Mais pour goûter ces plaisirs plus long-tems & ne point vous en rassasier, il faut mettre du choix dans vos lectures & savoir vous borner. […] Ce n’est pas que vous dédaigniez la lecture des chefs-d’œuvres d’Athènes & de Rome, la meilleure école du goût & du génie ; mais né avec un tempérament aussi délicat que votre esprit, & ne voulant pas vous faire de l’étude un travail pénible, vous avez pensé, avec raison, qu’on éprouvoit toujours quelque fatigue en lisant des Livres écrits dans une langue morte, dont les tours variés, les expressions singulieres, les inversions fréquentes mettent l’esprit à la torture. […] J’ai rendu justice à ceux-ci en les louant presque tous, & si quelque Lecteur pense que je leur aurois rendu plus de justice en les critiquant, qu’il se mette à la place de ces Ecrivains, & qu’il voie si son amour propre auroit supporté facilement les critiques même les plus justes.
Il est vrai qu’on peut être un bon sculpteur sans avoir autant d’invention qu’il en faut pour être un excellent peintre, mais si la poësie n’est pas si nécessaire au sculpteur, un sculpteur ne laisse pas d’en faire un usage qui le met fort au-dessus de ses concurrens. […] Ils y font voir encore des païsages artistement mis en perspective par une diminution de traits, lesquels étant non-seulement plus petits, mais encore moins marquez, et se confondant même dans l’éloignement, produisent à peu près le même effet en sculpture, que la dégradation des couleurs fait dans un tableau. […] Je ferois voir encore que le cavalier Bernin et Girardon, ont mis autant de poësie que lui dans leurs ouvrages, si je ne craignois d’ennuïer mon lecteur.
Mais pour ceux qui sont entre les deux extrêmes, et c’est le cas, je pense, de la plupart d’entre nous, le livre, ce petit meuble de l’intelligence, ce petit instrument à mettre en activité notre entendement, ce moteur de l’esprit qui vient au secours de notre paresse et plus souvent de notre insuffisance, et qui nous donne la délicieuse jouissance de croire que nous pensons, alors que nous ne pensons peut-être pas du tout, le livre est un ami précieux et bien cher. […] On a dit qu’il n’est pas importun, oiseux, bavard, puisque c’est un bavard que l’on peut mettre à la porte, sans impolitesse, aussitôt qu’il nous ennuie. […] On a dit que du plus mauvais livre on peut tirer quelque chose de bon et que par conséquent un livre est toujours un ami et un bienfaiteur, et l’on a pu citer en l’appliquant aux livres, cette ligne de Montaigne : « Il sondera la portée d’un chacun : un bouvier, un maçon, un passant, il faut tout mettre en besogne et emprunter chacun selon sa marchandise ; car tout sert en ménage ; la sottise même et faiblesse d’autrui lui sera instruction : à contrôler les grâces et façons d’un chacun il s’engendrera envie des bonnes et mépris des mauvaises. » Ce n’est pas tout à fait vrai, ou je n’en suis pas tout à fait sûr.
. — Mise au point des objections. — MM. de Gourmont et Vergniol. — Principe général. — Les mauvais clichés. — L’usage des clichés. […] J’ai donc cru devoir mettre une certaine rigueur dans la doctrine, et c’est pour cela que j’ai étendu le plus que j’ai pu une liste destinée à bien faire voir en quoi consistait l’expression banale. […] Nous avons dit que « la marque du cliché, de l’expression toute faite, ce n’est pas d’être simple, ordinaire, déjà employée ; c’est qu’on peut la remplacer par une autre plus simple ; c’est que, derrière elle, il y a la vraie, la seule, celle qu’il faut mettre à tout prix, l’eût-on dite mille fois ».
Elle ne s’est pas mise pour cela disons-le, au point de vue moral. […] Demander à quelqu’un ce qu’il a vu, c’est le mettre à la torture. […] Où le mettez-vous ? Les spirites le mettent autour de nous. […] Il a mis son esprit au service de l’humanité.
