/ 1213
306. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 210-213

La Musique, le Dessin, la Peinture, l’Architecture, la Poésie, ont exercé tour-à-tour son activité ; les Belles-Lettres, & sur-tout la Poésie comique, paroissent cependant avoir eu la préférence.

307. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Chardin » pp. 128-129

Chardin deux tableaux représentant divers instruments de musique. ils ont environ 4 pieds 6 pouces de large, sur 3 pieds de haut.

308. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « L’abbé Galiani. » pp. 421-442

Amateur de musique, et de musique exquise, comme le sont les Napolitains, comme devait l’être l’ami de Paisiello, il en voulait à l’Opéra français du temps, qui faisait trop de bruit, et comme après l’incendie de la salle du Palais-Royal, cet Opéra ayant été transféré aux Tuileries, quelqu’un se plaignait que la salle était sourde : « Qu’elle est heureuse !  […] L’abbé, redevenu napolitain, recommence, pour n’en pas perdre l’habitude, à se moquer des sots, des pédants littéraires du lieu, et, sous le titre du Socrate imaginaire, il bâtit une pièce, un opéra bouffon dont un autre fait les vers, et dont l’illustre Paisiello compose la musique ; la pièce fit fureur, et on crut devoir l’interdire.

309. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « L’abbé de Choisy. » pp. 428-450

Manuel, l’un de nos missionnaires, qui a la voix fort belle, et qui sait la musique comme Lully. Vous savez si j’aime la musique ; et cela ne s’oppose point au séminaire. Qu’est-ce que le paradis, qu’une musique éternelle ?

310. (1888) La critique scientifique « La critique et l’histoire »

Si de tels hommes, — et toutes les sociétés antiques primitives, tout le moyen âge en étaient formés — sont amenés graduellement à prendre plaisir aux arts graphiques, au poème épique, au drame, au roman, à la musique, à tout ce qui fait frémir l’âme de douleurs fictives, de compassion et d’admiration pour des semblables, ces sentiments se développeront en eux et modifieront leur conduite. […] Le principe de l’art pour l’art fondé en raison à juste et utile, tant qu’on ne considère que les œuvres en soi, tant qu’on n’a souci que de la liberté et de l’orgueil nécessaires à l’artiste, — peut sembler absurde et dangereux quand on songe que les livres, les statues, les tableaux et les musiques n’existent pas seuls dans un monde vide. […] C’est seulement par des considérations de cette sorte qu’il est permis de préférer l’art grec à l’art gothique, la peinture de Titien et de Michel-Ange à celle des primitifs, la musique de Mozart à celle de Wagner, le naturalisme étranger au naturalisme français.

311. (1889) Écrivains francisés. Dickens, Heine, Tourguénef, Poe, Dostoïewski, Tolstoï « Henri Heine »

Que l’on ajoute à cette beauté des poèmes les nobles mélodies dont les ont ornés Schumann et d’autres, ces récitatifs lyriques qui font retentir et vivre les mots, les accentuent et les cadencent sur des lèvres humaines, et l’on pourra sentir par quel charme la chanson allemande demeure un genre populaire et exquis, comment elle est la poésie lyrique la plus vivace de toutes les littératures, la seule qui ait renoué avec la musique son ancienne alliance naturelle et profitable. […] Dans ses vers d’amour, il ne reste rien de toute la gaieté, la grâce superficielle, les galants baisemains d’autrefois ; il a transposé en mineur de vieux motifs badins ; il en a fait des nocturnes, des valses lentes, des musiques aussi désespérées ou aussi rêveuses que celles de Chopin, et rompues souvent de même, par des dissonances subites, des finales ironiques, de violents rires sonnant faux et perçants. […] Il en a condensé les incidents et les émotions dans son Intermezzo, cette suite de petites pièces, chantantes comme des musiques, vagues comme un chuchotement, toutes pénétrées de larmes, de rayons de lune et de sourires.

