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449. (1862) Les œuvres et les hommes. Les poètes (première série). III « Brizeux. Œuvres Complètes »

Il vint à Paris, Paris lui passa la main sur la tête, lissa les derniers grains de son granit et lui donna le poli qu’il aime. […] Brizeux, que les gens de Paris ont cru exclusivement Breton, parce qu’ils ne l’étaient pas, et que les Bretons ont aimé, parce qu’il n’était pas devenu tout à fait Parisien à Paris, Brizeux, qui avait le bonheur d’avoir une langue complète et magnifique, dans laquelle il eût pu être Breton tout à son aise et chanter la Bretagne, et qui a mieux aimé nous la dire, la Bretagne, en vers français, n’était pas, selon moi, assez profondément de son pays ; je ne dis pas de cœur, mais de génie. […] X En effet, ce Brizeux qui s’est brisé en deux, cet homme mi-parti et dédoublé, qui tantôt est un Français en Bretagne et tantôt un Breton à Paris, a voulu un jour être plus que Breton, lui qui ne l’était pas assez. […] Les gens de Paris l’avaient trouvé si agréablement Breton qu’il s’est dit, connaissant peu son monde du reste, qu’il allait leur donner de la Bretagne ancienne avec de la Bretagne moderne, puisque la moderne leur avait plu ; et il se mit à écrire en vingt-quatre chants son poëme épique et populaire intitulé Les Bretons.

450. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 113

Abelle,[Gaspard] Prieur de Notre-Dame de la Merci ; de l’Académie Françoise, né à Riez en Provence, en 1648, mort à Paris en 1718. […] Abeille, arrivant à Paris, D’abord pour vivre vous chantâtes Quelques Messes à juste prix ; Puis au Théatre vous lassâtes Les sifflets par vous renchéris ; Quelque temps après, fatigâtes De Mars l’un des grands* favoris, Chez qui pourtant vous engraissâtes : Enfin, digne Aspirant, entrâtes Chez les quarante Beaux-Esprits, Et sur eux-mêmes l’emportâtes A forger d’ennuyeux Ecrits.

451. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » pp. 479-480

Charleval, [Jean-Louis Faucon de Ris, sieur de] né à Paris en 1613, mort dans la même ville en 1693 ; Bel-Esprit de son temps, qui cultiva les Lettres, & fit des vers pour son plaisir, dont il ne nous est parvenu que quelques Pieces, qui font connoître qu’il avoit du talent pour la Poésie légere. […] & à Madame Dacier, croyant que le dérangement de leurs affaires étoit la principale raison qui les déterminoit à abandonner Paris pour se retirer en Province.

452. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 165-166

MABILLON, [Jean] Bénédictin, né dans le Diocese de Reims, en 1632, mort à Paris en 1707 ; Savant, dont les Ouvrages sont immenses & très-utiles pour la plupart. […] Mabillon, le Cardinal Collorédo écrivit aux Bénédictins de Paris, par ordre de Clément XI, qu’ils feroient plaisir à sa Sainteté d’inhumer cet Homme illustre dans le lieu le plus distingué de leur Couvent, parce que tous les Savans de l’Europe ne manqueroient pas de leur demander : Ubi posuistis eum ?

453. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 204-205

Saint-Foix, [Germain-François Poullain de] né à Rennes en 1703, mort à Paris en 1776 ; ingénieux Ecrivain, dont le coloris vif & délicat a su embellir tous les Sujets qu'il a traités. […] Les Essais historiques sur Paris offrent un tableau varié des Mœurs Françoises, depuis Clovis jusqu'à Henri IV.

454. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préface et note de « Notre-Dame de Paris » (1831-1832) — Préface (1831) »

Notre-Dame de Paris, texte établi par Paul Meurice, in Œuvres complètes de Victor Hugo. Roman, tome II, Paris, Imprimerie nationale, Librairie Ollendorff, 1904, p. 

455. (1925) Portraits et souvenirs

J’ai entendu souvent raconter par eux l’arrivée à Paris de ce « dernier des Chateaubriand ». […] Il faut du temps pour lire les poètes, et le temps, à Paris, est ce qui manque le plus. […] Castex, Paris : Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1977, p. 426). […] Études et portraits littéraires (Paris : Lecène et Oudin, 1886 pour la 2e série, p. 50). […] Il fut ensuite critique dramatique à L’Écho de Paris à partir de 1898.

456. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XI » pp. 39-46

L'un des traits les plus singuliers et les plus réguliers de la société de Paris, c’est que tous les quinze jours environ on a un sujet, un lieu commun de conversation nouveau, grand ou petit, comète ou révolution, tremblement de terre ou vente de charité, ou question d’Orient, ou Colomba, ou Lucrèce : on cause partout de la même chose, l’invention est rare, même pour les sujets de conversation ; chaque personne qui entre remet sur le tapis l’éternel dada. […] Exemple : un jésuite prédicateur est envoyé de Paris dans un diocèse ; il prêche, il a du succès, on vient à lui pour la confession. […] Puis, au bout de quelque temps, il lui arrive de Paris une couple d’acolytes.

457. (1874) Premiers lundis. Tome II « Revue littéraire et philosophique »

M. Paulin Paris, poursuivant ses utiles travaux sur la littérature française au moyen âge, nous a donné, après le roman de Berte aux grans piés, dont nous avons parlé en son temps, le Romancero français, ou Choix des chansons des anciens trouvères, que nous n’avons pas annoncé encore. […] M. Paris a traité et éclairci, avec une érudition légèrement railleuse, la question des amours de la reine Blanche et de Thibaut de Champagne, que l’éditeur des Chansons du comte, dans le dernier siècle, avait essayé de nier : la discussion de M. 

458. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — L’Empereur Néron, et les trois plus grands poëtes de son siècle, Lucain, Perse & Juvénal. » pp. 69-78

On connoît la passion de Néron pour les spectacles ; il montoit lui-même sur le théâtre, y représentoit en habit d’actrice, n’avoir d’affection que pour les comédiens & sur-tout pour un nommé Paris. […] Il fit des vers contre le comédien Paris. […] La faveur de Paris se soutint jusqu’au règne de Domitien.

459. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Jean-Baptiste Rousseau et M. de Voltaire. » pp. 47-58

En remettant à M. de Voltaire, pendant son séjour à Bruxelles, un manuscrit du poëme de la Ligue qu’il avoit desiré de voir, il lui conseilla d’y faire jouer un rôle considérable au fameux Alexandre Farnèse, duc de Parme, le plus grand capitaine de son siècle ; celui-là même qui, dans la défection des Pays-Bas, en conserva une partie à Philippe II ; qui vint faire le siège de Paris en 1590, & celui de Rouen en 1592 ; qui se surpassa par sa retraite, une des plus admirables dont il soit parlé dans l’histoire. […] A son retour à Paris, la haine & l’envie le poursuivirent encore : il fut en butte à tous les traits que peut forger un poëte irrité. On a cru que Rousseau s’étoit fait l’entrepôt des plus affreux libèles anonymes, envoyés continuellement de Paris à son adresse, contre un homme qui ne s’occupoit qu’à procurer du plaisir & de la gloire à sa nation.

460. (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Léon Cladel »

… Les amants irrités sont terribles… Cladel ne ressemble pas à Balzac, qui a fait aussi des Paysans, lesquels, eux, n’étaient pas les siens, ni ceux d’aucun pays de France, excepté peut-être des environs de Paris. […] Il hait Paris ; il l’appelle « cette goule si cruelle aux âmes naïves ». Il le hait au nom des campagnes, ce Paris dont on voudrait faire la France tout entière, ou du moins la grande Commune de France !

461. (1925) Proses datées

Il était né le 9 avril 1821, à Paris, rue Hautefeuille. […] Non seulement le pittoresque de Paris y perd, mais son hygiène risque d’en souffrir également. […] Félix, son banquier à Paris ». […] Cette lettre, datée de Paris le 3 janvier 1786, est signée Monge. […] Paris, le 3 janvier 1786.

462. (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre XIX. Du Jardinage & de l’Agriculture. » pp. 379-380

Les principaux ouvrages auxquels on doit donner la préférence sont l’excellent livre du célébre la Quintinie, publié sous ce titre : Instructions pour les Jardins fruitiers & potagers, traité des orangers & réfléxions sur l’agriculture, à Paris, deux vol. […] La Théorie & la pratique du Jardinage, où l’on traite à fonds des beaux Jardins, appellés les Jardins de propreté, comme sont les parterres, les bosquets, les boulingrins, &c. in-4°., à Paris 1739., est un ouvrage utile.

463. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Benjamin Constant et madame de Charrière »

Il arrive à Paris dans l’été de 1795, il y embrasse une cause, il s’y fait une patrie. […] J’ai substitué à ce roman des lettres intitulées Lettres écrites de Patterdale à Paris dans l’été de 1787, adressées à madame de C. de Z. […] Je voulais qu’on les vendît à Paris comme tout autre ouvrage périodique122. […] Ces Contemporaines m’ont tout l’air d’avoir eu le succès des Mystères de Paris. […] De retour en Suisse dans les derniers mois de cette année (1795), il n’avait de pensée que pour les affaires publiques et pour Paris.

464. (1870) Portraits contemporains. Tome IV (4e éd.) « PARNY. » pp. 423-470

Mais cet exil occupé lassa bientôt sa paresse ; il donna sa démission du service et de toute ambition, et, revenu à Paris, publia, en 1787, son choix agréable de Chansons madecasses recueillies sur les lieux, et qu’on peut croire légèrement arrangées. […] Paris, de l’imprimerie de Monsieur, 1785. […] Parny dit qu’il revint dans Paris après quatre ans d’inconstance et d’erreurs ; il dit cela positivement dans une lettre de 1777 adressée à M. de P. du S. […] Serait-il donc, par hasard, retourné à Bourbon vers 1778-1779, dans le temps où paraissaient à Paris les premières éditions de ses poésies ? […] « Paris, le 22 vendémiaire an VII.

465. (1802) Études sur Molière pp. -355

La comédie de L’École des femmes parut à Paris le 26 décembre. […] Soudain, L’Impromptu de Versailles, fait réellement en impromptu, paraît à la cour le 14 octobre, et à Paris le 4 novembre suivant. […] L’Amour médecin fut donné sans succès à Versailles, le 15 septembre, et réussit à Paris, le 22. […] Imprimé pour la première fois, à Paris, chez Pierre le Petit, en 1669. […] L’auteur ne jugea pas à propos de l’exposer sur le théâtre de Paris, pas même de la faire imprimer, elle ne le fut qu’en 1682, neuf ans après la mort de Molière.

466. (1876) Romanciers contemporains

Puis il est venu à Paris. […] Paris offre à M.  […] Celle-ci part d’une auberge pour venir trôner à Paris dans un boudoir, d’où elle glisse jusqu’au ruisseau. […] Le Crime d’Orcival, le Dossier nº 113, les Esclaves de Paris, étendirent encore la réputation de Gaboriau. […] Il en est un pourtant que nous avions déjà reconnu dans les Mystères de Paris.

467. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Duclos. — III. (Fin.) » pp. 246-261

Une autre fois, à Paris, il sortait d’une maison où il était invité, au moment de se mettre à table, en voyant arriver M. de Calonne, l’ennemi de La Chalotais. […] Partout où il va, il est accueilli à merveille ; il retrouve de ses connaissances du grand monde de Paris et, jusque dans les Italiens de distinction, des compatriotes. […] C’est que Paris devient la patrie universelle de tous ceux, de quelque pays qu’ils soient, qui y vivent en bonne compagnie. […] Paris ou le village, pourrait être le vœu de bien des gens raisonnables. […] Ses amis de Paris, connaissant sa tendresse pour elle et ne voulant pas attrister son voyage, se concertèrent avec sa famille pour la lui cacher et pour que cette mort ne fût point annoncée par la Gazette de France : mais Duclos l’apprit d’autre part et par la Gazette d’Avignon.

468. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Mémoires du duc de Luynes sur la Cour de Louis XV, publiés par MM. L. Dussieux et E. Soulié. » pp. 369-384

