charmantes, et le mérite à prouver du roman qu’il publie. […] Lorsqu’il publia son roman de Jack, je dis assez que je déplorais la pente sur laquelle il glissait et qui l’entraînait vers des idées qui sont, hélas ! […] Nous avons toujours parlé de chacun de ses livres quand il en a publié.
Il y a plus de vingt ans3 déjà que notre maître à tous, cet illustre Balzac, qui a vengé la France du xixe siècle de n’avoir ni un Goethe ni un Walter Scott, publiait, dans on ne sait trop quel journal, ce Traité de la vie élégante. […] Les livres qu’on publiait alors sont encore là pour l’attester, ainsi que les réputations bâties sur ce grossier pilotis qui finira par s’écrouler et se fondre au souffle du temps. […] Il n’en a guères paru qu’un petit nombre de volumes, qui ne renferment encore que quelques romans de La Comédie humaine, publiée déjà (édition Furne) en 1846, et que MM. […] Or, l’une de ces choses est le viol même du génie de l’homme qu’on publie, et l’autre une sottise, la plus splendide sottise que puissent commettre des éditeurs ! […] Alors, ce sera une introduction qui n’introduira à rien, et c’est à cette édition projetée, que vous publiez, non plus d’un seul coup, mais à petits coups et par volumes, que je veux être introduit, comme disent les anglais.
Merlin de Thionville publia en ce même temps un Portrait de Robespierre ; c’était Roederer qui l’avait tracé. […] La suite des articles intitulés « Esprit public », et que le journal publia à dater du 16 février, est de lui. […] C’était le moment où Mme de Staël publiait son livre De l’influence des passions sur le bonheur. […] Est-il en partie de Mme Rousseau, cette femme de ses amies avec laquelle il se brouilla pour l’avoir publié ?
Trois publications originales, faites depuis une vingtaine d’années, ont directement aidé à ce résultat : — la Chronique rimée (Cronica rimada), trouvée dans les manuscrits de la Bibliothèque du roi, et publiée en Allemagne par M. […] Wolf57 ; — le Poème ou la Chanson du Cid, publiée de nouveau et traduite par M. […] Le Poème ou la chanson de geste du Cid, publiée pour la première fois en 1779 par Sanchez, dans son recueil des plus anciens monuments espagnols, et dont, on doit à M. […] Voir les réflexions en tête de la chanson latine sur le Cid, publiée par lui, pages 284 et suiv. du volume intitulé : Poésies populaires latines du Moyen-Age, 1847.
— Les journaux du lundi 8 juillet 1867 ont publié presque tous, la note suivante : « Depuis quelques jours, M. […] Discours prononcé au Sénat et déjà publié en une brochure in-8° (Michel Lévy). […] Le journal la France, du 9 juillet, ayant publié les lettres que lui a communiquées M. de Heeckeren, on croit devoir les joindre ici. […] La lettre suivante, écrite peu de jours après ces divers incidents, et publiée dans les journaux, eut alors un grand retentissement ; elle a été souvent reproduite depuis et est restée comme une page célèbre.
Il a raison ; l’âme de Saint-Just, toute violente et concentrée qu’elle pouvait être, n’était point sevrée lorsqu’il fit en 1789 ce misérable poème d’Organt, lorsqu’il publia en 1791 son incohérente brochure intitulée : Esprit de la Révolution. […] C’est dans ce but qu’il publia en 1791 la brochure intitulée : Esprit de la Révolution et de la Constitution de France, que les collecteurs de ses Œuvres n’ont point jugé à propos d’y recueillir, comme n’étant point assez jacobine. […] Granier de Cassagnac publiait alors dans Le Constitutionnel, où j’écrivais mes articles, une série de chapitres sur les hommes de la Révolution : de là une relation de voisinage. […] Hamel, qui a publié en 1859 une Histoire de Saint-Just dans laquelle il s’attache à réfuter pied à pied M.
