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1165. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « F. Grille »

Grille, vient d’offrir au public trois volumes de renseignements, de lettres et d’anecdotes, sous le titre de Miettes littéraires, biographiques et morales 7. […] C’est une bêtise bien venue, complète et tranquille, la bêtise bourgeoise sans idées quelconques et l’indifférence dans la badauderie, chose nouvelle !

1166. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre III. La Révolution. »

Et les forces ne lui manquent pas dans cette entreprise ; car l’orgueil en lui vient aider la conscience. […] Ils viennent pour qu’on leur explique l’Écriture et qu’on leur prouve la morale. […] Ouvrez le premier venu, un des plus anciens, John Hales. […] Suivez ce sentiment du droit dans le détail de la vie politique ; la force du tempérament brutal et des passions concentrées ou sauvages vient lui fournir des armes. […] Chez eux, « aucun citoyen ne craint aucun citoyen. » Causez avec le premier venu, vous verrez combien cette sécurité relève leurs cœurs et leurs courages.

1167. (1923) Paul Valéry

Ce qui vient nous paraît venir sans raison qui soit annoncée ou sollicitée par ce qui précède. […] Une image viendra ici à mon aide. […] Qu’elle vienne donc, la mort, qu’elle glisse son illusion dans le splendide printemps qui la nie ! […] L’âme vient habiter et agiter le corps qui la repoussait douloureusement. […] Ils sont venus demander à être, et ils ont été refusés.

1168. (1923) Critique et conférences (Œuvres posthumes II)

La soirée ne se prolongea pas tard, le nouveau venu témoignant que le voyage l’avait quelque peu fatigué... […] En première ligne vient… M.  […] D’où vient cette contradiction ? […] Barbey d’Aurevilly, juge des poètes : je viens aujourd’hui, à propos d’un livre récent, vous parler de M.  […] néanmoins j’y participais d’esprit, je communiai de cœur avec les ouvriers qu’enfin je vois et de qui je viens enfin de voir les œuvres.

1169. (1898) Émile Zola devant les jeunes (articles de La Plume) pp. 106-203

De quel droit cet homme vient-il saccager les entrailles de notre âme, ébranler ces temples intérieurs que chacun porte en soi ? […] Comment la critique a-t-elle pu confondre ainsi l’art de ces naturalistes qui vinrent se grouper autour de M.  […] Et c’est de là que vient assurément cette splendide richesse sensorielle qui n’appartient qu’à lui, c’est de là que vient encore cette sève généreuse que rien ne devait plus tarir. […] Après les grands maîtres, viennent les petits maîtres, et après ceux-ci la vulgaire troupe des copistes et des pasticheurs. […] Dans ces trêves surgiront d’elle des hommes qui viendront grossir l’élite.

1170. (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1867 » pp. 99-182

Il devait nous venir comme une plante des tropiques, du Nouveau Monde. […] Tout le tendre, tout le sensitif, tout le beau ému du moderne, vient du Christ. […] L’inconnu du mal qui vient à elle, l’hébète. […] C’étaient des tirailleurs suédois, dont l’un venait d’abattre ou de blesser, coup sur coup, trois canonniers. […] Un enfant, son aîné, est venu s’asseoir tout contre elle, beau comme un enfant fait au ciel.

1171. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Vernet » pp. 130-167

C’était le cicerone de la contrée ; il en faisait les honneurs aux nouveaux venus, et personne ne s’entendait mieux à ménager à son spectateur la surprise du premier coup d’œil. […] J’avais à ma droite un phare qui s’élevait du sommet des rochers ; il allait se perdre dans la nue, et la mer en mugissant venait se briser à ses pieds. […] S’il n’y avait rien de commun, les hommes disputeraient sans cesse et n’en viendraient jamais aux mains ; s’il n’y avait rien de divers, ce serait tout le contraire. […] à quoi tient-il qu’elle soit ou ne soit pas venue ? […] Quel est l’homme puissant à qui ces choses appartiennent et qui les abandonne à la merci du premier venu ?

1172. (1903) Articles de la Revue bleue (1903) pp. 175-627

qu’il me vienne un amour, un simple amour !  […] Une idylle très discrète et très voilée vint compléter l’enchantement. […] Sully Prudhomme vient proposer la formule qui me paraît étroite : s’en tenir pour la poétique à ce qui a été révélé par Victor Hugo. […] Mes raisons sont multiples et les objections viennent en foule à mon esprit. […] Lorsque le Parnasse vint renforcer ce préjugé, il ne fit qu’obscurcir encore le problème, et c’est pourquoi quand le symbolisme, qui sentit tout ce qu’il y avait d’étroit dans les partis pris du Parnasse, vint proclamer le vers libre, il crut faire une découverte.