312. (1759) Réflexions sur l’élocution oratoire, et sur le style en général

L’éloquence dans les livres est à peu près comme la musique sur le papier, muette, nulle, et sans vie ; elle y perd du moins sa plus grande force ; et elle a besoin de l’action pour se déployer. […] Demander s’il y a une harmonie du style, c’est à peu près la même chose que de demander s’il y a une musique ; et vouloir le prouver, est presque aussi ridicule que de le mettre en question. […] Comme dans la musique l’agrément de la mélodie vient non seulement du rapport des sons, mais de celui que les phrases de chant doivent avoir entre elles, de même l’harmonie oratoire (plus analogue qu’on ne pense à l’harmonie musicale) consiste à ne pas mettre trop d’inégalité entre les membres d’une même phrase, et surtout à ne pas faire ses derniers membres trop courts par rapport aux premiers ; à éviter également les périodes trop longues, et les phrases trop étranglées et pour ainsi dire à demi closes ; le style qui fait perdre haleine, et celui qui oblige à chaque instant de la reprendre, et qui ressemble à une sorte de marqueterie ; à savoir enfin entremêler les périodes arrondies et soutenues, avec d’autres qui le soient moins, et qui servent comme de repos à l’oreille.

313. (1881) Le roman expérimental

C’est de la musique et rien autre chose. […] On l’accepte comme un mélodiste, qui a eu certainement tort de choisir un motif irrespectueux pour chanter sa musique, mais qui, en somme, a écrit là de la musique bien agréable. […] Si nous sommes condamnés à répéter cette musique, nos fils se dégageront. […] Toujours la même question de musique. […] Gardez la musique des rhétoriciens mais qu’il soit bien entendu que c’est là simplement une musique.

314. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre IV. Petits Symbolards » pp. 49-52

Boite à musique dissimulée.

315. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 162-165

La derniere des Productions connues de cet Auteur, est une espece de Comédie en trois actes & en prose, avec des Ariettes, intitulée Henri IV ou la Bataille d'Ivry, qui, à la faveur du Héros que tout le monde chérit, & de la Musique de M.

316. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Introduction. » pp. -

Cherchons donc les données simples pour les qualités morales, comme on les cherche pour les qualités physiques, et considérons le premier fait venu ; par exemple une musique religieuse, celle d’un temple protestant. […] Il en est ainsi pour chaque espèce de production humaine, pour la littérature, la musique, les arts du dessin, la philosophie, les sciences, l’État, l’industrie, et le reste. […] Il y a un état moral distinct pour chacune de ces formations et pour chacune de leurs branches ; il y en a un, pour l’art en général, et pour chaque sorte d’art, pour l’architecture, pour la peinture, pour la sculpture, pour la musique, pour la poésie ; chacune a son germe spécial dans le large champ de la psychologie humaine ; chacune a sa loi, et c’est en vertu de cette loi qu’on la voit se lever au hasard, à ce qu’il semble, et toute seule parmi les avortements de ses voisines, comme la peinture en Flandre et en Hollande au dix-septième siècle, comme la poésie en Angleterre au seizième siècle, comme la musique en Allemagne au dix-huitième siècle.

317. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Poésies complètes de Théodore de Banville » pp. 69-85

Les uns donnaient à l’âme humaine, à ses aspirations les plus hautes, à ses regrets, à ses vagues désirs, à ses tristesses et à ses ennuis d’ici-bas, à ces autres ennuis plus beaux qui se traduisent en soif de l’infini, des expressions harmonieuses et suaves qui semblaient la transporter dans un meilleur monde, et qui, pareilles à la musique même, ouvraient les sphères supérieures. […] Rendre à la poésie française de la vérité, du naturel, de la familiarité même, et en même temps lui redonner de la consistance de style et de l’éclat ; lui rapprendre à dire bien des choses qu’elle avait oubliées depuis plus d’un siècle, lui en apprendre d’autres qu’on ne lui avait pas dites encore ; lui faire exprimer les troubles de l’âme et les nuances des moindres pensées ; lui faire réfléchir la nature extérieure non seulement par des couleurs et des images, mais quelquefois par un simple et heureux concours de syllabes ; la montrer, dans les fantaisies légères, découpée à plaisir et revêtue des plus sveltes délicatesses ; lui imprimer, dans les vastes sujets, le mouvement et la marche des groupes et des ensembles, faire voguer des trains et des appareils de strophes comme des flottes, ou les enlever dans l’espace comme si elles avaient des ailes ; faire songer dans une ode, et sans trop de désavantage, à la grande musique contemporaine ou à la gothique architecture, — n’était-ce rien ?

