Celui dont ils ont tiré le plus de parti, a pour titre, Bibliothecia pontifica, où l’Auteur donne un Abrégé de la vie des Papes, une Notice des Ecrits publiés par eux & contre eux ; ce qui suffit pour ranger le P.
Maintenant, dans un Journal, comme celui que je publie, la vérité absolue sur les hommes et les femmes, rencontrés le long de mon existence se compose d’une vérité agréable — dont on veut bien ; mais presque toujours tempérée par une vérité désagréable — dont on ne veut absolument pas.
Il y avait d’ailleurs, dans le nombre, des conférences données à l’étranger et qui n’avaient pas été publiées en France.
Lui-même, rendant compte en 1836 des poésies nouvellement publiées, constatait la décadence générale de la poésie secondaire, tout à l’honneur, disait-il, de la poésie du même rang qui florissait sous la Restauration.
Ces Mémoires ne sont pas à l’abri de reproche, ou, pour mieux dire, ils fourmillent de fautes de toute espece, comme on peut en juger par une très-bonne Critique publiée contre eux dans le temps, sous le nom d’un Secrétaire de l’Ambassadeur Méhémet Effendi.
Tel est son Voyageur François, dont il a publié vingt-quatre volumes, & qui jouit d’un succès d’autant mieux mérité, que c’est la plus variée, la plus intéressante & la mieux écrite des Collections de ce genre.
Il a publié plusieurs Ouvrages sur l’ancienne Egypte, qui annoncent la connoissance la plus étendue & la plus réfléchie de tout ce qui a rapport à cette célebre partie de l’Afrique.
Les Ecrits qu’il publia en faveur de l’Eglise Catholique, enleverent à l’Hérésie plusieurs de ses conquêtes.
Le Recueil de ses Œuvres, publié depuis peu, donne l'idée la plus favorable de son esprit & de ses mœurs.
Je ne retracerai pas sa biographie qui a été cent fois publiée. […] Et ce jeune écrivain n’a encore publié que trois volumes ! […] François Coppée publiait son Reliquaire. […] Par malheur, les derniers volumes qu’il a publiés ne sont pas les meilleurs qu’il ait écrits. […] Les journaux parisiens en publient chaque mois des centaines.
Parmi les lettres adressées à Bosc et publiées dans la dernière édition des Mémoires, il n’y en a que très-peu qui se rapportent à cette époque, c’est-à-dire à l’intervalle de 80 à 92, aux derniers temps de son séjour à Lyon, aux premiers mois de son arrivée à Paris. […] Les Lettres à Brissot, inédites pour la plupart, sont aux mains de M. de Montrol, que nous ne pouvons trop engager à les publier, et à l’amitié de qui nous devons de les avoir parcourues. […] M. de Montrol l’a publié dans la Nouvelle Minerve. […] On a retrouvé et publié des lettres d elle qu’elle lui écrivait dans sa prison ; et enfin des passages supprimés d’abord, qu’on a rétablis récemment dans le texte de ses Mémoires imprimés, contiennent un aveu formel.
Cependant la Révolution s’apaisait : il rentrait en France, détachait du volumineux manuscrit où s’étaient entassées ses impressions américaines, l’épisode d’Atala (1801) dont le succès était très vif, et publiait en 1802 son Génie, qui semblait donner à la fois un chef-d’œuvre à la langue et une direction à la pensée contemporaine. […] Il y a un peu d’illusion dans la belle phrase qu’il écrit : « Ce fut au milieu des débris de nos temples que je publiai le Génie du Christianisme ». […] Dans les Natchez, œuvre de jeunesse, bien que publiée tardivement, le Nouveau Monde et l’Ancien Monde, l’homme de la nature, le sauvage, et l’homme de la civilisation, l’Européen ; il semble que la première idée de l’œuvre soit née d’une lecture de Rousseau. […] Voici les principaux faits : 1814, De Buonaparte et des Bourbons, brochure écrite à la fin de la campagne de France, avant l’abdication ; 1815, il suit Louis XVIII à Gand, et il est ministre de l’intérieur par intérim : la seconde Restauration le fait pair de France ; 1816, il publie la Monarchie selon la Charte, dont l’édition fut saisie, après quoi l’auteur fut rayé de la liste des ministres d’Etat et sa pension supprimée (elle lui fut rétablie en 1821) ; 1818, il fonde le Conservateur ; 1821, il devient ambassadeur à Berlin, puis à Londres ; 1802, il représente la France au Congrès de Vérone ; 1823, ministre des affaires étrangères, il fait décider la guerre d’Espagne ; 1825, il est renvoyé du ministère ; 1828, sous le ministère Chabrol et Martignac, il va en ambassade à Rome, et donne sa démission au ministère Polignac.
Dans sa remarquable prosodie publiée en 1844, M. […] Un journal, qui reçoit d’ordinaire les manifestes des princes, vient de publier la profession de foi des symbolistes. […] Monsieur et cher Confrère, J’ai lu avec le plus grand intérêt votre si docte dissertation à propos de mon article sur le Symbolisme publié par Le Figaro ; et ce me fut une bien agréable surprise que cette critique de fin lettré parmi toutes les injures dont les chironactes de la Presse m’accablent depuis quelque temps. […] Le libraire Léon Vanier, qui semble ambitionner de devenir le Lemerre de cette poésie nouvelle, a publié quelques-uns des volumes de M.
