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928. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre III » pp. 30-37

Le marquis s’éloigna et alla rêver dans une autre ville aux liens d’un amour exempt de désirs grossiers et au-dessus du danger de si tristes réalités.

929. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — L’abbé Boileau, et Jean-Baptiste Thiers. » pp. 297-306

Il institua différentes sociétés de flagellans ou de pénitens bleus, gris, blancs, noirs : elles subsistent encore dans quelques villes des provinces éloignées de la capitale.

930. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre second. Poésie dans ses rapports avec les hommes. Caractères. — Chapitre X. Suite du Prêtre. — La Sibylle. — Joad. — Parallèle de Virgile et de Racine. »

Ce n’est pas que l’auteur de Phèdre n’eût été capable de trouver cette sorte de mélodie des soupirs ; le rôle d’Andromaque, Bérénice tout entière, quelques stances des cantiques imités de l’Écriture, plusieurs strophes des chœurs d’Esther et d’Athalie, montrent ce qu’il aurait pu faire dans ce genre ; mais il vécut trop à la ville, pas assez dans la solitude.

931. (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — S’il est plus aisé, de faire une belle action, qu’une belle page. » pp. 539-539

Que demain la ville de Paris soit en flammes ou par un accident ou par une hostilité, et mille âmes fortes se décèleront : pour sauver leurs enfants, des pères mourront, des mères marcheront à travers des charbons ardents ; toute l’énergie de la bonté naturelle se dévoilera en cent manières effrayantes.

932. (1917) Les diverses familles spirituelles de la France « Chapitre viii »

Il écrit, dans la dédicace de l’Étang de Berre (1915) : « Ce petit livre — dit — la ville et la province — épanouies — dans le royaume — pour les progrès — du genre humain » ; dans la préface de Quand les Français ne s’aimaient pas (1916), mettant en lumière « les services rendus à la beauté et à la vérité par les hommes de sang français », il spécifie que cela doit être considéré « sans perdre un seul instant de vue que la raison et l’art ont pour objet l’universel ».

933. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXIII. Des panégyriques en vers, composés par Claudien et par Sidoine Apollinaire. Panégyrique de Théodoric, roi des Goths. »

Les conquérants du Nord, qui avaient si souvent pillé Rome, mêlèrent enfin la politique à la fureur, et voulurent s’établir dans cette ville qu’ils avaient ravagée.

934. (1888) La vie littéraire. Première série pp. 1-363

Le chroniqueur nous le montre comme un prince pacifique, le roi des villes, l’ami des bourgeois. […] Donnant dans cette ville de nouveaux sujets de plainte, il reçut l’ordre de garder les arrêts forcés. […] Il leur prête la loquacité violente des ouvriers des villes. […] Il y a pourtant beaucoup de jolis noms de villes et de rivières. […] N’est-ce pas devant lui qu’elle fuit avec les siens de ville en ville ?

935. (1913) Les idées et les hommes. Première série pp. -368

Ces pionniers sont drôles, dans nos villes, et même dans nos campagnes cultivées. […] Elles sont la province et, dans la province, des villes avec leur précieuse particularité. […] Alfred Capus est tout à fait celui d’une ville conquise. […] Dans ce monde, que nous ne comprendrions pas à merveille, nous nous installerions assez bien, comme nous demeurons dans un quartier d’une grande ville et ne connaissons pas, ou connaissons peu, le reste de la ville. […] Les catholiques d’Angoulême ont redouté que leur ville fût livrée aux huguenots du roi de Navarre.

936. (1898) Ceux qu’on lit : 1896 pp. 3-361

« La ville de Lyon sera détruite, disait l’article 3 de ce décret. […] » Cent ans après, le petit-fils de Carnot fait son entrée solennelle dans la ville pavoisée. […] D’un autre côté, le vol étant à l’ordre du jour, et le cambriolage se multipliant aussi bien à la ville qu’à la campagne, pourquoi l’État ne fonderait-il pas une assurance contre le cambriolage. […] Une dame de la ville a, pour des raisons à deviner, mis au loin son enfant en nourrice. […] Dans quel dégoûtant et horrible désordre était cette malheureuse ville, saccagée, à moitié brûlée !