318. (1874) Premiers lundis. Tome II « Hippolyte Fortoul. Grandeur de la vie privée. »

Lorsque l’auteur de Simiane nous montre Juliette s’enivrant des douces paroles amoureuses dont la musique se môle à l’oscillation du bateau, quand il nous murmure un peu longuement quelques-unes de ces tendresses infinies : « A quoi servirait au ciel d’être la plus étincelante merveille qui soit sortie  des mains du créateur, s’il ignorait lui-même sa beauté ? […] Il avait vu beaucoup, et peu lu ; il avait eu déjà de grandes sensations, mais il était complètement étranger à l’art de les exprimer, il avait erré comme un pauvre enfant aux pieds de ces Alpes où il avait reçu le jour ; et l’abondance de sentiments qu’il avait éprouvés au milieu des misères d’une vie incertaine n’avait trouvé d’autre forme pour se répandre que la musique, cette langue de l’air, du vent et de l’orage, que le génie a ravie à Dieu, et que ce jeune homme avait apprise tout seul en écoutant les échos de ses montagnes.

319. (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre V. Indices et germes d’un art nouveau — Chapitre II. Signes de la prochaine transformation »

Alors commence le règne de la musique, où l’on savoure le maximum de puissance émotionnelle uni au minimum de détermination intellectuelle. […] Quand elle eut perdu M. de Mora, quand elle eut mesuré M. de Guibert, l’univers, l’art, pas même la musique n’offrirent rien à son âme qui la contentât ; elle ne sentit plus de raison de vivre, et elle aima la mort.

320. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Baudelaire, Charles (1821-1867) »

Quand tu fus lentement crucifié Par de noires négresses et des bourreaux marrons, Tu n’en donnas pour gage qu’une larme Sertie des musiques, sertie des parfums. […] Dirai-je le haut silence de tes méditations, Les soleils de septembre réchauffant ta pauvre âme, La merveille des parfums emplissant ta narine Et de vagues musiques gonflant ta poitrine Comme le vent les plis glorieux des oriflammes ?

321. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Payen, Louis (1875-1927) »

. — Tiphaine, épisode dramatique, musique de V. 

322. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1857 » pp. 163-222

* * * — Dans le monde, nous ne parlons jamais musique, parce que nous ne nous y connaissons pas, et jamais peinture, parce que nous nous y connaissons. […] Les musiques militaires éclatent. […] Et dans le fouillis des branches de ce triple arbre une infinie musique emplissant l’oreille, du bruit d’un monde ailé en travail, d’un murmure heureux, d’un susurrement comme grisé de millions de petites chansons balancées aux millions des feuilles ; l’hymne de cent ruches d’abeilles butinant dans la flore de ce morceau de forêt, et l’emplissant de je ne sais quelle vie dodonienne. […] Son nom, qui est quelque part dans un contrat de vente, je l’ai oublié, mais le personnage était un vieux marchand de sabots, — oui, un marchand de sabots artiste, — qui, sa fortune faite, avait donné asile, pendant deux ou trois ans, à deux sculpteurs italiens de passage dans la province, et qui, affolé de musique et de gentille sculpture, sur les marches de son perron, devant la fête de la façade de sa maison, amusait les échos de la grande place, debout toute la journée, penché sur le radotage d’un antique violon. […] Le soir, dans l’impossibilité du travail, nous remontons tous deux, en fumant des pipes, à nos souvenirs de collège, alternant de la voix et de la mémoire : Jules contant le collège Bourbon, et ce terrible professeur de sixième, cet Herbette qui fit toute son enfance heureuse, malheureuse, le poussant sans miséricorde aux prix de grands concours, puis, plus tard, ce professeur de seconde, auquel il déplut pour faire autant de calembours que lui, et aussi mauvais, enfin cette bienheureuse classe de rhétorique, où il fila presque toute l’année, fabriquant en vers un incroyable drame d’Étienne-Marcel, sur la terrasse des Feuillants, averti de l’heure de la rentrée à la maison par la musique de la garde montante se rendant au Palais-Bourbon, et les rares fois où il se montrait au collège, passant la classe à illustrer Notre-Dame-de-Paris de dessins à la plume dans les marges : Edmond contant ce Caboche, cet excentrique professeur de troisième du collège Henri IV, qui donnait aux échappés de Villemeureux, à faire en thème latin le portrait de la duchesse de Bourgogne de Saint-Simon, cet intelligent, ce délicat, ce bénédictin un peu amer et sourieusement ironique, ce profil original d’universitaire, resté dans le fond de ses sympathies, comme un des premiers éveilleurs chez lui de la compréhension du beau style, de la belle langue française mouvementée et colorée, ce Caboche qui, un jour, à propos de je ne sais quel devoir, lui jeta cette curieuse prédiction : « Vous, monsieur de Goncourt, vous ferez du scandale ! 