La distribution Signalons quelques changements survenus dans la distribution des rôles que nous avons publiée il y a un mois. […] En 1848, en même temps que Wagner écrivait le Mythe des Nibelungs « esquisse d’un drame », il publiait une brochure Les Nibelungs « l’Histoire Universelle dans la Légende ». […] En même temps sont publiées quelques remarques : Sur le rappel des acteurs. — « Les Patrons ne doivent pas prendre en mauvaise part ni des artistes ni de l’auteur, si ceux-ci ne répondent pas aux applaudissements en s’avançant sur la scène ; ils se sont décidés à cette abnégation pour se tenir dans le cadre de l’œuvre d’art qu’ils ont à présenter au public. » Sur l’usage du texte. — « Pour obtenir le juste effet scénique il faut pendant la durée de l’acte diminuer l’éclairage de la salle au point de rendre impossible la lecture du texte. […] Albert Lavignac (1846-1916) a publié en 1897 un ouvrage de référence intitulé Le Voyage artistique à Bayreuth.
Newman publia ses instructions sur le Romanisme et l’ultra-protestantisme, et passa à la rédaction du British Magazine. […] Dans une vue de haut enseignement et d’édification chrétienne, ces écrivains ont recueilli jusqu’aux noms des hommes qui sont revenus de l’anglicanisme au catholicisme en passant par les idées du Dr Pusey, et ils les ont publiés avec l’immense joie de la charité satisfaite10. […] V. la Lettre de Mgr Wiseman, évêque de Melipotame, aux évêques de France, publiée en 1846. […] Il défendait l’unité de sa vie intellectuelle et religieuse ; car, en 1841, il avait publié une brochure sur le fameux Traité XCe , — Tract XC historically examined, — dans lequel il soutenait les mêmes opinions que Ward sur les XXXIX articles.
Patronné ou plutôt aiguillonné par Brizeux, qui l’avait pressenti poète, il publia en 1840, à vingt-six ans, un premier recueil, Onyx, qui a tout le poli et les purs reflets de la pierre sur laquelle il aime à faire jouer les rimes avec ses pensées.
Les plus estimés de ses Ouvrages se réduisent à une Relation de l’Islande, & à une autre du Groënland, que les Relations, publiées depuis, ont fait oublier.
Il est inutile d’avertir qu’il ne faut point attribuer à Vadé les Contes que M. de Voltaire a publiés sous son nom.
On trouve de temps en temps, dans ceux qu'il a publiés, des étincelles de lumiere, des connoissances, quelques images brillantes, des traits fiers & vigoureux, des pensées fortes, exprimées avec une sorte d'énergie. […] Thomas a publié un Essai sur les Eloges, qui ajoute deux volumes à ses autres Œuvres.
Élevé avec la fille du prince de Celle, Sophie-Dorothée, qui devint duchesse de Hanovre, il avait été aimé d’elle dans son enfance, et, si l’on en croit la correspondance publiée par Blaze de Bury, il le fut encore plus tard, mais d’un amour moins pur. […] Il n’est pas de romancier, en effet, si créateur qu’il ait été, qui jamais, à notre connaissance, ait atteint à la sombre épouvante de ces deux types, Élisabeth de Platen et Sophie-Dorothée, après leur crime, — l’une, vieillissant, désolée, jusqu’à l’âge de quatre-vingt-sept ans, aveugle et tête à tête avec ses remords dans les ténèbres de sa cécité, vomissant enfin son cœur dans une confession qu’elle autorisa son confesseur à publier, et l’autre, plus tragique encore sous l’imposture de son innocence, soutenue trente-deux ans avec la persévérance de l’enfer !
Ce talent de Joseph de Maistre, caractérisé tant de fois par nous et par d’autres, ajoute certainement, par ce qu’on en retrouve et ce qu’on en publie, à la somme de nos plaisirs intellectuels, mais embarrasse pour en parler après tout ce qu’on en a déjà dit. […] Correspondance diplomatique, publiée par Albert Blanc (Pays, 15 décembre 1860).
… Nouveaux essais de critique et de littérature fut le titre peu original, mais modeste, sous lequel Prévost-Paradol a publié ses premières œuvres. […] On investit Paradol du droit d’écrire beaucoup d’articles, et ce sont ces articles qu’il a publiés.
C’était effectivement une femme comme madame de Créqui (la Créqui des lettres publiées par Sainte-Beuve) qu’il fallait pour mère à Adrien. […] Nous avons cru, à certaines places des lettres, qu’elles avaient été écrites par une autre main qu’une main d’homme, et même que toute la collection de ces lettres n’avait pas été publiée.
M. de Rémusat publiait aussi de son côté deux gros volumes qu’il intitulait pompeusement : Abailard, sa vie, sa philosophie, sa théologie, — et comme si ce n’était pas assez que ces deux hommages du Rationalisme moderne offerts à l’un de ses précurseurs, l’éditeur de M. de Rémusat a publié un volume encore dont Abailard est le sujet et même le héros.