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791. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190

La reine l’ayant permis, il fit alors tant de grimaces et des figures si plaisantes, que non seulement l’enfant cessa de pleurer, mais encore qu’il fut pris d’une hilarité dont les résultats gâtèrent les habits de Scaramouche, ce qui redoubla les éclats de rire de la reine, et de toutes les dames et seigneurs qui étaient dans l’appartement. […] Après, poussant plus loin cette triste figure, D’un cocu, d’un jaloux, il en fait la peinture ; Tantôt à pas comptés vous le voyez chercher Ce qu’on voit par ses yeux, qu’il craint de rencontrer ; Puis, s’arrêtant tout court, écumant de colère, Vous diriez qu’il surprend une femme adultère, Et l’on croit, tant ses yeux peignent bien cet affront, Qu’il a la rage au cœur et les cornes au front.

792. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Marie-Antoinette. (Notice du comte de La Marck.) » pp. 330-346

Ce qui me paraît plus sûr et plus souhaitable pour cette touchante mémoire de Marie-Antoinette, c’est qu’il puisse se dégager, de la multitude d’écrits et de témoignages dont elle a été l’objet, une figure belle, noble, gracieuse, avec ses faiblesses, ses frivolités, ses fragilités peut-être, mais avec les qualités essentielles, conservées et retrouvées dans leur intégrité, de femme, de mère et par instants de reine, avec la bonté de tout temps généreuse, et finalement avec les mérites de résignation, de courage et de douceur qui couronnent les grandes infortunes. […] Tout homme qui aura dans le cœur quelque chose de la générosité d’un Barnave, éprouvera la même impression et, s’il faut le dire, la même conversion que lui, en approchant de cette noble figure si outragée.

793. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Despréaux, avec le plus grand nombre des écrivains de son temps. » pp. 307-333

On fit mention de toute sa personne, de sa figure, de son maintien, de son habit, de sa vieille perruque, de sa calotte. […] Il avoit toutes les prétentions ; celles de la plus haute naissance, du génie, de la figure, du courage, de l’homme à bonnes fortunes.

794. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXXVIII et dernier. Du genre actuel des éloges parmi nous ; si l’éloquence leur convient, et quel genre d’éloquence. »

Toutes les manières pathétiques et fortes, dont les gens à passions s’expriment, ont été rangées sous une nomenclature aride de figures. […] Le peintre, avant de manier le crayon, conçoit ses figures, étudie leurs attitudes.

795. (1927) Des romantiques à nous

Guerre aveugle qui se figure que ses faciles victoires vont bénéficier à la poésie. […] J’ai laissé agir sur moi les événements, les figures, les créations du monde breton présent et passé. […] Nous ne voulons que suivre ici quelques traits de cette figure de maître. […] Aussi bien ces souvenirs illustreront-ils la figure et le génie de l’artiste lui-même. […] Dans cette maison amie, ou tous les arts étaient en honneur, je faisais figure de chanteur wagnérien attitré.

796. (1886) Le naturalisme

Amadis, c’est une tapisserie dont les figures se prolongent plus grandes que la grandeur naturelle. […] Cependant, la figure principale qui domine ces figures secondaires, parmi lesquelles il en est tant de féminines, est une autre femme d’une culture prodigieuse et d’une intelligence élevée, philosophe, historien, talent viril, s’il en fut, — la baronne de Staël. […] Étrange figure littéraire que celle de l’auteur de Monte-Cristo ! […] Quant à Zola… sa figure est ronde, son crâne massif, sa nuque puissante, ses épaules larges comme celles d’une cariatide. […] Je me figure même que les anciens auteurs avaient beaucoup moins de scrupule à se copier les uns les autres.

797. (1896) Le IIe livre des masques. Portraits symbolistes, gloses et documents sur les écrivains d’hier et d’aujourd’hui, les masques…

Ceci n’est pas un jeu d’allusions : j’écris des figures dans l’espace. […] Parmi la quantité des faits, il choisit ceux qui semblent d’abord contenir en eux-mêmes leur signification ; ainsi, en écartant toutes les figures obscures, mal peintes, il se constitue un jeu de cartes logiques avec lequel il gagne facilement la partie contre le mystère des choses. […] Devant celui qui est né pour interpréter des figures, la face d’un tisserand et la face de Gœthe, l’arbre obscur du bois inconnu et le figuier de saint Vincent de Paul ont absolument la même valeur : celle d’une différence. […] Faute de connaître de tels détails, le vulgaire s’imagine les hommes célèbres en la perpétuelle attitude d’une figure de cire ; et si on les lui révèle, il s’indigne, faute de les comprendre, contre ce qui est un des signes les plus clairs d’une vie individuelle. […] Schwob a voulu faire dire à ces douces petites filles plus de choses que peut-être n’en contient leur petite tête étonnée, et même celle de Monelle : à faire alterner les explications et les figures, on gêne celui qui voudrait trouver tout seul l’explication de la figure ; il a couru le risque, parfois, de tuer ses imaginations par ses raisonnements.

798. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Appendice. — [Baudelaire.] » pp. 528-529

C’est ainsi que je me le figure et que je le comprends.

799. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « MARIA » pp. 538-542

Chez le barbier du coin, Un Français, un Gascon (la graine en va très-loin), Moi j’aimais à m’asseoir, guettant chaque figure : Molière ainsi souvent observa la nature.

800. (1874) Premiers lundis. Tome II « Théophile Gautier. Fortunio — La Comédie de la Mort. »

La grande figure historique récente ne se prête pas à la palinodie morale comme ces êtres de fantaisie, Faust et don Juan, qui flottent, depuis des siècles, au gré de la tradition et des poètes.

801. (1875) Premiers lundis. Tome III « Maurice de Guérin. Lettre d’un vieux ami de province »

Vous connaissez l’Orphée, et je n’ai point à vous en parler ; mais à Ballanche, à Quinet (dans son Voyage en Grèce), il manque un peu trop, pour correctif de leur philosophie concevant et refaisant la Grèce, quelque chose de cette qualité grecque fine, simple et subtile, négligée et élégante, railleuse et réelle, de Paul-Louis Courier, ce vrai Grec, dont la figure, la bouche surtout, fendue jusqu’aux oreilles, ressemblait un peu à celle d’un faune.

802. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Béranger, Pierre-Jean de (1780-1857) »

Mais si l’on m’apprend que Lisette et le Chambertin ne sont que des figures de rhétorique, que ce chanteur insouciant qui prétend n’avoir d’autres soins que les dîners du caveau et sa maîtresse, a une philosophie, une politique, et, Dieu me pardonne !

803. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Bouchor, Maurice (1855-1929) »

Il purifie le théâtre en substituant, aux comédiens, qui sont d’os et de chair, des personnages de bois, qui sont parfaitement inaccessibles aux tentations et incapables de maléfices… Et le poète marche désormais vers l’amour avec une candeur de néophyte, en robe blanche, par des chemins fleuris, dans la nuit bleue, qui donne aux figures charnelles un air d’indécision et de spiritualité.

804. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 11, des ouvrages convenables aux gens de génie et de ceux qui contrefont la maniere des autres » pp. 122-127

Quand les poëtes et les peintres les mieux inspirez donnent, ou des poëmes composez d’un petit nombre de vers ou des tableaux qui ne contiennent qu’une figure sans expression et posée dans une attitude commune, ces productions sont exposées à des paralelles odieux.

805. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 20, de la difference des moeurs et des inclinations du même peuple en des siecles differens » pp. 313-319

Tous les personnages qui font quelque figure dans l’histoire de Charles IX et dans l’histoire de ses freres, même les ecclesiastiques, sont péris de mort violente.

806. (1889) Impressions de théâtre. Troisième série

La seule raison de l’infériorité de M. d’Ennery, c’est qu’il est bien plus malin, — et aussi qu’il ne figure pas au programme du baccalauréat. […] Vraiment cette parole débordait de vie, et cette vie, elle la communiquait à flots aux figures pâlies du vieux drame. […] A vrai dire, le choix des figures est ici assez arbitraire ; mais cela se comprend. […] Dumas, ayant demandé à cette intervention abondante des valets les moyens de simplifier et de précipiter son drame, s’est donné du moins la peine de faire vivre ces deux figures subalternes. […] Lorsque, voyant son mari découragé, Clotilde lui dit gentiment : « Allons, remets-toi et ne garde pas cette figure désolée.

807. (1920) Impressions de théâtre. Onzième série

La comédie débutait, comme la peinture, par des figures immobiles, peintes dans les mêmes poses, avec les mêmes couleurs. […] Et ce n’était que justice, car ce poète est bien une des figures les plus originales de ce siècle. […] Elle change donc la figure de Céphale. […] Les figures semblent lentement, lentement venir à nous d’un fond de fumée, un peu comme ces figures des tableaux de Carrière, d’autant plus expressives que c’est, on le dirait, notre regard qui les crée à mesure, et qu’en même temps nous craignons de voir s’évanouir leurs contours de fantômes. […] Il a de l’ardeur et fait bonne figure en scène.

