Je fis cette maladie au printemps de 1774, et je me trouvais en convalescence à l’époque de la mort de Clément XIV, ainsi qu’au commencement du conclave dans lequel Pie VI fut élu. […] Je me trouvai très embarrassé pour en porter l’hommage au duc Braschi, son neveu. […] Je le trouvai aussi grand et même beaucoup plus grand que lorsqu’il régnait à Rome. […] Herzan va s’entendre avec Calcaquin pour le sonder avant de lui porter les voix du parti autrichien ; il le trouve insuffisant, obstiné, quoique honnête. […] Le chef du parti Mattei, Herzan et tous les autres ne tardèrent pas à aller le trouver.
Le grand Condé exigeait de lui qu’il le vînt voir souvent, et disait qu’il trouvait toujours à apprendre dans sa conversation. […] Lélie, en rendant une bourse qu’il a trouvée, en secourant un homme qu’on attaque, fait des actions de générosité plutôt que d’étourderie. […] Il est vrai qu’on a trouvé le déguisement d’une fille en garçon peu vraisemblable. […] Le style du Cocu imaginaire l’emporte beaucoup sur celui de ses premières pièces en vers ; on y trouve bien moins de fautes de langage. […] C’est une de ces farces de Molière dans laquelle on trouve beaucoup de scènes dignes de la haute comédie.
Tout désormais ne sera pas réglé en profession, et l’imprévu saura trouver ses retours. […] La Révolution la trouva très en méfiance, elle eût été d’avis de quitter la France avant les extrémités funestes ; mais son mari n’y ayant pas consenti, elle ne s’occupa plus que d’y tenir bon, de faire face aux malheurs, et, au lendemain des désastres, de sauver l’avenir de sa jeune famille. […] La première Restauration l’avait trouvée toute disposée. […] J’y trouve des observations du monde, et des délicatesses sentimentales, dans une mesure pourtant qui n’est peut-être ni tout à fait le monde même, ni tout à fait l’idéal romanesque. […] Elle sortit pour les mettre en sûreté chez un ami ; mais ne l’ayant pas trouvé, elle rentra précipitamment et les jeta au feu.
C’est dans le jardin de son aimable hôte que Humboldt vit pour la première fois le bananier, que jusque-là il n’avait trouvé que dans les serres chaudes, le papayer (ou arbre à melons) et d’autres plantes tropicales qui croissent en liberté. […] C’est au milieu de ces tristes pensées que Humboldt aborda les rivages du pays qui lui avait déjà souri dans ses rêves de jeunesse, qu’il avait adopté pour but de tous les projets de sa vie, et vers lequel il avait été si joyeux de naviguer pour y trouver l’image fidèle de la nature tropicale. […] Les beaux végétaux que jadis il avait admirés dans les serres chaudes de Vienne et de Schœnbrunn, il les trouvait là, luxuriants, dans leur sauvage liberté, sur le sol qui les avait vus naître. […] Je me trouvais logé en 1811, avec le duc de Riario, mon compagnon de voyage, dans un hôtel, à Rome, où logeaient aussi Guillaume de Humboldt et plusieurs Allemands de distinction, voyageant comme nous, et mangeant à la même table d’hôte. […] L’Anglais s’étonnait de la pureté et de la douceur avec laquelle il parlait l’anglais ; le Français, de son côté, trouvait la langue française très agréable dans sa bouche.