Il y a mis une analogie ; celle-ci : l’État ressemble à une famille. […] Il ne s’y mettra jamais de lui-même. […] Elle mettra l’une dans ses théories, l’autre dans ses romans. […] C’est son rêve avec ses souffrances que Mme de Staël met dans ses romans. […] — Quoi qu’on fasse, on en arrive toujours à mettre la souveraineté quelque part.
L’affabulation à mettre là-dedans me faisait si peu, que, quelques jours avant de me mettre à écrire le livre, j’avais conçu Madame Bovary tout autrement. […] Elle se mettait en flagrante contravention avec le génie de l’humanité. […] Le mettre en dehors de toute idée de moralisation : hétérodoxie. […] Il mettra « la volupté unique et suprême de l’amour dans la certitude de faire le mal. […] Mais, dès aujourd’hui, des signes non équivoques nous mettent au moins en droit de formuler une présomption.
Je l’activerai, et mettrai tout par écrit. […] Il s’agit évidemment d’une de ces coalitions féminines qui mettent l’impuissance du côté de la barbe. […] Il les recopie dans le Journal, et, selon sa manie, les met parfois en vers fâcheux. […] Au retour de la promenade, Philine le quitte sans le quitter, car elle se met à lui écrire. […] Naville m’envoie une élégie en prose qu’une dame de ses relations voudrait voir mettre en vers.
On peut mettre en parallèle, pour le don du grand style, Chateaubriand et Bossuet. […] La mise en scène était à peu près réglée. […] Par bonheur l’inconstance y vint mettre de l’ordre. […] Déjà les barques mettent à la voile. […] Déjà les barques mettent à la voile.
Pourquoi l’idée d’un lavement ne les met-elle plus en joie ? […] Ce n’est pas ma faute, et je n’y mets point de parti pris. […] Cette comédienne a été mise au monde pour ce poète. […] Tout d’un coup, il se met à pleurer : « Qu’y a-t-il ? […] Mettons toujours : neuvième symbole.
Mais Boileau a bien mis le doigt sur le côté précieux du morceau. […] La Fontaine, qui en avait de naïves effusions, y associait une remarquable faculté dramatique qu’il mit si bien en jeu dans ses fables. […] non, dit-il, les bouillons de ma femme sont de vraie eau-forte pour moi ; vous savez tous les ingrédients qu’elle y fait mettre. Donnez-moi plutôt un petit morceau de fromage de Parmesan. — Laforest lui en apporta ; il en mangea avec un peu de pain, et il se fit mettre au lit. […] J’ai mis surtout à contribution, dans cette étude sur Molière, l’Histoire de sa Vie et de ses Ouvrages par M.
Il résulterait de ces témoignages poétiques que Leopardi n’a connu de ce sentiment orageux que la première, la plus pure, la plus douloureuse moitié, mais aussi la plus divine, et qu’il n’a jamais été mis à l’épreuve d’un entier bonheur. […] On peut trouver que, pour le cadre, l’auteur s’est souvenu des Dialogues du Tasse, et il le met effectivement en scène dans l’un des siens. […] Il semble que, lorsqu’on se met en rapport par la croyance, par la confiance, par la prière (et encore mieux selon les rites sacrés, qui sont comme des canaux établis), avec la grande âme du monde, on trouve appui, accord, apaisement. […] Leopardi, qui ne croyait plus à Dieu, se mit à croire d’autant plus tendrement et pieusement à l’amitié dans tous ses sacrifices et ses délicatesses. […] Il met le stelle, les étoiles, et non le Ciel, dans le sens vulgaire où on l’emploie comme synonyme de Dieu.
