/ 2804
1297. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » p. 167

Ryer [Pierre du] de l'Académie Françoise, né à Paris en 1605, mort en 1658.

1298. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » p. 206

Saint-Gelais, [Melin de] Aumônier & Bibliothécaire de Henri II, né à Angoulême, mort à Paris en 1558.

1299. (1860) Ceci n’est pas un livre « Une conspiration sous Abdul-Théo. Vaudeville turc en trois journées, mêlé d’orientales — Prologue » pp. 213-214

Fait à Paris, le 10 septembre 1863.

1300. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215

Aussi pouvez-vous juger du désappointement des bourgeois de Paris, lorsqu’il leur fallut écouter, d’un bout à l’autre, ces paroles austères, ce drame sérieux, aux lieu et place de la bouffonnerie qu’ils attendaient. — Il arriva que Don Juan fit peur à ces timorés et timides esprits. […] Il est donc très facile d’expliquer comment ce Don Juan, qui a fait peur à son poète d’abord, au bourgeois de Paris ensuite, fut bientôt abandonné et par le poète et par le bourgeois. […] — Quelle vie nouvelle ajoutée à la poésie de Quinault, à la prose de Molière, et quelle est la voix puissante qui sait chanter, d’une façon si lamentable, les héros de ce siècle, apportés à Notre-Dame de Paris, sous un sarcophage d’or et de velours ? […] C’est là tout à fait le marchand de Paris, quand il y avait à Paris de grands seigneurs qui se faisaient gloire de ne pas payer les marchands, et des marchands tout glorieux de se ruiner pour ces grands seigneurs. […] Le sacré pontife (M. l’archevêque de Paris) vous attends avec ce voile mystérieux que vous demandez.

1301. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « Appendice. »

Pour vous, mon cher Monsieur, vous avez un avantage de plus, vous êtes venu habiter parmi nous ; vous avez été de Paris ; vous êtes aujourd’hui de Berlin : demain, je l’espère bien, vous nous reviendrez et vous serez de Paris. […] Aucun des grands poëtes romantiques français ne savait l’allemand ; et parmi ceux qui les approchaient, je ne vois que Henri Blaze, très-jeune alors, mais déjà curieux et au fait, et aussi Gérard de Nerval, qui de bonne heure se multipliait et était comme le commis voyageur littéraire de Paris à Munich. […] « Paris, ce 2 novembre 1863.

1302. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Diderot »

Ce petit événement décida son père à l’amener à Paris, où il le plaça au collège d’Harcourt. […] C’est plaisir de retrouver, dans le Neveu de Hameau, la redingote de peluche grise avec laquelle il se promenait au Luxembourg en été, dans l’allée des Soupirs, et de le voir trottant, au sortir de là, sur le pavé de Paris, en manchettes déchirées et en bas de laine noire recousus par derrière avec du fil blanc. […] Diderot dit que c’était une des plus puissantes affections de l’homme : « Un cœur paternel, repris-je ; non, il n’y a que ceux qui ont été pères qui sachent ce que c’est ; c’est un secret heureusement ignoré, même des enfants. » Puis continuant, j’ajoutai : « Les premières années que je passai à Paris avaient été fort peu réglées ; ma conduite suffisait de reste pour irriter mon père, sans qu’il fût besoin de la lui exagérer. […] Nodier (Revue de Paris).

1303. (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre II — Chapitre septième. »

Après des études faites à l’Université de Paris, et, pour le droit, aux universités d’Orléans et de Bourges ; après cinq ou six ans de pratique du barreau, dont il se dégoûta, pour s’attacher à la théologie et à la prédication, il devint, à l’école de Montaigne, moraliste, en gardant la méthode du théologien et cette habitude rigoureuse d’écrire pour convaincre. […] La mort le frappa deux ans après, à Paris, comme il venait de terminer le manuscrit de la seconde édition. […] Vérité liberté, c’est une belle devise pour Paris. […] Né à Paris en 1541, mort le 16 novembre 1603.

1304. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Monsieur de Latouche. » pp. 474-502

Lui qui a tant parlé de sa retraite de paysan au sein de sa vallée, il avait bien souvent la tête à la fenêtre pour écouter de là-bas ce qui se faisait à Paris, et si ce vague bruit auquel il prêtait l’oreille n’était pas celui de la gloire qui lui venait. […] Qu’on relise aujourd’hui le fameux article sur « La camaraderie littéraire » (Revue de Paris, octobre 1829), et qu’on dise si ce qu’il pouvait y avoir de sensé dans l’idée générale n’est pas compromis et comme perdu dans un tissu d’allusions entrecroisées et de personnalités inextricables. […] Dans les lettres que Carlin écrit de Paris, c’est moins l’acteur de la Comédie italienne qui parle, que M. de Latouche lui-même jugeant et persiflant les coteries littéraires de 1826, se moquant de l’alexandrin consacré : « En France, écrit Carlin, ces longues choses à qui je ne sais quel Alexandre a donné son nom, sont toujours terminées par des rimes : cela tient lieu de pensées. » Toute cette partie du livre se ressent, à première vue, de la querelle classique et romantique, de même qu’une grande part aussi est faite aux préoccupations antijésuitiques du moment. […] Jal, c’était vous montrer un article de la Revue de Paris que j’ai supprimé à cause de la position où se trouve Marion de Lorme.

