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2830. (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Entretiens de Gœthe, et d’Eckermann »

Gœthe a donc décidé sans peine Eckermann à demeurer avec lui à Weimar pour l’hiver, — un hiver qui sera suivi de plusieurs autres.

2831. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « La femme au XVIIIe siècle, par MM. Edmond et Jules de Goncourt. » pp. 2-30

… » Et ce qui suit, car ils n’en ont pas fini encore. — Si un peu de marivaudage s’y mêle, cela est de mise et presque de rigueur dans le portrait de la femme selon Marivaux.

2832. (1867) Nouveaux lundis. Tome VII « Anthologie grecque traduite pour la première fois en français et de la question des Anciens et des Modernes »

Toutes corrections faites, voici l’ordre suivi dans cette exacte dévotion : il y a d’abord les statues en bois des Nymphes, puis les réservoirs qui forment bain pour y boire ; enfin le poète parle des statuettes plus petites (et comme des poupées), des Nymphes placées dans l’eau. » (Note de M. 

2833. (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Mémoires de Malouet (suite et fin.) »

Le roi seul eût été sincèrement disposé à suivre une marche plus raisonnable.

2834. (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Madame Desbordes-Valmore. » p. 232

C’est ton âme qui continue et qui suit sa pente d’aimer immortellement. » « (Le 27 décembre. 1855)… Je t’aime d’avoir souffert tout ce que je souffre, et d’être restée si tendre.

2835. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « DE LA LITTÉRATURE INDUSTRIELLE. » pp. 444-471

Il en fut ainsi en tout temps : mais, dans une histoire du théâtre depuis dix ans, on suivrait le contre-coup croissant et désordonné de ce mauvais régime littéraire.

2836. (1895) Histoire de la littérature française « Première partie. Le Moyen âge — Livre II. Littérature bourgeoise — Chapitre I. Roman de Renart et Fabliaux »

Puis, vers 1180, un poète allemand, Henri le Glichezare, faisait de l’histoire de Renart un poème suivi, qui semble attester que les récits français tendaient déjà à se grouper dans un certain ordre.

2837. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre III. Les grands artistes classiques — Chapitre II. Boileau Despréaux »

Il suivit donc bonnement sa voie, et quand il eut ridiculisé ses adversaires, par des traits si justement assenés qu’ils sont devenus inséparables de leur mémoire, et partie intégrante de leur définition, il exposa les principes de son goût dans son Art poétique, auquel la neuvième Épître se joint nécessairement.

2838. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « Anatole France »

Ce sont des histoires suivies, mais qui s’enrichissent en traversant un esprit très conscient et muni d’un grand nombre de souvenirs et de connaissances.

2839. (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre II — Chapitre premier »

Les récits sont suivis d’entretiens auxquels toute la compagnie prend part.

2840. (1913) Les antinomies entre l’individu et la société « Chapitre VIII. L’antinomie économique » pp. 159-192

Durkheim remarque que le lien économique est un lien social assez lâche et qu’il n’entraîne nullement l’unité morale : « Comme les rapports purement économiques, dit-il, laissent les hommes les un en dehors des autres, on peut en avoir de très suivis sans participer pour cela à la même existence collective. » (Règles de la méthode sociologique, p. 139.)

2841. (1911) La valeur de la science « Première partie : Les sciences mathématiques — Chapitre III. La notion d’espace. »

C’est parce que je puis suivre l’objet de l’œil et, par un déplacement de l’œil volontaire et accompagné de sensations musculaires, ramener l’image au centre de la rétine et rétablir la sensation primitive.

2842. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre IX. La littérature et le droit » pp. 231-249

Si l’on voulait faire avec soin cette étude (dont nous pouvons tout au plus esquisser ici les grandes lignes), il faudrait suivre dans chaque période le régime imposé à la pensée écrite et à la pensée parlée.

2843. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Lettres de Goethe et de Bettina, traduites de l’allemand par Sébastien Albin. (2 vol. in-8º — 1843.) » pp. 330-352

De Munich où elle est alors, elle suit du regard, avec une anxiété sans pareille, toutes les phases de cette sainte et patriotique levée des Tyroliens, se sacrifiant à leur empereur qui les abandonne, et qui finit par les livrer.

2844. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Mme de Caylus et de ce qu’on appelle Urbanité. » pp. 56-77

Mais là où je demande qu’on me permette de la suivre encore, c’est dans sa correspondance avec Mme de Maintenon.

2845. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « La duchesse du Maine. » pp. 206-228

On sait que la faiblesse de Louis XIV, obsédée par celle de Mme de Maintenon, cette nourrice plus que mère du duc du Maine, alla vers la fin jusqu’à égaler en tout les bâtards aux princes du sang légitimes, à les déclarer en définitive habiles à succéder au trône, et sa dernière volonté, si elle avait été suivie, ménageait au duc du Maine le rôle le plus influent dans la future Régence.

2846. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Lettres et opuscules inédits du comte Joseph de Maistre. (1851, 2 vol. in-8º.) » pp. 192-216

Pendant tout le temps que le jeune Joseph passa à Turin pour suivre le cours de droit à l’Université, il ne se permit jamais la lecture d’un livre sans avoir écrit à son père ou à sa mère à Chambéry pour en obtenir l’autorisation.

2847. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Mémoires de Marmontel. » pp. 515-538

Il faut lire dans l’ouvrage la série de tribulations qui suivit pour lui cette complaisance factieuse.

2848. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « La Harpe. Anecdotes. » pp. 123-144

Pasquier, qui avait suivi ses leçons au Lycée dès 1787, l’alla revoir et causa avec lui ; il le mit sur le Génie du christianisme, en se donnant comme quelqu’un qui goûtait l’ouvrage.

2849. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Beaumarchais. — II. (Suite.) » pp. 220-241

Il a tout son esprit à tous les instants ; il le dépense, il le prodigue, il y a des moments même où il en fait, c’est alors qu’il tombe dans les lazzis, les calembours ; mais le plus souvent il n’a qu’à suivre son jet et à se laisser faire.

2850. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Rollin. » pp. 261-282

Il se mit donc à l’œuvre, commençant pour la première fois d’écrire en français, et il composa les deux premiers volumes de son Traité des études, bientôt suivis de deux autres.

2851. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre sixième. La volonté — Chapitre premier. Existence de la volonté »

Mais, d’abord, l’ordre suivi par les partisans exclusifs de la sensation est juste l’opposé de l’ordre véritable.

2852. (1864) William Shakespeare « Conclusion — Livre I. Après la mort — Shakespeare — L’Angleterre »

Je lis ce qui suit sur la première page du manuscrit de Hernani, que j’ai entre les mains : « Reçu au Théâtre-Français, le 8 octobre 1829.

2853. (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Livre III : La science — Chapitre II : De la méthode expérimentale en physiologie »

Il suit de là que, chaque phénomène vital étant toujours lié à un phénomène antérieur, il est possible à l’expérimentateur de reproduire cette liaison, et de provoquer l’apparition des phénomènes en réalisant les conditions qui les précèdent et les déterminent.

2854. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Loutherbourg » pp. 258-274

Au-dessous de ce voyageur, plus sur le devant et plus sur la gauche, on rencontre une paysane montée sur une bourique ; l’ânon suit sa mère.

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