937. (1802) Études sur Molière pp. -355

Arrivé à Lyon7, le nouveau directeur fait donner L’Étourdi ; il obtient le plus grand succès : la troupe qui était dans cette ville est abandonnée, ses acteurs se dispersent, les meilleurs demandent de l’emploi à Molière. […] Molière, protégé par son roi, comblé de ses bienfaits, recherché par tout ce qu’il y avait d’hommes de bien à la cour, et par les véritables savants de la ville, généralement estimé pour la droiture de son cœur, la sûreté de son commerce, était cependant dévoré de chagrins, et coulait ses jours dans les amertumes d’un mariage mal assorti. […] Habits d’été, d’hiver, de printemps, de cour, de ville, de campagne, de deuil, tous ont pris l’air : Montrez-nous des talents, et non pas des habits. […] Sbrigani, fourbe plus adroit que tous ceux de l’antiquité, est remercié par sa victime, des soins qu’il s’est donnés pour elle, et le malheureux Pourceaugnac s’écrie, en l’embrassant, voilà le seul honnête homme que j’aie trouvé en cette ville . […] Alors les comédiens de la rue Guénégaud, persuadés que Les Amants magnifiques pourraient avoir à la ville le même succès qu’ils avaient eu à la cour douze ans avant, montèrent la pièce à grands frais, mais en pure perte.

938. (1714) Discours sur Homère pp. 1-137

Les villes se sont disputé l’honneur de lui avoir donné la naissance : on s’est intéressé par tout à le connoître et à en juger. […] quand il me donneroit, dit-il, tous les trésors qui entrent dans Orchomene, ou dans Thebes d’égypte, qui est la plus riche ville du monde et qui a cent portes, par chacune desquelles sortent deux cent guerriers avec leurs chevaux et leurs chars, etc. on sent d’abord que l’alternative d’Orchomene et de Thebes n’est point du tout du caractére de l’emportement, et de plus, que les particularités de la ville de Thebes, ne sont pas supportables en cet endroit, dans la bouche d’Achille. […] L’étendue et la hardiesse du dessein, la nouveauté des idées, la description de tout ce qui pouvoit intéresser les grecs, les fictions prodigieuses, si séduisantes pour des hommes grossiers comme ils étoient, une beauté d’expression, inconnue peut-être jusqu’alors, une harmonie nouvelle du discours, et par dessus tout cela, si l’on veut, la prononciation du poëte même, qui farde toûjours son ouvrage, ne fût-ce qu’en ne laissant pas le loisir de la réflexion : car il faut remarquer qu’Homere récitoit lui-même ses vers ; qu’il alloit de ville en ville, amuser la Grece de son ouvrage ; et qu’ainsi l’impression que devoient faire en gros la nouveauté et le merveilleux, emportoit aisément des suffrages, sur lesquels on n’avoit pas le tems de délibérer. […] Plusieurs villes jalouses d’avoir produit l’objet de l’admiration des autres, se disputerent la naissance d’Homere ; on alla même jusqu’à lui élever des temples : toutes ces distinctions éclatantes frappent bien plus l’imagination que le détail d’un ouvrage, et elles auroient pû prévenir le jugement d’un peuple plus éclairé que les grecs ne l’étoient alors. […] Cet homme si intrépide tout à l’heure fuit sans tenter seulement de se défendre, et ce n’est plus qu’une dispute de coureurs entre les deux héros, qui tous deux, l’un fuyant, l’autre poursuivant, fournissent trois fois le tour de la grande ville de Troye.

939. (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIe entretien. L’homme de lettres »

Elle existe, car sans domination, il n’y a ni peuple, ni ville, ni famille qui puisse subsister ; et si une famille a besoin d’un maître, il faut bien que l’univers en ait un. […] Parvenu à son sommet, il admire le riche tableau qui se déroule devant lui: « Vois-tu, dit-il, ces rochers escarpés, ces forêts sauvages, ce ruisseau bordé de fleurs qui serpente dans la vallée, ce fleuve majestueux qui court baigner les murs de cent villes ? […] Osez proposer le Contrat social à une ville plus grande que Genève, et ces lois si savamment méditées ne produiront que d’effroyables révolutions. […] X Aimé Martin était un jeune homme de Lyon, fils unique d’un père qui avait combattu contre la Convention au siége de cette ville. […] On sent qu’il rêve ; sa ville de Salente est construite de fantasmagories qui se détruisent les unes les autres.

