Chapitre III.
Chapitre I Vue générale 1.
Chapitre II Précurseurs et initiateurs du xviiie siècle Irréligion foncière du xviiie siècle. — 1.
Chapitre II La tragédie 1.
Chapitre XVIII.
Chapitre XXI.
Chapitre III.
Chapitre XVI.
Chapitre XIX.
Chapitre XX.
Chapitre XXII.
Chapitre VII Suite de 1620 à 1629. — Objets des conversations de l’hôtel de Rambouillet. — Conversations de Balzac avec la marquise.
Chapitre XXII Année 1667 (suite de la septième période). — Madame de Montespan supplante madame de La Vallière. — Jalousie du marquis de Montespan. — Insulte à madame de Montausier.
Chapitre V,la Perse et la Grèce I. — Immensité de l’empire des Perses.
Chapitre premier L’idée force du monde extérieur I.
Chapitre II.
Si le défaut des méthodes que nous avons combattues est de ne montrer d’une œuvre et de ceux dont elle est le signe, que le dehors, l’entourage, le vague contour extérieur et infléchi, la notre, bornée aux chapitres antérieurs, paraît envisager ses êtres comme absolus, existant à part de tout contact, de toute condition et de toute cause.
Chapitre XXIII.
Je l’ai déjà dit au commencement, de ce chapitre, Stuart Mill n’est pas une première tête en philosophie, un de ces hommes, comme on en trouve à certaines distances dans l’histoire de la pensée humaine, qui renversent l’échiquier et forcent ceux qui jouent à modifier les lois du jeu, jusqu’à ce qu’un autre, aussi puissant qu’eux, vienne les modifier à son tour.
Et on l’a rendue alléchante par l’inattendu très combiné des titres de chapitres qui sont pour les lecteurs que le grand Nelson n’attirerait pas, avec ses miracles de guerre et de marine, de la confiture sur le pain et tout cela a été préparé, travaillé, charpenté de main de libraire encore plus que de main d’auteur !
Mais ce que j’ai été bien obligé d’omettre en ce chapitre, l’auteur du Gouvernement des Papes avait pour devoir de le raconter, et il l’a raconté avec cette droiture d’esprit dans la clarté sobre qui est la marque distinctive de son esprit et de son histoire.
J’ai dit au commencement de ce chapitre que je ne connaissais pas M.
Et on l’a rendue alléchante par l’inattendu très combiné des titres de chapitres qui sont, pour les lecteurs que le grand Nelson n’attirerait pas avec ses miracles de guerre et de marine, de la confiture sur le pain !
J’ai admiré, au commencement de ce chapitre, qu’il ait conservé son bel éclat de vie et de jeunesse, — car les livres sont parfois plus heureux que les hommes, — mais si, à cet éclat de jeunesse et de vie qui n’a point pâli, M.