1173. (1870) Portraits de femmes (6e éd.) « M. DE LA ROCHEFOUCAULD » pp. 288-321

Il vient un moment dans la vie où La Rochefoucauld plaît beaucoup et où il paraît plus vrai peut-être qu’il ne l’est. […] L’intime liaison avec Mme de La Fayette, qui les adoucit et les consola véritablement, ne vint guère qu’après. […] Dans la jeunesse, les pensées me venaient en sonnets ; maintenant c’est en maximes. […] Les beaux raisonneurs viennent après, et sur le papier ils mettent de l’ordre à tout cela. […] De là vient qu’à l’instant où l’on sent qu’on y porte moins, on s’en dégoûte souvent avec un cœur fier, et qu’on résiste si aisément à celui qu’on inspire.

1174. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Charles Labitte »

Et aujourd’hui même que le premier trouble a eu le temps de s’éclaircir et que rien ne voile plus l’étendue du vide, ce n’est pas un jugement régulier que nous viendrons essayer de porter sur celui qui nous manque tellement chaque jour et dont le nom revient en toute occasion à notre pensée. […] Quand on ramène sa pensée à ses premières années et qu’on veut revenir sur les traces que l’on a déjà parcourues, il n’y a rien qui éclaire davantage ces époques flottantes et vagues qu’un amour d’enfant venu avant l’âge des sens. […] Les vues neuves et perspicaces, les choses bien saisies et bien dites, abondent et viennent égayer le courant du détail à travers la juste direction de l’ensemble. […] Que dirait-on de quelqu’un qui viendrait confondre la Parisienne avec la Marseillaise ? […] Non, dans l’ordre naturel, la Satyre Ménippée ne saurait venir (comme paraît le désirer M. 

1175. (1895) Histoire de la littérature française « Seconde partie. Du moyen âge à la Renaissance — Livre I. Décomposition du Moyen âge — Chapitre I. Le quatorzième siècle (1328-1420) »

D’où vient cependant que Froissart, si étranger aux haines de race, ne puisse souffrir les Allemands ? […] Puis viennent les traités techniques, qui mettent en main la méthode : Ars dividendi themata, Ars dilatandi sermones. […] On viendra à son secours : vers 1395 paraît le fameux Dormi secure, recueil de sermons tout rédigés, bons à prêcher. […] Ce qu’il a déjà parfois d’harmonie et d’ampleur, ces larges développements où s’étalent le pathétique et l’onction, viennent d’un commerce habituel avec les chefs-d’œuvre romains. […] Il vient en France en 1364, visite l’Écosse en 1365.

1176. (1894) Propos de littérature « Chapitre IV » pp. 69-110

On plaquait, — et malheureusement on n’en a pas encore perdu par tout l’habitude, — un son d’orgue sur chaque son de la mélodie chantée, au lieu qu’un discant libre en certains : cas ou, plus souvent, des accords soutenus vinssent souligner et enrichir chaque groupe rythmique de la phrase. […] À la dernière aurore Siegfried est venu réveiller l’endormie, et, le casque enlevé, les boucles enfin qui se dénouent ondulent toutes dans la clarté. […] Mais des exemples de ce genre sont rares et l’on trouve aussi des strophes semblables aux suivantes, où le mètre nouveau s’essaie à peine à vivre de lui-même et bientôt, issu de l’alexandrin, vient s’y résoudre. […] Il semble que pour les Grecs aussi, l’heure n’était pas venue ; elle aurait dû, une fois née à la vie, se prolonger éternellement, car l’idéal ne suppose point de décadence ; — au contraire leurs sculpteurs furent asservis au canon rigoureux, précis, despotique, comme leurs cités connurent l’orteil du roi de Macédoine. […] L’instant de l’anarchie viendra ; attendons.

1177. (1883) Souvenirs d’enfance et de jeunesse « Chapitre V. Le Séminaire Saint-Sulpice (1882) »

Pas une des objections du rationalisme qui ne soit venue jusqu’à lui. […] Le Hir venait surtout de sa profonde connaissance de l’exégèse et de la théologie allemandes. […] Mes doutes ne vinrent pas d’un raisonnement, ils vinrent de dix mille raisonnements. […] Même si je venais à l’abandonner, cela devrait lui plaire, car ce serait un sacrifice fait à la conscience, et Dieu sait s’il me coûterait ! […] En vérité, j’en viens à regretter la misérable part de liberté que Dieu nous a donnée, nous en avons assez pour lutter, pas assez pour dominer la destinée, tout juste ce qu’il faut pour souffrir.

