HARDUIN, [Alexandre-Xavier] Avocat, Secrétaire perpétuel de l’Académie d’Arras, sa patrie, né en 1718.
MARIN, [Louis-François-Claude] ci-devant Secrétaire-Général de la Librairie, & Censeur Royal de la Police, des Académies de Marseille & de Nancy, né à la Ciotat, en Provence, en 17..
Louis, de l'Académie de Bordeaux, né en 17..
Guerin Plusieurs petits tableaux peints à l’huile, en miniature, dont plusieurs d’après l’école d’Italie . peu de chose, jolies images, bien précieuses, jolis dessus de tabatières, trop bien pour l’hôtel de jabac, pas assez bien pour l’académie.
Et d’ailleurs, Victor Hugo excepté, qui représente la poésie à l’Académie ? […] Il nous faut Frédéric Mistral à l’Académie Française. […] Alphonse Daudet sera donc tout simplement de l’Académie Goncourt, — une simple Académie littéraire. […] Croyez-vous que l’Académie arrêtera son choix à l’un de ces noms ? […] Mignet, Broglie, d’Aumale, Renan, Taine sont de l’Académie.
Son début en littérature lui valut un prix extraordinaire de poésie, que lui décerna, en 1822, l’Académie française, et dont le sujet était la Peste de Barcelone.
Par un principe de justice, nous devons rappeler ici que les Recueils de l’Académie Françoise offrent un grand nombre de Discours de Charpentier, dont quelques-uns sont écrits avec autant de naturel que de force & de bon sens.
COUSIN, [Louis] Président à la Cour des Monnoies, de l’Académie Françoise, né à Paris en 1627, mort dans la même ville en 1707.
DUBOS, [Jean-Baptiste] Abbé, de l’Académie Françoise, né à Beauvais en 1670, mort à Paris en 1742.
Colbert le nomma Secrétaire de l’Académie Royale des Sciences, lorsqu’il eut fait approuver par le Roi l’établissement de cette Compagnie.
Les petites Pieces de Poésie que cet Auteur a présentées au Concours des Prix de l’Académie Françoise, n’ont obtenu, jusqu’à présent, que les lauriers de l’accessit.
PONCET DE LA RIVIERE, [Mathias] ancien Evêque de Troies, de l’Académie de Nancy, né à Paris en 1707, mort en 1780.
N’eût-il fait que la belle Préface du premier volume des Mémoires de l’Académie Royale de Chirurgie de Paris, son nom mériteroit d’être placé à côté de celui de nos habiles Littérateurs.
Scudery, [Madelaine de] sœur du précédent, de l'Académie des Ricovrati, née au Havre de Grace en 1607, morte à Paris en 1701.
Nommé il y a dix ans à l’Académie française, il y trouva une carrière toute préparée et enfin régulière pour ses facultés sérieuses, pour ses études les plus chéries. […] On a raconté une anecdote assez piquante : Nodier lisait dans une séance particulière de l’Académie l’article Abolition du Dictionnaire : « Abolition, substantif féminin, etc., etc… ; prononcez abolicion.
Madame de Sévigné nous apprend69 que Sauveur et Robervalle, membres de l’Académie les sciences, lui enseignèrent les mathématiques, la physique et l’astronomie, Bayle lui rend ce témoignage, qu’elle était connue partout pour un des esprits les plus extraordinaires et pour un des meilleurs. Perrault et d’Olivet, l’un dans ses hommes illustres, et dans son Apologie des femmes, l’autre dans l’Histoire de l’Académie ; Fontenelle, dans ses Œuvres diverses ; Amelot de La Houssaye, dans sa préface des Maximes de La Rochefoucauld, ont fait à l’envi son éloge.
Toutes les fois qu’on l’entendoit réciter quelques vers à l’académie Françoise, on l’applaudissoit singulièrement. […] Son ode au cardinal de Fleuri, lue en pleine académie, n’est que le développement de ce systême.
Si vous parcouriez, en effet, les académies de l’Europe, et il est de presque toutes, excepté, bien entendu, de celles de son pays, et si vous leur demandiez, à ces académies, pour votre édification personnelle, ce que c’est que César Daly, ce que c’est que le fondateur et le directeur de cette encyclopédie de science et d’art qui se publie, depuis plus de vingt ans, sous le titre de Revue générale de l’Architecture et des travaux publics, vous verriez ce qu’on vous répondrait !
Gaspar Gorresio, de l’Académie royale des sciences de Turin, en avait donné, de 1844 à 1849, une traduction italienne à laquelle il manque, dit M. […] » Cependant, tel que le voilà traduit, ce livre bizarre, c’est un événement, et non pas seulement pour l’Académie des inscriptions et belles-lettres ; car il atteste, ce que l’on commençait bien d’entrevoir, il est vrai, et ce qu’il faudra bien finir par proclamer tout haut, que les païens de toute espèce, battus par les doctrines chrétiennes, qui voulaient faire sortir de l’Inde une poésie et une philosophie pour les opposer à tout ce que le Christianisme a créé dans l’ordre du beau et du vrai parmi nous, n’ont trouvé, en somme, ni l’une ni l’autre.
Il a écrit La Fille d’Eschyle, étude antique qui a été couronnée par l’Académie française, et Les Poèmes de la mer, dans lesquels il a cru un peu trop l’avoir inventée. […] Il n’y a pas que l’Académie qui couronne cette poésie déjà couronnée… aux genoux.
Janin, si l’Académie française ne donnait pas à l’auteur de La Fin du Neveu de Rameau le fauteuil de Diderot, dont il a pris le talent et dont il va partager la gloire, elle manquerait terriblement de sens critique, l’Académie !
, Membre associé national de l’Académie de médecine.
André, [Yves-Marie] Jésuite, Professeur de Mathématique, de l’Académie de Caen, né à Châteaulin dans le Comté de Cornouailles, en 1675, mort à l’Hôpital de Caen en 1764.
] Directeur & Inspecteur Général des Ecoles Vétérinaires, Correspondant & Membre de plusieurs Académies.
CONDILLAC, [Etienne Bonnot de] Abbé, de l’Académie Françoise & de celle de Berlin, né à Grenoble, mort à Paris en 1780.
GAICHIEZ, [Jean] Oratorien, de l’Académie de Soissons, mort à Paris en 1731, âgé de 83 ans.