I En 1840, la Revue des Deux-Mondes publiait, dans un article signé d’un nom célèbre, des fragments littéraires laissés par un jeune homme né pour la gloire et mort obscur. […] Ces deux amis, qui prirent alors l’engagement, avec les admirateurs de Maurice de Guérin, de publier prochainement tout ce qui est sorti de sa plume, pensèrent à faire précéder leur publication d’un petit volume et eurent à cœur d’en bien déterminer le caractère. […] Ceci terminé, elle écrivait jusqu’à cinq heures, si son père ne l’appelait pas auprès de lui. » (C’est probablement à cette heure que la fée de l’esprit, succédant à la fée des mains, elle traça cette foule de lettres et de pensées qui touchent à trop d’âmes et à trop de vies pour qu’on puisse les publier, et parmi lesquelles furent choisies scrupuleusement celles qui ne souffrent pas du demi-jour et qui n’en font souffrir personne.) […] Dans les lettres d’elle qu’on a publiées, elle parle de l’effrayante vision des cercueils tout autour du salon, pendant que nous dansions avec elle et dont elle garda le secret enfermé sous son sourire languide et sous sa pâleur.
On a publié de ses chansons et de ses vers de jeunesse : Prologue pour la fête de Mme Martinot, joué le 24 juin 1755 ; Prologue pour la fête de Mme la présidente Audiguier, joué le 23 août 1755, etc., etc. […] Bailly vient de publier sur l’ancienne astronomie, dans lequel il discute à fond tout ce qui est relatif à l’origine et au progrès de cette science : on verra que ses idées s’accordent avec les miennes ; d’ailleurs il a traité ce sujet important avec une sagacité de génie et une profondeur d’érudition qui méritent des éloges de tous ceux qui s’intéressent au progrès des sciences. […] Les yeux se tournaient sans cesse vers cette première patrie ; et lorsque la jeunesse eut produit une génération nouvelle, on en parlait à ses enfants, on leur peignait, on leur exagérait sans doute tout ce qu’ils avaient perdu… Et Bailly arrive à conclure que l’âge d’or, cette fable séduisante, n’est que le « souvenir conservé d’une patrie abandonnée, mais toujours chère » : « Les nations où ce souvenir se retrouve ont été transplantées ; ce sont des colonies d’une nation plus ancienne. » Tout ceci est ingénieux, sinon évident ; et Bailly, pour le dire, a deviné quelques-uns des tons de Bernardin de Saint-Pierre, à une date ou ce dernier n’avait encore publié aucun de ses grands ouvrages.
Chapelain, ainsi pressé par Balzac, lui répond un peu longuement, mais très judicieusement, et cette lettre inédite, publiée ici pour la première fois, ne saurait désormais se séparer de la question même qui lui était faite et dont on se souvient encore : Vous me demandiez, lui écrit-il le 27 mai 16408, par l’une de vos précédentes, si l’épithète de grand, que j’avais donnée à Ronsard, était sérieux9 ou ironique, et vouliez mon sentiment exprès là-dessus. […] Il a publié, dans son élégant volume, la vie de Ronsard par Guillaume Colletet, qui fait partie de l’histoire des poètes français appartenant à la bibliothèque du Louvre. […] Michelet dans le dernier volume publié de son Histoire de France, où il traite de la Renaissance des lettres, a réengagé de plus belle le procès contre Ronsard : Dans une des tours du château de Meudon, dit-il, le cardinal de Lorraine, ce protecteur des lettres, logeait un maniaque enragé de travail, de frénétique orgueil, le capitaine Ronsard, ex-page de la maison de Guise.
On vient de publier en ce moment des Pensées de Maine de Biran44, confessions naturelles et même naïves, d’une modestie, d’une bonhomie touchante, d’une religieuse élévation, et qui montrent tout l’intérieur de ce penseur homme de bien. […] Taine, il faudrait dire quelque chose des articles déjà nombreux qu’il a publiés et qui tous portent son cachet. […] [NdA] Maine de Biran, sa vie et ses pensées, publiées par Ernest Naville (Paris et Genève, Cherbuliez, 1857).