1178. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Additions et appendice. — Treize lettres inédites de Bernardin de Saint-Pierre. (Article Bernardin de Saint-Pierre, p. 420.) » pp. 515-539

Vous pouvez être persuadé que vous serez instruit des indices du voleur s’il s’avise de venir à Varsovie. […] Ma lettre ne vous sera pas encore venue, que mon sort sera décidé ici. […] J’ai donc été bien content de vous voir venir me renouveler votre amitié. […] Je me levai et montai sur le pont où l’on venait d’appeler tout l’équipage. […] Mon argent était tout prêt, mais votre réponse est venue trop tard.

1179. (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre IX. Première partie. De la parole et de la société » pp. 194-242

De la parole et de la société Je viens d’esquisser l’histoire de la parole ; essayons maintenant de l’étudier sous le rapport philosophique. […] Il est certain qu’il faut en venir là si vous écartez la révélation de la parole. L’homme alors aurait fait successivement ses organes et ses sens ; et le sens de la parole, le plus parfait de tous, serait venu le dernier. […] Quoi qu’il en soit, une langue ne vient à être bien comprise et parfaitement analysée qu’à un âge très avancé de la société ; encore y a-t-il peu d’hommes qui parviennent à cette profondeur de l’analyse. […] Une autre considération vient encore à notre secours.

1180. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Crétineau-Joly »

Les plus hautes justices — celles qui confondent le mieux les faux jugements des hommes — sont les justices lentes à venir. […] Nul de nous n’avait été assez heureux pour inspirer à des hommes qui avaient l’honneur de leur Institution à défendre, une confiance qui devait venir dans son temps comme les choses destinées à réussir. […] Le temps propice n’est pas encore arrivé pour vous, il viendra et il passera pour les autres. […] De même pour les Papes qui viendront après Clément XIV. […] Alors on comprend les mots du Jésuite à ses frères : « Le temps propice n’est pas encore arrivé pour vous, il viendra et passera pour d’autres.

1181. (1892) La vie littéraire. Quatrième série pp. -362

Mais un nouveau venu, M.  […] Un jour viendra où il tentera l’impossible. […] Il sait se faire bien venir du soldat. […] D’où viens-tu ? […] Je viens d’épouser ma maîtresse.

1182. (1828) Introduction à l’histoire de la philosophie

Est-ce sa faute s’il est venu le premier ? […] Deux grandes armées sont en présence et près d’en venir aux mains. […] Elles viennent d’une seule cause. […] L’erreur vient donc de la réflexion. […] Je ne viens ni la défendre ni l’attaquer ; je l’explique.

1183. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « M. de Stendhal. Ses Œuvres complètes. — II. (Fin.) » pp. 322-341

Victor Le Clerc et dont était le spirituel Ampère, Beyle, qui était de la partie pour la campagne romaine, égayait les autres, à chaque pas, de ses saillies, et excellait surtout à mettre ses doctes compagnons en rapport avec l’esprit des gens du pays : « Le ciel, disait-il, m’a donné le talent de me faire bien venir des paysans. » Sa prompte et gaillarde accortise, sa taille déjà ronde et à la Silène, je ne sais quel air satyresque qui relevait son propos, tout cela réussissait à merveille auprès des vendangeurs, des moissonneurs, des jeunes filles qui allaient puiser l’eau aux fontaines de Tivoli comme du temps d’Horace. […] Beyle n’y est plus cependant sur son terrain ; on l’y sent un peu novice sur cette terre gauloise ; quand il se met à parler antiquités ou art gothique, on s’aperçoit qu’il vient, l’année précédente, de faire un tour de France avec M.  […] Le défaut de Beyle comme romancier est de n’être venu à ce genre de composition que par la critique, et d’après certaines idées antérieures et préconçues ; il n’a point reçu de la nature ce talent large et fécond d’un récit dans lequel entrent à l’aise et se meuvent ensuite, selon le cours des choses, les personnages tels qu’on les a créés ; il forme ses personnages avec deux ou trois idées qu’il croit justes et surtout piquantes, et qu’il est occupé à tout moment à rappeler. […] Aucune morale, aucun principe d’honneur : il est seulement déterminé à ne pas simuler de l’amour quand il n’en a pas ; de même qu’à la fin, quand cet amour lui est venu pour Clélia, la fille du triste général Fabio Conti, il y sacrifiera tout, même la délicatesse et la reconnaissance envers sa tante. […] Il faut écrire pour se faire plaisir à soi-même, écrire comme je vous écris cette lettre ; l’idée m’en est venue, et j’ai pris un morceau de papier.

