Dans cette doctrine, la psychologie morbide ne serait que la contre-partie et la contre-épreuve de la psychologie normale. […] Ce dernier surtout, dans son livre de l’Aliéné, a défendu cette doctrine avec beaucoup d’habileté et de vigueur. […] Doctrine d’Heinroth, célèbre médecin aliéniste de l’Allemagne.
Nous pensons trop que de ce siècle, qui n’est pas jugé, puisqu’on le loue encore, tout est radicalement mauvais, — mauvais par l’erreur de l’esprit, par le vice du cœur et même par les contre-sens de la gloire, pour ne pas accueillir avec applaudissement un livre qui fait la preuve, souveraine et multiple, de la perversité de doctrine, de mœurs et de renommée de ce siècle déperdition. […] À l’heure qu’il est, et malgré les soixante ans qui, chronologiquement, nous en séparent, nous vivons la tête dans ses doctrines. […] Mais dégrader Voltaire au plus avant de sa personnalité, lui qui n’eut qu’une personnalité sans doctrine, sans un seul principe !
De tous les ennemis de la religion de nos pères, de tous ceux qui disent que le catholicisme est une doctrine dépassée par l’esprit humain et qui a fait son temps (comme les conscrits) dans l’histoire, cet excellent M. […] Esprit physiologiquement religieux, tourné de tendance primitive et de tempérament vers les choses de la contemplation intellectuelle, métaphysicien et presque mystique, l’auteur de Terre et Ciel n’était point, par le fait de ses facultés, destiné aux doctrines de la philosophie moderne, mais pour des raisons qu’il connaît mieux que nous, et qu’il retrouverait s’il faisait l’examen de conscience de sa pensée, il n’a pu cependant y échapper. […] Telle est la conclusion que les hommes pratiques tireront de la doctrine du philosophe.
Saint-Bonnet, comme pour nous, du reste, comme pour tous ceux qui portent un regard assuré sur l’Europe actuelle, l’application complète de toutes les doctrines du dix-huitième siècle à l’homme et à la société. […] Il désire que les sciences morales et dogmatiques l’emportent dans l’éducation sur les sciences expérimentales et naturelles, et il rédige ainsi son programme : « La littérature prise dans les saints Pères avant de passer à l’étude de l’Antiquité ; la philosophie avant la rhétorique, et surtout la science parfaite et solide des doctrines théologiques, puisées dans les auteurs approuvés par le Saint-Père. » Quelle plus grande simplicité ! […] Daniel, et le meilleur de toute sa thèse : « Que l’homme qui enseigne est plus que l’enseignement, et que là où le maître est excellent, les mauvaises doctrines deviennent innocentes », cet argument n’est pas au fond beaucoup plus solide que les autres, et l’histoire elle-même ne s’est-elle pas chargée de le réfuter ?
De 1627 à 1660 tout avait été remis au hasard ; et, quoiqu’il y eût déjà des modèles, il n’y avait pas de doctrine. […] Obscurs et oubliés, oui ; mais à quoi le doit-on, sinon aux doctrines qu’a fait prévaloir Boileau ? […] Une doctrine littéraire, qui m’impose la raison et le vrai, a plus de souci de ma liberté que celle qui autorise mes caprices. […] Au temps où Boileau écrivait, la simplicité même de ses doctrines en faisait l’autorité. […] Les doctrines en avaient été débattues entre les grands poètes de ce siècle, Molière, Racine, La Fontaine, Boileau, dans des entretiens dont la tradition est demeurée.