940. (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1866 » pp. 3-95

— C’est de la rousse… un sergent de ville qui a voulu m’arrêter… Mais, trop bête… Je lui ai tiré mes craquenots… Eh bien ! […] — Et il montre le moyen de cacher aux sergents de ville son argent, en le faisant filer dans ses manches et en le cachant dans ses souliers. — Elle, ma sœur… elle n’a pas cette chance-là, elle est d’hier à la Tour Pointue (la Préfecture)… C’est la neuvième fois, moi je n’y ai été encore que deux fois. […] Il a été forcé d’errer deux nuits, ayant quatre sous dans sa poche, n’osant s’asseoir, de peur de s’endormir, et d’être ramassé sans avoir à donner d’adresse aux sergents de ville. […] On me parle d’une famille avec un rien de petite rente, consacrant tout son pauvre argent au plaisir du spectacle, se privant d’une femme de ménage, se salissant les doigts aux plus gros ouvrages, et assistant, le soir, en gants propres, aux premières représentations, — famille connue de toutes les ouvreuses, en relation avec tous les buralistes, et même les sergents de ville, qui ont servi dans le régiment où le père était major. […] * * * — Saint-Quentin : une ville où les rues ont tout à fait l’air du décor d’une pièce de Molière, avec des nuits carillonnantes, où l’on croit dormir dans une tabatière à musique.

941. (1862) Cours familier de littérature. XIII « LXXIVe entretien. Critique de l’Histoire des Girondins (5e partie) » pp. 65-128

Une ville exerce alors la dictature de sa situation, sauf à la faire ratifier ensuite. […] XIII « D’ailleurs, quelles que soient les théories d’égalité abstraite entre les villes d’un empire, ces théories cèdent malheureusement la place au fait dans des circonstances d’exception ; et ce fait a son droit, car il a sa justice quand il a sa nécessité. Sans doute les villes où siègent les gouvernements ne sont que des membres du corps national ; mais ce membre, c’est la tête !

942. (1869) Cours familier de littérature. XXVII « CLXIIe entretien. Chateaubriand, (suite.) »

XXV Je vis un gros homme, carré comme un Limousin, se lever et réciter d’une voix universitaire les strophes suivantes : Le Tasse errant de ville en ville, Un jour accablé de ses maux, S’assit près du laurier fertile Qui, sur la tombe de Virgile, Étend toujours ses verts rameaux. […] On combat aujourd’hui avec la foudre pour la prise de quelques villes ; on combattait autrefois avec l’épée pour détruire et fonder des royaumes.

943. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « M. Deschanel et le romantisme de Racine »

C’est parce que Achille a brûlé sa ville et l’a emportée elle-même comme une proie dans ses « bras ensanglantés », c’est pour cela qu’elle l’aime, et d’un amour furieux et qui la poussera au crime. […] Pyrrhus est un sauvage, un brûleur de villes, un tueur de vieillards, de jeunes filles et d’enfants. […] Achille, ce gentilhomme, dans les sacs de ville, enlève les filles et les porte lui-même, à bras-le-corps, dans son vaisseau.

944. (1899) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Septième série « Mme Desbordes-Valmore » pp. 01-46

Mais elle est dans une collection publique, la bibliothèque de la ville de Douai, où MM.  […] C’est là le miracle… Moi, je deviendrai folle ou sainte dans cette ville… Mélanie, on n’ose plus manger, ni avoir chaud, contre de telles infortunes… » Et ailleurs : « Quel spectacle depuis deux mois ! […] Que dites-vous de cette phrase sur les émeutiers massacrés à Lyon : « Tomber ainsi en martyr, sous l’atroce barbarie des rois, c’est aller au ciel d’un seul bond, et ce qui nous reste à voir peut-être dans cette ville infortunée nous faisait par moments envier l’élite qui montait à Dieu » ?

945. (1890) L’avenir de la science « XXIII »

J’avais parcouru la galerie des Batailles, la salle des Maréchaux, celles des diverses campagnes ; j’avais vu des sacres de rois ou d’empereurs, des cérémonies royales, des prises de villes, des généraux, des princes, des grands seigneurs, des figures sottes ou insolentes, quand tout à coup je me pris à me demander : Où est donc la place de l’esprit ? […] Qui ne s’est arrêté, en parcourant nos anciennes villes devenues modernes, au pied de ces gigantesques monuments de la foi des vieux âges ? […] Telle est ma manière : au village, je vais à la messe ; à la ville, je ris de ceux qui y vont.

946. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174

À l’entrée de la ville capitale, est une place, nommée Cajolerie, ouverte de trois côtés, et qu’on a rendue spacieuse par la ruine du temple de la pudeur. « Le plus beau quartier de la ville de Coquetterie est la grande place, qu’on peut dire vraiment royale 44… Elle est environnée d’une infinité de réduits, où se tiennent les plus notables assemblées de coquetterie, et qui sont autant de temples magnifiques consacrés aux nouvelles divinités du pays ; car, au milieu d’un grand nombre de portiques, vestibules, galeries, cellules et cabinets richement ornés, on trouve toujours un lieu respecté comme un sanctuaire, où sur un autel fait à la façon de ces lits sacrés des dieux du paganisme, on trouve une dame exposée aux yeux du public, quelquefois belle et toujours parée ; quelquefois noble et toujours vaine ; quelquefois sage et toujours suffisante ; et là, viennent à ses pieds les plus illustres de cette cour pour y brûler leur encens, offrir leurs vœux et solliciter la faveur envers l’amour coquet pour en obtenir l’entrée du palais de bonnes fortunes. » On lit dans un autre passage, que dans le royaume, « il n’est pas défendu aux belles de garder le lit, pourvu que ce soit pour tenir ruelle plus à son aise, diversifier son jeu, ou d’autres intérêts que l’expérience seule peut apprendre45 ». […] Molière et sa troupe étaient dans cette ville, comme comédiens de M. le prince de Conti, qui y présidait les états de Provence.

947. (1913) La Fontaine « I. sa vie. »

La Fontaine est né à Château-Thierry, dans cette ville qui s’appelait déjà, au dix-septième siècle, par une abréviation assez curieuse, « Chaury », (La Fontaine l’écrit souvent ainsi, quand il date ses lettres), et qui s’appelle encore ainsi dans la familiarité des conversations. […] Château-Thierry est, comme vous le savez, une ville de Champagne qui touche de très près à l’Ile-de-France, sur la limite même de l’Ile-de-France et de la Champagne. […] L’abbé d’Olivet semble ignorer ce que nous savons d’ailleurs, c’est que ce collège de Château-Thierry, quoique collège d’une petite ville, était très bon, était célèbre dans son temps.

948. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Taine » pp. 305-350

Elle était dans chaque ville, dans chaque département, dans chaque commune, dans chaque municipalité, dans chaque district de France. […] … En décomptant quelques villes qui ressemblaient à Paris, ils ne voyaient rien que Paris, même réfléchi dans Lyon et Marseille. […] Le parlement de Bordeaux, quand tout brûlait dans le Midi, avait envoyé à l’Assemblée quatre-vingts adresses de quatre-vingts villes, qui criaient vers Elle et qui demandaient qu’on réprimât les excès sans nom de cette canaille, devenue un peu trop Reine de France, et la Constituante, qui mentait à son nom, qui ne sut jamais rien constituer, improuva honteusement ces quatre-vingts adresses et commença ainsi à démolir l’ordre judiciaire, au milieu de tant d’autres démolitions !

949. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Mézeray. — II. (Fin.) » pp. 213-233

Dès l’arrivée du duc de Guise à Paris, la physionomie de la capitale a changé : Tout Paris était plein de gens nouveaux et de visages qui semblaient ne respirer que la proie et la vengeance ; il se tenait jour et nuit des conférences au Louvre et chez les partisans du duc ; on n’entendait plus autre chose dans la ville et à la Cour que des bruits confus de diverses résolutions qui se prenaient, et peut-être qu’à l’heure il ne s’en était encore pris aucune. Henri III, qui n’était pas toujours cruel, résista, dès le commencement de l’émeute, aux conseils de plusieurs capitaines (et notamment de Crillon) qui voulaient en avoir raison et qu’on la réprimât avec vigueur : Le roi, dit Mézeray, n’avait envie que de se saisir des principaux de la Ligue et voulait, par un procédé sans violence, désabuser le peuple des bruits qu’on avait semés… Il était d’ailleurs persuadé de cette opinion que la moindre goutte de sang qui se répandrait serait capable d’irriter la populace et de mettre le feu dans cette grande ville.

950. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Duclos. — I. » pp. 204-223

Il montre, dans ces grandes perturbations financières, la souffrance frappant surtout et d’abord les artisans des villes, et il en suit les conséquences dans les diverses classes de la société telle qu’elle était constituée alors : La souffrance gagne toutes les classes de citoyens par une espèce d’ondulation, jusqu’à ce que l’État ait repris un peu de consistance. […] Duclos répond par un éclat de rire, et se refuse d’abord à croire à la duperie de tant de gens plus ou moins considérables qu’on a nommés : Il me répondit, continue Duclos, que j’étais jeune et ne connaissais encore ni les hommes ni Paris ; que dans cette ville où la lumière de la philosophie paraît se répandre de toutes parts, il n’y a point de genre de folie qui ne conserve son foyer, qui éclate plus ou moins loin, suivant la mode et les circonstances.

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