Parvenu à l’embouchure de l’Arno avant le jour, en se glissant d’écueils en écueils, invisible aux sentinelles de la douane, il y trouva sa maîtresse et un bon moine qui les maria secrètement ; la nuit suivante, ils se procurèrent un esquif pour les conduire en Corse à force de rames ; là, ils espéraient vivre inconnus dans les montagnes de Corte ; la tempête furieuse qui les surprit en pleine mer et qui les rejeta exténués sur la plage de Montenero, trompa leur innocent amour. […] Quant à celui-ci, on l’a muré et scellé pour dix ans dans ce cachot où il ne trouvera ni amante pour scier ses fers, ni planche pour l’emporter sur les flots. […] Et qui sait si, pendant ce temps, je ne pourrai pas, comme la fille du galérien de Livourne, trouver moyen de le faire sauver de ses fers, fallût-il mourir à sa place ? […] — Moi, dit-elle, en paraissant chercher dans sa mémoire sans y rien trouver : non, je n’ai plus rien au monde, dans les poches de ma veste, que sa boucle d’oreille de laiton cassée, qu’il m’avait donnée le jour de nos noces, et la lime que je lui avais achetée pour limer sa ceinture de fer et qu’il m’a rendue en s’évadant, comme deux reliques de notre amour et de notre délivrance. […] Où trouverait-elle un gîte pour les nuits, sa nourriture pendant les jours ?
N’étant pas un méchant homme, il trouve excessif de passer au fil de l’épée toute une population désarmée, les enfants et les femmes : mais il ne faut pas lui demander plus. […] à ces vilains qui n’ont pas trouvé que tout fût bien dans ce temps de brillants faits d’armes et de fêtes splendides. […] Tout ce qui est vie physique et sensation, apparences et mouvement des choses et des hommes, joie des yeux, caresse des sens, trouve en lui un peintre sans rival. […] Ainsi au lieu du mélancolique et poignant refrain de Villon, que trouve-t-il ? […] En 1389-90, on le trouve à Riom, Paris, Valenciennes, en Hollande, de nouveau à Paris (août 1389), en Languedoc, à Bourges et en Zélande.
— J’avoue ne pas comprendre ce scrupule ni cette indignation, où je trouve quelque chose de convenu et d’oratoire. […] … Je n’en veux à personne de t’avoir trouvé aimable, mon cher mari. […] Aussi bien, à partir de cette date, on ne trouve plus, dans la Correspondance intime, trace de ces querelles jalouses. Valmore a cessé de trouver étrange l’ardeur de certains vers de sa femme. […] À la vérité, je trouve que les loustics professionnels, les Vivier, les Sapeck, les Lemice-Terrieux, se sont souvent donné beaucoup de mal pour un fort petit effet.
On la trouvait trop grande pour la maison d’un époux ordinaire ; on rêvait pour elle on ne sait quel sort plus grand que nature. […] Les dernières convulsions de la république expirante ne trouvèrent madame de Girardin ni moins résolue ni moins constante. […] On l’y trouvait presque toujours seule, la plume à la main, le visage trop pâli ou trop coloré par le feu de la composition. […] J’y trouvai un jeune écrivain, d’âme sensible et de main magistrale, qui ne rougit ni d’aimer ni d’admirer, Paulin de Limayrac ; une femme qui a perdu son sexe dans la mêlée du génie comme les héroïnes du Tasse, madame Sand. […] Je l’ai trouvé toujours gracieux et bon avec moi, mais jamais complètement dévoué.
J’en trouve sur Chamfort, Duclos, Chabanon, qui sont agréables et justes. […] Où trouvez-vous que je manque ou d’éloquence, ou de sensibilité, ou d’imagination ? […] On le trouve toujours plus grand que soi quand il parle, quand il pense, quand il agit. […] Ils ont trouvé dans ces visites, au lieu de la morgue si ordinaire à la puissance, cette curiosité que donnent l’amour du bien public et le respect pour l’opinion nationale. […] Encore une fois, si je trouvais ces témoignages de Roederer dans des pages imprimées ou faites pour l’être, je me les expliquerais, mais j’y attacherais moins de valeur : ici c’est l’émotion prise à sa source et sans mélange.
» De Candolle n’eut pas de peine à en convenir, mais il trouva la méthode originale. […] Une place plus élevée vous eût-elle trouvé bien fort ? […] J’y vois de l’agrément, surtout de l’imprévu : je ne saurais y trouver la preuve d’un grand goût. […] Rien non plus ne saurait me faire trouver d’un goût excellent et simple tous les travestissements que prennent dans les notes latines de M. […] L’honneur du maître n’en eût point souffert ; la vérité s’en fût trouvée bien.