L’apport poétique qui se trouve maintenant consacré sous le nom de « Poésie scientifique », représente de son principe philosophique à sa technique prosodique et rythmique, — une Doctrine continue… Je me suis simplement appliqué à moi-même la règle morale qui ressort de cette doctrine, d’avoir tendu, selon toutes les puissances accrues de culture qui étaient en moi, à l’art le plus complexe et le plus complet lié en la plus solide unité qui m’était possible : en le plus de volonté, en le plus d’effort. […] Elle représente toute une doctrine, à développement philosophique, sociologique, et d’éthique, et supporte une métaphysique… C’est en 1885, que, autour de Mallarmé, dans le petit salon de la rue de Rome où il recevait dès lors le mardi soir, le premier groupement s’opéra, avant toutes Ecoles. […] Les Ecoles Symbolistes allaient lutter entre elles, non pour des idées, car ce ne sont guère que subtilités du Verbe voilant du concept assez simpliste, mais sur des apports prosodiques et rythmiques tandis que la « Poésie scientifique » s’opposait à toutes, qui si sa doctrine avons-nous vu, les pénètre et les impressionne souvent, devait les traverser sans contact pour elle-même. […] Ce n’est point ici, on l’a vu, une simple poétique : mais ma doctrine poétique et philosophique ordonnée et complexe est une. […] Il a aimé et traduit et étudié les poètes Symbolistes, en même temps qu’il s’est trouvé devant la doctrine poétique-Scientifique, elle qui s’accorda à son esprit dont l’évolution gravement méditative le devait naturellement mener à proclamer que la poésie doit savoir et penser pour en dire nouvellement son émotion et son lyrisme, et à œuvrer ainsi selon son énergique personnalité.
L’obscurité du problème, dans toutes les doctrines, tient à la double antithèse que notre entendement établit entre l’étendu et l’inétendu d’une part, la qualité et la quantité de l’autre. […] De ces deux doctrines opposées, l’une attribue au corps et l’autre à l’esprit un don de création véritable, la première voulant que notre cerveau engendre la représentation et la seconde que notre entendement dessine le plan de la nature. Et contre ces deux doctrines nous invoquons le même témoignage, celui de la conscience, laquelle nous montre dans notre corps une image comme les autres, et dans notre entendement une certaine faculté de dissocier, de distinguer et d’opposer logiquement, mais non pas de créer ou de construire. […] Ce caractère mixte de notre perception immédiate, cette apparence de contradiction réalisée, est la principale raison théorique que nous ayons de croire à un monde extérieur qui ne coïncide pas absolument avec notre perception ; et comme on la méconnaît dans une doctrine qui rend la sensation tout à fait hétérogène aux mouvements dont elle ne serait que la traduction consciente, cette doctrine devrait, semble-t-il, s’en tenir aux sensations, dont elle a fait l’unique donnée, et ne pas leur adjoindre des mouvements qui, sans contact possible avec elles, n’en sont plus que le duplicat inutile. […] Mais les deux doctrines s’accordent à affirmer la discontinuité des divers ordres de qualités sensibles, comme aussi le passage brusque de ce qui est purement étendu à ce qui n’est étendu en aucune manière.
Il se fit recevoir avocat, et fréquenta quelque temps le Palais ; mais prévoyant trop d’obstacle et d’ennui dans la pratique, par la dépendance où se trouvaient les avocats vis-à-vis des procureurs, il se tourna du côté de l’Église, et muni comme il était de toute sorte de doctrine, doué d’une faconde naturelle, et d’une parole abondante et démonstrative, il devint prêtre et prédicateur. […] Nisard, la différence qu’il y a entre les deux écrivains, l’un plus léger et jouant avec sa propre doctrine, l’autre affirmatif et méthodique jusque dans le doute, et de plus y mettant l’affiche. […] Ce qui lui manque, c’est ce qui fait l’âme et l’honneur, je ne dirai pas de la méthode (elle peut paraître hasardeuse), mais de la doctrine et du génie de Pascal, ce qui en fait la puissance et l’attrait : c’est le désir et le tourment, c’est le cœur. […] Charron, prêtre séculier, docteur en théologie, venu de la ville de Bordeaux, « qui faisait des sermons pleins de grant doctrine et duquel les doctes disaient ledict sieur Charron être le plus grant prédicateur de France. » Et quelques pages après (p. 241) : « À Angers comme à Paris, dit M.