Je me mets aux pieds de Sa Majesté, ai-je répondu. […] Il est de Ratisbonne, mais il y a quinze ans qu’il est à Paris ; il sait tout mettre en train et faire réussir les choses comme il le veut. […] J’ai placé le petit Wolfgang sur une chaise ; il s’est mis aussitôt à ronfler et s’est endormi si profondément que je l’ai déshabillé complétement et mis au lit sans qu’il ait donné le moindre signe de vouloir se réveiller. […] Seulement j’ai toujours agi avec toute la prévoyance et la réflexion que l’homme peut y mettre. […] Alors elle s’assit, se mit pendant une heure à dessiner en compagnie de quelques messieurs qui étaient réunis en cercle autour d’une table.
Elle met déjà son ombre sur les tristesses et les haines. […] Aussi Jésus nous met-il en garde de la mort : « Soyez prêts : ayez joui votre joie, lorsque la fin viendra ». […] Ne mettons point notre vie dans l’engrenage fatale des choses extérieures, dit Wagner. […] Alberich, par un dernier bond, atteint la pointe et met ses mains sur l’Or. […] La mise en scène reste la même, passable.
En quelques mots, c’est là le livre et le temps d’arrêt dans son livre que Granier de Cassagnac nous met sous les yeux. […] C’est à la lumière de sa conception du pouvoir qu’il en a accepté ou repoussé les titulaires ; car la République de 1848 a vécu, et, quoique dans son règne dévoré d’un moment il y ait eu la place et le temps pour d’immortelles bassesses, Cassagnac ne s’est pas mis, lui, à ses pieds. […] Écrivain de pouvoir et de monarchie contre la Révolution, il avait compris que l’objection la plus formidable, l’objection souveraine aux choses que l’esprit révolutionnaire a mises dans le monde et qu’il y voudrait maintenir en y ajoutant, ce sont les hommes qu’il a produits. […] Il pèse bel et bien cinq cent cinquante grandes pages, in-octavo, carabinées de notes, de citations, de rapprochements, de dialectes, de syntaxes, de verbes, de substantifs, de racines, à mettre en fuite tout ce qui n’est pas soi-même excessivement carabiné. […] Il a fait de l’histoire armée, de l’histoire dans laquelle il a mis un dard à son centre, comme les guerriers en mettaient un dans l’orbe de leurs boucliers.
Naturellement, des hommes qui n’ont rien dans le ventre ne mettent rien dans ce qu’ils écrivent. Ils prennent seulement les mots et les tordent comme du fer, et avec l’effort qu’on met à tordre du fer, mais leur fer reste creux. […] Voilà ce qui fait hésiter à parler de ce livre, impatientant pour la Critique qui ne peut pas se scinder comme le livre et se mettre en petits paquets. […] Il a mis sa tête dans sa main, comme la Mélancolie d’Albert Dürer. […] C’est la balle d’argent du diable dans Robin des Bois mise au service de Dieu pour la première fois, et qui ne manquera pas son coup.
S’il s’agit d’un roman ou d’un poëte qu’on a mis en circulation le premier, on est plus chatouilleux encore : ces parrains-là ne haïssent pas le soupçon malin et ne le démentent qu’à demi. […] Nous avons aussi parlé d’un homme que je prends toujours la liberté de mettre en comparaison avec vous pour l’agrément de l’esprit. […] Les mots à la Despréaux qu’on a retenus d’elle sont nombreux : nous en avons cité beaucoup, auxquels il faut en ajouter encore ; par exemple : « Celui qui se met au-dessus des autres, quelque esprit « qu’il ait, se met au-dessous de son esprit. » Boileau, causant un jour avec d’Olivet, disait : « Savez-vous pourquoi les anciens ont si peu d’admirateurs ? […] Il est temps de laisser chaque chose à sa place, et de vous mettre à la vôtre. […] Mademoiselle, dans la Princesse de Paphlagonie, traçant des portraits de ces deux dames, a dit : « C’est de leur temps que l’écriture a été mise en usage.