1184. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « William Cowper, ou de la poésie domestique (I, II et III) — II » pp. 159-177

Il ne se refuse aucune de celles qui lui viennent à la fantaisie ; ainsi, dans une lettre à M. Newton, il comparera l’état de son esprit en lui écrivant à une planche sous le rabot ; les premières pensées qui lui viennent, les pensées de dessus, ce sont les copeaux, etc. […] Il vint un moment, je l’ai dit déjà, où Cowper sentit que de faire des cages, des serres ou des dessins ne lui suffisait plus : il se remit à la poésie, et à une poésie qui naissait de sa vie même et des circonstances qui l’environnaient. […] Je suis un brave drapier qu’on estime à la ronde : certainement, pour cette fête, mon ami le décatisseur me prêtera sa bête. » Il est convenu aussi qu’on emportera le vin du logis, car le vin cette année-là est cher. « Le matin venu, la chaise s’avance, mais non jusqu’à la porte, afin qu’on ne puisse pas dire que Mme Gilpin est fière. » Surviennent les contretemps du voyage : au moment où part la chaise de poste, Gilpin, prêt à la suivre et déjà en selle, voit arriver trois pratiques ; on ne refuse jamais des pratiques, et il met pied à terre pour les servir. […] De cette façon drôlatique il traverse tout Islington et vient enfin donner en plein dans la mare d’Edmonton.

1185. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Le journal de Casaubon » pp. 385-404

Charles Nisard, et je ne viens pas refaire une étude qui a été bien faite80. […] Cela fait le tissu le plus singulier, et cette bigarrure, qu’il portait jusque dans ses autres écrits, lui a été reprochée dans le temps même : elle est faite pour nous étonner bien plus encore aujourd’hui· Elle n’a d’ailleurs d’effrayant que le premier aspect ; avec un peu d’habitude des langues anciennes, on en vient bientôt à bout, sauf quelques mots qu’on peut négliger. […] Ce jour-là les études ont tort, ce jour-là et les jours suivants ; et pendant bien du temps encore, l’image de cette aimable et gentille petite créature viendra passer et repasser devant les yeux paternels, et se placer entre lui et son Athénée, qu’il a rouvert. — Que sera-ce quand il perdra par la suite une autre de ses filles, sa bien-aimée Philippe, âgée de dix-huit ans et demi ? […] Ajoutez que l’Église de Paris m’a envoyé tout exprès Dumoulin pour s’opposer à ce que je vinsse ici (à Fontainebleau), dussé-je souffrir tous les supplices ! […] Et certainement heureux sera le jour, heureuse sera l’année, heureux tout le temps que je vivrai pour toi et que je consacrerai à ta loi divine et à ton Écriture véritablement inspirée ; quoique cependant sans ton secours, ô Père céleste, sans une aide particulière venue d’en haut, cela même ne me réussisse pas.

1186. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Histoire du roman dans l’Antiquité »

Il vient lui-même, d’ailleurs, d’ajouter tout un volume au précédent : il nous donne la Vie d’Apollonius de Tyane par Philostrate, cette histoire toute remplie de pérégrinations lointaines, de guérisons miraculeuses, de prodiges, prédictions, divinations de songes, apparitions, et qui nous représente comme en un tableau de choix tout le merveilleux de l’Antiquité68. […] Si l’on pouvait voir dans une sorte d’aquarium la formation et le progrès de la fable de Psyché à ses divers états d’éclosion et de croissance, je me persuade que l’on reconnaîtrait que cela a commencé bien simplement, par un conte qui s’est grossi peu à peu, mais que ni la philosophie ni la théologie n’ont présidé à l’heureuse venue du germe ; ç’a été, si j’ose ainsi parler en naturaliste, un globule, une cellule qui a prêté au développement et qui a réussi. […] Le philosophe à besicles, qui ne s’en tient pas à la première vue, et qui se mire dans ses abstractions, n’est venu que bien tard. […] Venez, pleines de zèle et d’empressement, secourir une jeune beauté, épouse de l’Amour. » À l’instant, comme des vagues, s’agitent en se précipitant les unes à la suite des autres ces peuplades à six pieds. […] s’écrie-t-elle, ce ne sont pas tes mains qui ont accompli cet ouvrage ; c’est le perfide à qui, pour son malheur comme pour le tien, tu t’es avisée de plaire. » Et lui jetant un morceau de pain grossier, elle va se mettre au lit. » Et le lendemain elle lui ordonnera une nouvelle épreuve, pour laquelle aussi quelque autre créature compatissante comme la fourmi, et même des êtres insensibles ou inanimés, le roseau, une tour, viendront en aide à la malheureuse persécutée, jusqu’à ce qu’elle ait fléchi la colère de Vénus.

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