Renan croit fermement que l’homme individuel a un but, « une perfection morale et intellectuelle à atteindre. » Il professe avec énergie ces hautes doctrines ; et, si on le presse, si on le chicane, si on lui oppose ses propres recherches, sa propre méthode, ce qu’il y a d’inexorable dans les résultats ou les inductions de l’analyse positive, il n’hésite pas à s’arrêter, à réserver l’avenir, à poser au terme de tout examen critique, et en présence du grand inconnu, ce qu’il appelle un doute inébranlable, mais un doute qui est tout en faveur des plus nobles suppositions et des hypothèses les plus conformes à la dignité du genre humain. […] Renan, plus j’entends décrier la foi du Christ, plus j’aime le Christ, plus je me raffermis dans sa doctrine. […] Et ce serait, au nom des doctrines qui ont leur racine dans la parole de vie prêchée en tous lieux, qu’un examen, non des doctrines mêmes, mais des monuments et des textes, ne pourrait être scientifiquement entrepris et traité par la parole !
L’individualisme, l’anarchisme, le collectivisme sont là pour en témoigner, ainsi que bien des tentatives diverses de synthèse et de conciliation entre différentes doctrines. […] Il s’épanouit toute une floraison de pensées, de doctrines, de sentiments, d’actes qui naissent à l’occasion de ce désordre et tendent, spontanément ou volontairement, à le réprimer. […] Notre intelligence, notre sensibilité, notre volonté, nos théories et nos doctrines morales, tout ce que l’on considère comme faisant « la grandeur de l’homme » vient de là. […] Et c’est ainsi que peu à peu, par des procédés inaperçus souvent et encore méconnus, elle a créé dans l’homme un ensemble artificiel et factice, illusoire et nécessaire peut-être, de doctrines, de croyances, de sentiments, de passions qui devaient adapter l’homme à la vie sociale, et qui l’ont fait réellement dans une certaine mesure.
Il continue de développer cette idée d’une doctrine secrète qu’il faut réserver pour soi et pour le petit nombre : En ce qui vous regarde, mon ami, croyez-moi, vous êtes né, pour votre bonheur, trop tôt de quelques siècles. […] Réservez votre doctrine secrète pour un petit nombre d’amis sûrs, dans le sein de qui votre âme puisse s’épancher sans contrainte, et qui soient dignes de cultiver avec vous la philosophie et de rendre honneur à la vérité. […] Il appliquait plus ou moins cette doctrine du secret dont nous l’avons vu chercher à se pénétrer de bonne heure. […] En achevant de lire Pariset sur Pinel et Corvisart, j’ai pris aussitôt Cuvier sur les mêmes sujets, et j’ai senti toute la différence qu’il y a entre un homme instruit, disert, comme Pariset, qui a du feu, du coloris, de la sensibilité, mais qui déborde et divague souvent, et un esprit du premier ordre, toujours maître de lui et de son sujet, qui, en se hâtant, touche à tous les points essentiels, ne néglige aucun des caractères de l’homme, retrace le trait principal des doctrines sans se détourner jamais, marque en passant les rapports, les dépendances des diverses branches, signale les influences positives, soulève ou écarte les objections.
Il sort bientôt du cercle étroit que lui prescrit le dogme, pour entrer dans les régions immenses que lui ouvre l’opinion. » Le jeune homme, nourri dans la tradition et dans la pratique religieuse, paraît préoccupé des querelles et des dissensions théologiques qui agitaient encore à ce moment plusieurs classes de la société : « Un enthousiaste, dit-il spirituellement, ne cherche point dans les ouvrages divins ce qu’il faut croire, mais ce qu’il croit ; il n’y démêle point ce qui s’y trouve, mais ce qu’il y cherche… Les livres sacrés sont comme un pays où les hommes de tous les partis vont comme au pillage, où ils s’attaquent souvent avec les mêmes armes et livrent bien des combats d’où tous croient sortir également victorieux69. » On devine, à la manière dont il parle du « judicieux abbé Fleury », qu’il n’est disposé à donner dans aucun extrême en fait de doctrine ecclésiastique, de même qu’on le trouve très en garde contre les écrits de Rousseau. […] Ces deux écrits nous donnent son point de départ exact à la veille de 89, et nous le montrent dans sa modération, ses réserves et ses timidités mêmes, et aussi dans son fonds de solidité et de doctrine. […] Il expose, dans sa remontrance et dans l’examen qui suivit, l’ancienne doctrine française parlementaire, l’utilité des vérifications d’édits par les cours souveraines, le bienfait même de certaines lenteurs, profitables au bon conseil et à la prudence, de telle sorte qu’une volonté du monarque, annoncée comme loi, n’ait pas son brusque effet immédiat aussi infailliblement qu’« une boule jetée contre une autre doit avoir le sien ». […] Je n’insiste pas davantage sur ces premiers écrits à demi politiques, pleins de vues libérales ou même déjà législatrices entremêlées dans l’esprit de corps, et où la doctrine des anciens parlements se retrouve dans toute sa plénitude et sa beauté en expirant : mais Portalis ne s’y montrait encore que comme l’avocat d’une province, et j’ai hâte de l’atteindre au moment où il devient le conseiller et la lumière de toute la France.
