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1175. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « Eugène Sue » pp. 16-26

Il fut une fortune, et il passa pour une puissance.

1176. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXVII. Des panégyriques ou éloges adressés à Louis XIII, au cardinal de Richelieu, et au cardinal Mazarin. »

Soutenu de ces titres et de sa puissance, il trouva des panégyristes.

1177. (1887) George Sand

C’étaient tantôt des fureurs justicières et vengeresses contre une réformatrice audacieuse, tantôt une idolâtrie lyrique comme les œuvres qui en étaient l’objet, une acclamation bruyante en l’honneur des idées et des principes confondus, dans une sorte d’apothéose déréglée, avec la puissance de l’inspiration et la beauté du style. […] Selon la théorie annoncée (et c’est là qu’elle commence), il faut idéaliser cet amour, ce type par conséquent, et ne pas craindre de lui donner toutes les puissances dont on a l’aspiration en soi-même, ou toutes les douleurs dont on a vu ou senti la blessure. […] Comment se combinent en elle la puissance d’invention, qui est si variée et si féconde, avec l’expérience de la vie réelle, dans les différentes situations qu’elle décrit et les caractères qu’elle met en jeu ? […] Peut-être même, en réalité, n’y a-t-il pas d’écoles littéraires proprement dites ; il n’y aurait que des tempéraments différents, organisés plus spécialement pour l’observation ou l’imagination : les uns plus sensibles à l’exactitude du détail, les autres donnant libre carrière à leur puissance d’invention. […] Et après ce travail d’élimination, qu’il accomplit avec une justesse infaillible sur chaque grande renommée, il proclamera avec un immortel honneur cette puissance d’invention, qui n’exclut pas la faculté d’analyse, mais qui lui crée un cadre merveilleux ; il proclamera que, grâce à cette richesse inépuisable d’imagination et ce don expressif du style, George Sand est restée un poète qui a peu d’égaux, un des plus grands poètes de sa race et de son temps.

1178. (1889) Impressions de théâtre. Troisième série

Au moins voilà de quoi occuper toutes les inquiètes puissances de son âme ! […] A défaut de son amour, sa gloire et sa puissance lui parleront de moi ! […] Et, quand il le faut, quelle puissance d’émotion ! […] Becque nous présente avec puissance et clarté, dans la Parisienne, la plus étonnante déviation individuelle de la morale générale qu’on ait peut-être vue au théâtre. […] Richepin croit à la puissance moralisatrice de la mer, et peut-être a-t-il raison.

1179. (1949) La vie littéraire. Cinquième série

Mais personne n’a la puissance de lui arracher son secret, hormis celle à qui il a solennellement défendu de l’interroger. […] Mais une puissance extraordinaire anime cette lourde machine. […] Il a décuplé votre puissance ; il a fait de vous ces pistolets foudroyants dont s’effrayait avec raison le bon prêtre de Tréguier. […] Voilà la puissance de la femme sur un saint. […] Ce roi mystérieux étend, du fond de son palais, sa puissance sur un empire sans nom, étrange et chaud comme un rêve d’opium.

1180. (1914) En lisant Molière. L’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Tartuffe n’est-il pas un homme qui veut s’élever au-dessus de ses semblables, qui capte les héritages et les donations pour arriver à la puissance que donne l’argent, et n’y a-t-il nul rapport entre Tartuffe et Rodin et Bel Ami ? […] Tout cela lui vient de la volonté de puissance et aussi de cet ancestral orgueil viril qui lui persuade que la femme n’est pas une personne et qu’il ne doit y avoir qu’une personne dans un ménage. […] La méchanceté qui est une volonté de puissance et une volonté de se prouver à soi-même sa puissance, et Nietzsche ne tarit, pas là-dessus, est le premier trait, le trait essentiel et presque le tout de Don Juan. […] Cela du reste est très possible et il n’est pas invraisemblable qu’avec le sentiment de son succès et de sa puissance, tous les appétits soient entrés dans son âme. […] Il veut avoir de l’argent pour avoir de la puissance et il bat monnaie avec le ciel qu’il promet et l’enfer dont il menace pour conquérir l’argent qui est une force.