Le 15 mai 1840, la Revue des deux mondes publiait un article de George Sand sur un jeune poète dont le nom était parfaitement ignoré jusque-là, Georges-Maurice de Guérin, mort l’année précédente, le 19 juillet 1839, à l’âge de vingt-neuf ans. […] Guérin avait déjà eu le temps d’être imité par d’autres poètes, qui semblaient tout originaux de cette imitation, et lui-même il n’était pas publié et mis en lumière. […] [NdA] Voici le titre exact de ce volume : Eugénie de Guérin, Reliquae, publié par Jules Barbey d’Aurevilly et G.
Correspondance diplomatique du comte Joseph de Maistre, recueillie et publiée par M. […] Cet homme que j’ai tant lu et (je puis dire) tant connu autrefois à force de le lire, je viens de l’approcher de nouveau, je viens de l’entendre ; la Correspondance qu’on publie me l’a rendu au complet, vivant, parlant, dans ses jets et ses éclairs, dans ses éruptions et ses effusions de chaque jour, et je me suis senti de nouveau sous le charme, sous l’ascendant. […] On s’emparait aussi de phrases étranges qui lui étaient échappées sur le pape à l’époque du couronnement ; était-ce pour faire une niche à l’illustre auteur du livre du Pape qu’on les publiait ?
C’est ainsi qu’il a conçu de bonne heure sa galerie intitulée : les Oubliés et les Méprisés ou les Dédaignés, comprenant Linguet, Mercier, Dorat-Cubières, Baculard d’Arnaud… et finissant par le célèbre gastronome Grimod de La Reynière, « le plus gourmand des lettrés, le plus lettré des gourmands. » C’est à cette série qu’appartiennent encore, bien que publiés à part, Rétif de La Bretonne, le peintre ou mieux « le charbonnier de mœurs », et Fréron, non pas l’illustre, mais le fameux critique (famosus), sur lequel je veux un peu m’arrêter. […] Hors de là il est terre à terre : il broche et publie ses feuilles moins pour dire la vérité qui le possède et l’enflamme, moins pour satisfaire à une passion de bon sens et de raison, que pour s’en faire un moyen de subsistance ou de fortune. […] Leuliette, publiées par M.
Dans un volume publié par M. […] Exilé de son pays, il vint en France, s’arrêta à Belley d’abord chez un parent, puis à Lyon où il publia l’Homme rouge de concert avec Berthaud, puis à Paris, où il n’avait fait qu’une première visite de quelques jours, et où il s’établit dès le mois d’août 1833. […] Italiennes, poésies politiques de Camille Sant-Héléna, publiées par J.
Luzel, qui vient de publier un recueil de Poésies bretonnes et en pur breton, avec traduction, il est vrai55. […] Deux légères fautes qu’il avait commises dans les derniers temps y avaient été peu senties : l’une, c’était d’avoir composé et publié un poëme français, Hélène, qui ne donnait pas sa mesure, qui semblait pourtant la donner, et qui pouvait faire dire à ses critiques d’ici qu’il n’avait de talent qu’en patois et grâce à son patois ; l’autre faute, c’était d’avoir adressé un Poëme-Épître à M. […] En regard du dernier volume qu’on publie et de ces Poésies de la dernière saison, que de réflexions le rapprochement suggère !
Tandis que D’Aubigné attendait maladroitement l’apaisement universel pour publier ses vers enragés, Du Bartas215 se faisait reconnaître pour un grand poète protestant. […] La septième pièce, dans les Œuvres, est un discours non prononcé, un vif et fort pamphlet, que Du Vair fit courir au commencement de 1594, sous le titre de Réponse d’un bourgeois de Paris à un écrit publié sous lu nom de M. le cardinal de Sega. […] Les éditeurs de la Ménippée l’ont ensuite grossie de diverses pièces publiées vers le même temps, et inspirées du même esprit, comme l’Histoire des singeries de la Ligue qu’on attribue à Jean de la Taille (1540-1608).