En dépit de sa puissante nature, il a commis une erreur gigantesque dont l’ensemble de sa doctrine demeure vicié. […] La voici : Toute la pensée de Ruskin, tous ses efforts, toute sa doctrine, son idéal esthétique et social sont orientés vers le passé. […] Son idéal d’humanité est un idéal de Christ ou de Saint-François d’Assise ; l’évangélisme de Tolstoï est apparenté à sa doctrine. « L’idéal d’aujourd’hui, c’est peut-être simplement un souvenir des réalités d’autrefois… » dit M. […] L’art moderne, en effet, tel qu’il se dégage des efforts et des réalisations d’une élite de peintres, aussi différents que reliés entre eux par une perception confuse des nouvelles nécessités de la peinture, est un art de réalité criante et crue, sans autre doctrine que celles de l’individu qui le pratique et sans autre intention que lui-même.
Et les doctrines valent les doctrines. […] C’est une doctrine de la suprématie des bêtes. […] Toute sa vie, il garda le scrupule de qui a des doctrines à répandre. […] Et il interrogeait la réalité, pour que les doctrines y apparussent. […] » C’est le mysticisme qu’il y a dans toute doctrine, et dans la sienne.
Parlons-nous doctrine, parlons-nous conduite ? […] Alors nous fondons une religion, et c’est de doctrines seulement qu’il faut parler, et seulement au point de vue des doctrines qu’il faut faire notre choix parmi les hommes. […] S’ils appelaient tout le monde, sauf les purs gredins, ils devraient affirmer très peu de choses, et leur doctrine aurait peu de force ; s’ils affirmaient énergiquement une doctrine étroite, ils auraient, d’abord, très peu de disciples, mais la doctrine aurait une grande énergie. […] C’est le vice secret de la doctrine de M. […] C’est un recueil d’études ; sur la doctrine évolutionniste c’est comme une suite d’illustrations brillantes et poétiques de la doctrine darwinienne, où M.
Ceci est l’œuvre de l’Esprit de Dieu, agissant par les doctrines de la Bible. […] 1541-1603 Nous passons ici, non tant à d’autres doctrines qu’à une forme différente, à une autre nuance des mêmes doctrines. […] Remarquons, au surplus, que sa doctrine n’est pas morte avec lui. […] Voici un passage de la République qui contraste fort avec la doctrine de Charron. […] C’est du cœur qu’il faut partir dans le jugement qu’on porte sur les hommes, fort différent de celui que les doctrines méritent.
Sully-Prudhomme expliquer, mieux que dans la langue commune, dans la langue de la poésie, certaines doctrines philosophiques, avec autant de rigueur qu’eût pu le faire un docteur allemand, devant quelques disciples initiés, dans un langage hérissé de locutions scolastiques ? […] Cependant la différence est grande : Buffon prescrit le mot propre partout et toujours en vue de la noblesse du style, et sa doctrine mène à la métonymie inexacte et à la périphrase énigmatique.