ittré ne rentre pas dans l’ordre d’idées plus expressément littéraires que nous recherchons), on peut se demander quelle œuvre s’est produite en France qui mette l’antiquité grecque de pair avec le mouvement moderne et qui la fasse circuler. […] Moschus a-t-il à déplorer la perte du célèbre bucolique Bion, et veut-il opposer à la fragilité mortelle cette immortalité de la nature si souvent mise en contraste depuis par des voix de poëtes : dans l’un des couplets de sa , il s’écrie : « Hélas ! […] Je demande donc excuse une fois pour toutes, dans la nécessité où je me mets ici de traduire ces choses si légères ; de telles épigrammes sont comme des gouttes de miel cachées par l’abeille dans les fentes des vieux chênes ; on ne sait comment les en arracher, et souvent il y faut employer les ongles, ce qui gâte la grâce. […] Ce n’est point cette fois par ses flèches, ce n’est pas même par son flambeau qu’Amour lui a mis la flamme au cœur : il a suffi d’une toute petite étincelle. […] Amour lui-même t’a lié les ailes et t’a mise sur le feu, tandis qu’expirante il t’arrosait de parfums et qu’il te donnait à boire des larmes chaudes dans ta soif ardente.
Il était à peine mûr de la veille ; il était à cette plénitude de la jeunesse où la saison des fruits commence à peine d’hier et où quelques tours de soleil achèveront, où l’on n’a plus enfin qu’à produire pour tous ce qu’on a mis tant de labeur et de veilles à acquérir pour soi. […] Jules Macqueron, qui faisait lui-même d’agréables vers ; Labitte lui rend confidences pour confidences, et il y met d’utiles conseils littéraires : l’instinct du futur critique se retrouverait par ce coin-là. […] Et quant à ceux qui sont dignes de l’aimer et qui lui feraient honneur par de vrais talents, l’orgueil trop souvent les entête du premier jour ; sauf deux ou trois grands noms qu’ils mettent en avant par forme et où ils se mirent, les voilà qui se comportent comme si tout était né avec eux et comme s’ils allaient inaugurer les âges futurs. […] On se met alors à attacher une importance extrême, disproportionnée, à certaines pièces matérielles que le hasard fait retrouver, à y croire d’une foi robuste, à en tirer parti et à les étaler avec une sorte de pédanterie (c’est bien le mot) ; moins on en sait désormais, et plus on a la prétention d’y mieux voir. […] On ne prend de tels mots au pied de la lettre que quand on y met peu de bonne volonté.
Il se mit à marcher gaiement devant eux en laissant la pauvre Fior d’Aliza, un pied levé, tout étonnée et toute triste de ne plus pouvoir continuer la danse, par un si beau matin d’automne. […] Elle ne savait pas lire ; elle pria l’étranger de mettre le papier timbré sur la huche, en lui disant que nous le ferions lire le lendemain par le frère camaldule qui passait deux fois par semaine pour porter les vivres au couvent. […] Qui sait même si tout ne pourra pas s’arranger entre lui et vous, de bonne amitié ; l’homme est puissant et riche, et si vous y mettez de la complaisance, il n’y mettra peut-être pas de rigueur. […] Il m’a chargé de monter à sa place jusqu’ici pour leur livrer l’arbre et pour verbaliser contre vous si vous mettiez obstacle à la livraison. — Comment si j’y mets obstacle !
Pour subsister, pour avoir une action encore efficace, il faut qu’elle se mette au ton du siècle, et, dans sa voix au moins et ses gestes, marque prendre sa part de la dégradation universelle. […] Puis, prudemment, il se donna de l’air et partit pour Angers : il fit à l’occasion de ce départ son Petit Testament, où il met sur le compte de certaines mésaventures d’amour son subit départ. […] Elle perd de son prix si l’on songe que la chronique de Louis XI fut écrite dans les premières années de Charles VIII : il n’eût pas fait bon pour Commynes mettre trop en lumière son importance. […] L’art est déjà d’engager l’adversaire à se charger des apparences fâcheuses : c’est une coûteuse fanfaronnade que de se mettre au-dessus de la morale, quand, avec un peu de précaution, on peut la mettre de son côté. […] Prisonnier à Azincourt, il ne fut mis en liberté qu’en 1440, et prit une 3e femme, Marie de Clèves.