808. (1900) La vie et les livres. Cinquième série pp. 1-352

Je cherche vainement la calotte de Sainte-Beuve, la redingote de Mérimée, la belle figure aveugle d’Augustin Thierry. […] Le pauvre Théo figure dans cette illustre assemblée. […] Il nous a conté un menu de dîner fait pour Alexandre Dumas et dans lequel figure une pieuvre rôtie. […] Celle-ci nous apparaît sous la figure du jeune M.  […] Les figures changent.

809. (1907) L’évolution créatrice « Chapitre IV. Le mécanisme cinématographique de la pensée  et l’illusion mécanistique. »

Ce serait de découper des figures articulées représentant les soldats, d’imprimer à chacune d’elles le mouvement de la marche, mouvement variable d’individu à individu quoique commun à l’espèce humaine, et de projeter le tout sur l’écran. […] C’est, entre notre corps et les autres corps, un arrangement comparable à celui des morceaux de verre qui composent une figure kaléïdoscopique. Notre activité va d’un arrangement à un réarrangement, imprimant chaque fois au kaléidoscope, sans doute, une nouvelle secousse, mais ne s’intéressant pas à la secousse et ne voyant que la nouvelle figure. […] A introduire, sous une forme voilée, il est vrai, le temps et le mouvement jusque dans la considération des figures. […] Les figures en étaient données tout d’un coup, à l’état achevé, semblables aux Idées platoniciennes.

810. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Diderot »

La tête haute et un peu chauve, le front vaste, les tempes découvertes, l’œil en feu ou humide d’une grosse larme, le cou nu et, comme il l’a dit, débraillé, le dos bon et rond, les bras tendus vers l’avenir ; mélange de grandeur et de trivialité, d’emphase et de naturel, d’emportement fougueux et d’humaine sympathie ; tel qu’il était, et non tel que l’avaient gâté Falconet et Vanloo, je me le figure dans le mouvement théorique du siècle, précédant dignement ces hommes d’action qui ont avec lui un air de famille, ces chefs d’un ascendant sans morgue, d’un héroïsme souillé d’impur, glorieux malgré leurs vices, gigantesques dans la mêlée, au fond meilleurs que leur vie : Mirabeau, Danton, Kléber. […] Ses goûts, ses mœurs, la tournure secrète de ses idées et de ses désirs ; ce qu’il était dans la maturité de l’âge et de la pensée ; sa sensibilité intarissable au sein des plus arides occupations et sous les paquets d’épreuves de l’Encyclopédie ; ses affectueux retours vers les temps d’autrefois, son amour de la ville natale, de la maison paternelle et des vordes sauvages où s’ébattait son enfance ; son vœu de retraite solitaire, de campagne avec peu d’amis, d’oisiveté entremêlée d’émotions et de lectures ; et puis, au milieu de cette société charmante, à laquelle il se laisse aller tout en la jugeant, les figures sans nombre, gracieuses ou grimaçantes, les épisodes tendres ou bouffons qui ressortent et se croisent dans ses récits ; madame d’Épinay, les boucles de cheveux pendantes, un cordon bleu au front, langoureuse en face de Grimm ; madame d’Aine en camisole, aux prises avec M.  […] « Ou plutôt ce monument existe, mais par fragments ; et, comme un esprit unique et substantiel est empreint en tous ces fragments épars, le lecteur attentif, qui lit Diderot comme il convient, avec sympathie, amour et admiration, recompose aisément ce qui est jeté dans un désordre apparent, reconstruit ce qui est inachevé, et finit par embrasser d’un coup d’œil l’œuvre du grand homme, par saisir tous les traits de cette figure forte, bienveillante et hardie, colorée par le sourire, abstraite par le front, aux vastes tempes, au cœur chaud, la plus allemande de toutes nos têtes, et dans laquelle il entre du Gœthe, du Kant et du Schiller tout ensemble. » 89.

