Et souvenez-vous, par exemple, de ce pauvre petit prince impérial massacré par les sauvages et venant mourir de si loin, d’une mort sanglante, sous la même latitude où était mort l’Homme de sang, son aïeul.
Qui ne le préfere, par exemple, à M. d’Alembert, dont la plume, comme la sienne, ne s’est exercée que sur de petits Ouvrages détachés ?
Par exemple, celle de : coffre où l’on conserve les carafes frappées.
Dans le tableau précédent, par exemple, on peut soupçonner que la scène, au lieu de se passer en action entre Ulysse et Pénélope, eût été racontée par le poète.
Le poëte qui fait la description d’un temple n’est, selon lui, que le copiste de l’architecte qui l’a fait élever ; j’en tombe d’accord, et que j’aimerois mieux être, par exemple, l’architecte qui a fait bâtir l’église de saint Pierre de Rome, que le poëte qui en auroit fait en vers une belle description.
Je n’ignore pas que les personnages de plusieurs comedies d’Aristophane, ceux des oiseaux et des choeurs des nuées, par exemple, ne soient allegoriques.
L’acteur qui joüoit la comedie, Roscius par exemple, étoit aussi-bien soutenu par un accompagnement, que l’acteur qui joüoit la tragedie.
L’expression du christianisme de sainte Thérèse, par exemple, n’est pas la sienne, et voilà pourquoi il plaît tant aux gens du monde et aux philosophes.
Ainsi, par exemple, quoique nous ne voulions rien citer, il y a dans cette superbe satire sur la Morgue, où il a dépassé en pathétique amer et sombre l’auteur de L’Hôpital, du Village abandonné, etc., le poète Crabbe, un passage que nous risquons en finissant, et dans lequel vous trouverez le mouvement et le procédé d’émotion à l’aide desquels le poète moraliste a l’habitude de nous atteindre.
Cependant, il faut en convenir, il y a en Clavijo plusieurs choses qui, malheureusement, sont de Gœthe : par exemple le dénoûment, à grand tapage mélodramatique, traduit et remanié et gâté de Roméo et Juliette. […] Dans ses œuvres dramatiques, Gœthe cherchait, comme tous les écrivains dramatiques, à s’en faire une dans des personnages plus ou moins historiques, dans des types plus ou moins observés, plus ou moins traditionnels ; car il n’a pas, lui, un seul personnage d’invention comme, par exemple, Falstaff, Shylock, lago, dans Shakespeare, et pour les autres vous savez comme il y a réussi. […] Mais il y a, dans Gœthe (Prophéties de Bacis, par exemple), toute une partie si absolument incompréhensible que le traducteur lui-même, l’honnête M. […] C’est même une chose digne de remarque qu’un homme qui a voulu traverser, comme je l’ai dit, toutes les catégories de l’esprit humain, ait si peu d’abondance que Gœthe, et n’ait laissé, après quatre-vingts ans de vie, qu’une dizaine de volumes… Je sais bien que l’abondance n’est une grande chose que par le mérite des œuvres qu’elle donne ; mais enfin, dans les choses de peu de mérite, Gœthe n’a pas cette faculté de l’abondance qu’a eue, chez nous, par exemple, cette sous-ventrière lâchée d’Alexandre Dumas. […] Il ne renaquit pas de manière à comprendre, par exemple, les poésies romaines du catholicisme.
Des échanges, des rapports de coordination attestent l’eurythmie des éléments composants associés et l’on ne voit pas, par exemple, comment se pourraient séparer les tragédies de Racine de leur lieu d’élaboration, la cour de Louis XIV. […] En faisant qu’elles exigent toutes de notre esprit, malgré leurs différences d’aspect, la même espèce d’attention et, en quelque sorte, le même degré de tension, on accoutumera peu à peu la conscience à une disposition toute particulière et bien déterminée, celle précisément qu’elle devra adopter pour s’apparaître à elle-même sans voile37. » Rappelons-nous les Phares de Baudelaire ou telle pièce des Serres Chaudes de Maeterlinck ; celle-ci, par exemple, où le poète entasse à dessein les petits tableaux pour mieux nous faire pénétrer son impression subtile : « Oh ! […] Il existe, par exemple, autant d’intermédiaires que l’on voudra entre la couleur verte et la couleur jaune, entre un son et un autre son. […] Par exemple qui est réaliste et qui ose avouer ne l’être pas ? […] Par exemple, nul ne contestera que le système de Leibnitz contente mieux la raison que celui de Descartes.