1181. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre IV. L’âge moderne. — Chapitre I. Les idées et les œuvres. » pp. 234-333

Ils veulent saisir les puissances naturelles et morales en elles-mêmes, indépendamment des supports fictifs auxquels leurs devanciers les attachaient. […] Sceptiques, résignés ou mystiques, ils l’ont tous entrevu ou imaginé, depuis Gœthe jusqu’à Beethoven, depuis Schiller jusqu’à Heine ; ils y sont montés pour remuer à pleines mains l’essaim de leurs grands rêves ; ils ne se sont point consolés d’en tomber, ils y ont pensé du plus profond de leurs chutes ; ils ont habité d’instinct, comme leurs devanciers alexandrins et chrétiens, ce magnifique monde invisible où dorment dans une paix idéale les essences et les puissances créatrices, et « la véhémente aspiration de leur cœur a attiré hors de leur sphère ces esprits élémentaires, créatures de flamme, qui, mêlés aux choses dans les flots de la vie, dans la tempête de l’action, travaillent sur le métier bruissant de la durée et tissent la robe vivante de la Divinité1137. » Ainsi s’élève l’homme moderne, agité de deux sentiments, l’un démocratique, l’autre philosophique. […] Dans ce profond changement, l’idéal change ; la vie bourgeoise et rangée, le strict devoir puritain, n’épuisent pas toutes les puissances de l’homme. […] Il avait trop joui, il sentait désormais trop vivement le douloureux aiguillon de l’homme moderne, je veux dire la disproportion du désir et de la puissance. […] Ce qu’il expose, ce sont les grands intérêts de l’âme, « c’est la vérité, la grandeur, la beauté, l’espérance, l’amour, —  la crainte mélancolique subjuguée par la foi, —  ce sont les consolations bénies aux jours d’angoisse, —  c’est la force de la volonté et la puissance de l’intelligence, —  ce sont les joies répandues sur la large communauté des êtres, —  c’est l’esprit individuel qui maintient sa retraite inviolée, —  sans y recevoir d’autres maîtres que la conscience, —  et la loi suprême de cette intelligence qui gouverne tout1222. » Cette personne inviolée, seule portion de l’homme qui soit sainte, est sainte à tous les étages ; c’est pour cela que Wordsworth choisit pour personnages un colporteur, un curé, des villageois ; à ses yeux, la condition, l’éducation, les habits, toute l’enveloppe mondaine de l’homme est sans intérêt ; ce qui fait notre prix, c’est l’intégrité de notre conscience ; la science même n’est profonde que lorsqu’elle pénètre jusqu’à la vie morale ; car nulle part cette vie ne manque. « À toutes les formes d’être est assigné un principe actif ; —  quoique reculé hors de la portée des sens et de l’observation, —  il subsiste en toutes choses, dans les étoiles du ciel azuré, dans les petits cailloux qui pavent les ruisseaux, —  dans les eaux mouvantes, dans l’air invisible. —  Toute chose a des propriétés qui se répandent au-delà d’elle-même — et communiquent le bien, bien pur ou mêlé de mal. —  L’esprit ne connaît point de lieu isolé, —  de gouffre béant, de solitude. —  De chaînon en chaînon il circule, et il est l’âme de tous les mondes1223. » Rejetez donc avec dédain cette science sèche « qui divise et divise toujours les objets par des séparations incessantes, ne les saisit que morts et sans âme et détruit toute grandeur1224. » « Mieux vaut un paysan superstitieux qu’un savant froid. » Au-delà des vanités de la science et de l’orgueil du monde, il y a l’âme par qui tous sont égaux, et la large vie chrétienne et intime ouvre d’abord ses portes à tous ceux qui veulent l’aborder. « Le soleil est fixé, et magnificence infinie du ciel — est fixée à la portée de tout œil humain. —  L’Océan sans sommeil murmure pour toute oreille. —  La campagne, au printemps, verse une fraîche volupté dans tous les cœurs. —  Les devoirs premiers brillent là-haut comme les astres. —  Les tendresses qui calment, caressent et bénissent — sont éparses sous les pieds des hommes comme des fleurs1225. » Pareillement à la fin de toute agitation et de toute recherche apparaît la grande vérité qui est l’abrégé des autres. « La vie, la véritable vie, est l’énergie de l’amour — divin ou humain — exercée dans la peine, —  dans la tribulation, —  et destinée, si elle a subi son épreuve et reçu sa consécration, —  à passer, à travers les ombres et le silence du repos, à la joie éternelle1226. » Les vers soutiennent ces graves pensées de leur harmonie grave ; on dirait d’un motet qui accompagne une méditation ou une prière.