811. (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Livre quatrième. La propagation de la doctrine. — Chapitre III »

Malouet lui-même se figure mal le Parlement anglais, et plusieurs, sur l’étiquette, l’imaginent d’après le Parlement de France  Quant au mécanisme des constitutions libres ou aux conditions de la liberté effective, cela est trop compliqué. […] J’y fis ce jour-là même une attention particulière, et, sur le pilastre, je vis pour ornement un bouclier, suspendu à une chaîne mince que le sculpteur avait attachée à un petit mufle de lion, comme on voit à des marteaux de porte ou à des robinets de fontaine ». — Sensations perverties, conceptions délirantes, ce seraient là pour un médecin des symptômes d’aliénation mentale ; et nous ne sommes encore qu’aux premiers mois de 1789   Dans des têtes si excitables et tellement surexcitées, la magie souveraine des mots va créer des fantômes, les uns hideux, l’aristocrate et le tyran, les autres adorables, l’ami du peuple et le patriote incorruptible, figures démesurées et forgées par le rêve, mais qui prendront la place des figures réelles et que l’halluciné va combler de ses hommages ou poursuivre de ses fureurs.

812. (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre deuxième. Les images — Chapitre II. Lois de la renaissance et de l’effacement des images » pp. 129-161

Un grand nombre d’entre elles s’effacent et ne reparaissent plus jusqu’à la fin de notre vie ; par exemple, avant-hier, j’ai fait une course dans Paris, et des soixante ou quatre-vingts figures nouvelles que j’ai bien vues, je ne puis en rappeler aucune ; il faudrait une circonstance extraordinaire, un accès de délire ou une excitation du haschich pour que, maintenant, elles aient chance de ressusciter en moi. […] Si l’air est très beau et nous a touchés très fort, nous ajoutons que nous avons été transportés, enlevés, ravis, que nous avons oublié le monde et nous-mêmes, que pendant plusieurs minutes notre âme était comme morte et insensible à tout, saut aux sons. — Et, de fait, il y a des exemples nombreux où, sous l’empire d’une idée dominante, toutes les autres sensations, même violentes, deviennent nulles ; telle est l’histoire de Pascal, qui, une nuit, pour oublier de grandes douleurs de dents, résolvait le problème de la cycloïde ; telle est celle d’Archimède, qui, occupé à tracer des figures géométriques, n’avait pas entendu la prise de Syracuse. […] J’ai causé, il y a six mois, avec telle personne ; je pouvais, en la quittant et même le lendemain, décrire sa figure et son costume, redire les principales idées de sa conversation ; mais, depuis, j’ai cessé de renouveler par l’expérience ou de répéter par la mémoire les images qui alors se réveillaient en moi intactes et suivies.

813. (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIVe entretien. Mélanges »

Mon extérieur distingué et ma figure agréable, quoique mélancolique, n’y gâtaient rien ; on parlait de moi comme d’un jeune homme bien né et bien pensant, venu à Paris avec les jeunes gentilshommes de sa province pour servir le roi, mais que les dons de Dieu, dont il paraissait comblé, ne tarderaient pas, malgré sa modestie, à tirer de l’obscurité et à faire éclater au grand jour. […] Il était d’une figure prévenante et empressée, comme ces hommes heureux de rendre service. […] Il me racontait que, quelques années auparavant, cet enfant, faisant ses études à Grenoble, d’une figure agréable et spirituelle, en aidant sa mère dans les soins de sa petite hôtellerie, servait souvent la chopine de bière mousseuse et le petit verre de ratafia de Grenoble à lui et à ses amis, sans que cette modeste apparence de servilité banale nuisît en rien à l’estime que la jeunesse de Grenoble témoignait à ce jeune homme dévoué à sa famille.

814. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Mendès, Catulle (1841-1909) »

Catulle Mendès est une figure littéraire fort intéressante. […] S’il faut absolument chercher la figure de ce poète excellent dans l’iconographie chrétienne, j’arrangerai tout peut-être en choisissant cette figure des catacombes où l’on voit le Christ en Orphée charmant les animaux des sons de sa lyre.

815. (1889) Histoire de la littérature française. Tome III (16e éd.) « Chapitre quinzième. »

Il n’a pas composé ces portraits dans un ordre régulier, à la façon du peintre qui dessine d’abord la figure, puis le modèle, et met la couleur en dernier lieu. […] Le plus y vient avant le moins, la fin avant le commencement ; plus d’une chose à peine indiquée figure à côté d’une chose terminée, plus d’un trait n’arrive pas au moment précis où la loi du discours le voudrait ; mais tout arrive. […] Celui-là ne s’est pas avisé de la trouver timide et insuffisante, et là où nous disons par figure qu’il la domine, il ne fait que la développer par son propre fonds.

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