C’était dans le temps que l’on venait de donner les fermes générales ; les fermiers craignaient fort qu’on ne leur retirât le domaine de Paris. […] Colbert les envoya quérir aussitôt après la conversation qu’il eut avec le roi, et leur demanda pour quel prix ils mettaient le domaine de Paris dans les fermes générales. […] Colbert leur répondit qu’il était persuadé que le domaine de Paris rapportait davantage, mais que, pour en être plus certain, le roi le retirait pour six mois ; il convint avec eux d’un prix dont le roi leur tiendrait compte et dont ils furent contents : même le prix étant plus fort que leur estimation, ils furent obligés de lui en faire des remerciements. […] Ce court intervalle ayant obligé ceux qui étaient venus de rester à Paris, la consommation extraordinaire que cette affluence attira dans la ville augmenta considérablement les revenus de Sa Majesté par rapport aux entrées, et lorsque la fête eut été donnée avec toute la magnificence possible et que le roi voulut savoir ce qu’elle lui coûtait, M.  […] Chauvelin, il disait : « Il s’ennuyait de ce que je vivais trop longtemps ; c’est un défaut dont je n’ai pas envie de me corriger si tôt. » Rencontrant dans un de ses salons, au milieu de trente personnes, M. de Bissy, dont on lui avait apparemment rapporté quelque propos, il va droit à lui, et le regardant en face : « Monsieur, vous voyez que je me porte bien ; cependant je ne mets point de rouge pour me donner un bon visage. » M. de Puységur, qui avait quatre-vingt-quatre ans77, demandait depuis longtemps d’être chevalier de l’Ordre, et il pressait là-dessus le cardinal, qui lui répondit tout naturellement : « Monsieur, il faut un peu attendre. » L’archevêque de Paris, M. de Vintimille, fort âgé, mais un peu moins que le cardinal, sollicitait un régiment pour son neveu, et faisait remarquer au cardinal qu’il importait de l’obtenir promptement, d’autant plus que, quand lui, oncle, ne serait plus là, ce serait pour le jeune homme un grand appui de moins : « Soyez tranquille, répondait le cardinal, je m’engage à lui servir de père et de protecteur. » Sur quoi M. de Vintimille, malgré toute sa politesse, ne put s’empêcher d’éclater : « Pour moi, monseigneur, je sens bien que je suis mortel, mais je me recommande à Votre Immortalité. » Jamais on n’a mieux compris qu’en lisant les présents mémoires cette lente et coriace ténacité, ce doux et câlin acharnement au pouvoir qui caractérise l’ancien précepteur de Louis XV.

469. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre III. Les grands artistes classiques — Chapitre V. La Fontaine »

En pleine force du corps et de l’esprit, il lâcha tout, charge, femme et fils, pour venir à Paris, et vivre à la solde d’amateurs généreux. […] Parmi ses poésies diverses sont deux pièces importantes pour la connaissance de son génie. l’Épître à Huet et le Discours à Mme de la Sablière Éditions : Les Fables : lre et 2e parties, 1668, in-4 ; 1668, 2 vol. in-12, réimp. avec une 3e et une 4e partie, 1678 et 1679, 5 vol. in-12 ; Le xiie livre, Paris, 1692, in-12. […] , Paris, 1820, in-8. […] , 1853, Paris. […] Exploitant ces illustres amitiés, il se fit 30 000 livres de rente en bénéfices. — Éditions : Poésies, Lyon, 1724, in-8 ; 1750, 2 vol. in-12, 1774, 2 vol. in-8 ; Lettres, dans le recueil des Oeuvres de Mme de Staal ; Lettres inédites, publ. par le marquis de Béranger, Paris, 1850.

470. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292

La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) Les Italiens revinrent à Paris en 1662, et cette fois s’y établirent d’une manière permanente. […] La troupe italienne comprenait la plupart des artistes qui avaient quitté Paris au mois de juillet 1659 : Trivelin, le Pantalon Turi, Costantino Lolli, autrement dit le docteur Baloardo, Aurelia et Scaramouche. […] La rédaction qui en est donnée par Cailhava est, il est vrai, plus moderne ; à défaut d’autre, nous devons nous contenter de la reproduire ; mais il nous sera permis de rétablir les noms de la troupe qui joua à Paris de 1662 à 1671. […] Ces canevas nous paraissent appartenir, au moins pour le fond, à la période où les rôles des deux zanni acquirent une importance exceptionnelle sur le théâtre italien de Paris, grâce au talent supérieur du Trivelin Locatelli et de l’Arlequin Dominique, qui y régnèrent l’un à côté de l’autre de 1662 à 1671, époque où le premier mourut et Dominique resta seul maître de l’emploi. […] Voici les vers qu’on lit au bas de son portrait gravé par Hubert : Bologne est ma pairie et Paris mon séjour.

471. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 269-271

Berardier de Bataut, [François-Joseph] Licencié en Théologie, Prieur-Commendataire de Notre-Dame de Serqueux, & ancien Professeur d’Eloquence dans l’Université de Paris, né à Paris en 1720.

472. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 437-439

Lo, en Normandie, en 1653, mort à Paris en 1733. […] GRAND, [Marc-Antoine le] Comédien, mort à Paris en 1728, âgé de 56 ans.

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