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477. (1875) Premiers lundis. Tome III « Émile Augier : Un Homme de bien »

Féline a grand’ raison de le traiter comme un écolier, en des vers qui sont d’ailleurs des mieux tournés, et mieux même qu’à lui n’appartient : Voilà de mes roués en sortant du collège !

478. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Quatrième partie. Élocution — Chapitre X. De la simplicité du style »

C’est une prétention d’user des mots en artiste, non pour penser et sentir, ni pour provoquer des pensées et des sentiments, mais pour produire les impressions les plus spéciales qui appartiennent aux autres arts, à la musique, à la peinture, à la sculpture, des impressions de son, de couleur et de forme.

479. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Lemercier, Népomucène Louis (1771-1840) »

Mais une conception ingénieuse, et qui appartient à M. 

480. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Rollinat, Maurice (1846-1903) »

La musique avec laquelle il interprète la Mort des pauvres, la Cloche fêlée, le Flambeau vivant, l’idéal, de ce grand Baudelaire que je vis mourir, n’appartient assurément à aucune école « conservatoiresque », dit-il lui-même en son langage singulièrement imagé.

481. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre XII. Mort d’Edmond de Goncourt » pp. 157-163

Mais le mérite fut de si bien choisir, et le secret du mélange, le brevet de la combinaison appartient à Goncourt.

482. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 348-356

de Montesquieu, qu’ils croyoient appartenir à leur Secte, ils auroient désiré pouvoir grossir leur Nécrologe du nom d’un Grand Homme, mort dans les sentimens qu’ils affichent ; mais il sera toujours vrai de dire que l’Auteur de l’Esprit des Loix, après avoir été abusé par une fausse sagesse, en est revenu à la véritable ; celle qui nous soumet à Dieu, fait respecter la Foi, & épargne aux hommes le scandale & l’indignation.

483. (1891) Journal des Goncourt. Tome V (1872-1877) « Préface » pp. -

Renan appartient à la famille des grands penseurs, des contempteurs de beaucoup de conventions humaines, que des esprits plus humbles, des gens comme moi, manquant « d’idées générales » vénèrent encore, et nul n’ignore qu’il y a une tendance chez ces grands penseurs, à voir, en cette heure, dans la religion de la Patrie, une chose presque aussi démodée que la religion du Roi sous l’ancienne monarchie, une tendance à mettre l’Humanité au-dessus de la France : des idées qui ne sont pas encore les miennes, mais qui sont incontestablement dans l’ordre philosophique et humanitaire, des idées supérieures à mes idées bourgeoises.

484. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préface et note de « Notre-Dame de Paris » (1831-1832) — Note ajoutée à l’édition définitive (1832) »

Une fois que le livre est publié, une fois que le sexe de l’œuvre, virile ou non, a été reconnu et proclamé, une fois que l’enfant a poussé son premier cri, il est né, le voilà, il est ainsi fait, père ni mère n’y peuvent plus rien, il appartient à l’air et au soleil, laissez-le vivre ou mourir comme il est.

485. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre troisième. Suite de la Poésie dans ses rapports avec les hommes. Passions. — Chapitre V. Suite des précédents. — Héloïse et Abeilard. »

On aura beau prendre pour héroïne une vestale grecque ou romaine, jamais on n’établira ce combat entre la chair et l’esprit, qui fait le merveilleux de la position d’Héloïse, et qui appartient au dogme et à la morale du christianisme.

486. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre quatrième. Du Merveilleux, ou de la Poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels. — Chapitre XIV. Parallèle de l’Enfer et du Tartare. — Entrée de l’Averne. Porte de l’Enfer du Dante. Didon. Françoise de Rimini. Tourments des coupables. »

Si l’on dit qu’un auteur grec ou romain eût pu faire un Tartare aussi formidable que l’Enfer du Dante, cela d’abord ne conclurait rien contre les moyens poétiques de la religion chrétienne, mais il suffit d’ailleurs d’avoir quelque connaissance du génie de l’antiquité, pour convenir que le ton sombre de l’Enfer du Dante ne se trouve point dans la théologie païenne, et qu’il appartient aux dogmes menaçants de notre Foi.

487. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « Préface »

Ce serait en effet, de temps en temps, un mot, ou un jugement ou même un chapitre intégral devant lequel la Rédaction en Chef, cette héroïne, a eu froid dans le dos et qu’avec cette grâce qui n’appartient qu’à elle, elle a lestement supprimé !