1182. (1896) Le livre des masques

Verhaeren, la beauté est faite de nouveauté et de puissance ; ce poète est un fort et, depuis ces Villes tentaculaires qui viennent de surgir avec la violence d’un soulèvement tellurique, nul n’oserait lui contester l’état et la gloire d’un grand poète. […] Pourtant l’impression reste, de puissance et de grandeur, et oui : c’est un grand poète. […] La puissance des mots, il l’admettait jusqu’à la superstition. […] Pareillement belle, quoique d’une beauté cruelle, la tragique histoire appelée simplement Une mauvaise rencontre où l’on voit la transfiguration héroïque de l’âme pitoyable d’un frêle rôdeur dompté par la puissance d’un geste d’amour et, sous le magnétisme impérieux du verbe, fleuri martyr, jet de sang pur jaillissant en miracle des veines putréfiées de la charogne sociale. […] Paul Adam L’auteur du Mystère des Foules fait invinciblement songer à Balzac ; il en a la puissance et aussi la force dispersive.

1183. (1868) Curiosités esthétiques « V. Salon de 1859 » pp. 245-358

Ils sont deux termes corrélatifs qui agissent l’un sur l’autre avec une égale puissance. […]  » — « Par imagination, je ne veux pas seulement exprimer l’idée commune impliquée dans ce mot dont on fait si grand abus, laquelle est simplement fantaisie, mais bien l’imagination créatrice, qui est une fonction beaucoup plus élevée, et qui, en tant que l’homme est fait à la ressemblance de Dieu, garde un rapport éloigné avec cette puissance sublime par laquelle le Créateur conçoit, crée et entretient son univers. » Je ne suis pas du tout honteux, mais au contraire très-heureux de m’être rencontré avec cette excellente Mme Crowe, de qui j’ai toujours admiré la faculté de croire, aussi développée en elle que chez d’autres la défiance. […] Il faut une véritable puissance pour dégager la poésie sensible contenue dans ces longs vêtements uniformes, dans ces coiffures rigides et dans ces attitudes modestes et sérieuses comme la vie des personnes de religion. […] Je retrouve cette puissance sauvage ; ardente, mais naturelle, qui cède sans effort à son propre entraînement… Je ne crois pas m’y tromper, M.  […] Nous savons aimer l’art mystérieux et sacerdotal de l’Egypte et de Ninive, l’art de la Grèce, charmant et raisonnable à la fois, l’art de Michel-Ange, précis comme une science, prodigieux comme le rêve, l’habileté du dix-huitième siècle, qui est la fougue dans la vérité ; mais dans ces différents modes de la sculpture il y a la puissance d’expression et la richesse de sentiment, résultat inévitable d’une imagination profonde qui chez nous maintenant fait trop souvent défaut.

1184. (1886) Le naturalisme

Semblable aux jardins enchantés que, par la puissance de sa magie, un alchimiste faisait fleurir au plus âpre de l’hiver, notre patrie vit soudain s’ouvrir le calice, peint de gueules, de sinople et d’azur, de la littérature de la chevalerie errante. […] Si cette faculté atteignit chez quelqu’un ce degré de puissance où elle poétise et transforme tout, et sans remplacer la vérité, en compense l’absence, ce fut chez George Sand. […] Nous n’assistons pas aux luttes gigantesques du saint ascète contre les puissances de l’enfer, mais aux mésaventures domestiques d’un médicastre de campagne. […] Les pages dans lesquelles Mme Bovary, affolée et désespérée, implore en vain ses amants afin d’obtenir d’eux la somme nécessaire pour apaiser ses créanciers, sont l’étude la plus cruelle, la plus sincère et la plus magnifique, que l’on ait écrite sur la dureté des temps présents et la puissance de l’or. […] Quelqu’un qui dominerait avec une égale puissance les lettres et la science, pourrait écrire un livre curieux sur le darwinisme dans l’art contemporain.

1185. (1896) Essai sur le naturisme pp. 13-150

Toute leur impressionnabilité s’est réduite et coquettement pervertie en un fragile sensualisme d’art, toute leur puissance émotionnelle, piteusement métamorphosée en un misérable dilettantisme. […] Ce fut le berceau où elle prit conscience de sa puissance. […] Et comme il faut admirer aussi l’exquise puissance de l’art ! […] Mais, nonobstant l’éclatant génie visionnaire de Verhaeren, cette façon poétique demeurait insuffisante ; l’uniformité métrique glaçait les émotions, malgré l’évocatrice puissance de l’épithète.

1186. (1894) Journal des Goncourt. Tome VII (1885-1888) « Année 1888 » pp. 231-328

Il revient d’une mission, sollicitée par lui, pour surprendre quelque chose de ce que machine contre nous, l’inquiétant Bismarck, et il revient terrifié, non seulement de la puissance militaire, mais encore de la puissance commerciale, et de la puissance industrielle de cette Prusse. […] Et quand, il ne devient pas leur amant, ce médecin a sur elles, la puissance d’un confesseur.