Frédéric Soulié encore a trouvé bien des veines (quelconques) du genre actuel, et les a poussées, les a labourées avec ressource et vigueur ; mais chez lui, trop souvent, à travers le mouvement incontestable, où est la finesse ? […] Sans prendre la peine d’entrer précisément dans la conception laborieuse de l’art, il s’est trouvé par position à l’abri du mercantilisme littéraire. […] De braves gens qui vivent en famille, des hommes sérieux régulièrement occupés, des personnes du monde tout agréables et qui ne veulent pas être choquées, peuvent dire : « Où trouve-t-on de tels personnages ? […] J’ai (et sans superstition, je crois), j’ai une si grande idée de l’époque de Louis XIV, je la trouve si magnifiquement et si décidément historique, que je me figure que rien n’est plus difficile et peut-être plus impossible que d’y établir, d’y accomplir à souhait un roman. […] Daunou, avait trouvé moyen dans cette simple note d’apparence bibliographique, et par une citation malicieusement choisie, de faire ressortir les locutions, selon lui vicieuses, et le néologisme, auquel il ne pardonnait pas.
Celui-ci y trouva même sujet d’écrire à celui qui pouvait devenir un juge l’un de ces rares petits billets qui semblèrent de tout temps la suprême faveur. […] On voit que de bonne heure tous les cadres dans lesquels avait à s’exercer une pensée si pleine d’avenir étaient trouvés. […] La part individuelle des intentions trouve à se loger et à se limiter dans les intervalles. […] Sous air de publier un simple recueil de dépêches, il a trouvé moyen de dresser toute une histoire politique du grand règne. […] Servi par eux, Louis XIV sut se guider lui-même, choisir et trouver ses voies, suffire à tout, réparer les fautes, diviser ses adversaires, ne rien relâcher qu’à la dernière heure, et à force de suite, d’artifice et de volonté, enlever à point nommé la paix la plus glorieuse.
Les esprits qui n’auront trouvé où poser leur vol s’en reviendront comme la colombe de l’arche, sans même rapporter le rameau d’olivier […] Il trouve les passions du Midi violentes et portées à l’excès ; pour lui, sensible et tempéré, il vit de réflexion et de silence ; il garde la chambre et lit beaucoup, sans même éprouver le besoin de composer. […] Je ne l’avois jamais vue qu’à cinq ou six pas, et je l’avois toujours trouvée fort belle ; son teint me paroissoit vif et éclatant ; les yeux, grands et d’un beau noir, la gorge et le reste de ce qui se découvre assez librement dans ce pays, fort blanc. […] Enfin je voulus voir si je n’étois point trompé dans l’idée que j’avois d’elle, et j’en trouvai une occasion fort honnête. […] Je trouvai sur son visage de certaines bigarrures, comme si elle eût relevé de maladie ; et cela me fit bien changer mes idées.
On n’a point entretenu Sa Sainteté sur l’objet dont tu avais recommandé qu’on lui parlât, parce que ce parti a paru plus sage ; on prendra une autre voie, comme tu le verras par les lettres des ambassadeurs : je crois que l’on trouvera un moyen plus commode et plus facile, dont tu seras content ; du moins je l’espère. […] Aussi ne trouve-t-on pas dans l’histoire une famille de simples citoyens offrant l’hérédité du mérite, du travail et des vertus continues, et rassemblés avec des qualités présentes diverses, tels que Côme Ier, Laurent, Julien et Côme II, chacun ajoutant un échelon de plus à la grandeur des autres. […] On n’a pas pu trouver un prétexte pour détrôner sa modération et sa vertu ; il aurait été le type d’un gouvernement fédéral en Italie. Il subit son exil jusqu’à ce que le roi de l’Italie, unitaire contre la nature et l’histoire, transporte son trône ambulant de capitale en capitale pour trouver une bonne place sur la terre des Romains ; il y détrône un pontife désarmé, sans soldats et sans peuple, vainqueur par les armes françaises, d’une théocratie qui ne devait être remplacée que par la liberté de Dieu sur la terre. […] Je me trouverais par trop impoli et inhumain, si j’osais vous refuser quoique ce fût sur un homme de cette trempe et qui m’a tant aimé.