488. (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Méry »

La hauteur des opinions de Méry sur les hérésies, l’influence de l’hérésie sur les Barbares, le frappant vis-à-vis de l’apostasie d’Attila et de l’apostasie de Julien, — lequel appartient exclusivement au nouvel historien de Constantinople et qui a l’inattendu d’une révélation, — son bel épisode des Croisades, son mépris pour l’esprit des Grecs rebelles et disputeurs et pour ces protestants du xvie  siècle qui renouvelèrent, à leur manière, l’esprit grec, et forcèrent les puissances chrétiennes à se détourner de la grande guerre traditionnelle de la chrétienté contre la barbarie musulmane pour brûler Rome et s’entre-déchirer entre elles au nom de la dernière hérésie sortie de la plume de Luther, enfin son jugement, d’une si noble pureté de justice, sur les grands calomniés de l’histoire, les jésuites, — puisqu’il faut dire ce nom si magnifiquement exécré, — et dont il nous raconte l’établissement et l’héroïsme, sous Murad III, à Constantinople, toutes ces choses et toutes ces pages, qui font de l’histoire de Méry une composition d’un mouvement d’idées égal pour le moins au mouvement de faits qu’elle retrace, n’ont pu être pensées et écrites que par un catholique carré de base déjà, mais qui va s’élargir encore.

489. (1917) Les diverses familles spirituelles de la France « Chapitre ii »

Un jeune soldat a pu rencontrer un aumônier, et puis d’autres soldats, qui appartiennent comme lui à l’Association de la Jeunesse catholique française 1 ; il s’en réjouit : « C’est si bon de vivre un peu la vie de l’A.

490. (1866) Nouveaux lundis. Tome V « M. Charles Magnin ou un érudit écrivain. »

Charles Magnin était de ceux qui allaient appartenir à la génération pacifique ou différemment belliqueuse de la Restauration, et dont l’ambition serait de tenir pour toute épée une bonne plume. […] Magnin, et je ne craindrai pas de mettre de côté dans son élégant et ingénieux bagage, ou du moins de rejeter en seconde ligne, ce qui ne lui appartient pas en propre : nous discernerons plus sûrement ensuite ce qui est bien à lui. […] Magnin, toujours curieux jusqu’à être subtil, se pique de distinguer entre des genres bien voisins, de reconnaître les farces qui étaient dues aux basochiens et celles qui appartenaient au répertoire des Enfants sans souci ; il est difficile, en bien des cas, d’établir la distinction et de marquer la limite.

491. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « DÉSAUGIERS. » pp. 39-77

Voici un portrait qu’il ne m’appartenait pas de faire. […] Comme chansonnier proprement dit, il débuta et se classa d’emblée, vers 1806, à titre de convive du Caveau moderne : c’est par ce côté qu’il nous appartient ici. […] Laujon, au tome IV de ses Œuvres, a tracé un petit aperçu des dîners chantants, à commencer par l’ancien Caveau, dont la fondation appartient à Piron, Crébillon fils et Collé, et qui remonte à 173322.

492. (1861) Cours familier de littérature. XII « LXXIIe entretien. Critique de l’Histoire des Girondins (3e partie) » pp. 369-430

On eût dit qu’un génie intime et prophétique lui révélait d’avance la vanité de tous ces talents, la toute-puissance de la volonté et de la patience, et qu’une voix entendue de lui seul lui disait : “Ces hommes qui te méprisent t’appartiennent ; tous les détours de cette Révolution qui ne veut pas te voir viendront aboutir à toi, car tu t’es placé sur sa route comme l’inévitable excès auquel aboutit toute impulsion ! […] Ce n’est pas lui qui demanda le premier la guerre et qui prononça le premier le mot de république ; mais il prononça le premier et souvent le mot dictature ; le mot république appartient à Brissot et aux Girondins. […] Ce que j’ai dit là dans le septième livre des Girondins, je le redis à vingt ans de distance, après deux restaurations, une monarchie schismatique de 1830, une république de salut commun, qui n’a ni versé une goutte de sang, ni proscrit, ni spolié personne, et après une restauration dynastique d’une monarchie napoléonienne qu’il ne m’appartient ni de caractériser ici, ni de louer, ni d’accuser de mon point de vue d’historien, puisque mon point de vue est celui de la seconde république.