En me restreignant à l’étude de leur système musical, en laissant de côté les systèmes de la mimique, de la poésie, de la décoration, de la mise en scène, je veux à grands traits disséquer l’organe qui met en circulation la vie particulière à l’œuvre dramatique. […] Motif 1 (pages 94, 95, 97, 117, 118, 119, 120, 128, 143, 144, 145, 146, 160, 164, 248, 254, 261, 309)62. — Il est l’expression même de la vie ardente, chaude, jeune et fécondante du printemps ; c’est le motif générateur de tous les autres ; c’est lui qui emporte tout le chant de Walther : « Es schwillt und schallt, es tœnt der Wald, nun laut und hell, schon nah zur Stell. » — « Das Blut, es walt mit Allgewallt, aus warmer Nacht, mit Ubermacht. » — « Es schwillt das Herz, vor süssem Schmerz », et chaque fois que l’impression vivifiante qu’apporte avec lui Walther se fait sentir, on le retrouve. […] » Où Wagner fait chanter à un personnage le motif qui se trouve à l’orchestre, on peut affirmer presque toujours que le même sentiment est là sous ses deux formes, poétique et musicale ; ainsi, p. 30, Walther s’écrie : « Mit allen Sinnen euch Zugewinnen ! […] On ne saurait protester trop énergiquement contre la mise en scène baroque, ne cherchant que des effets de féerie, — aujourd’hui, surtout, que les œuvres de Wagner vont traverser la frontière, et que les directeurs de théâtres français viennent en Allemagne les étudier. Sur aucun théâtre la mise en scène n’est conforme à l’esprit de ces œuvres et aux indications du Maître, qui exigeait « comme premier principe, une majestueuse simplicité ».
Ceci est absolument nécessaire, ou presque absolument nécessaire pour La Fontaine, car il est un des hommes du dix-septième siècle qui ont mis le plus d’eux-mêmes dans leurs écrits, je dirai même qu’il est celui du dix-septième siècle qui a mis le plus de sa personnalité, de son être intérieur, de son être intime, non pas dans tout ce qu’il a écrit, mais dans une bonne partie de ce qu’il a écrit. […] Si je me battais avec toi, je serais un assassin Il paraît que c’est nécessaire, répétait obstinément La Fontaine. » Il met l’épée à la main, Poignant le désarme. […] Il vient de raconter les amours de Philémon et Baucis, c’est très attendrissant, cela l’a attendri tellement lui-même que cela l’a mis dans un état d’esprit qui n’était peut-être pas du tout celui de tous les jours. […] Ses dilapidations à lui-même, celles de sa femme très probablement, un ménage en complet désordre, tout cela avait très rapidement mis les choses en bien mauvais état. […] Vous savez assez qu’un livre illustré est un livre où l’on met des images pour qu’il y ait quelque chose dedans.
Si l’on y met Aristote avec lui, c’est une bibliothèque presque complète. […] J’ai fait mettre sur le manteau de la cheminée un beau tableau d’un crucifix qu’un peintre que j’avais fait tailler (de la pierre) me donna l’an 1627. […] Lui que dans sa jeunesse nous avons vu si curieux des vieilles thèses et antiquités de la Faculté, il eut soin d’en augmenter le trésor lorsqu’il y présida ; il mit de l’ordre dans les archives. […] Vers le temps des licences, la coutume était de faire des jetons pour les donner aux docteurs qui y assistaient d’office ; on y mettait d’un côté les armes du doyen, et de l’autre, celles de la Faculté. Gui Patin aurait pu, comme un autre, y mettre les armes de sa famille, car elle en avait, et il ne perd pas cette occasion de nous les décrire ; mais il a mieux aimé y mettre son portrait.