1305. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1856 » pp. 121-159

Elle a conservé à Paris ses habitudes de réclusion de la femme italienne, et pour s’occuper, quand elle a découvert dans Le Constitutionnel, un roman qui ne dure pas vingt-quatre volumes, elle le traduit pour elle toute seule, en pur toscan. […] Et il tire des rayons un volume : Théâtre de M. le comte de Montalembert, joué sur le théâtre de Montalembert… Votre tableau de Paris m’a vivement intéressé, c’est bien curieux… Je vous ai écrit… Oui…. […] De petits trésors, de l’histoire neuve, refusés à L’Assemblée nationale, à cause des crudités, à la Gazette de Paris, à cause de la longueur. […] Il semble qu’une main du passé ait tenu la pointe du graveur, et que mieux que la pierre du vieux Paris soit venu sur ces feuilles de papier.

1306. (1891) Journal des Goncourt. Tome V (1872-1877) « Année 1877 » pp. 308-348

Pélagie est à Paris. […] Le lendemain, je repartais pour Paris, et le collège. […] Mercredi, 15 août Une population de village un peu effrayante, — c’est celle de Robert-Espagne — qui a pour le bourgeois, le regard hostile d’un mauvais quartier de Paris, la veille d’une insurrection. […] Vendredi, 31 août Paris.

1307. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 293

Berville, [guyart de] né à Paris en 1697, mort en 1770.

1308. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 365-366

Boursier, [Laurent-François] Docteur de la Maison & Société de Sorbonne, né dans le Diocèse de Paris en 1679, mort en 1749.

1309. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 447

Castellan, [Pierre] Evêque de Tulle, & grand Aumônier de France, mort à Paris en 1552, étoit l’homme le plus savant & le plus éloquent de son temps ; ce qui ne prouve pas qu’il dut l’être beaucoup.

1310. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 482-483

Charpentier, [François] Doyen de l’Académie Françoise & de celle des Inscriptions, né à Paris en 1620, mort dans la même ville en 1702.

1311. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » p. 67

COURTILS, [Gratien Sandras de] né à Montargis en 1644, mort à Paris en 1712, est connu par plusieurs Ouvrages historiques, où l’on remarque beaucoup de facilité, mais peu d’exactitude.

1312. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » p. 68

COUSIN, [Louis] Président à la Cour des Monnoies, de l’Académie Françoise, né à Paris en 1627, mort dans la même ville en 1707.

1313. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 197-198

DUBOS, [Jean-Baptiste] Abbé, de l’Académie Françoise, né à Beauvais en 1670, mort à Paris en 1742.

1314. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 199

DUCANGE, [Charles Dufresne, Seigneur] Trésorier de France, né à Amiens en 1610, mort à Paris en 1688.

1315. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 200

DUCHÉ, [Joseph-François] de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, né à Paris en 1668, mort dans la même ville en 1704, éleve de Pavillon, & ami de J.

1316. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 216

DUHAMEL, [Jean-Baptiste] né à Vite en Basse-Normandie en 1624, mort à Paris en 1706.

1317. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 359-360

FURGAULT, [Nicolas] Professeur Emérite en l’Université de Paris, né dans le Diocese de Châlons, en 1706.

1318. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 386

Richer, Avocat au Parlement de Paris, a évité l’un & l’autre excès dans l’Ouvrage qu’il a publié sous le même titre & fait sur le même plan, & où le mérite d’un style noble & précis se trouve réuni à l’intérêt des matieres.

1319. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 134

LIGNAC, [Joseph-Adrien le Large de] d’abord Jésuite, puis Oratorien, puis Abbé, né à Poitiers, mort à Paris en 1761.

1320. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » p. 416

NOBLE, [Eustache le] Procureur-Général du Parlement de Metz, né à Troies en 1643, mort à Paris en 1711.

1321. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 483-484

PELLEGRIN, [Simon-Joseph de] Abbé, né à Marseille en 1663, mort à Paris en 1745 ; Poëte dont le nom est devenu ridicule de nos jours, comme celui de l’Abbé Cotin, dans le Siecle de Louis XIV ; mais on doit reconnoître, à l’égard de l’un & de l’autre, plus de fatalité que de justice dans le mépris qu’ils ont éprouvé de la part de leurs Contemporains.

/ 2804