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254. (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Préface »

Sa moisson a été fort riche et se trouve être fort variée.

255. (1814) Cours de littérature dramatique. Tome II

Sa femme Thétis a un temple et des autels dans le pays ; il n’en est pas plus riche, mais il a du caractère : il écrase Ménélas d’injures et de reproches. […] Bajazet se développe d’une manière assez imposante dans un de ses entretiens avec Acomat, et dans sa dernière réponse à la proposition atroce de Roxane ; dans tout le reste, il est ce qu’il doit être : quoiqu’il donne le titre à la pièce, c’est dans le fait un personnage secondaire ; et lorsqu’une tragédie présente deux rôles du premier rang, et d’une aussi grande force que ceux de Roxane et d’Acomat, elle est assez nourrie, assez riche ; et l’on ne peut rien exiger de plus. […] Voltaire, dans ses plus beaux moments, lorsqu’il étale ses couleurs et fait la roue avec le plus d’orgueil, n’est riche, n’est véritablement paré que des plumes qu’il a dérobées à Racine, et qu’il mêle avec beaucoup d’art avec les siennes : et c’est ce Racine que Voltaire accuse de timidité et même de platitude ; mais, en orateur adroit, il fait précéder l’accusation d’une précaution oratoire, qui en affaiblit l’odieux. […] J’avoue que je préfère ces sujets tirés de l’histoire à ceux que Racine a puisés dans les fables grecques : peut-être est-il plus brillant encore, plus riche de poésie, et, si l’on veut même, plus théâtral dans Andromaque, Iphigénie et Phèdre. […] Dans un temps où la scène française était bien moins riche, et le goût des spectacles beaucoup moins vif, il y avait à Paris deux théâtres où l’on jouait des tragédies : aujourd’hui, malgré l’abondance de nos chefs-d’œuvre, et l’empressement du public pour les voir, on ne joue la tragédie que sur un seul théâtre, mais il y en a une douzaine consacrés à la farce : la concurrence de deux tragédies rivales serait par là même impossible.

256. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Souvenirs militaires et intimes du général vicomte de Pelleport, publiés par son fils. » pp. 324-345

Après avoir jeté un coup d’œil rapide, sur ce corps couvert de haillons, mais riche de jeunesse, ayant le courage des privations et l’expérience acquise par trois campagnes, soit dans les Alpes et les Pyrénées, soit dans la Vendée, il réunit les officiers, se plaça dans le cercle et nous dit : « J’ai suivi avec un grand intérêt les opérations de la dernière campagne, soit en Espagne, soit en Italie ; j’ai applaudi au courage et au dévouement des deux armées. […] » Masséna s’approcha aussi et fit cette harangue d’un autre ton : « Camarades, vous avez devant vous 4000 jeunes gens appartenant aux plus riches familles de Vienne ; ils sont venus en poste jusqu’à Bassano : je vous les recommande. » — « Cette harangue, parfaitement comprise, ajoute Pelleport, nous fit rire. » Dans tout ceci, il n’est guère question d’avancement pour Pelleport, toujours brave, toujours sous-lieutenant, et jamais pressé. […] C’était le temps du blocus établi dans toute sa rigueur, et les négociants dont ces mesures prohibitives ruinaient le commerce essayaient de les éluder par tous les moyens : Depuis longtemps, raconte Pelleport, l’une des plus riches maisons de commerce du pays, — je tairai le nom —, avait eu recours à toutes sortes d’expédients pour faire entrer des marchandises anglaises en Hollande ; elle avait échoué.

257. (1887) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Troisième série « Octave Feuillet »

Mais cette jeune fille, horriblement malheureuse d’être riche et craignant toujours qu’on n’en veuille à sa dot, le traite avec la dernière impertinence. […] Avant de se précipiter dans le vide, il a juré de ne l’épouser que lorsqu’elle serait aussi pauvre que lui, ou lui aussi riche qu’elle. Sur quoi Marguerite et sa mère sollicitent l’autorisation d’abandonner tous leurs biens à une congrégation religieuse ; mais heureusement une vieille demoiselle fort riche meurt en léguant sa fortune à son cousin Maxime.

