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407. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » p. 333

Il fonda des Colléges, établit des Imprimeries, & fit adopter à la Jurisprudence la langue Françoise, au lieu de celle des Latins, qui avoit été jusqu’alors en usage dans les Arrêts & dans les Contrats.

408. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 395

Muret fut heureux d’entendre le Latin, si ce qu’on raconte de lui est vrai.

409. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Legrand, Marc (1865-1908) »

Méléagre, de l’anthologie, d’épigrammes funéraires, descriptives et comiques, dans la poésie latine, de Virgile, Horace, Plaute,

410. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Raynaud, Ernest (1864-1936) »

La Tour d’ivoire, c’est l’âme antique, le génie grec avec je ne sais quoi de latin qui captive et berce.

411. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Ricard, Louis-Xavier de (1843-1911) »

. — L’Idée latine (1878). — La Conversion d’une bourgeoise (1879). — Un poète national, Aug. 

412. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 232-233

Si sa carriere n’eût été abrégée par une mort prématurée, il eût pu figurer parmi nos excellens Orateurs, quoiqu’il n’ait fait que des Discours Latins.

413. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 18-19

COMMIRE, [Jean] Jésuite, né à Amboise, petite ville de Touraine, en 1625, mort à Paris en 1702 ; Poëte latin qu’on peut placer parmi les Modernes, entre Santeuil & la Rue.

414. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 91

Dacier avec Mlle le Fevre, c’est l’union du Grec & du Latin.

415. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — H — article » pp. 479-480

On a de lui un Recueil de Poésies & de Harangues Latines, publiées pendant qu’il étoit Professeur de Rhétorique au Collége d’Harcourt, & qui ne peuvent être estimées que de ceux qui ne connoissent pas les bons Poëtes & les bons Orateurs.

416. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 72

On a de lui des Ouvrages théologiques, ascétiques, historiques, polémiques, académiques, dont plusieurs ont été traduits en Latin, par le cas qu’on en a fait.

417. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » p. 281

Elle cultiva les Muses Latines & Françoises avec assez de succès, pour mériter d'être citée parmi la foule des Esprits qui ont honoré le Siecle dernier par leurs talens.

418. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Bachelier »

Falconnet veut savoir le latin comme moi, je veux me connaître en peinture comme lui, et de tous côtés on ne voit que l’adage (…), ou des Bacheliers à l’histoire.

419. (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Histoire de la littérature anglaise, par M. Taine, (suite) »

Ses premiers maîtres furent insignifiants ; ce fut lui qui s’éleva lui-même ; à douze ans il apprenait le latin et le grec, concurremment, et presque sans maître ; à quinze, il résolut d’aller à Londres, d’y apprendre le français et l’italien, de manière à lire les auteurs. […] Il persista et il vint à bout de son projet ; il apprit presque tout ainsi de lui-même, allant à son gré à travers les auteurs, se faisant tout seul sa grammaire, et son plaisir était de traduire en vers les plus beaux passages qu’il rencontrait chez les poètes grecs ou latins. […] Il eut de bonne heure du goût pour Homère et le lisait dans l’original ; après Virgile, c’était Stace entre les Latins qu’il aimait le mieux.

420. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Lettres et opuscules inédits de Fénelon. (1850.) » pp. 1-21

La dernière partie du volume contient des Fables de La Fontaine traduites en prose latine pour l’usage du duc de Bourgogne. […] Au moment de la mort du poète, il l’a loué par une jolie pièce latine dans laquelle il célèbre ses grâces ingénues, son naturel nu et simple, son élégance sans fard et cette négligence unique, à lui seul permise, inappréciable négligence, et qui l’emporte sur un style plus poli. […] Destouches avait envoyé au prélat quelques épitaphes latines : Les épitaphes, répond Fénelon, ont beaucoup de force, chaque ligne est une épigramme ; elles sont historiques et curieuses.

421. (1892) L’anarchie littéraire pp. 5-32

Il croit, me dit-on, que la destruction des nationalités n’amènera pas immédiatement l’unité de la famille humaine ; d’après lui les hommes se grouperont d’abord par races et le Romanisme qui représente l’esprit des peuples latins serait une étape dans l’évolution sociale. […] Ernest Raynaud, brochant sur le tout, veut établir la supériorité du Midi sur le Nord, du Latin sur le Saxon. […] C’est, pour l’humanité tout entière, l’idée du vieil adage latin : mens sana in corpore sano, que nous devons réaliser.

422. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Plessis, Frédéric (1851-1942) »

. — Traité de métrique grecque et latine (1889). — Angèle de Blindes (1896). — Le Mariage de Léonie (1897). — Vesper (1897).

423. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 339-340

Il a fait un excellent Ouvrage sur les Médailles, & de très-mauvais vers Latins & François.

424. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 404-405

Nous avons encore de Budé des Commentaires sur les Langues Grecque & Latine, un Dictionnaire Grec, estimé encore aujourd’hui des Savans, & un Traité de Asse, où il rappelle presque toutes les monnoies des Anciens.

425. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — H — article » pp. 476-477

Nous avons de celui-ci des Poésies latines assez estimées, des Hymnes, entre autres, insérées dans quelques Bréviaires, qui, par la chaleur & l’onction, donnent une idée favorable de ses talens & de sa piété.

426. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 511-512

Avant de se faire connoître des Littérateurs par son Histoire de la Chirurgie, il avoit publié plusieurs Ouvrages en Latin & en François, sur des matieres du ressort de la Médecine, qui lui avoient acquis l’estime des gens de son Art, par les idées neuves, les vûes profondes qu’ils présentent, & par la maniere énergique & claire dont ils sont écrits.

427. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 76-77

Si ces Mémoires étoient cependant écrits par-tout de la même force, les meilleurs Historiens Grecs & Latins n'auroient rien qui leur fût supérieur ; mais il s'en faut bien que le style soit également soutenu dans le cours de la narration ; l'assoupissement & les inégalités s'y font sentir dans mille endroits.

428. (1911) Lyrisme, épopée, drame. Une loi de l’histoire littéraire expliquée par l’évolution générale « Chapitre II. Vérification de la loi par l’examen de la littérature française » pp. 34-154

Quelle que fût sa langue, latine, ou franque, ou romane, le peuple n’a pas cessé de chanter ; il est impossible, de par les lois psychologiques et de par l’expérience, d’admettre un seul instant un silence séculaire ; au contraire, la nouvelle religion, le nouvel état politique et social devaient provoquer une nouvelle poésie. […] Ceux que nous aimerions entendre n’écrivaient pas, ni en latin ni en roman. Les plus anciens monuments en langue vulgaire que nous possédions nous indiquent simplement à quelle date le français, suffisamment différencié du latin, était déjà (mais depuis quand ?) […] La persistance séculaire du latin chez les intellectuels et leur mépris du vulgaire nous ont privés des œuvres littéraires les plus significatives. […] Dans son admiration fanatique pour les Grecs et les Latins, la Renaissance a prétendu rompre avec le moyen âge et recommencer l’antiquité.

429. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Le Barillier, Berthe-Corinne (1868-1927) »

Jean Bertheroy connaît exactement le vieux monde latin.

430. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — J. — article » pp. 527-528

Cet Ecrivain laborieux, après avoir donné beaucoup d’Ouvrages Latins & François sur la Médecine, [dont il ne nous appartient pas de juger le mérite] s’est livré tout entier à l’Encyclopédie.

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