493. (1862) Cours familier de littérature. XIV « LXXXIIIe entretien. Considérations sur un chef-d’œuvre, ou Le danger du génie. Les Misérables, par Victor Hugo (1re partie) » pp. 305-364

Relisons-le surtout pour y rechercher ses sophismes involontaires sur l’ordre et le désordre social, pour lui faire comprendre comment ce qu’il imagine comme le remède serait l’empirisme de notre pauvre condition humaine ; comment la vie, à quelque classe que l’on appartienne, n’est pas et ne peut pas être un sourire éternel de l’âme entre la faim, le travail et la mort ; épreuve, oui, jouissance, non ; et comment ceux qui, comme nous, sont condamnés à vie à cet emprisonnement cellulaire sur ce globe pour en expier un plus mauvais ou pour en mériter un meilleur, seraient révoltés jusqu’à la frénésie si l’on parvenait à leur faire croire que, pour les uns, ce globe est un Éden, pour les autres, un enfer, et que tout mal vient du distributeur du mal et du bien ! […] Vous voulez que le capital, qui appartient à tous, et qui n’est que le réservoir du nécessaire et du superflu de tout le monde, soit libre comme le travail, car, s’il n’est pas libre, il se cachera, il ne se montrera plus, il ne consommera plus, et par là même il fera mourir de faim le travailleur, en cessant de se répandre en salaires, et de s’accumuler en économies nouvelles, qui forment à leur tour des capitaux, et qui, en se dépensant, reforment des salaires, de manière que tout le monde jouisse et travaille à la fois pour jouir à son tour. » « — Oui ! […] « Tyr appartient aux flots, Gomorrhe à l’incendie : « Secouez le sommeil de votre âme engourdie,         « Et réveillez-vous pour mourir !

494. (1920) Enquête : Pourquoi aucun des grands poètes de langue française n’est-il du Midi ? (Les Marges)

La musique la plus secrète d’une langue, celle qui se traduit par la poésie, ne se révèle que par celui qui appartient à cette langue tout entier et qui plonge en elle chacune de ses plus profondes racines. […] Mais enfin notre grande épopée appartient surtout au Nord, — qu’elle soit guerrière ou qu’elle soit féerique ; au Nord encore les romans bretons ; et c’est en langue d’oïl qu’écrit Marie de France, et c’est en langue d’oïl que nous pouvons lire ce gracieux chef-d’œuvre de prose et de vers mêlés : Aucassin et Nicolette. […] Jacques Chaumié n’affirmera pas, sans doute, que tous les poètes nés à Paris appartenaient à des familles originaires des provinces de langue d’oïl ?

495. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Conclusion »

Une seule chose est de source dans Casimir Delavigne, c’est l’esprit ; et cet esprit, joint à un rare talent de versification et au don de l’élégance, lui a fait faire le meilleur de ses ouvrages, celui qui lui appartient le plus en propre, l’École des Vieillards. […] Bref, Colomba vit, c’est un type, et comme le dit Balzac, dans une boutade de vanité, de ses propres personnages, « c’est un nouvel être ajouté à l’état civil. » La beauté poétique, par laquelle toutes les autres beautés de l’art ont leur lustre, donne un rang à part aux romans d’une femme célèbre, à qui, du consentement de tous, parmi les écrivains de ce temps, appartient la première place, Georges Sand. […] On veut croire que cette part d’utopie agressive n’appartient pas à l’auteur.

496. (1883) Souvenirs d’enfance et de jeunesse « Chapitre I. Le broyeur de lin  (1876) »

Il y avait de ce côté de grandes portes cochères, toujours fermées, sur lesquelles nous tracions nos figures et nos calculs avec de la craie ; les traces s’en voient peut-être encore, car ces portes appartenaient à de grands couvents, et, dans ces sortes de maisons, l’on ne change jamais rien. […] La vertueuse et mystique race à laquelle elle appartenait ne connaît pas la frénésie qui renverse les obstacles, et qui estime ne rien avoir si elle n’a pas tout. […] Il s’approcha de la table du prétoire, y déposa ses gants, sa croix de Saint-Louis, son écharpe, « Messieurs, dit-il, je ne peux les reprendre que si vous l’ordonnez ; mon honneur vous appartient.

497. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 avril 1886. »

L’homme naît seulement dans une famille, une maison, une nation, une race ; à ces origines il appartient corps et âme ; et tout homme qui appartient à une autre origine est séparé de lui par des barrières que la nature seule ne pourrait jamais aplanir. […] Mais la connaissance de Dieu n’est pas une branche de la science, qui ne conçoit que ce qui est terrestre : la connaissance de Dieu est affaire de foi, et la vraie foi est l’expression nécessaire du degré que l’on a atteint sur le chemin de l’humanité idéale ; la foi ne vit pas non plus dans la tête, mais dans un cœur ; elle appartient absolument à l’essence de l’homme ; c’est son âme conçue dans ce mot, le Christ.