258. (1902) L’œuvre de M. Paul Bourget et la manière de M. Anatole France

* *  * Ce n’aura pas été le moindre prestige de cette physionomie complexe et si riche, que de s’être comme à demi idéalisée dans d’inappréciables persévérances méditatives, grâce auxquelles ce qu’elle a longtemps exprimé d’une vie intérieure aussi aride que résignée, a pu tout à coup nous apparaître susceptible d’une indéfinie perfectibilité. […] Sans doute, ce pouvoir qui semble d’essence supérieure, qui a l’air de condenser de l’expérience, et de l’expérience éduquée, qui se révèle riche en lignes exactes et en presciences ordonnées, — témoigne, surtout lorsqu’il est aussi déterminé qu’en M.  […] L’on voudra voir plus loin si cette pensée, qui a la fantaisie d’être si riche, continuera d’avoir celle de s’enserrer dans des ajustements irréprochables.

259. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Madame de Lambert et madame Necker. » pp. 217-239

La mère de Mme de Lambert, fille d’un riche bourgeois de Paris, était une franche coquette, qui a mérité d’avoir son historiette des plus scandaleuses chez Tallemant des Réaux. […] On croit entendre à l’avance un conseil de Vauvenargues à quelque jeune ami, dans la bouche de cette mère issue d’une bourgeoisie riche et licencieuse. […] Elle était riche, faisait un bon et aimable usage de ses richesses, du bien à ses amis, et surtout aux malheureux.

260. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Le Prince » pp. 206-220

Si vous n’entendez que les étoffes et l’ajustement, quittez l’académie, et faites-vous fille de boutique aux traits galants, ou maître tailleur à l’opéra. à vous parler sans déguisement, tous vos grands tableaux de cette année sont à faire, et toutes vos petites compositions ne sont que de riches écrans, de précieux éventails. […] Les figures plates ressemblent à de belles et riches images collées sur toile. […] Les têtes sont ici mieux touchées, mais non de manière à se soutenir contre le reste, ces têtes plates, monotones et faibles, au-dessus de ces étoffes riches et vigoureuses vous blessent.

261. (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « I — L’art et la sexualité »

Je collectionnerai tout d’abord pour le lecteur qui les ignore, quelques fragments parmi les plus étranges :‌ L’eau sage s’est enclose en des cloisons de verre‌ D’où le monde lui soit plus vague et plus lointain ;‌ D’être recluse, elle s’épure, devient chaste‌ Et, riche ainsi pour s’être enclose, l’eau s’écoute ‌ A travers les poissons et les herbages verts ; ‌ Elle est fermée au monde et se possède toute ‌ Et nul vent ne détruit son fragile univers.‌ […] Tout être vivant qui, plongé dans un milieu d’action et de passion, de haines et de sympathies, de lutte et de liberté, de mille et mille liens entremêlés, d’hommes et de femmes, dans un ensemble de toutes les vies, de toutes les natures, de toutes les jouissances, ne s’élance pas d’un libre instinct dans ce riche univers, pour y satisfaire sa soif infinie du plaisir et lui demander sa part de tout ce qu’il recèle de saveur et de sens, ne sera jamais qu’un rameau desséché sur l’arbre de la grande vie : sans parfum, sans éclat, sans fruit et sans couleur, sans force créatrice. […] La nature est tellement riche qu’elle accumule en quelques-uns des ressources insoupçonnées ; et nous voyons alors des prodiges, que, chez tout autre, nous devrions nommer folies.

262. (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « III — La rentrée dans l’ordre »

Autre remarque : il n’est souvent que le porte-parole de l’auteur, qu’une thèse vivante en faveur des idées chères à Emile Zola ; d’où peut-être une impression de froideur et d’artifice, parfois éprouvée au cours de ce récit, d’autre part si brûlant, si riche de chaude humanité.‌ […] Le hors nature veut dominer l’homme de nature, l’atrophié veut être plus fort que le sain, le serf plus véridique que le libre, le stérile plus riche que le fécond, le malade plus sain que le vivant… Il suffirait, semble-t-il, d’un moment de réflexion dans une humanité moins enténébrée de tradition, pour saisir immédiatement l’absurdité d’une telle prétention. […] Ce que tu as de plus riche, de plus pur, de plus grand, on va te le corrompre.

263. (1884) La légende du Parnasse contemporain

Je suis riche, mais riche à faire envie Aux oiseaux du ciel tant j’ai de l’amour Au fond de mon cœur qui la glorifie, Cher être béni ! […] Scribe était homme de lettres et il fut riche !  […] C’était en plein hiver, avec de la cendre dans le foyer, rien que de la cendre, — des gens riches avaient fait du feu autrefois ! […] Car Francis Coppée n’était pas riche ! […] Oui, contents de l’avoir fait riche et fameux.

264. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre IV. Petits Symbolards » pp. 49-52

* * * Ces quatre pantomimes, et plusieurs autres non moins riches de sens, la Madone les exécute à son tour, cependant que le Chevalier se repose.

265. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Deuxième partie. Ce qui peut être objet d’étude scientifique dans une œuvre littéraire — Chapitre premier. La question de fait et la question de goût » pp. 30-31

On peut dire, par exemple : Cette œuvre est en vers ; les vers ont tant de syllabes ; la césure en est régulière ; les rimes en sont riches ; elles sont combinées de telle ou telle manière.

266. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre quatrième. Du Merveilleux, ou de la Poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels. — Chapitre XV. Du Purgatoire. »

Poètes chrétiens, les prières de vos Nisus atteindront un Euryale au-delà du tombeau ; vos riches pourront partager leur superflu avec le pauvre ; et pour le plaisir qu’ils auront eu à faire cette simple, cette agréable action, Dieu les en récompensera encore, en retirant leur père et leur mère d’un lieu de peines !

267. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Restout le fils » pp. 284-285

Que pensez-vous du contraste de cette tête ignoble d’ Anacréon avec les vases précieux qui l’entourent et les riches étoffes qui le couvrent ?

268. (1861) La Fontaine et ses fables « Deuxième partie — Chapitre II. Les bêtes »

Sa fourrure est riche, et sa queue magnifique. […] Tant d’esprit et de courage, une si bonne tournure et une physionomie si expressive, ce génie inventif et ces inclinations de gourmet, le destinaient à vivre aux dépens d’autrui, à se cantonner dans le pays des riches aubaines, la cour, et à venir puiser le plus près possible à la source des grâces. […] Il est bien fourré, sans doute, et en riche homme, largement et chaudement habillé. […] Alors les bêtes sauvages bondissent dans les riches pâturages et traversent les fleuves rapides.

269. (1857) Articles justificatifs pour Charles Baudelaire, auteur des « Fleurs du mal » pp. 1-33

La nature pacifique a donné depuis longtemps ses plus riches échantillons. […] Figurez-vous cette langue, plus plastique encore que poétique, maniée et taillée comme le bronze et la pierre, et où la phrase a des enroulements et des cannelures ; figurez-vous quelque chose du gothique fleuri ou de l’architecture moresque appliqué à cette simple construction qui a un sujet, un régime et un verbe ; puis, dans ces enroulements et ces cannelures d’une phrase qui prend les formes les plus variées comme les prendrait un cristal, supposez tous les piments, tous les alcools, tous les poisons, minéraux, végétaux, animaux, et ceux-là les plus riches et les plus abondants, si on pouvait les voir, qui se tirent du cœur de l’homme, et vous avez la poésie de M.  […] On emprunte les pensées avec le langage ; ou plutôt on se sert d’une langue riche pour déguiser le néant de sa pensée et la nullité de son tempérament. […] Soit qu’il évoque le souvenir, soit qu’il fleurisse le rêve, soit qu’il tire des misères et des vices du temps un idéal terrible, impitoyable, toujours la magie est complète, toujours l’image abondante et riche se poursuit rigoureusement dans ses termes.

270. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) «  Œuvres et correspondance inédites de M. de Tocqueville — I » pp. 93-106

La correspondance est très riche, pleine de cœur et de pensée. […] Pourquoi, nature si riche, ne produit-il pas au dehors ses fruits naturels ?

271. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « De la poésie en 1865. »

Léon Dierx avec ses Poëmes et Poésies 39, empreints de force et de tristesse ; — Alphonse Daudet avec ses vers légers et ses agréables contes ; — Georges Lafenestre surtout, qu’on a fort salué dans ce jeune monde pour ses Espérances 40, espérances (c’est bien le mot) pleines de fraîcheur en effet, d’une sève abondante et riche, d’une fine grâce amoureuse ; — je les nomme tous trois ensemble, et ne crois faire injure à aucun. […] Abel Jeandet (de Verdun), prend soin de nous expliquer dans une introduction avec le zèle et la sympathie d’un compatriote ; je parcours le recueil : c’est tout un monde bourguignon, des souvenirs du cru, des amitiés d’enfance, des paysages naturels, de riches aspects qu’anime la Saône ; puis le combat, la lutte et la mêlée, la souffrance, bien des amertumes, des injustices même éprouvées ou commises, le fouet de la satire qui siffle, et finalement une sorte de tristesse grave et de découragement austère ; — toute une vie, enfin, de quinze années qui se reflète dans des vers inégaux, rudes parfois, vrais toujours et sincères, et dont quelques-uns attestent une force poétique incontestable.

272. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Victor Hugo — Victor Hugo, Les Chants du crépuscule (1835) »

Nous n’en sommes pas moins sensible, qu’on veuille nous croire, à tout ce qui s’y trouve à profusion d’images riches, de traits inattendus et heureusement pittoresques, d’observations naturelles et domestiques de promeneur et de père, soit que le poëte nous indique du doigt dans la plaine le sentier qui se noue au village, la vallée toute fumante de vapeurs au soleil comme un beau vase où brûlent des parfums, soit qu’il se montre lui-même éveillé avec ses soins et ses doutes rongeurs, dès avant l’aube, Même avant les oiseaux, même avant les enfants ! […] Ce beffroi altier, écrasant, où il a placé la cloche à laquelle il se compare, représente lui-même à merveille l’aspect principal et central de son œuvre : de toutes parts le vaste horizon, un riche paysage, des chaumières riantes, et aussi, plus l’on approche, d’informes masures et des toits bizarres entassés.

273. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. ALFRED DE MUSSET (La Confession d’un Enfant du siècle.) » pp. 202-217

Dans les tentatives plus fortes qu’il a faites, comme André del Sarto et Lorenzaccio, M. de Musset a moins réussi que dans ces courtes et spirituelles esquisses, si brillantes, si vivement enlevées, dont les hasards et le décousu même conviennent de prime abord aux caprices et, en quelque sorte, aux brisures de son talent ; mais, jusque dans ces ouvrages de moindre réussite, on pouvait admirer la séve, bien des jets d’une superbe vigueur, de riches promesses, et dire enfin comme, dans son Lorenzaccio, Valori dit à Tebaldeo, le jeune peintre : « Sans compliment, cela est beau ; non pas du premier mérite, il est vrai : pourquoi flatterais-je un homme qui ne se flatte pas lui-même ? […] M. de Musset a l’imagination si naturellement riche et pleine de fleurs, qu’il est plus impardonnable qu’un autre dans ces excès.

274. (1890) L’avenir de la science « IV » p. 141

Il faut renon-cer aux grandes choses ; les généreuses pensées ne vivront plus que dans le souvenir des rhéteurs ; la religion ne sera plus qu’un frein que la peur des classes riches saura manier. […] Mais comment un homme de quelque sens moral et philosophique a-t-il pu écrire des chapitres intitulés : Conseils pour faire fortune  Avis nécessaire à ceux qui veulent être riches  Moyens d’avoir toujours de l’argent dans sa poche ?

275. (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — Police générale d’une Université et police, particulière d’un collège. » pp. 521-532

Entre les élèves, les enfants de la campagne sont plus robustes que les enfants des villes ; entre les enfants des villes, ceux du peuple et des artisans sont plus vigoureux que ceux des riches bourgeois ; les plus faibles et les moins sains sont les enfants des grands. […] Les boursiers, commensaux du collége, ne différent des pensionnaires qu’en ce qu’ils sont logés, vêtus, nourris, instruits, défrayés de toutes dépenses par la bienfaisance de quelque homme riche qui a fondé les places qu’ils occupent.

276. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre VII. »

Accordez-moi la riche abondance qui vient des dieux immortels, et donnez-moi d’obtenir toujours de tous les hommes bonne renommée, d’être ainsi doux à ceux que j’aime, amer à mes ennemis, respectable à ceux-ci, terrible à ceux-là. […] — « Je ne tiendrais pas en estime un homme77 pour son agilité à la course ou sa vigueur à la lutte, ni s’il avait la taille et la force des Cyclopes, ni s’il devançait la vitesse de l’aquilon, ni s’il était plus gracieux de visage que Tithon ou plus riche que Midas et Cinyre, ni s’il était plus roi que Pélops, fils de Tante tale, ni s’il avait la langue mélodieuse d’Adraste, ni quand il aurait toute gloire, hormis la force guerrière.

277. (1890) Impressions de théâtre. Quatrième série

Dans ce dessein, il lui propose pour mari un sien ami, également riche et de bonne maison. […] Il a promis la main d’Emmeline à Anatole, la retire à Anatole pour la donner à Octave, puis à Octave pour la rendre à Anatole, et ainsi de suite, c’est qu’il croit successivement Octave plus riche qu’Anatole et Anatole plus riche qu’Octave. […] vous ne vous y êtes jamais perdus, vous les grands, les riches, les heureux ! […] Assurément, il ne tuerait pas un moujick ; il ne tuerait même pas un riche qui aurait de la bonté, ni un artiste ou un savant qui se trouverait être riche. […] Elle voudrait être gantière dans un passage, puis, quand elle serait riche, se retirer à la campagne.

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