. — Mais, par exemple, dans ma tête… en cherchant bien… RAOUL. — ??? […] … ainsi, le mien, par exemple… ou, pour parler plus exactement, celui que je porte… RAOUL. — Ah ! […] c’est à voir… Duval de Grâce, par exemple ? […] « Je craignis un moment quelque burlesque riotte », par exemple. […] Il serait, en effet, surprenant qu’elle eût jusqu’à nos jours négligé de reconnaître les délices d’un vers de treize syllabes, par exemple.
Par exemple, croiriez-vous qu’il représente dans le théâtre moderne la moralité ? […] Dans Cendrillon par exemple, l’exposition dure trois longs actes, et il est évident que le drame a été écrit pour la scène capitale du cinquième acte entre Marie et Mme de Fontenay. […] La plaisanterie par exemple de M. […] Que dites-vous par exemple de cette description des symptômes auxquels on reconnaît la crise au moment de la seconde jeunesse chez les femmes ? […] A-t-on remarqué par exemple que M.
Vous êtes-vous promené, par exemple, dans les grandes ruines du château de Coucy avec M. […] Le mariage, par exemple, est d’ordre moral. […] Voici, par exemple, quelques lignes d’une grâce héroïque. […] Par exemple, dans mon roman carthaginois, je veux faire quelque chose pourpre. […] Il ne conçoit pas, par exemple, qu’on puisse s’intéresser à la sûreté et à la gloire de la patrie.
Il est résulté de cette bizarre péripétie, à propos de flétris, que les républicains et les gens du mouvement sont, pour le quart d’heure, dans le sens et dans l’intérêt du parti légitimiste, et que la jeunesse des écoles, par exemple, est allée en corps faire visite à Chateaubriand, lui offrir compliments et hommages.
Druey, par exemple, homme d’une intelligence puissante et un peu grossière, d’une forte éducation allemande, une espèce de sanglier hégélien : les autres étaient purement socialistes et radicaux dans le sens politique et non philosophique.
Il est beau, il est consolant sans doute de voir, dans les mouvements des peuples, les inspirations de l’esprit de Dieu, et, dans le sentiment qui les pousse au bien-être, la marque infaillible et divine qu’ils l’atteindront ; il serait doux de penser que les obstacles apparents contre l’affranchissement des Hellènes n’en sont que des moyens dans l’ordre de la providence ; qu’Ali-Pacha, par exemple, a servi la Grèce en détruisant les Armatolikes et en renversant les peuplades libres ; que surtout les puissances d’Europe la servent par leur politique indifférente ou ennemie ; que la Russie la sert, que l’Autriche la sert, que la France et Soliman-bey aident à son triomphe : tout cela, encore une fois, serait doux à croire.
Guillaume Schlegel, par exemple, nous a récemment apporté quelques échantillons peu flatteurs de la mauvaise humeur la plus insolente et la plus lourde dont jamais conseiller aulique se soit avisé.
Ce qui fait que quelques-unes de ses pièces, le Nom, par exemple, où se trouvent des parties admirables, des scènes de maître, ne se sont pas imposées au répertoire, c’est que l’allure générale en était incertaine, c’est que l’idée ne s’en dégageait pas nette et lumineuse.
Il en reste des traces dans quelques poèmes des Nécroses, dans le Petit Lièvre, par exemple, et la Vache au taureau, qui est d’un naturalisme assez ferme.
Il ne se peut pas (je sais trop quel délicat est l’auteur) qu’il ne soit pas ravi du charme unique et clair de l’Eau de Jouvence, par exemple.
Que l’on rapproche, par exemple, les dédains dont Nisard ou Faguet accablent le xviiie siècle et les enthousiasmes que les œuvres du même temps inspirent à Michelet ou à Paul Albert !
Je n’ai pas prétendu, dis-je, par exemple, qu’il n’y eût point d’esprit ni d’agrémens dans les Ouvrages de M.