Maintenant que je ne fume plus, pour remplir l’heure vide qui suit les repas, je bois de l’eau-de-vie. […] Aux tableaux qui suivent, ça devient une véritable bataille, au milieu de laquelle, sur la phrase de Mlle de Varandeuil : « Ah !
Bientôt tout se tait, tout s’apaise et commence la cérémonie du mariage civil, suivi d’un discours de Marmottan. […] Le chanoine de Lyon qui lui a donné des renseignements sur la messe noire, dit-il, lui a écrit que ces choses devaient lui arriver, et chaque jour, il lui mande ce qui suivra le lendemain, avec accompagnement d’ordonnances anti-sataniques pour s’en défendre.
Deschamps : Que ne suis-je couché dans un tombeau profond, Percé comme Farcy d’une balle de plomb, Lui dont l’âme était pure, et si pure la vie, Sans troubles ni remords également suivie !
. — Maintenant parcourez la file des in-folios où se suivent de cinq ans en cinq ans les rapports des agents, hommes habiles et qui se préparent ainsi aux plus hauts emplois de l’Église, les abbés de Boisgelin, de Périgord, de Barrai, de Montesquiou ; à chaque instant, grâce à leurs sollicitations auprès des juges et du Conseil, grâce à l’autorité que donne à leurs plaintes le mécontentement de l’ordre puissant que l’on sent derrière eux, quelque affaire ecclésiastique est décidée dans le sens ecclésiastique ; quelque droit féodal est maintenu en faveur d’un chapitre ou d’un évêque ; quelque réclamation du public est rejetée102.
Les livres et les tableaux ont suivi ceux de Walter-Scott à l’encan des commissaires-priseurs de Londres et de Paris.
« Il faut, dis-je à mes amis, confidents de ma pensée, il faut écrire pour ce peuple, dans une histoire impartiale, morale et pathétique à la fois, le commentaire vivant de sa première révolution, un Machiavel français, non dans l’esprit du Machiavel italien, mais dans l’esprit d’un Tacite moderne ; il faut prouver, par tous les faits de cette révolution, qu’en histoire, comme en morale, chaque crime, même heureux un jour, est suivi le lendemain d’une véritable expiation ; que les peuples, comme les individus, sont tenus de faire honnêtement les choses honnêtes ; que le but ne justifie pas les moyens, comme le prétendent les scélérats de théorie ou les fanatiques de liberté illimitée et de démagogie populacière ; que les plus justes principes périssent par l’iniquité des actes ; que la conscience ne subit pas d’interrègnes ; que la Providence est toujours là pour la venger, et que, si la Révolution de 1793 a noyé les plus belles pensées philosophiques dans le sang, c’est qu’elle est tombée des lèvres des philosophes dans les mains des tribuns, et des mains des tribuns dans les mains des Sylla et des César, lavant le sang dans le sang, et restaurant facilement la tyrannie, que les sociétés préfèrent justement aux crimes.
Toutefois l’obsession du Destin et le sentiment de la vanité de toutes choses ont suivi l’humanité dans ses immigrations vers l’Occident.
Toute chose lui est comme un de ces portraits de maître qui, dans les musées, semblent suivre de l’œil les visiteurs, il n’y a pas dans la nature, telle qu’il la sent, d’objets inanimés ; tout a vie, et le sait ; il n’y a pas d’aspects, mais des visages.
Qu’il ne s’attende point à la photographie décolletée du Plaisir : l’étude qui suit est la clinique de l’Amour.
Elle est suivie par la description de la maison de la grand’mère de Catherine, où rien n’est oublié, ni le chat, ni le perroquet, ni même les mites du perroquet.
Peu importe que ces effets ne suivent pas la même loi que ceux de la gravitation naturelle, qu’ils croissent proportionnellement à l’éloignement du centre, etc. : tout l’essentiel de la gravitation est là, puisque nous avons une action qui, émanant du centre, s’exerce sur les objets découpés dans le disque sans tenir compte de la matière interposée et produit sur tous, quelle que soit leur nature ou leur structure, un effet qui ne dépend que de leur masse et de leur distance.
Nous remercions vivement ces auteurs d’avoir aimablement autorisé les reproductions qui suivent. […] Suivra, en 1929, du même auteur, un Anatole France anecdotique.
Je les ai suivis dans l’atelier où ils venaient donner des renseignements, sur un nommé Soumy, un mort de leurs amis. […] Thierry tire de sa poche un numéro de la Gazette de France, et sur l’attaque qu’elle contient contre nous, suivie d’un curieux appel aux contribuables dont l’argent sert à monter une Henriette Maréchal, nous demande de retirer notre pièce.
Quand il vit cela, il cessa, un certain temps, de rôder dans la montagne ; mais un jour que ma sœur était seule à la maison, parce que j’avais suivi Hyeronimo et Fior d’Aliza au ruisseau pour tondre les brebis et pour laver avec eux les toisons, un petit monsieur sec, mince et noir comme un homme de loi ou comme un huissier, entra dans la cabane en saluant bien bas et en présentant un papier à ma belle-sœur.
Il lui donne de bons conseils, qu’il sait qu’elle ne suivra pas.
Vous pouvez suivre sur la carte cette traînée de flamme annonçant Agamemnon à Clytemnestre.
« Lève-toi, me dit-elle, et reconnais en moi « La vierge des combats, le sauveur de son roi ; « Celle qui déserta sa tranquille chaumière « Pour suivre de l’honneur le périlleux chemin ; « Celle qui délivra la France prisonnière, « Et qui porte encor dans sa main « Et sa houlette et sa bannière. » …………………………………………………… Elle dit, et bientôt, du nuage voilée, L’héroïne s’enfuit sur la route étoilée.
Tertullien et Bossuet ont suivi au-delà du cadavre les traces du néant de l’homme.
On se demande si, quand l’état de mariage les fait suivre forcément hors du foyer de la famille un maître ou un époux qui les assujettit à son empire, elles doivent emporter dans des familles étrangères la propriété héréditaire de leur propre famille.
Sa vie et ses œuvres (3e partie) I Suivons maintenant la comtesse d’Albany : Le lendemain de la mort d’Alfieri, rien ne change dans la demeure du poète.
Comos le suit, éclatant de rire jusqu’aux oreilles, comme le Masque ébauché de la comédie, qu’il essaye de temps en temps à son front hardi.
Cette scène, effrayante comme un tour de force merveilleusement accompli, et qui fait se demander par quoi va continuer et finir un roman qui commence ainsi, n’est suivie d’aucune autre qui montre, en le développant, le caractère de cette fille singulière et gâtée, qui philosophe en caleçon, au bain, avec un homme, et qui a dix-sept ans !!!
Une brochure racontant l’amitié d’un lion et d’un chien, venant d’Afrique, se vendit à plusieurs éditions ; les concerts donnés à l’éléphant mélomane, pris dans les jardins du roi de Hollande, étaient très suivis.