Moi, je lui trouve presque toujours de l’esprit, et du meilleur, quand il nous parle ; 1° de la Sainte-Enfance ; 2° de la magistrature ; 3° des abonnés du mardi. […] Cette esthétique, on la trouve éparse dans les feuilletons qu’il écrit au Temps depuis dix-huit années : ce qui fait, en chiffres ronds, quelque chose comme neuf cent cinquante feuilletons, douze mille pages, trente-six volumes. […] Jamais il ne devance les impressions et le jugement du public : il se contente de les expliquer, et je trouve même qu’il se défend un peu trop de les contredire. […] Non, vraiment, il montre trop de considération, quand il s’y met, pour des habiletés qu’il ne faut point mépriser (car elles sont nécessaires, et, en outre, ne les a pas qui veut), mais dont on peut trouver que, toutes seules, elles sont un pauvre régal. […] Ils trouvent exquis le dénouement du Mari de la Débutante, qui n’est pas un dénouement, et ils se sont délectés à la Ronde du commissaire, qui n’est pas une pièce.
Griffin infusa l’esprit même du peuple, et il en passa quelque chose dans la forme désormais plus aisée qui trouva des grâces nouvelles, comme « à la bonne franquette » parmi les vergers fleuris. […] Nous avons été artificiels durant tant d’années que nous trouvons quelque peine à redevenir naturels, à nous unir de nouveau avec l’âme populaire, demeurée elle-même malgré nous. […] Mais au retour d’un long voyage il la trouva mariée de force à Théobald, fils du duc Ferry. […] Stuart Merrill, qui trouve une voix inconnue, infiniment douce, très simple et véridiquement personnelle pour moduler ses petits poèmes d’automne. […] Car il s’est trouvé des hommes pour fondre en un seul et indestructible métal les styles et le Style, le génie et le talent.
L’esprit français s’y reconnaît ; mais il est d’autres modèles qu’il leur préfère, parce qu’il s’y trouve encore plus ressemblant. […] Mais ce que Montesquieu a vu après Bossuet, il eût pu le voir sans l’aide de Bossuet, et il y a une manière de développer les pensées d’un autre qui équivaut à les trouver. […] Montesquieu nous le laisse à chercher, au risque de ne le trouver pas et, en attendant, de décider de la chose à la légère. […] Les pays où Montesquieu a voyagé y ont trouvé leur compte, et dans ce sens d’Alembert a raison ; mais l’auteur de l’Esprit des lois pensait plutôt à faire servir les nations à son livre, et ses voyages n’ont été que la manière la plus agréable d’y travailler. […] Mais le marbre et le sculpteur étaient encore à trouver sous la Législative où l’on reparla de lui, cette fois encore, comme d’un protégé de Voltaire.
En réimprimant son Essai en 1826, et en le voulant juger, l’auteur disait, dans la préface nouvelle : « On y trouvera aussi un jeune homme exalté plutôt qu’abattu par le malheur, et dont le cœur est tout à son roi, à l’honneur et à la patrie. » Il y a anachronisme dans ces trois mots, et le jeune Chateaubriand n’avait nullement ce triple culte, surtout le premier. […] Pour avoir la clef de ces contradictions et s’expliquer tout l’homme, on n’a d’ailleurs qu’à recourir à cette nature poétique et littéraire, qui est essentielle et fondamentale en M. de Chateaubriand : c’est de ce dernier côté seulement qu’on trouvera l’explication. […] La liberté d’abord, malgré le grand usage qu’il fit du mot, il est impossible de l’y trouver fidèle dans le sens véritable et pratique durant toute sa période d’ultraroyalisme. […] C’est là le propre des poètes, et c’est aussi leur charme quand ils le font simplement, avec naturel, avec innocence ; mais quand ils affectent de le faire au milieu des graves devoirs qu’ils se sont imposés par ambition, je les arrête et je les trouve en ceci très petits et même coupables. […] M. de Villèle n’eut que le temps d’envoyer à M. de Chateaubriand l’avis de son renvoi, qui ne le trouva pas à son hôtel.