498. (1902) La métaphysique positiviste. Revue des Deux Mondes

À qui donc appartiendra-t-il de l’explorer ? […] Mais de la conception d’Auguste Comte, ce qu’il faut pourtant retenir, c’est que, s’il appartient à quelqu’un d’approfondir et de préciser la notion de l’Inconnaissable, c’est à ceux qui font de la destinée de l’humanité le principal objet de leurs préoccupations ; qui ne sont curieux ni de l’art, ni de la science en soi, mais des services que l’art ou la science peuvent rendre à l’éducation morale de l’humanité ; et qui considèrent enfin que la sociabilité faisant le premier caractère de l’homme, c’est elle que notre perpétuel effort doit avoir pour ambition de développer, d’assurer, et de perfectionner. […] « Sous un tel ascendant, continue-t-il, nos diverses connaissances réelles pourront donc enfin former un vrai système, assujetti dans son entière étendue et dans son expansion graduelle, à une même hiérarchie et à une commune évolution, qui n’est certainement possible par aucune autre voie. » Et il conclut : « L’indispensable harmonie entre la spéculation et l’action est ainsi pleinement établie, puisque les diverses nécessités mentales, soit logiques, soit scientifiques, concourentà conférer la présidence philosophique aux conceptions que la raison publique a toujours considérées comme devant universellement prévaloir. » On remarquera que ces lignes, que j’extrais de la dernière leçon du Cours de philosophie positive, sont datées de 1842 ; elles appartiennent donc à la « première phase » de la philosophie d’Auguste Comte.

499. (1870) La science et la conscience « Chapitre II : La psychologie expérimentale »

L’école tout expérimentale de Stuart Mill, Bain et Spencer n’a fait que reprendre ces thèses pour les développer de nouveau, en les fondant sur des observations, des analyses, des explications qui lui appartiennent. […] C’est donc à cette psychologie que nous pourrions appeler intime, par opposition à cette autre psychologie qu’on nomme expérimentale, qu’il appartient de définir l’homme, de définir la nature, de définir en tout et partout l’être des choses, en rendant aux mots de force et de cause, de spontanéité, de liberté, le sens qui leur est propre et qu’ignoreront toujours les partisans exclusifs de la méthode inductive, qu’ils s’appellent physiciens, physiologistes, ou même psychologues. […] A la psychologie de l’expérience appartient la recherche des lois ; à la psychologie de la conscience revient l’intuition des causes.

500. (1903) Hommes et idées du XIXe siècle

À cet ordre de jouissances appartiennent celles dont nous sommes redevables à la Comédie-Française pour la solennelle reprise qu’elle a faite des Burgraves. […] Les rapports sont établis et il n’appartient à personne de les briser. […] Et par conséquent quelle place lui appartient dans le mouvement de la pensée contemporaine et dans la suite du développement philosophique ? […] À Taine appartient la diffusion parmi nous des idées positivistes. […] Dans les révolutions, ce qui lui appartient, ce sont les violences, non les nouveautés heureuses.

501. (1892) Sur Goethe : études critiques de littérature allemande

Car d’aimer par fatalité qui ne peut nous appartenir et d’y renoncer franchement par vertu, ce sont de ces larmes qui retrempent une âme au lieu de l’abattre. […] Dans un genre plus humble, mais qu’il a rehaussé par des qualités supérieures, Zschokke appartient à la même école. […] Le monde lui appartient ; il l’exploite comme il l’entend. […] Depuis, poussé sur le bord de l’abîme, il a vendu à Itzig cette même hypothèque qui ne lui appartenait plus, mais en observant, cette fois ; toutes les formalités prescrites par la loi. […] Freytag étale à profusion ses rares qualités de peintre et de poète ; mais le sang-froid, la justesse et la force lui manquent, et la fantaisie ne suffit pas pour introduire dans un roman des épisodes qui appartiennent à l’histoire.

502. (1925) Portraits et souvenirs

L’œuvre et l’homme sont la face et le revers d’une même médaille et, quand la gloire l’a frappée à son effigie, elle appartient à tous. […] Il ne m’appartient pas de louer ici les nobles, subtiles, éloquentes et fortes paroles par lesquelles M.  […] Elles sont comme un dépôt dont il doit, annuellement, rendre compte et dont l’usufruit ne lui appartient pas. […] Ils exercent toute leur intelligence à trouver des moyens de s’emparer de ce qui appartient à d’autres. […] Je devais avoir huit ans et nous étions venus passer l’été dans une maison de campagne qui appartenait à un de mes oncles.

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