323. (1856) Cours familier de littérature. II « VIIe entretien » pp. 5-85

Il n’y a pas de prose dans cet air, tout y est musique, mélodie, extase ou poème. […] Ce qu’on ne peut pas dire, on le chante ; la musique, peut-on dire aussi, est la poésie des sensations. Rossini est le Pétrarque de cette musique ; il a aspiré l’air de sa patrie, et il l’a soufflé sur tout l’univers. […] L’Italie n’est pas seulement une terre ; c’est un instrument de musique, c’est l’orgue du monde. […] Dans cette cage de rossignols la musique de la langue entrait par tous les pores.

324. (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Année 1893 » pp. 97-181

Et l’on ne peut s’imaginer la musique harmonieuse de ses paroles, comme soupirées, et l’élégance de ce vieux corps, se remuant avec les mouvements las d’une coquette malade. […] Je me trouve à la musique, assis à côté du prince d’Annam, interné à Alger, et en traitement ici. […] Devant les tableaux, des meubles de toute sorte, des bahuts moyenageux des cabinets de marqueterie, une infinité d’objets d’art rastaquouères, des figurines du Chili, des instruments de musique de sauvages, de grands paniers de fleurs, où les feuilles et les fleurs sont faites de plumes d’oiseaux. […] Là-dessus, son père lui dit que, dans le langage non articulé, qui est la musique, Wagner lui a donné des sensations, comme aucun musicien, mais que dans le langage articulé, qui est la littérature, il connaît des gens qui sont infiniment au-dessus de lui, notamment, le nommé Shakespeare. […] Alors le petit Hahn s’est mis au piano, et a joué la musique composée par lui, sur trois ou quatre pièces de Verlaine, de vrais bijoux poétiques, une musique littéraire à la Rollinat, mais plus délicate, plus distinguée, plus savante, que celle du poète berrichon.

325. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Dorchain, Auguste (1857-1930) »

Son imagination l’enflamme, l’emporte en un monde féerique, plein de songes, de musique, et jette sur le papier les premières scènes de Conte d’avril.

326. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Pioch, Georges (1874-1953) »

Ce livre est beau, c’est un cri d’amour, c’est un cœur qui vibre d’immensité, c’est une âme éprise de la musique des êtres et des choses, c’est l’œuvre véritable, l’œuvre d’un poète, l’œuvre d’un Homme, et nous remercions M. 

327. (1895) Journal des Goncourt. Tome VIII (1889-1891) « Année 1891 » pp. 197-291

Mais en musique et en peinture, le non doué musicalement ou picturalement est condamné à n’avoir jamais le sentiment intelligemment raffiné de la musique ou de la peinture. […] Ce qui fait Daudet s’écrier, que pour les gens qui aiment vraiment la musique, la musique est un art qui n’a pas besoin de l’accommodage d’un autre art, bien au contraire. Là-dessus, à la suite de son père, le jeune Daudet déclare sans respect pour les théories de Zola, que la symphonie est la seule forme haute de la musique, et professe très éloquemment, que la musique ne doit avoir qu’une action auditive, et donner un plaisir des sens, s’étend sur Beethoven, et en parle un long temps en passionné, un long temps, pendant lequel Zola garde le silence… au bout de quoi, après un profond soupir, et avec la voix presque plaintive d’un enfant, il laisse tomber : « Pourquoi voulez-vous contrarier mon projet d’opéra ? » En sortant de table, la discussion va de la musique à la guerre de 1870, à la guerre de son prochain volume.

328. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Mérat, Albert (1840-1909) »

En se promenant, sans autre compagne même que sa rêverie ou cette vague musique que les poètes écoutent en leur cœur, dans le bruit et le silence des choses, comme il regarde, comme il devine tout, comme tout l’intéresse, l’émeut des mille détails de la vie qui passe !

329. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — T — Tailhade, Laurent (1854-1919) »

Armand Silvestre, et où, tantôt en des quatorzains et tantôt en des ballades, les uns et les autres d’une écriture et d’une musique jamais faiblissantes, tant de gens notoires, la sottise actuelle et une certaine presse étaient fouaillés vigoureusement, est resté célèbre par les colères qu’il souleva.

330. (1920) La mêlée symboliste. I. 1870-1890 « La doctrine symboliste » pp. 115-119

Ils étaient pris du même désir d’introduire dans leurs vers plus de mystère, plus de rêve, plus de musique, et de substituer au mode narratif et didactique une méthode synthétique aux raccourcis violents.

331. (1886) Revue wagnérienne. Tome I « Table »

La Musique descriptive, par Teodor de Wyzewa.

/ 1213