Fleury, à qui l’on doit déjà une biographie très complète de Camille Desmoulins et qui habite à Laon, s’est donné pour mission de rassembler tout ce qu’il pourrait trouver sur la vie et les actes des révolutionnaires fameux qui ont appartenu plus ou moins à ces départements de la Picardie. […] Ne nous laissons point imposer par une certaine rigueur de système et par une certaine emphase de talent : je trouve en lui l’écolier d’abord, et puis aussitôt le tigre ; dans l’intervalle il n’avait pas eu le temps de devenir homme. […] Vous m’y trouverez grand quelquefois. […] On a recueilli ses Fragments et pensées sur les institutions républicaines, trouvés dans ses papiers : en ce qui est de l’éducation, du mariage, de la pénalité, des fêtes et de toute l’organisation sociale, c’est une parodie sérieuse de la République de Platon, des lois de Lycurgue ou de celles de Minos. […] Les notes qu’on a trouvées dans ses papiers ne parlent que de vertu, de justice et d’innocence.
si vous trouvez un atome de morale dans les fables de La Fontaine, monsieur, c’est que vous avez de l’imagination ! […] On trouve exactement la même constatation dans les Animaux malades de la peste. […] Le résumé de ces constatations de La Fontaine, on le trouverait et on doit le trouver dans la fable suivante, à la fin de la fable suivante : l’Araignée et l’Hirondelle. […] Celui-ci est un sot qui a bien failli mourir, car il a cru trouver un ami dans le chat et un ennemi dans le coq, alors que c’était tout le contraire. […] La seconde, c’est que, en effet, il n’a pas, pour les enfants, la morale que tout naturellement, instinctivement, ils aiment à trouver et qu’il est bon de leur apprendre.
On connaît la fleur qui perce la neige, mais celle qui perce la boue des époques vouées à la matière, est plus difficile à, trouver. […] Il l’a dit dans des vers charmants de sentiment et de cadence, qui tombent parfois çà et là, sur une rime faible, mais trouvent le moyen de n’y pas rester et de s’envoler, Qu’importe, du reste ! […] Le mien est un rayon d’abeilles, toutes petites logettes pleines de miel, et le miel c’est vous, ce sont toutes les douces amies que j’ai trouvées dans mon chemin. » C’est elle qui écrivait encore : « Quand vous prenez une rose, vous la prenez par l’épine. […] On ne la trouva pas amusante ou intéressante, comme dit le monde, quand il applaudit de sa main familière et maladroite sur des joues fières. […] Un jour, après avoir reçu le saint Viatique, elle dit à sa sœur : « Prends cette clef, et brûle tous les papiers que tu trouveras.
Retirés au sommet des monts, ils y trouvèrent, pour fixer leur vie errante, des lieux salubres, forts de situation, et pourvus d’eau, trois circonstances indispensables pour élever des cités. […] La marine est, à cause de sa difficulté, l’un des derniers arts que trouvent les nations. […] Tacite fait la même remarque sur les Bretons, que son Agricola trouva si belliqueux : dum singuli pugnant, universi vincuntur . […] Dans les siècles les plus barbares du moyen âge, on ne trouve rien de plus inconstant, de plus variable, que la fortune des maisons royales. […] Comment expliquer cette prétendue alliance, quand Romulus lui-même, sorti du sang des rois d’Albe, vengeur de Numitor auquel il avait rendu le trône, ne put trouver de femmes chez les Albains.