1187. (1894) Dégénérescence. Fin de siècle, le mysticisme. L’égotisme, le réalisme, le vingtième siècle

Des faibles d’esprit ou des déséquilibrés, en contact avec un délirant, sont immédiatement subjugués par la puissance de ses idées pathologiques et s’y convertissent aussitôt. […] Cette même puissance de l’obsession par laquelle le dégénéré recrute des imitateurs, groupe aussi autour de lui des partisans. […] Alors elles devront nécessairement céder leur prédominance à d’autres groupes de cellules, et celles-ci à leur tour acquerront la puissance d’adapter l’organisme à leurs buts. […] Ce qui les enchanta, en pensant au moyen âge, ce ne fut pas la grandeur et la puissance de l’empire allemand, l’abondance et la beauté de la vie allemande de ce temps-là, mais le catholicisme avec sa foi aux miracles et son culte des saints. […] Et alors il fait jeter par le Christ vivant une ombre qui prend la forme de la croix, c’est-à-dire prédit le sort du Sauveur, comme si quelque puissance mystérieuse inconcevable avait dirigé son corps vers les rayons du soleil, de façon qu’une miraculeuse annonce de sa destinée dût s’inscrire sur le sol.

1188. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Troisième partie. Disposition — Chapitre VII. Narrations. — Dialogues. — Dissertations. »

La petitesse même des moyens en fait la puissance, et le choix qui en est fait parmi les milliers et les milliers de moyens pareils, également petits et méprisables.

1189. (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série « Stendhal, son journal, 1801-1814, publié par MM. Casimir Stryienski et François de Nion. »

Il crut que, en mettant cette faculté d’analyse au service de sa volonté, il augmenterait la puissance de celle-ci.

1190. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre XXIV. Conférence sur la conférence » pp. 291-305

J’avais donc relu les pièces qu’on va représenter après mon départ, et, me souvenant du sang-froid, aussi de l’ardeur communicative, avec lesquels notre respecté doyen excelle à démontrer qu’au fond et malgré des différences intéressantes Athalie et Girodot, c’est toujours la même chose, vue là sous l’angle dramatique, ici sous le comique, que c’est une lutte semblable pour la puissance figurée là par le trône d’Israël, ici par la fortune d’un rentier, j’avais entrepris de vous transmettre des assurances analogues.

1191. (1883) Souvenirs d’enfance et de jeunesse « Préface »

Sa claire et ferme intelligence, sa grande puissance de travail, l’appelaient soit aux carrières qui supposent l’étude des sciences mathématiques, soit aux fonctions de la magistrature.

1192. (1904) Prostitués. Études critiques sur les gens de lettres d’aujourd’hui « Chapitre II. Filles à soldats »

Dans ces Maritimes où s’étalent tant d’exemples de couardise et le continuel besoin de paraître sans être, le Paul Adam qui, depuis quelques années, flagorne toutes les puissances, prétend, avec l’incompréhension la plus voulue et la plus lâche, rencontrer je ne sais quel « héroïsme des idées et des actes ».

1193. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XVII. Le Retour du Christ. Appel aux femmes ! »

Sur un être ardent et surchauffé qui, dans tout son livre, ne sait gouverner ni son cœur ni sa main, le culte de la Vierge Marie doit être de la plus grande puissance, non pas en vertu des augustes et surnaturels attributs de la Mère de Dieu, mais en vertu de son sexe même… Les impies de ce temps d’impiété opposent depuis quelques années au Christianisme ce qu’ils appellent le « Marianisme ».

1194. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Tallemant des Réaux »

La vieille monarchie des évêques, dont parle Gibbon quelque part, ne s’était pas rajeunie dans la Saint-Barthélémy, dans ce bain de sang qui, dit-on, a la puissance de renouveler, et qui ment parfois à sa renommée.

1195. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Louis XVI et sa cour »

Pauvre roi, qui mettait son énergie dans ses mains à l’heure où la puissance appartenait aux idées, et qui savait si mal le prix du temps qu’il dérobait à sa fonction !

1196. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Mathilde de Toscane »

Ce fut un homme d’action porté au faîte d’une société farouche et qui n’eut pour la conduire que cette puissance morale dont il est, pour l’histoire, la vivante expression.

1197. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Ch.-L. Livet »

Toute cette grave histoire, c’est celle d’une société qui passa sa vie à jouer aux petits jeux et aux petits vers, et qui eut la triste puissance de rapetisser une minute Condé et Bossuet.

1198. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « La Paix et la Trêve de Dieu »

Pour peu qu’il eût remonté dans l’histoire, il y aurait vu paraître, pour s’éclipser et reparaître encore, la puissance d’opinion religieuse qui s’oppose à la frénésie du point d’honneur et qui la balance.

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