Des quatre éditions publiées du vivant de l’auteur. — Esprit des retranchements et des corrections qu’il y a faits. — § VI. […] Les changements que fit La Rochefoucauld dans les cinq éditions des Maximes publiées de son vivant, sont comme la sanction de ce qu’il en a conservé. […] Dans ces Pensées, publiées quatre ans après, mais conçues vers le même temps, ce grand génie, franchissant les siècles, cherchait les principes et la sagesse bien au-delà des expériences du temps présent, auquel La Rochefoucauld était resté trop attaché.
Je pense le plaisir, je le sens presque, et je ne suis pas gaie ; je crois que je ne le serai jamais. » C’est cette personne encore inconnue dans les lettres, n’ayant rien écrit, rien publié, qui un jour, par suite de quoique circonstance tenant à ses persécutions domestiques, tombe brusquement au château de Cirey, aux portes de la Lorraine, et vient demander asile et hospitalité à Mme du Châtelet, à Voltaire. […] Ces lettres bavardes ne furent publiées, pour la première fois, qu’en 1820. […] Deux succès surtout la mirent, quelques années après, en évidence : les Lettres d’une Péruvienne, publiées en 1747, et le drame de Cénie, représenté en juin 1750.
Des sollicitations me venant, de donner à part le présent Article — que demanda et vient de publier la Revue Indépendante sous la direction de M. […] Le premier, sans composer une œuvre, a maintenant publié le livre qui semble le dépositaire de son rêve philosophique : Le Bonheur. […] Cette Œuvre sera la mienne, qui est conçue, dont le plan, un livre, des extraits sont publiés : car ce Poète nouveau, rationnel, directeur de la pensée et comme exerçant une magistrature, ça été mon vouloir de l’être, selon mon pouvoir… * * * Une Philosophie évolutive.
et elle a publié un volume dans lequel ses éditeurs, folâtres, la comparent d’abord à saint Augustin (de la seconde époque), puis, très respectueux, nous déclarent qu’elle a jugé ses propres œuvres avec une liberté que personne n’oserait se permettre… Et pourquoi donc pas, Messieurs les éditeurs ? […] Or, dans ce volume d’Impressions littéraires, je retrouve publié un petit roman qui passe pour un chef-d’œuvre de Mme Sand (les Lettres à Marcie) et le petit roman n’est rempli que de prudhommismes d’images. […] En somme, Mme George Sand a-t-elle eu raison de publier ces impressions littéraires ?
Nous le voyons en 1711 publier une Lettre critique sur la tragédie de Crébillon, Rhadamiste et Zénobie, qui était alors dans tout son succès. […] [NdA] J’ai cherché si La Motte n’avait nulle part fait mention de l’ami si dévoué qui s’était donné à lui ; j’ai rencontré au tome iv (page 196) des pièces intéressantes et peu connues, publiées par de La Place, six vers impromptu de La Motte sur lui, mais qui ne méritent pas d’être rapportés.
Nulle part, pour qui veut étudier Diderot, il n’y a plus de facilité et de révélations intimes que dans la Correspondance qui est publiée pour la première fois aujourd’hui. […] L’auteur, qui avait eu l’occasion de voir continuellement Louis XV dans ses chasses, parle de ce roi d’un ton de vérité plutôt bienveillante ; mais il insiste autant que personne sur sa timidité, sa défiance de lui-même, son impuissance totale de s’appliquer, et cette inertie, cette apathie incurable, qui ne fit que croître avec les années. » La Nouvelle lettre de Junius, publiée en 1872 chez Michel Lévy, fait penser (notamment page 10) à cet écrit posthume de Georges Leroy.
Ne quittons pas le Scapin sans un aperçu des vers qu’y publiait René Ghil. […] Jean Moréas et Paul Adam y publièrent le Thé chez Miranda où on lisait des truculences de ce genre : « C’est l’hiémale nuit et ses buées et leurs doux comas.
C’est fabriqué pour l’anniversaire et publié en 1902. […] Il pleure, le pauvre affamé : « Le Post-Scriptum de ma vie forme MALHEUREUSEMENT le dernier volume de prose à publier. » Ailleurs, Claretie cite quelques « livres immortels » et le premier titre qu’il proclame, c’est Bug-Jargal !