On en citerait des passages qui jureraient avec les doctrines futures de Saint-Just ; mais ce serait faire trop d’honneur à ces boutades rimées que d’en tirer la moindre conséquence un peu suivie. […] À cette date, et avant que ses instincts cruels aient été mis directement aux prises avec les événements et avec les tentations ambitieuses, Saint-Just est encore imbu des doctrines philanthropiques du xviiie siècle en matière pénale : c’est un élève de Beccaria. […] Il vint y poser, avec un cynisme audacieux, sa doctrine sauvage. […] Et il revient avec un appareil logique à la doctrine qu’il ne faut juger Louis XVI que selon le droit des gens, c’est-à-dire comme on repousse la force par la force, comme on jugeait un étranger, un ennemi, un barbare un vaincu prisonnier de guerre, dans le temps où l’on égorgeait les prisonniers et les vaincus. […] À part cette idée de gouvernement fort, dont il abuse et qu’il pervertit au gré de ses sophismes et de sa passion ; toute la doctrine politique de Saint-Just n’est qu’un délire.
On s’obstine à représenter l’éclectisme comme la doctrine à laquelle on daigne attacher notre nom. […] Il lui a manqué d’entendre mieux ses intérêts, de tolérer des diversités inévitables, utiles même, et de mettre à profit les vérités que contiennent toutes les doctrines particulières pour en tirer une doctrine générale, qui s’épure et s’agrandisse successivement et perpétuellement. […] Platon est véritablement le père de la doctrine que nous avons exposée, et les grands philosophes qui se rattachent à son école ont tous professé cette même doctrine. […] Mais même sous cette forme un peu plus raffinée, la doctrine que nous examinons ne détruit pas moins la distinction du bien et du mal. […] 5º Signalons encore une des conséquences nécessaires de la doctrine de l’intérêt.
De l’autre, il met dans la bouche de Jésus des discours dont le ton, le style, les allures, les doctrines n’ont rien de commun avec les Logia rapportés par les synoptiques. […] Plusieurs des allusions messianiques relevées par les évangélistes sont si subtiles, si détournées, qu’on ne peut croire que tout cela répondît à une doctrine généralement admise. […] Quand je conçus pour la première fois une histoire des origines du christianisme, ce que je voulais faire, c’était bien, en effet, une histoire de doctrines, où les hommes n’auraient eu presque aucune part. […] Mais j’ai compris depuis que l’histoire n’est pas un simple jeu d’abstractions, que les hommes y sont plus que les doctrines. […] Le parsisme, l’hellénisme, le judaïsme auraient pu se combiner sous toutes les formes ; les doctrines de la résurrection et du Verbe auraient pu se développer durant des siècles sans produire ce fait fécond, unique, grandiose, qui s’appelle le christianisme.
Il n’est pas indifférent, on le voit, d’admettre telle ou telle doctrine politique, de subir telle ou telle institution ; reliée à cette doctrine. […] De là naquit la doctrine des anticorps. […] Babinski a soumis la doctrine de l’hystérie. […] Je pense fermement qu’un savant, qui a une doctrine préconçue, peut toujours instituer l’expérience démonstrative, qui viendra à l’appui de cette doctrine. […] N’alléguez point que ces couleurs et cette doctrine ne sont point comparables entre elles ; car ces doctrines passagères ont la couleur du temps.
Suivant cette doctrine, la bienséance ne serait qu’un voile bon à jeter sur le dérèglement des mœurs, ou tout au plus un palliatif de l’incontinence générale. […] Nous reviendrons sur ce sujet dans la quatrième période, en examinant la doctrine de Molière sur l’usage de plusieurs expressions qu’il a voulu maintenir, et que l’usage a écartées de la langue.
C’est le malheur des hommes qui représentent une doctrine qu’il devient impossible de les épargner le jour où ils compromettent cette doctrine.
A ces phénomènes, il a donné une figure allemande, en prenant le contre-pied de la doctrine allemande de Metternich (réaction autrichienne) et du suisse Haller (réaction prussienne). […] Marx recueille cette doctrine pour en prendre exactement le contre-pied.
On y prônait mêmes hommes, mêmes doctrines. […] Voulez-vous savoir les points saillants de sa doctrine ? […] d’en faire remonter la responsabilité aux doctrines socialistes. […] Il faut en étudier tour à tour la partie romanesque et la doctrine. […] Une charge à fond contre la doctrine de la chute et de la rédemption.